Merlin111 1 Posté(e) le 17 décembre 2014 http://www.midilibre.fr/2012/02/13/de-graves-brulures-a-cause-de-ses-souliers,457341.phphttp://www.60millions-mag.com/actualites/articles/chaussures_allergisantes_de_plus_en_plus_de_distributeurs_sont_touchesBizarre j'avais mis mon témoignage sur ce site, je ne le retrouve pluset encore moins celui de mon FB Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Merlin111 1 Posté(e) le 17 décembre 2014 http://www.medisite.fr/a-la-une-des-chaussures-responsables-d-grave-infection.112068.2035.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Merlin111 1 Posté(e) le 17 décembre 2014 pour ma part ce fut des faux crocs violets pour l'hiver, achetés chez LIDLLj'était super bien dedans mais je l'ai payé fort cher (je viens d'écrire "fort chair" - lapsus révélateur....je raconte l'histoire demain Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Merlin111 1 Posté(e) le 17 décembre 2014 Depuis quelques années, les produits fabriqués dans de nombreux pays asiatiques envahissent les marchés occidentaux. Si plusieurs sont de bonne qualité, d'autres ont été interdits dans un grand nombre de pays en raison de leur dangerosité.La Chine, pays qui devrait occuper d'ici quelques décennies le premier rang mondial au chapitre de l'économie, est particulièrement pointée du doigt. Au cours des dernières années, de nombreux jouets, aliments et vêtements, fabriqués dans l'empire du Milieu, ont fait l'objet de rappels ou d'interdictions formelles.Les jouetsLes exemples pleuvent. En 2004, l'Institut Pasteur découvre un liquide contaminé par des bactéries fécales dans des yoyos en provenance de la Chine. En 2007, une cavalcade de rappels sème le doute sur la qualité des produits chinois. En juin, les États-Unis interdisent 1,5 million de petits trains en bois dont la peinture contient une teneur élevée en plomb. Deux mois plus tard, Mattel rappelle pas moins de 18 millions de jouets, pour la même raison. Puis, en novembre, des particules de solvant adhésif toxique sont observées dans des jouets destinés aux enfants. L'année suivante, des millions de jouets contenant des substances toxiques potentiellement mortelles ont été découverts chez nos cousins français. Partout dans le monde, des enfants ont été grièvement blessés par des jouets mal conçus.Depuis, de nombreux jouets destinés aux enfants ont été retirés du marché : certains en raison de petits objets qui se détachent et peuvent être dangereux, d'autres à cause de leur toxicité. Des multinationales, qui font appel à des sous-traitants chinois, ont resserré leur surveillance pour éviter d'entacher leur réputation.Les alimentsSi les jouets sèment le doute dans l'esprit des consommateurs, une vague de décès attribuables à des produits toxiques a également fait la manchette. Ainsi : On a trouvé des traces de diéthylène glycol (généralement utilisé comme antigel) dans de la pâte dentifrice. Du lait contaminé à la mélamine a également été découvert. Des 165 tonnes de produits potentiellement dangereux, seulement 72 ont été retrouvées, et détruites. Le Canada a également interdit l'importation de produits à base d'herbes médicinales en raison des risques potentiels pour la santé des consommateurs. Aussi, des colorants interdits ont été découverts dans des sauces et des gâteaux. Des moisissures cancérigènes ont été identifiées dans des fruits secs. Des antibiotiques ont été détectés dans des lots de miel et de poissons. Des entreprises ont exporté des anguilles fortement contaminées au mercure. Des organismes génétiquement modifiés « assaisonnaient » des stocks de nouilles. Des métaux toxiques (chrome, manganèse, nickel), susceptibles de contaminer des aliments, ont également été identifiés sur des ustensiles de cuisine.Il y a plus. Les autorités estiment qu'aux États-Unis seulement, 4000 chiens et chats sont morts après avoir ingurgité de la nourriture fabriquée à partir de blé chinois contenant de la mélamine.Et les vêtementsSi jouets et nourriture sont pointés du doigt, la vente de certains vêtements a aussi été interdite. En Nouvelle-Zélande, des pyjamas ont été retirés du marché en raison des risques d'incendie lorsque le vêtement est porté à proximité d'une source de chaleur. Des chaussures contenant des substances toxiques ont généré des réactions allergiques chez de nombreux consommateurs. Des traces de formaldéhyde équivalentes à 900 fois le niveau permis par l'Organisation mondiale de la santé ont été découvertes dans des tissus de laine et de coton fabriqués en Chine. Or, cette substance cancérogène, très volatile, est souvent à l'origine de problèmes respiratoires. Une enquête de Greenpeace a révélé des traces d'éthoxylates de nonylphénol dans des vêtements de marques réputées. Ce produit peut entraîner des troubles hormonaux, notamment au niveau des organes de reproduction.Plus encore... On a aussi découvert de faux médicaments, offerts en pharmacie, qui comportaient des risques majeurs pour la santé. Des fauteuils fabriqués en Chine ont provoqué des réactions allergiques chez plusieurs consommateurs. Des berceaux inadéquats ont causé des décès. Des rallonges électriques, des fers à repasser, de nombreux équipements électriques et électroniques (dont des lecteurs de DVD) ont été à l'origine d'électrocutions et d'incendies.Le réveil de la ChineConfrontées à autant de rappels en raison de la dangerosité des produits, les autorités chinoises ont dû réagir. Tout en se portant à la défense de leurs entreprises, elles se sont engagées à ne plus utiliser de produits toxiques dans la fabrication d'articles et dans la préparation des aliments. Dans cette foulée, pas moins de 700 entreprises chinoises se sont vues retirer leur licence d'exportation et plus de 3500 autres ont dû fournir des explications sur leurs méthodes de fabrication et les produits utilisés. Plusieurs ont, par la suite, amélioré leurs systèmes de contrôle de qualité. Rassurés?Lors de chaque séance de magasinage, les consommateurs sont confrontés à de nombreux produits « Made in China ». Partout, les agences de santé des pays importateurs veillent au grain. Toutefois, il est impossible de contrôler, systématiquement, les millions de produits qui sortent des usines chinoises pour être distribués à travers le monde. À vous maintenant de faire preuve de prudence et de vous informer adéquatement.Henri Michaud. Rédacteur Canal Viehttp://www.canalvie.com/sante-beaute/sante/prevention-et-maladies/fabrique-en-chine-dangereux-1.965836 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Merlin111 1 Posté(e) le 17 décembre 2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Merlin111 1 Posté(e) le 17 décembre 2014 Rita Lemoine ne se doutait pas que ses chaussures neuves contenaient du diméthylfumarate (DMFU), fongicide qui lui a provoqué une réaction cutanée spectaculaire et des paralysies musculaires.Depuis 2009, ce produit est interdit dans l'UE, mais de nombreux objets importés, notamment de Chine, échappent aux contrôles. L'enquête se poursuit donc en Chine dans une usine où on fabrique des chaussures. Le processus veut qu'on place un sachet de DMFU dans chaque emballage.La Chine est le premier producteur mondial de cuir mais la demande dépasse l'offre.Le Bangladesh est un pays où la main d'œuvre est bon marché, le niveau de vie est très bas. C'est une aubaine pour les industriels toujours à la recherche de cuir afin de combler la demande. On y trouve du cuir de vachette en abondance.Afin d'obtenir un cuir parfait, sans moisissure, les ouvriers travaillent dans des conditions qui mettent leurs vies en danger.Un exportateur de cuir parle des produits chimiques utilisés dans son usine lors du tannage du cuir. On note que les sels de chrome sont les produits les plus utilisés pour le tannage. Sels qui, sous l'effet de la chaleur deviennent hautement toxiques et cancérigènes. Là encore, pas de protection ni d'information pour les ouvriers. Les eaux usées se répandent dans l'environnement.Si en Asie, le chrome, les pigments et le chlore font toujours autant de victimes dans les tanneries, les travailleurs européens du textile ne sont pas non plus épargnés.Frauke Driessen, qui a repassé pendant dix ans des jeans pour une grande marque de vêtements, est tombée malade suite à la présence dans son sang de dichlorométhane, substance cancérigène également présente dans son usine européenne...Les jeans usés sont à la mode!Pour être tendance, il faut qu'ils aient l'air d'avoir été portés des années. Pour donner cet aspect vieilli, on a recours au sablage. Ce procédé, nocif, est interdit dans de nombreux pays notamment la Turquie où il a fait de nombreux morts.Certains utilisent des procédés alternatifs comme le laser ou le grattage à la main.Les industriels ne l'entendent pas de cette oreille! Il ne serait pas rentable de faire gratter les jeans à la main, le procédé au laser est trop onéreux.Alors, direction le Bangladesh, pays où le sablage ne fait l'objet d'aucune interdiction.De plus, la mains d'œuvre y est si bon marché, nul besoin de s'enquiquiner avec le traitement des eaux usées qui s'écoulent dans la rue, pas d'information aux ouvriers donc pas d'équipements adaptés!Le sablage des jeans dans ce pays est courant et les bouts de tissus posés sur le nez des ouvriers ne les protègent pas du quartz qui s'infiltre dans leurs poumons.Résines synthétiques, métaux lourds et autres produits chimiques entrent dans la composition des jeans.Pour être chics, portons du noir!Le noir est une couleur difficile à obtenir et pour qu'il soit profond et "durable" (j'entends par là que le noir reste noir, plus longtemps!), on a recours à de nombreux produits chimiques qui provoquent des allergies et sont cancérigènes lorsqu'ils pénètrent dans le corps.Certains consommateurs tentent de se rassurer en disant :" J'achète des vêtements made in France". Certains fabricants de vêtements, même ceux du secteur du luxe, taisent les pays où les vêtements ont été fabriqués, et surtout ne mentionnent jamais les pays d'où proviennent leurs matières premières.Alors, qu'en est-il de la mode bio?De plus en plus de chaînes proposent des vêtements en fibres naturelles. Sont-elles bio?Pour que les vêtements soient biologiques, il faut qu'aucun produit chimique n'entre dans le processus de fabrication.On note que, le plus souvent, la matière première est bio, mais les colorants, chimiques.Partant de ce principe, on peut acheter des vêtements soit disant biologiques de toutes les couleurs, à des prix très bas (en provenance des pays où les normes n'existent quasiment pas).Selon les spécialistes, on vend plus de coton bio qu'on en cultive.Les vrais vêtements en coton bio ne font pas encore l'objet d'une production de masse.Seules les petites et moyennes entreprises en proposent actuellement.Leurs critères sont stricts : la matière première doit être biologique et le processus de fabrication est surveillé (pas de métal lourd, pas de résine synthétique, de chlore...).L'offre est donc réduite.Seul 1% de nos vêtements est dépourvu de danger.Les prix des vêtements véritablement biologiques restent élevés. Mais la vie a-t-elle un prix? http://le-vetement-bio.com-blog.over-blog.com/article-une-mode-chic-et-dangereuse-du-poison-dans-nos-vetements-chaussures-vetements-lingerie-107811756.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Gina1111 0 Posté(e) le 18 décembre 2014 Merlin, hier il y a un film dans le TV on allemagne. Ca commercer dèjá comment il tué toutes les animal. C'est une massacré affreux et j'ai larme dans les yeux. Les animal sont pas encore mort et ils ont dèjá tire la peaux. Ils sont si maigre et ils peuvent presque pas marcher et quand voir les yeux c'est vraiment triste. Toutes les produit dangereux pour nettoyer ca marche dans la rivière. C'est vraiment le cloaque (Je sais pas c'est bon ecrire). Le film c'etait vraiment un cauchemar Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Merlin111 1 Posté(e) le 18 décembre 2014 oui ils ne font pas dans la dentelle Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites