Max|mum-leterrarium 0 Posté(e) le 28 septembre 2012 Reptiles, insectes et batraciens tenaient salon Pour la troisième année consécutive, la Halle de Mer accueillait, dimanche, le Salon du reptile, organisé par l’association Reptiles découverte. Visite guidée.Après avoir été l'apanage de quelques passionnés avertis, le monde des reptiles et animaux associés (englobés dans la térariophilie) fascine de plus en plus le grand public. Les nouveaux animaux de compagnie – les NAC – entrent ainsi peu à peu dans les maisons ou appartements, en lieu et place des chiens et chats. « Ici à Mer, les gens viennent chercher des conseils avant de se lancer. On privilégie le climat de confiance avec les professionnels et amateurs éclairés », confie M. Carvalho, président de l'association.La démarche en effet n'est pas anodine, et un serpent – ou un lézard, une tortue, un gecko, un iguane… – ne s'achète pas à la légère. Il faut avoir bien réfléchi avant de franchir le pas d'une passion qui entraîne souvent toute la famille. Jusqu'à, dans certains cas extrêmes, devenir envahissante. Derrière son stand, Nicogecko – « c'est mon nom dans le monde du reptile » – l'admet, lui qui vend tout son matériel après avoir consacré des années et des dizaines de mètres carrés aux vivariums et serpents en tous genres. « Ma moitié a fait une allergie et comme nous avons eu un bébé… »A côté, les professionnels insistent sur la notion de conseil car, en effet, « un reptile c'est de la place et un budget. Il y a, en gros, trois types de profils. D'abord les jeunes couples – il faut que les deux soient d'accord – qui emménagent et n'ont que peu de meubles… Ensuite les " anciens ", qui recherchent des animaux d'exception. Et enfin les jeunes de 10-11 ans, qui doivent tester leur passion sur la durée. Souvent ils se lassent vite mais, s'ils sont acharnés, alors ils peuvent devenir vraiment pointus ! »Pour Cyril, de Blois, le cas est encore différent. Son serpent corail adulte sous le bras, il repart avec son premier reptile. Après l'aquariophilie d'eau de mer, il voulait passer à autre chose. Et comme il n'aime pas les araignées… « Et qu'en pense le fiston ? » « Le serpent sera chez papa, comme ça, il n'y aura pas de problème. »Autre alternative proposée sur le salon mérois : les insectes. Pas seulement ceux dont se nourrissent les lézards, non. Il y a aussi les mantes religieuses, les phasmes, les cétoines… voire également les papillons, dont le superbe « atlas » d'Indonésie ou de Malaisie, présenté par Alban, dont les ailes ne sont pas sans rappeler… une tête de cobra.Source Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites