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Max|mum-leterrarium

Béthune : Tom Lorthios, 15 ans, enfant de la bourse aux reptiles

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Il a chopé la terrariophilie en découvrant la bourse. Il y a 5 ans, Tom Lorthios monte les marches de la salle Olof-Palme, à la Rotonde, et découvre l’étrange et chaleureux monde des reptiles. Après avoir tâté du gecko, il est passé à la vitesse supérieure : les serpents.



À 15 ans, il est sans doute un des derniers à avoir adhéré au Cercle aquariophile et terrariophile Flandre-Artois (CATFA) mais il est également un des premiers à donner un coup de main. Jeudi matin, alors que le président Didier Loiseau jongle entre le plan des exposants à respecter et le téléphone qui sonne, Tom pointe le bout du museau. « Pour aider », explique-t-il tout simplement. Ce jeune habitant de Givenchy représente l’avenir du club ; il incarne également un enfant de la bourse aux reptiles. Car c’est à la Rotonde qu’il a découvert la terrariophilie pour laquelle il se passionne. « J’avais dix, onze ans », se souvient-il. Une suite logique à ses yeux puisque petit, il était très attiré « par les dinosaures ».
Début par la case gecko
Après avoir fait ses classes avec les geckos and Cº – des petits lézards –, Tom est séduit par les serpents. Le serpent roi plus exactement. Des hôtes qui mesurent jusqu’à 1,5 m, qu’il a bien entendu dû faire accepter au sein de sa famille. Surtout auprès de ses sœurs… Désormais, le serpent a trouvé sa place dans le salon, enfin dans un terrarium exposé dans le salon.
Un bon endroit pour observer le reptile. Car si le serpent, animal à sang froid, est peu gourmand en caresses, il demande beaucoup d’attention. « Il faut veiller à la température, aux alentours de 28 ºC, et lui donner à manger », explique Tom. Il a trouvé des réponses à ses questions au CATFA mais l’ado est aussi un peu autodidacte, par le biais de lectures et de discussion sur les forums.
Alors, après le serpent roi, Tom se dirige-t-il vers les boas ? « Non, ce ne sont pas les serpents les plus gros qui sont les plus intéressants », explique-t-il. Tom se verrait bien tester quelque chose de nouveau… Comme les tortues ? Ce sont ses sœurs qui vont être contentes.
Quel budget pour débuter ?
C’est LA question qu’on se pose lorsqu’on veut se lancer dans la terrariophilie. Didier Loiseau s’y risque sans s’y piquer. Le président du Cercle aquariophile et terrariophile Flandre-Artois fixe au minimum le budget à 250 €. Cette somme comprend un petit terrarium, l’éclairage et le chauffage. Car ce n’est pas la peine d’imaginer élever un lézard ou un autre animal à sang froid sans un minimum de confort, comme les lampes UV.
Bourse aux reptiles pratique
Quand et où ? Ce dimanche de 10 h à 18 h à la salle Olof-Palme, au premier étage de la Rotonde.
Combien ? L’entrée coûte 3 €.
Exposants. Cette année, 114 exposants couvrent tout le spectre des pourvoyeurs d’animaux et de matériel. Il y a bien sûr les professionnels, les associations, comme Carapassion d’Arras, spécialisée dans les tortues, et les amateurs éleveurs que le président Loiseau qualifie de « conseillers éclairés ».
Internationale. Sans aucun doute, la bourse l’est à travers ses exposants. Jugez plutôt : Allemands, Néerlandais, Belges, Hongrois…
Mètre linéaire. Cette 15e bourse aux reptiles propose 600 mètres linéaires d’exposition.
Formation. On s’occupe bien de ce qu’on connaît bien. Durant la journée, le Cercle aquariophile et terrariophile Flandre-Artois propose une formation pour décrocher le certificat de capacité, sésame reconnu par la préfecture pour posséder un perroquet à la maison ! Dimanche, 3 heures sont proposées avec un vétérinaire qui abordera les zoonoses, ces maladies des reptiles transmissibles à l’homme. Prix : 5 €

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