Invité Posté(e) le 4 février 2007 Un film que j'aimerais bien voir à Rouyn! http://www.panslabyrinth.com Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 4 février 2007 jai vu lannonce sur le site :shock: my god sa lair vraiment hot sa lair full bien fait .. mais jai pas compris l'histoire :P:P Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 4 février 2007 Synopsis Espagne, 1944. Fin de la guerre. Carmen, récemment remariée, s'installe avec sa fille Ofélia chez son nouvel époux, le très autoritaire Vidal, capitaine de l'armée franquiste. Alors que la jeune fille se fait difficilement à sa nouvelle vie, elle découvre près de la grande maison familiale un mystérieux labyrinthe. Pan, le gardien des lieux, une étrange créature magique et démoniaque, va lui révéler qu'elle n'est autre que la princesse disparue d'un royaume enchanté. Afin de découvrir la vérité, Ofélia devra accomplir trois dangereuses épreuves, que rien ne l'a préparé à affronter... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Michèle03 0 Posté(e) le 4 février 2007 J'ai vu des previews à la tv, ça a l'air très bon!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 7 février 2007 Pan's Labyrinth : le triomphe de l'imaginaire sur l'horreur Mario Cloutier La Presse Le Mexique nous a donné au cours de la dernière décennie trois grands cinéastes: Alejandro Gonzalez Inaritu (Babel), Alfonso Cuaron (Y tu mama tambien, Children of Men) et Guillermo del Toro. Ce dernier livre avec El laberinto del fauno son oeuvre la plus mature et achevée, dont il est à la fois producteur, réalisateur et scénariste. Le sujet est parfait pour le cinéaste de Cronos et de Hellboy. Le choc terrible entre l'horreur et l'imaginaire dans l'Espagne franquiste. Avec sa maman enceinte, mais devant la cruauté de son beau-père, la jeune Ofelia vit essentiellement dans son monde à elle, peuplé de faunes, de fées, de monstres, de rois et d'espoir. Telle une Alice au pays des horreurs, elle plonge au coeur de l'arbre creux pour combattre la réalité d'un monde cruel et sombre. Elle se fait princesse porteuse d'une mission, celle du triomphe de l'imaginaire, de l'amour et de la beauté. Le labyrinthe de Pan n'est pas vraiment un conte pour enfants. C'est un récit, tantôt hyperréaliste, tantôt surréaliste, créé par un cinéaste fasciné par le fantastique depuis toujours et qui confronte l'innocence de l'enfant au monde adulte. Dans cet univers de guerriers machos, les femmes soumises et les enfants sont néanmoins courageux et déterminés. La réalisation du cinéaste mexicain reste toujours au diapason du sérieux de l'entreprise. Ni racoleur ni sentimentaliste, Guillermo del Toro nous maintient dans un état d'ambiguïté du début à la fin, créant des personnages qui ne sont pas unidimensionnels. Le montage utilise brillamment le panoramique pour nous faire glisser d'un univers à l'autre, pour souligner l'étendue de l'horreur, mais de l'imaginaire aussi. Autre signe de maturité chez ce cinéaste autrefois versé dans l'excès, il ménage ici ses effets, ce qui donne encore plus d'impact au drame. On parle ici d'infanticides, de torture, de haine pure et de trahison. En filigrane, au-delà de l'époque franquiste, le discours politique du film touche aux questions du pouvoir, de la violence, des relations humaines sous un régime totalitaire, de la pensée unique, de la droite... Et malgré l'épaisseur de cette tragédie, malgré le rouleau compresseur de la cruauté, malgré une phrase assassine lancée à Ofelia: «la magie n'existe ni pour toi ni pour personne», le cinéaste reste résolument convaincu du caractère essentiel du rêve, de l'imaginaire et de l'espoir. Guillermo del Toro est un artiste à suivre. Après Hellboy 2, il s'attaquera à un autre projet ambitieux, celui de tourner une nouvelle adaptation du roman de Roald Dahl, The Witches. ___________________________ * * * EL LABERINTO (V.F. : LE LABYRINTHE DE PAN), drame fantastique de Guillermo del Toro. Avec Sergi Lopez, Ivana Baquero, Ariadna Gil et Maribel Verdu. L'Espagne après la victoire de Franco : une fillette plonge dans le labyrinthe de son imaginaire pour échapper aux horreurs de la répression contre les derniers résistants. Guillermo del Toro est au sommet de son art. Le cinéaste mexicain a trouvé le cadre parfait pour fusionner ses deux passions : l'innocence de l'enfance et l'horreur du monde adulte. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Happy1 0 Posté(e) le 7 février 2007 moi aussi j'ais très hâte de le voir, c'est en plein mon genre de film!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 6 mars 2007 :anonceatous: Il commence vendredi le 9 mars au cinéma à Rouyn!!! :YAHOO: Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 6 mars 2007 Au fait, aux Oscars, il a gagné: Meilleure direction artistique Meilleure direction-photo Meilleur maquillage et Meilleur film de langue étrangère (la version originale est espagnole) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Happy1 0 Posté(e) le 6 mars 2007 WOW! ca donne encore plus le gout d'aller le voir au ciné! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Miss Chi Posté(e) le 9 mars 2007 Nimppy et moi allons voir le film ce soir a 18h30 au cinéma de rouyn, si quelqu'un d'ici aurait envie de se joindre à nous, il est le bienvenue! On vous redonne des nouvelles sur comment était le film!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Math03 0 Posté(e) le 10 mars 2007 On veut les Feedbacks ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 10 mars 2007 Je suis un peu mitigée. Je crois que c’est un bon film mais pas pour tout le monde… Tout d’abord, c’est un film restreint aux 13 ans et plus. Tant qu’à moi, ça aurait pu être 16 ans et plus facile! Et surtout pas pour les jeunes enfants qui étaient nombreux dans la salle (ils étaient accompagnés de leurs parents; je me demande encore à quoi ils ont pensé ces parents!). Le film est très noir et comporte beaucoup de violence. Malgré tout, les scènes sont coupées juste à temps pour nous éviter de voir l’horreur absolue. Cependant, elles sont faites de façon à ce qu’on puisse très bien l’imaginer… De plus, je m’attendais à ce qu’il y ait un peu plus de fantastique que ça; et en même temps, il est très présent! La photographie du film est vraiment très belle! (quoique très sombre) Pour l’apprécier à sa juste valeur, il faut vraiment le voir au cinéma. C’est un film original et très «vrai»; la cruauté humaine dans toute sa splendeur et loin des clichées hollywoodiens. En fait, c’est très difficile à décrire comme film. Je dirais que c’est un film avec un style plus de répertoire à mi-chemin entre l’horreur, le fantastique et le drame. J’ai trouvé les acteurs bons et très crédibles. De plus, dans la traduction française, les acteurs ont quand même un accent espagnol. Bref, je dirais que c’est un film dérangeant à voir, si on n’a pas une âme sensible! Après avoir vu le film, je trouve la critique de La Presse que j'ai mise plus encore plus juste. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites