Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
Max|mum-leterrarium

Boas et pythons en vente libre à Repentigny

Messages recommandés

Boas et pythons en vente libre à Repentigny



 Le commerce Reptile 450 La boutique tropicale vendait, jusqu'à tout récemment, des espèces prohibées sur le territoire repentignois. « Le mercredi 7 août, des inspecteurs de la Ville sont allés faire une inspection sur les lieux et ont identifié des animaux qui ne devraient pas y être. Des avis d'infraction ont été émis en ce sens », explique Louis-André Garceau, directeur des Services juridiques et du greffe à la Ville.En entrevue avec l'Hebdo Rive Nord, le directeur ne pouvait révéler, ni le nombre d'animaux, ni les espèces prohibées qu'abritaient les copropriétaires du commerce situé au 48, boulevard Brien, les deux étaient par ailleurs absents lors de la visite des inspecteurs municipaux. Situé à quelques mètres de l'Hôtel de Ville, le magasin fautif a par ailleurs fait l'objet d'un article en août 2010 dans un média local. Dans cette publication, on pouvait y voir Dominic Lavoie, copropriétaire du Reptile 450, posant avec un python royal. Des reptiles interdits sur Facebook Le 29 juin 2013, l'administrateur de la page Facebook du magasin Reptile 450 La boutique tropicale y indiquait qu'il « liquidait » certaines espèces tenues en magasin, dont un boa arabesque, un reptile faisant pourtant partie de la liste des animaux prohibés à Repentigny (« tous les serpents de la famille du python et du boa »). « Je pourrais prendre des échanges, mais seulement contre un python […] », indique la suite du message.Des photographies de pythons et de boas ne manquent pas sur cette même page Facebook. En décembre 2012, on annonçait même « Une grande vente de 50 % » dans laquelle on pouvait retrouver un boa des sables. Une enquête en cours À la suite de l'émission des avis d'infraction par la Ville, une enquête a été ouverte : « Notre priorité est que les espèces interdites quittent les lieux le plus tôt possible. […] Nous ne savons pas si elles étaient là depuis l'ouverture du magasin (en 2010) et comment elles ont été acquises », émet M. Garceau.Le directeur des Services juridiques et du greffe affirme que les inspecteurs de la Ville n'ont pas l'intention de visiter d'autres commerces du territoire susceptibles de détenir des reptiles illégaux. « Si on nous fait parvenir de l'information nous permettant de croire en la présence de ce type d'espèces, nous appliquerons les mêmes procédures (que celles mises en œuvre dans le dossier du Reptile 450– La boutique tropicale) », conclut-il. Toujours selon notre interlocuteur, l'équipe d'enquêteurs polyvalents, qui s'affaire à veiller au respect de la réglementation municipale à Repentigny, compte une douzaine d'employés et traite près de 6000 dossiers annuellement.

Source

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...