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poule-35

2 cocottes pékin gris porcelaine.

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J'ai acheté ces deux merveilles issus de parents achetés chez un professionnel a la ferme de Beaumont.
Elles ont deux mois , vos avis ? Smile

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c'est pas possible que ce soit des mauvais gris perles , ils ont été acheté dans un ferme qui en vendent en professionnels !

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Ben poule 35 si on te donne des conseils et des avis et que tu les remets en question et bien ne pose pas De questions à ce moment la ! Nono à raison tes poussins ne sont ni porcelaine ni gris perle , et si tu penses l'inverse et bien on ne peut rien pour toi ![flash][/flash]

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Je suis d'accords avec Antho et Nono pas des purs gris perles et mauvaise idée d'acheter chez des pros car ils vendent de tout et n'importe quoi !

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Des bleus cailloutes très clairs...?
De plus même pas sûre que ce soit pas des coquelets , pour le principe rapporte-les au vendeur et fais toi rembourser...

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Ouplala , je ne conteste rien du tout , mais j'ai vu les parents et ils étaient pure race.
J'ai acheté chez des particuliers , qui eux ont achetés les parents a la ferme du beaumont.
J'attends de voir ce qu'elles deviendront et je vous mettrais les photos.
bonne soirée.

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+ 1 je suis on avec Marion

Ferme de .... Pas bon Evil or Very Mad ça vends tout se qui sort des œufs!

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On dirait du bleu-perle caillouté. Coloris pas bon quoi qu'il en soit mais en effet ce sont deux poules pékins.
Mais bon, ce n'est pas parce que tu as les photos de deux animaux qu'ils sont forcément les parents....
Et pour avoir été Normand, oui acheter à la Ferme de Beaumont, ce n'est certainement pas une référence...
Voila le coloris Gris Perle : c'est un sujet qualité jardin lool : bec doit être plus jaune et les plumes de queue non découpée. Le GP a des petites striures noires à la tête caractéristiques de ce coloris.

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Ensuite, les fermes de Beaumont and co, appellent Porcelaine ce que maintenant nous appelons Gris Perle.
Le seul coloris où il est fait mention de porcelaine chez la pékin c'est pour le millefleurs désormais quand justement tu as expression du GP et du Millefleurs sur un même sujet.

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P-ê que le coloris est pas bon , mais ce sont réellement les parents . Je suis allé chez les gens et ils n'ont que sa comme poules et coqs et ont achetés sa pour l'ornement dans leurs jardins..
Bref , dommage , a voir si ces cocottes changent leurs plumages en grandissant.. :/

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Après tout dépend de ce que tu veux en faire.... Pour de l'ornement dans ton jardin elles sont très jolies...

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Guillaume je te défie de trouver du gris-perle avec un bec jaune pur lol!!
C'est un peu comme sur le noir d'ailleurs, on peut avoir du jaune sur les sujets coucou, caillouté (ou porteurs) mais sur les purs noirs ou pur GP dur dur....

Et tu es bien exigeant sur les plumes de la queue, le gène lav les rend moins belles c'est sûr et c'est difficile de ne pas avoir les plumes de la queue comme sur ta poule (elle a des plumes pas mal pour une GP au demeurant).

Ce qui manque souvent aux GP c'est le volume, le bouffant

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Oui c'est pour l'ornement de mon jardin ^^ je comptes pas faire de concours ! merci Wink

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Cela dit elles seront probablement plus jolies que des gris perle car le coloris indéterminé est quand même joli à l'oeil et elles ont des bonnes têtes avec des becs bien jaunes...
Mais c'est basé sur une sorte de bleu caillouté très clair ou avec des traces de coucou, un truc pas net en tout cas.

Tu peux informer la personne qui t'a vendu les animaux que c'est n'importe quoi la couleur des repros mais on dirait qu'ils ont été scannés dans un magazine...?

