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Max|mum-leterrarium

Finis les anacondas et les hybrides de pitbulls à Lévis

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Finis les anacondas et les hybrides de pitbulls à Lévis



(Québec) La Ville de Lévis durcit son règlement sur les pitbulls et interdira dorénavant même ceux de races croisées «pour assurer la sécurité des personnes sur le territoire».

Les élus lévisiens ont accepté lundi de modifier le règlement municipal sur les nuisances, car depuis quelque temps, il est devenu pratiquement impossible pour les policiers de donner des constats d'infraction aux propriétaires de pitbulls.

Ni les policiers ni le mandataire de la Ville, l'entreprise Contrôle des animaux domestiques (CAD) ne sont en mesure de prouver hors de tout doute raisonnable devant la Cour municipale qu'il s'agit bel et bien d'un pitbull pure race, écrit la direction du service de police.

«Quand on arrivait à la Cour et que le propriétaire venait dire que son chien n'était pas un pitbull pure race, les causes tombaient», explique Christian Cantin, porte-parole du service de police.

À partir de maintenant, le règlement lévisien couvrira tous les chiens de la race des Staffordshire Bull Terrier, soit les pitbulls, ainsi que les hybrides et même les chiens d'une autre race, de race croisée «qui possèdent des caractéristiques physiques substantielles» d'un chien pitbull.

À l'image de Lévis, plusieurs villes au Québec interdisent la possession de pitbulls. La Ville de Québec a pris un chemin différent; elle a adopté en 2010 un règlement qui contrôle les chiens dangereux, sans égard à la race.

Pas de serpent de plus d'un mètre

Avis aux herpétologues amateurs, il est maintenant interdit à Lévis de posséder un serpent dont la longueur à maturité excède un mètre.

Le règlement sur les nuisances a aussi été modifié lundi pour proscrire, en plus des serpents venimeux, les serpents de grande taille, incluant les boas, pythons et anacondas.

Dans le document soumis aux élus municipaux, on indique que «les policiers ont rapporté un cas où un citoyen possédait un boa de plus de six mètres, ce qui constitue une menace certaine et dangereuse pour la sécurité, et ce, malgré qu'il ne soit pas venimeux».

Vérification faite auprès du corps de police, le dernier boa identifié par les policiers de Lévis, chez un résidant de Pintendre, mesurait entre six et neuf... pieds.

«C'est peut-être plate d'avoir un petit serpent de juste trois pieds, mais on essaie de sécuriser davantage le citoyen avec ce nouveau règlement», explique Christian Cantin, de la police de Lévis.

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