Max|mum-leterrarium 0 Posté(e) le 11 janvier 2014 Le chef de Projet Montréal Richard Bergeron demande la création d’un fonds d’urgence de 10 M$ pour contrer le plus rapidement les effets de l’agrile du frêne sur les arbres.Le chef de l’opposition officielle estime qu’il faut agir rapidement pour limiter les dégâts que pourrait créer la propagation de l’agrile du frêne, un insecte ravageur originaire d’Asie qui a fait son apparition dans la métropole en 2011.Selon M. Bergeron, le parc du mont Royal compterait 26 000 frênes, et d’après les échos qu’il a reçus, plusieurs arbres seraient touchés. Une situation qu’il juge alarmante puisque déjà deux grands parcs de la métropole, les parcs Lafontaine et Maisonneuve, seraient aux prises avec l’insecte. Stratégie communeDe son côté, le responsable du dossier à la Ville, Réal Ménard, estime qu’il faut plutôt se doter d’un cadre d’intervention mieux coordonné entre Montréal et les villes liées.M. Ménard reconnaît que l’agrile du frêne est un dossier prioritaire et urgent.Il estime toutefois qu’avant de parler de finances, il faut d’abord prendre le temps de s’assoir avec les 19 maires d’arrondissements ainsi que ceux des 15 villes liées pour établir un plan d’action. 400 000 frênes menacésLa Ville de Montréal évalue que 400 000 frênes sont menacés par l’insecte. Au cours de la dernière année, 140 arbres ont été abattus après avoir été contaminés et 6500 arbres ont été dépistés.Réal Ménard a annoncé la tenue d’un Sommet sur l’agrile du frêne à la fin du mois de février.L’événement se divisera en deux rencontres, une première permettra d’établir une coordination avec les maires des arrondissements et des villes liées de Montréal, et une deuxième portera sur la mobilisation de la société civile et de la communauté scientifique.Source Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites