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Je n'ai pas voulu le mettre dans les livres conseillés, car je ne voudrais pas lui faire de la publicité, ,je vous mets le prix RTL de cette année......à vous de voir

La bande dessinée RTL est Cruelle en février ! C'est l'album de Florence Dupré la Tour qui a été primée par RTL et nos partenaires libraires et blogueurs. Après Borgnol, écrit avec sa sœur, et Capucin, l'auteure revient dans les rayons de librairie avec Cruelle. Un album politiquement incorrect qui raconte l'enfance de l'auteur à travers sa relation avec les animaux. Dans une pure tradition autobiographique, Florence Dupré la Tour assume tout : tuer ou torturer des animaux fut pour elle un spectacle, un apprentissage de la violence.

La jeune Florence Dupré la Tour est cruelle comme tous les enfants le sont. Mais, quand la plupart des enfants s'amusent à détruire une fourmilière et à écraser des insectes divers et variés. La cruauté de Florence Dupré la Tour atteint un niveau bien supérieur. À 5 ans, elle reçoit comme cadeau de Noël un cochon d'inde, un vrai. Mais pour elle, c'est un jouet dont elle va tester les capacités de résilience.

C’est ainsi qu’elle le perche en haut d'un arbre et qu'elle le regarder tomber. L’animal est bel et bien mort. La petite fille n'en éprouve aucune tristesse. "Je n'avais pas conscience de la valeur de la vie. J'étais déçue que ça soit cassé, que ça ne marche pas, j'en voulais un autre immédiatement", explique l'auteure. Avec le second cochon d'inde, elle fait mieux. Elle fonce sur lui à bicyclette.
De Buenos Aires à Troyes

Aujourd'hui, Florence Dupré la Tour a 38 ans. Elle est née en 1978 à Buenos Aires, dans une famille d'expatriés, bourgeoise, aimante et pieuse. Une enfance heureuse jusqu'à son arrivée à Troyes lorsqu'elle a 7 ans. Là, tout change. C'est une propriété entourée de bois, avec des douves des ponts, des granges, une étable, des écuries, un poulailler, un clapier et une porcherie. Le champ d’expérimentation de sa violence s’élargit considérablement. Ça commence d’ailleurs pas la rencontre avec la gardienne, Mme Bailly. "Nous sommes accueillies par la gardienne avec un lapin. Elle nous demande si on veut voir Jojo la lapin sans son pyjama. On lui répond ou. Elle sort un couteau et lui arrache l’œil, puis la peau en dix secondes. C'était notre cadeau de bienvenue. Je n'avais jamais vu de bête se faire écorcher vivante", poursuit l'auteure. Ainsi va la vie des petites filles bien éduquées.

Il parait qu'elle a un immense talent....je ne sais pas mais je trouve a ce livre un gout d’égout non non

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On ne peut pas éviter, que les gens bien pensant de donner leurs avis.
Je ne me sens pas très motiver pour lire ce genre de choses.

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