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Max|mum-leterrarium

Des serpents et des mygales au centre commercial

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Planète Charmilles accueille une vingtaine de terrariums jusqu’à samedi. Frissons assurés.


Genève le 06.06.2014, Planète Charmilles, expo de reptiles, un python birman.

Vous êtes arachnophobe, herpétophobe ou les deux? Tournez la page. Vous avez toujours rêvé de découvrir les «grands prédateurs de la jungle»? Foncez à Planète Charmilles. Jusqu’à samedi, mygales, scorpions, serpents et autres reptiles sont enfermés à l’intérieur du centre commercial... dans des vivariums, évidemment.

Parmi les bêtes les plus impressionnantes: un énorme python molure, un petit caïman nommé Wilbur, des piranhas carnivores et les fameuses mygales. Difficile de ne pas ressentir un léger frisson en apercevant leurs grosses pattes velues.

Sur place, ceux qui s’approchent des boîtes en verre restent rarement indifférents. Entre dégoût et fascination, les réactions sont parfois imprévisibles. «Les 99% des gens réagissent bien, rassure toutefois Malory Siegenthaler, naturaliste et coresponsable de l’exposition. Il y a aussi ceux qui préfèrent regarder les animaux de loin.»

Devant chaque vivarium, une fiche explicative renseigne les visiteurs sur le mode de vie de son locataire. Que les plus hésitants soient rassurés, tous les serpents présents sont inoffensifs, affirme le naturaliste. Les mygales et les scorpions sont en revanche venimeux.

Le Centre a-t-il pris des mesures au cas où une vitre se briserait? «Certains vivariums sont en verre blindé, répond Malory Siegenthaler. Et soit moi soit mon associé sommes toujours présents dans l’exposition au cas où il y aurait un problème et pour répondre aux questions.»

Le naturaliste connaît bien les bêtes de Planète Charmilles. La majorité d’entre elles font partie de sa collection personnelle, les autres appartiennent à son associé, Louis Champod.

«Je suis passionné par les animaux et en particulier par les reptiles», confie-t-il. Chez lui, à Saint-Cergue (Vaud), il ne possède pas moins de cinq cents bestioles dont «90% sont des reptiles.»

D’ailleurs, si vous cherchez à vous débarrasser de votre boa ou de votre tortue, c’est le moment. Les naturalistes récupèrent les animaux dont les gens ne veulent plus. «On préfère cela à ce qu’ils les relâchent dans la nature.»

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