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Merlin111

Nos cinq besoins relationnels

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eh oui, quand on aime sincérement, on analyse pas forcement les situations.On pare au plus urgent, on essaye de protéger ...... mais on oublie de se protéger soi-même et on y laisse des plumes.
je ressasse sans cesse, mon mari lui parait plus détaché, mais c'est une impression qu'il veut donner, j'en suis certaine !!!! lui aussi doit être mal, et la vie ne lui a pas fait de cadeaux, sa petite soeur devenue epileptique à un degé trés fort à l'âge de 6 ans alors qu'ils n'ont que 11 mois d'écart, et la perte de son jeune frére, mort d'une embolie à l'âge de 32 ans en laissant une épouse et une petite fille d' 1 an.
Il dit toujours qu'il regrette d'avoir repris notre fille avec la petite, car entre temps notre chére fille était partie de chez nous en douce avec la petite, elle vivait avec des genre de manouches, au bout de 4 mois , elle a tel en suppliant de la reprendre !!!!!! et nos soucis ont commencéx vraiment là !!!!! pour elle, les vieux étaient corvéables, et nous nous pensions à la petite, elle avait pas demandé à venir au monde, une mére enfant et instable, non fiable !!!!
Il fallait avoir une armure ou une carapace, mais je l'aurrai pas supporté, je vis encore dans le pays des bisounours maintenant je commence a comprendre réellement que je vis dans un moonde d'alliens !!!!!!!! Comme disait Françoise Dolto " quoi que vous fassiez, de toutes façons ce sera mauvais ", et j'ai vu un psy qui n'a dit que l'on ne pouvait empêcher ses enfants de faire leur propre malheur, mais pas façile à assimiler, la preuve, il n'a fallu 14 ans pour l'admettre . mais faut vivre, vivre avec le sourire, car pour moi, le respect envers les autres est de ne pas imposer mes soucis, je garde tout. A demain, si je vous ennuie, surtout faut le dire au revoir

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Par rapport à tout cela, je n'ai qu'une toute petite chose à rajouter.
Enfin deux..

Tu ne nous ennuie pas du tout Camillia et nous espérons que cela Te fait du bien de pouvoir en parler.

La deuxième : la perfection c'est faire ce qu'on peux, avec ce que l'on a et dans la conscience du moment...

Je suis persuadée que Vous faites, Ton époux et Toi même, tout ce que vous pouvez

Et Je vous embrasse bien fort gros bisousgros bisousgros bisous

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Invité

Si cela peut t'aider et si nous pouvons t'aider ce sera super

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Tu ne nous ennuies pas du tout Camila, il faut pouvoir parler de ses problèmes même si nous n'avons pas de solution miracle pour t'aider malheureusement!

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Invité

J'espère que Tu ne vas pas trop mal aujourd'hui

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Voilà, Camila, je vais essayer modestement de te donner quelques pistes qui pourront, je le souhaite de tout cœur, t'aider.
J'emploie le "tu" car je t'écris comme je parlerai à une amie proche ou à un membre intime. Je pense que tu l'accepteras comme un acte tout simple et de manière naturelle.

Ta situation est en effet bien difficile, celle de ta fille et de ta petite fille aussi d'ailleurs. Il émane de tes écrits bien de la souffrance, une certaine colère, un sentiment d'injustice, de la culpabilité aussi. Tu sembles perdue dans l'imbroglio de ton passé, dans toutes les pensées qui s'enchainent et la crainte du futur.

- Concernant le passé :
Déjà, il n'y a pas de jugement à porter. Tu as fait dans le passé ce qui te semblait bon ou bien de faire. Peu importe que cela était bon ou bien ou mal fait. Tu as fait à l'époque en fonction de ce que tu étais à l'époque. Le passé est le passé. On ne peut revenir dessus. Personne ne peut prévoir le futur, personne ne pouvait réellement prévoir ce qui est ton désormais "à présent". Il est bien évident que ton "présent " actuel découle de ton passé mais pour ton "présent" actuel cela ne modifie rien. Il ne sert donc à rien de ressasser le passé. Tu ne peux le changer. Ressasser le passé t'embarque dans des pensées polluantes où tu trouveras de la culpabilité, de la peur, des regrets, des "et si", etc. Ces pensées polluantes polluent en effet ton "présent". Alors aujourd'hui, accepte le passé. C'est le passé et c'est tout. Accepte le comme tu acceptes bien que tu as deux jambes, deux bras, un nez, un cœur, des poumons, etc. Tu ne peux aujourd'hui agir sur ton passé. Tu n'as pas de prise aujourd'hui sur ton passé. Ce qui compte c'est aujourd'hui ! A chaque fois que tes idées te porteront sur ton passé (le cerveau est terrible à ce niveau) rappelle-toi qu'il n'y a pas de jugement à porter, que tu ne peux rien changer à ce passé, que ces pensées sur le passé te créent de la souffrance. Vois et regarde bien ça ! Fais un acte volontaire en respirant calmement pour accepter ce passé et écarter ces pensées de souffrance. Les vidéos de Eckhart TOLLE t'aideront aussi à cela, essaie de prendre un peu de temps pour les écouter. Ces vidéos t'apprendront à être dans le présent. Quand tu es dans le présent, même quelques courts instants, tu le libères déjà.

- Concernant ta fille :
Là encore il n'y a pas de jugement à porter. Ta fille aujourd'hui mène une vie bien compliquée, bien difficile. C'est douloureux pour une mère ou un père de voir la vie bien compliquée et bien difficile de son enfant. Tu ne peux comprendre pourquoi ta fille mène ainsi sa vie. Il ne sert à rien d'essayer de comprendre d'ailleurs car tu n'as aucune prise sur les événements qui ont amené ta fille à mener cette vie là. Tu n'as aucune emprise sur ta fille, aucune emprise sur ce qu'elle pense ou ressent. Ceci est très important ! On n'a d'emprise que sur soi-même et sur nos propres décisions, sentiments, réflexions ; jamais sur autrui ! Tu ne peux donc là encore rien changer. Si un jour ta fille change ce sera par un acte qui lui sera personnel, cela ne dépend pas de toi. Déjà, accepte cela. Accepte le comme tu acceptes qu'aujourd'hui il pleut. Oui, il pleut, c'est ainsi, maudire le fait qu'il pleuve aujourd'hui ne changera pas la pluie en rayons de soleil. Il pleut, tu n'aimes pas cela, soit ; mais cela ne t'empêche pas d'être là, cela ne t'empêche même pas de sortir si tu le souhaites, tu peux prendre un parapluie ou un manteau avec une capuche et sortir sur la pluie. La pluie est là aujourd'hui et demain peut-être pas. Chercher à savoir pourquoi aujourd'hui il pleut ne change pas le fait qu'aujourd'hui il pleut.

- Maintenant :
Apprendre à coller à ce que tu es vraiment, profondément. Pas de jugement à porter. Chacun a tendance à réagir et à penser en fonction des "il faut que", "on doit", "il se doit", "que va-t-on penser de moi", etc. Chacun pense qu'il est "ceci" ou "cela" parce qu'il a vécu "ceci" ou "cela" ou encore parce qu'il s'est intimement convaincu au contact des autres ou de ses expériences qu'il est "ceci" ou "cela". Chacun s'est donc recouvert d'une couche qui masque, oblitère ce qu'il est vraiment au fond. Tout cette couche est ce que l'on appelle l'Ego. Cet Ego t'emprisonne dans les circuits de pensées. Cet Ego t'amène à prendre des décisions qui en fait ne collent pas vraiment à ce que tu es. Là encore applique la méthode de Eckhart TOLLE pour sentir ce qui vit vraiment en toi. Ce qui vit en toi te permet de voir réellement ce que tu aimes ou pas ... et donc te libère pour le choix de tes décisions. Si tu colles à ton "moi" profond, tes décisions seront saines car ce seront les tiennes et tu échapperas à la culpabilisation, aux regrets, etc. Tu pourras te positionner face à ta fille. Tu te dégageras de ce qui actuellement interfère dans ta relation avec ta fille. Ce n'est pas le "devoir" qui doit te pousser à un acte ou à un autre, ni même ta "responsabilité" mais ton cœur en fonction de ce que tu es vraiment et de ce que vraiment tu peux donner ou faire. Fais acte alors de bienveillance envers toi. Nul n'est tenu aux exploits. Tous ne peuvent être un Saint ou un Pur. Pas de jugement à porter. Respecte toi avant de chercher à respecter autrui. Sois vraie !
Lorsque tu réalisera cela, que ton regard sera clair, tu seras plus sereine et automatiquement plus calme. Tu ne te poseras pas toutes ces questions, tu n'auras pas tous ces doutes qui te rongent actuellement. Tu te dégageras automatiquement des "il faut que", "il est normal que", "cela devrait", " je devrais", "il me faut que" et toutes les pensées que cela implique. Tu seras libre. Ce que je te dis aujourd'hui est applicable dès aujourd'hui. C'est maintenant que tu peux ! C'est en agissant maintenant en ce sens que tu feras bouger ta situation. Tu vas automatiquement évoluer et ton évolution aura un impact sur ce qui t'entoure (effet papillon).

Je poste direct car là je n'ai pu la totalité de mes écrits, je reprends de suite ... merci.

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La suite ... c'est long mais j'écris en fonction de ma pauvre pensée ...

Ah, pendant que j'y pense, Françoise DOLTO : " quoi que vous fassiez, de toutes façons ce sera mauvais "
Cette phrase est terrifiante et à mon avis injuste (pas juste).
L'important n'est pas que ce sera mauvais ou pas ! D'ailleurs c'est plutôt souvent bien et non mauvais. La phrase correcte serait : quoi que vous fassiez vous ne serez jamais certain du bon résultat. Encore une fois, nul ne peut prévoir l'avenir. De plus un enfant reçoit bien l'éducation de ses parents mais il n'évolue pas hors monde, à l’abri des autres et ce qu'il devient sera aussi le fruit de ses propres expériences et contacts extérieurs. Un enfant n'est pas une machine que l'on monte pièce par pièce avec quelques réglages apportés par les parents. Il se constitue par lui-même. Il y a bien la part parentale mais aussi tellement d'autres choses qui viennent inter-agir. Un enfant devient un être indépendant et échappe au moule. Parfois il casse même le moule. C'est la vie et sa complexité. Nul ne peut prévoir réellement. Encore une bonne raison pour ne pas juger ou se culpabiliser. Ceci dit j'ajoute que "être une bonne mère" ne veut rien dire. Une mère fait avec ce qu'elle est. Se forcer à être autre ne peut tenir. Un enfant capte naturellement ce qui est caché. Qui peut se forcer à aimer ? Qui peut réellement savoir les liens affectifs qui existent entre une mère et son enfant ? Qui peut se permettre de juger ?

A ce sujet, Camila, accepte les liens qui agissent entre ta fille et ta petite fille tels qu'ils sont. Tu ne peux en vérité les connaître. Tu n'en as qu'une surface apparente et peut-être trompeuse. Aucun jugement à porter. Faire avec ce qui est aujourd'hui. Savoir que ce qui est aujourd'hui ne sera pas forcement ce qui sera demain. Te positionner en accord avec toi. Ne pas te forcer. Craindre le "demain" ne sert à rien. Demain est un autre jour. C'est aujourd'hui et maintenant qui compte. Ce que tu fais aujourd'hui, ce que tu décides aujourd'hui, ce que tu vis aujourd'hui, comment tu vis aujourd'hui.

- Ta petite fille :
C'est une adolescente. L'âge où l'on réagit avec violence, excès, entièrement, où l'on se construit contre, où l'on teste pour essayer d'avancer indépendamment.
Son texto exprime une colère, un sorte de rage qui exulte. Tu sais que le texte ne correspond pas à ce que tu es. Tu n'es pas une vieille grosse tarée ! Tu ne peux même pas savoir si au fond ta petite le pense vraiment. Peu importe d'ailleurs ! Ce qui compte c'est que tu sais que tu n'es pas une vieille grosse tarée ! Ce que tu es ne dépend pas des autres. Oui, c'est ingrat un enfant ! Oui, un enfant en difficulté et en colère c'est très ingrat et injuste ! Oui, cela fait mal aussi de savoir que ce texto est envoyé à ta fille ! Mais tu n'es pas une vieille grosse tarée ! Tu as pris un coup comme on peut se prendre un coup de marteau sur les doigts. Ce n'est réellement rien de plus. Cela fait mal mais cela ne remet pas en cause ce que tu es. Ce n'est pas relativiser ce que je te dis là en disant que ce n'est rien. je ne dis pas que ce n'est rien, je dis que tu as pris un coup. Mais remets à sa place ce coup. Il ne porte pas à conséquence car non seulement tu ne peux savoir si ta petite le pense vraiment tout au fond d'elle et de plus il ne change pas la qualité de ce que tu es. C'est une insulte, soit ; le fait d'avoir 60 ans n'est pas un cas aggravant en soi, une insulte n'est pas plus légère à 30 ou 60 ou 70 ans. Ta petite n'a peut-être même pas conscience de la portée de l'insulte. Elle ne te l'a pas sorti en face. Ta petite aussi est en souffrance. Ce coup n'est pas le "tout" de ce qu'est ta petite.
Là encore, positionne toi face à la petite. Même approche que pour ce que j'ai écrit pour ta fille. Tu as décidé de t'occuper d'elle. C'est ton cœur qui a décidé. Ce n'est pas ton "devoir" ! Ce n'est pas non plus ta petite qui est un fardeau ! C'est la situation actuelle avec le fait que tu es embarquée dans des tas de ruminations qui est un fardeau ! Essaie de faire non en fonction de ce que les autres veulent que tu fasses mais en fonction de ce que toi tu es capable de faire !
Il n'y a pas de corvée, pas de fardeau si c'est toi en accord avec toi qui fait ou ne fait pas ! Ce que tu es ne dépend pas des autres mais de toi, uniquement de toi !

Je vais être dure : quand on ne se place pas en accord véritable avec soi-même, on se donne des tas de raisons extérieures pour cautionner nos difficultés et malheurs et cela nous permet de ne pas agir. C'est ce que l'on appelle une fuite, fuite de soi, fuite dans le dolorisme. Attention, je ne porte pas de jugement, je suis juste dure comme la vie est dure car elle n'est pas un long fleuve tranquille, en effet. Accepter le fait que la vie ne soit pas un long fleuve tranquille mais apprendre à voir et regarder de manière juste, claire, s'affranchir des peurs, oser, apprendre à connaître le fond de soi, remettre les chose dans le bon sens sans pitié, être clair, comprendre qu'on se laisse prendre par des flux de pensées polluantes, être bienveillant avec soi, attentifs et là enfin on se libère et on peut naviguer sur ce fleuve tumultueux où on prendra encore des coups c'est inévitable mais où on pourra vivre plus sereinement, plus en osmose avec le monde.

Voilà ! Je ne sais si ce que j'ai écrit t'apportera quelques ouvertures. Le chemin ne peut être fait que par toi, dès aujourd'hui, ici et maintenant.

Plein de courage pour toi, Camila, et toutes mes pensées les plus sincèrement chaleureuses.

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Merci bel ami, quel lettre intéressante, elle ne servira pas qu'à Camila!

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Ce que je propose à Camila je l'applique chaque jour ayant été terriblement conditionnée pendant de nombreuses années par des parents destructeurs ... horriblement destructeurs. J'ai engagé ensuite ma vie indépendante sans base et sans repère cherchant désespérément à me construire et à combler ce qui avait failli me détruire. La lutte était très fatigante. L'angoisse et la souffrance toujours, chaque jour me collaient. Mon envie d'aller de l'avant et toute mon énergie dans ce combat n'ont jamais réussi à me dégager, même les succès tels les fruits de l'éducation que j'ai réussi à donner à mes enfants et les liens qui se sont tissés. J'ai beaucoup cherché, beaucoup lu (philosophie, psychologie, sciences humaines, anthropologie, histoire, préhistoire, etc. ) espérant trouver des clés, espérant comprendre.

Depuis peu, j'ai compris qu'il fallait tout reprendre autrement et au présent. Cela marche, c'est fou comme désormais je suis autre que ce que j'étais ! J'acquiers de la sérénité, du calme et me trouve totalement dégagée des angoisses et de ce sentiment profond de malaise. Je vis autrement, je vois autrement et me sens libre et de plus en plus en accord avec moi-même. Il y a comme un force, une force de vie qui est là.

Voilà pourquoi, j'ai envie de partager tout cela. La souffrance forte peut pousser en fait à prendre le bon chemin.

gros bisousgros bisousgros bisous

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Merci tout plein Merlin !

:fl bleu:

Pour Camila encore : N'hésite pas à t'exprimer ici. Tu as certainement des interrogations qui te sont venues suite aux pistes que nous proposons. Quelles qu'elles soient, nous pouvons essayer d'y répondre.

fort homme

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Invité

Oui un beau chemin Bel Ami parcouru et quel travail sur soit , merci pour ton témoignage

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quel post enrichissant ...

qui à certains moments m'a replongée dans un passé "proche ou lointain" ,

un passé où il ne faut pas s'attarder mais qui peut aider à construire un présent

C 'est pour moi , un travail de longue haleine , jamais clos

un mot , une phrase , une idée et le sujet est relancé

"verbaliser" aide :je suis alors mon propre interlocuteur rit très fort

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Merçi Bel Ami, Mercredi soir j'ai lu la premiére partie de tes lettres.
mais, je pense que trop de choses et de stress accumulés n'ont littéralement épuisé, moralement et physiquement. mal à la tête, dans les yeux ( d'ailleurs ma vision a baissé d'un coup ) et le cerveau qui marche au ralenti, limite du calage. Mais je ne suis couché avec en tête, ton premier paragraphe.
Le lendemain, Auriane n'est pas venu pour le repas, en tel à 12 h 05 avec une excuse encore limite. Nous ne demandons pas qu'une chose, rien que par politesse, nous prévenir simplement.
Du coup, j'ai tel à sa mére pour savoir si c'était vrai, qui m'a dit que la gamine lui avait dit en partant pour l'école, bon elle aussi manque de politesse !! enfin !!
et aprés les lamentations, qu'elle ne savait plus tenir sa fille, m'a dit des choses qu'elle a laissez faire pour une gamine de 15 ans et m'a dit j'arrive, faut qu'on discute pour limiter et reprendre Auriane. Comment reprendre sa fille quand on la laisse sur internet et les réseaux jusqu'à 4 h du matin, laisser son petit copain dormir ( ! ? ! ) avec elle dans sa maison, ne pas connaitre le n° de tel du copain, ni l'adresse !!! hier soir j'ai eu droit au coup de tel pour savoir où était sa fille, ayant fini les cours à 15 h 30 elle n'était pas encore rentrer chez elle à 21 h ... et pourquoi c'est moi qui doit chercher aprés elle non non
Et bien , bizarrement, je me suis détaché de tout ça !!!! les ennuis, c'est elle qui les a provoqués pourquoi irais-je récupéré une situation dont je ne connais pas tous les rouages, me disputer avec la gamine alors que la mére et la fille mentent sans cesse, ça se critique et ça se couvre à qui mieux mieux, et j'ai réalisé qu'en fait la petite se sert de nous, comme on ne parle plus à sa mére depuis 1 an, elle joue sur les 2 tableaux.
Aujourd'hui, ça va mieux, bien que je dois être encore bien contracté, mon dos m'a obligé à abréger mes courses, plus moyen de marcher, la douleur était trop terrible. Mais je progresse, je me retire du jeu malsain, mon mari, lui avait compris bien avant moi :-) mais je pense toujours que l'autre est quelqu'un de bien ou mérite de l'aide.
Peut-être que la nuit, mon cerveau à compris bien des choses, dans l'inconscient du sommeil, artificiel ( sommifére)
Ici, la personne qui écrit est détaché, indifférente, faut que je me protége, que je nous protége. Ca veut pas dire que je risque pas de replonger à 2 pieds, mais j'ai pris du recul et je récupére, j'en ai besoin !!!! on dit qu'il y a un âge pour tout et c'est réel !!!!
Et le passé, s'en va comme les feuilles mortes, un coup de mauvais vent risque de le faire revenir, mais j'ai compris ta façon de voir bel Ami.
Et, d'en parler, ça permet d'évacuer bien des corbeaux noirs, car la famille ne comprend pas toujours, et l'on reste dans son trou à ressasser.
merçi pour ces premiers pas, on verra la vie au jour le jour, mais pour l'instant je veux devenir egoïste dans ma vie, c'est un peu une lueur dans le ciel d'orage.

Merçi encore de vos conseils gros bisousgros bisousgros bisousgros bisous

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Et par rapport aux parents, les miens étaient aimants mais peu disponibles, j'ai grandi entre les caisses de légunes et de conserves, en jouant sur le trottoir avec les autres enfants du quartier, mon frére a 8 ans de plus que moi, mais mentalement c'est plutôt 16 ans !!!!! et comme les gens disaient à l'époque j'étais une enfant de vieux !!!! donc hyper protégé, ne sortant pas et ne connaissant rien de la vie. Et, une belle-mére omniprésente, envahissante, incapable de couper le cordon avec son fils, qui lui ne faisait rien pour non plus !!!! d'où mon amour trop excessif pour mes filles, qui étaient tout ma vie.
La suite en découle simplement, je le comprend ainsi Merci tout pleingros bisous

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Ecoutez son coeur et son ressenti pour mieux partager et mieux comprendre l'autre. La puissance de l'amour est infinie ... La puissance du ressenti est profonde si on veut bien l'écouter ... Telle une belle fleur qui s'ouvre au monde qui nous entoure ...
Ecoutez avec son coeur et son ressenti ...
Donnez avec son coeur et son ressenti ...
Recevoir avec son coeur et son ressenti ...

C'est le plus beau cadeau que la vie peut nous apporter ... !

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Invité

:yes: Merlinette 100% d'accord avec Toi

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Merci Bel ami de nous permettre de profiter de ton expérience personnelle. gros bisous

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Anne a écrit:
Merci Bel ami de nous permettre de profiter de ton expérience personnelle. gros bisous


Oh, mon expérience personnelle n'a pas d'importance en soi, ma petite personne non plus n'a pas d'importance en soi ; les deux sont tristement dans la lignée de chacun d'entre nous depuis que l'humain, ce drôle d'animal au cerveau particulièrement développé, essaie de survivre en se débattant contre les éléments, contre les autres et contre lui-même s'enfermant dans un monde d'illusion et de constructions mentales aliénantes tout en oubliant de vivre tout simplement en accord avec son noyau de vie dans le réel et le présent !
Cela fait quelques millénaires que l'humain s'arrache ainsi pour espérer survivre.

Notre cerveau est le résultat d'un élément hasardeux de mutations au fil de l'évolution des espèces qui en se développant a permis au genre Homo non seulement de pallier à sa survie dite animale mais aussi d'essayer de maîtriser son environnement et donc de proliférer sur toute la planète. Le cerveau, la main, la station debout, le langage, la reproduction sont des éléments essentiels de notre survie en tant qu'espèce. Charles Darwin l'explique bien dans sa théorie de l' Évolution et de la sélection naturelle. Cette théorie continue son cours avec notamment le paléontologue Stephen Jay Gould, l’éthologiste Richard Dawkins, l’ethnologue archéologue historien André Leroi-Gourhan, le paléoanthropologue archéologue Yves Coppens, le paléoanthropologue Pascal Picq « L'humain est bien une invention des hommes, qui repose sur notre héritage évolutif partagé, mais n'est pas une évidence pour autant. Homo sapiens n'est pas humain de fait. Il a inventé l'humain et il lui reste à devenir humain, ce qui sera fait lorsqu'il regardera le monde qui l'entoure avec humanité." - "L'humain à l'aube de l'humanité », dans Qu'est ce que l'humain ? écrit avec Michel Serres et Jean-Didier Vincent, Paris, Éditions le Pommier - , le philosophe linguiste épistémologue théoricien des sciences biologiques et humaines Patrick Tort qui explique - dans Darwin et la science de l'évolution, Découvertes Gallimard Sciences - que la sélection naturelle, telle que développée par Darwin, a sélectionné la civilisation qui, en institutionnalisant l'altruisme, s'oppose à la sélection naturelle.

Depuis quelques millénaires l'humain se constitue en sociétés ; recherche par la technique et les Sciences à faciliter sa survie, à répondre aux défis des maladies, de sa nourriture, de sa reproduction, etc. Il se re-crée un environnement qu'il espère dominer. Tout ceci est inhérent à sa condition d'animal si particulière. Il survit grâce à cela. C'est son adaptation.

Néanmoins, ce faisant, il semble être pris dans un cercle de construction qui l'envahit et le coupe de sa nature profonde et de la nature qui l'entoure. Les quelques millénaires dits historiques ont constitué une longue période de rapports de force, de combats, de guerres. Il semble que cette période soit encore un passage d'évolution, une adaptation encore en cours.

L’Homo Sapiens, dernier des hominidés, avec la progression de son cerveau et de sa conscience réflexive, vit au fond de lui dans la peur et le désir. Eckarht Tolle l'exprime bien et fort justement. Au cours des différentes civilisations et sociétés, de tous temps historiques, de nombreux Hommes ont cherché à résoudre ce malaise existentiel. Déjà dans les découvertes récentes des tablettes de Sumer il est possible de retrouver un questionnement concernant l'humanisme - chapitre 3 - "L'histoire commence à Sumer" de Samuel Noah KRAMER - Flamarion - Champs histoire (poche) - puis pour résoudre le malaise existentiel individuel ou de groupe vous avez les philosophes de l'Antiquité grecque et tous les autres philosophes, les diverses religions, les mystiques, les ermites, on peut aussi ajouter les différentes structures politiques et leurs idéologies, les psychologues, les psychiatres, etc.

Mais l’Homme se débat en vain ! L'homme colmate sa grande souffrance avec des pansements en tous genres mais ne résout pas son problème de fond. Plus il se bat, plus il s'enferre ... et souvent plus il s'illusionne (que ce soit dans sa vie privée ou dans sa vie sociale). Oui, nous sommes tous atteints !

Nous semblons vivre actuellement une période extrême dans la fuite existentielle, dans l'agressivité et le mal-être, dans la domination du vivant et de l'espace, dans l'exploitation du naturel ; une période mondiale et pouvant amener la destruction même de notre espèce. Nous sommes comme des morts-survivants filant vers notre extinction aveuglément ; des grands souffrants esclaves déconnectés du réel et englués, conditionnés et pervertis.

Et pourtant ... il est possible d'arrêter cette fuite, fuite personnelle et sociétale !
Cela passe par chacun de nous.
Accepter ce que nous sommes, avoir une pleine conscience, voir autrement, remettre à sa place, être attentifs, se libérer, construire autrement, etc. ... tout ce qui a déjà été écrit sur ce poste.
Je ne suis pas pessimiste, toute adaptation et évolution demande du temps.
Il n'y a rien à gagner, il y a juste à vivre c'est à dire à être au monde (enfin !), à co-naître au monde.

Nous sommes de plus en plus nombreux à commencer cette avancée, ce n'est pas la peur qui guide mais cette profonde réalité qui est en nous (en chacun de nous) à laquelle nous laissons la possibilité d'émerger.
Tout est lié, l'individu et l'espèce, le personnel et le commun, le particulier et la collectivité.
Aujourd'hui, ici et maintenant !

Eckhart Tolle, entre autres, offre de bonnes pistes.

Ah, une vidéo courte mais puissante qui n'est pas sans rapport avec le titre de ce poste ouvert par Merlin :


gros bisousgros bisousgros bisous

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Invité

Merci Bel Ami pour ce nouvel échange et nouveau partage gros bisousgros bisousgros bisous

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