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Max|mum-leterrarium

Les cavales de serpents en hausse

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Les cavales de serpents en hausse

(La Tuque) La Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM) est appelée à intervenir de plus en plus pour régler des problèmes avec des serpents. Uniquement depuis le mois de mai, l'organisme a requis les services d'un spécialiste des reptiles pour attraper quatre serpents en libertés ou abandonnés. Plus au nord, la Ville de La Tuque, qui interdit la possession de reptile sur son territoire, a dû vendredi dernier saisir un piton de Birmanie d'une longueur de 12 pieds et d'un poids de 120 livres.

«Nous notons une augmentation de ces cas dans la région», note la coordonnatrice de la SPAM, Marilou Durand.

La Ville de La Tuque interdit sur son territoire depuis l'an 2000 tout type de reptile. Cela inclut bien sûr les serpents, iguanes, lézards et crocodiles. Or, à la suite d'une plainte anonyme d'un voisin, la Ville n'a eu d'autres choix que d'intervenir auprès de la propriétaire d'un python de 120 livres. Lors de l'arrivée des responsables de la fourrière municipale, l'animal était en liberté dans l'appartement.

«C'est une situation vraiment exceptionnelle. Nous ne faisons pas face tous les jours à ce type d'animal», avoue le greffier de la Ville de La Tuque, Jean-Sébastien Poirier.

La Ville a demandé la saisie de l'animal et son hébergement à la fourrière municipale. «Nous le gardons jusqu'à ce que la dame trouve une solution», soutient M. Poirier.

La propriétaire devra donc trouver un endroit autre que La Tuque pour héberger son serpent. Il n'est toutefois pas question d'euthanasie l'animal.

«Nous le gardons le temps que ça prendra», ajoute le greffier municipal. Un piton de Birmanie se nourrit de proie pesant de 15 à 20 livres.

En mai dernier, un serpent des blés, une espèce non venimeuse qui pèse trois livres, avait été trouvé dans une poubelle de la rue Sainte-Angèle à Trois-Rivières. Quelques semaines plus tard, deux autres serpents ont été découverts dans un logement vide par le propriétaire de l'immeuble. Une situation similaire a eu lieu à Shawinigan lorsqu'un locataire a laissé son serpent dans son appartement inoccupé.

La semaine dernière, le propriétaire d'un boa constrictor de près d'un mètre était à la recherche de son animal. Celui-ci est en liberté dans le secteur de Jonquière à Sagnenay.

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