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Malheuresement , la personne a supprimer son annonce et je n'ai pas son mail.
Mais a la base ils ont achetés un trio dit gris porcelaine , et on eu ses petits. mais le Monsieur voulait les mangés. ( les petits ) ^^, puisque il a travaillé dans une boucherie.
donc ils les vendait 5e piece..
oui c'est vrai que la couleur n'est pas top mais elles sont pas encore adultes , je vous renverrais des photos Wink

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Marion a écrit:
Cela dit elles seront probablement plus jolies que des gris perle car le coloris indéterminé est quand même joli à l'oeil et elles ont des bonnes têtes avec des becs bien jaunes...
Mais c'est basé sur une sorte de bleu caillouté très clair ou avec des traces de coucou, un truc pas net en tout cas.

Tu peux informer la personne qui t'a vendu les animaux que c'est n'importe quoi la couleur des repros mais on dirait qu'ils ont été scannés dans un magazine...?


Peut être pas si inintéressante que ça cette couleur... ? Je me demande même si ce ne pourrait pas être la couleur quelque peu mystérieuse et en tout cas rare que l'on dénomme "blanc fleuri" chez la Braekel notamment. 
C'est le produit d'une combinaison génétique associant le Blanc dominant à l'état homogygote II et le gène S.
Bien que je n'ai jamais observé cette couleur, en voyant ces deux pékinettes, je repense à un échange récent que j'ai eu avec S.VAN DORT qui m'indiquait "It seems that S in dominant white causes a smoky grey shade.
A nice example is the Brakel in the colour 'flowered' or in dutch'gebloemd' in french 'blanc fleuri'.This is a silver black autosomal barred pattern with I/I.
The former black bands become grey and the ground colour is snow white,
its a very delicate colour".

Je me trompe peut être totalement mais justement si quelqu'un a un photo d'un sujet de cette couleur " blanc fleuri", je serais très intéressé !

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octave a écrit:






Peut être pas si inintéressante que ça cette couleur... ? Je me demande même si ce ne pourrait pas être la couleur quelque peu mystérieuse et en tout cas rare que l'on dénomme "blanc fleuri" chez la Braekel notamment. 
C'est le produit d'une combinaison génétique associant le Blanc dominant à l'état homogygote II et le gène S.
Bien que je n'ai jamais observé cette couleur, en voyant ces deux pékinettes, je repense à un échange récent que j'ai eu avec S.VAN DORT qui m'indiquait "It seems that S in dominant white causes a smoky grey shade.
A nice example is the Brakel in the colour 'flowered' or in dutch'gebloemd' in french 'blanc fleuri'.This is a silver black autosomal barred pattern with I/I.
The former black bands become grey and the ground colour is snow white,
its a very delicate colour".

Je me trompe peut être totalement mais justement si quelqu'un a un photo d'un sujet de cette couleur " blanc fleuri", je serais très intéressé !




http://www.aviculture-europe.nl/nummers/11E04A05.pdf

Page 8, white barred silver, in belgium "wit gebloemd"

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Merci Patricia... perso je ne vois pas de blanc fleuri sur les poules de poule35.
Par contre, le coloris du coq page 10.... oulaaaaa What a Face superbe!

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Guillaume14 a écrit:
Merci Patricia... perso je ne vois pas de blanc fleuri sur les poules de poule35.
Par contre, le coloris du coq page 10.... oulaaaaa What a Face superbe!

Comme je l'ai dit je suis loin d''être un connaisseur de ce coloris confidentiel "blanc fleuri" et les poulettes en photos sont encore bien jeunettes mais affaire à suivre...sait-on jamais;
N'oublions pas que la penicilline est née dans une vieille boîte de Pétri oubliée sur un rebord de fénêtre... et qu'Enwisle a créé les coucou à partir d'une Pékin blanche de rebut que tout le monde croyait sale...

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L’histoire de la découverte de la pénicilline a des aspects mythiques. L’image de moisissures flottant à travers la fenêtre ouverte d’Alexandre Fleming et qui contaminent accidentellement une culture de microbes est certainement accrocheuse, mais pas conforme à la réalité.

En fait, on doit la pénicilline non seulement à Alexandre Fleming qui, contrairement à ce que l’on pense, ne l’a pas «découverte» mais à la suite d’heureux concours de circonstances, accompagné de beaucoup d'efforts et d’années de recherche effectuée par de nombreux scientifiques, des deux côtés de l'Atlantique.
L’histoire commence en novembre 1921 dans le laboratoire d’Alexandre Fleming, à l’hôpital St. Mary’s de Londres. Fleming, qui a alors un rhume, contamine accidentellement, avec une goutte de son nez, les colonies de bactéries qu’il étudiait.
À sa surprise, il constate qu’au contact de son mucus, les bactéries ont perdu leur paroi cellulaire et se sont dissoutes. Il répète l’expérience avec des larmes et obtient le même résultat. Il en conclut que les sécrétions nasales et les larmes contiennent un composé antibactérien qu’il appelle lysozyme. Malheureusement, il découvre que le lysozyme, un enzyme, est d’une efficacité limitée comme agent antibactérien. Fleming décide alors de centrer ses recherches sur les moyens que le corps utilise pour organiser son propre système de défense contre les bactéries. Il se tourne vers la mise au point de vaccins.
Nous sommes maintenant à l’été de 1928. Fleming travaille sur des cultures de staphylocoques, une bactérie particulièrement virulente. Avec le retour des beaux jours, il décide de prendre des vacances. La chance voulut qu’avant son départ, il oublie de nettoyer les boîtes de Petri contenant les bactéries. À son retour, il remarque que l’une des boîtes de culture de staphylocoques qui s’y trouvait avait été contaminée par une moisissure. Il s’agissait d’une occurrence fréquente. Mais ce qui était inattendu, c'est qu'au contact de la moisissure, les bactéries de staphylococcus avaient été détruites. Il s’agit du même effet observé avec que le lysozyme, cette fois, sur des bactéries pathogènes.
Contrairement à la légende, la moisissure, identifiée comme faisant partie de la variété penicillium notatum, ne venait pas de l’extérieur. À l’étage d’en dessous se trouvait un laboratoire de mycologie poursuivant des études sur les effets allergènes de cette moisissure. La chance voulut que des spores de penicillium notatum s’en soient échappées pour s'infiltrer dans le laboratoire de Fleming en passant par la cage d’escalier. Fleming remarque que des extraits de penicillium notatum agissent in vitro pour contrer une variété de bactéries. Ces extraits détruisent non seulement les staphylocoques, mais aussi les pathogènes responsables de la scarlatine, de la pneumonie, de la méningite et de la diphtérie. Malheureusement, Fleming n’a pas alors les moyens et les connaissances pour extraire l’ingrédient actif, la molécule, responsable de l’activité de la moisissure. Fleming laisse tomber ses recherches sur le penicillium notatum et retourne à ses travaux sur les vaccins.

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Fleming remarque que des extraits de penicillium notatum agissent in vitro pour contrer une variété de bactéries. Ces extraits détruisent non seulement les staphylocoques, mais aussi les pathogènes responsables de la scarlatine, de la pneumonie, de la méningite et de la diphtérie. Malheureusement, Fleming n’a pas alors les moyens et les connaissances pour extraire l’ingrédient actif, la molécule, responsable de l’activité de la moisissure. Fleming laisse tomber ses recherches sur le penicillium notatum et retourne à ses travaux sur les vaccins.

Oui, mais avant, il avait tout de même publié ses observations et c'est sur cette base qu'à la fin de la seconde guerre mondiale, deux chercheurs américains, ont repris des travaux sur le sujet et purifié la penicilline.
Donc je persiste et signe, La pénicilline a bien "démarré" sur un rebord de fenêtre...mon cher Watson...

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 Malheureusement, Fleming n’a pas alors les moyens et les connaissances pour extraire l’ingrédient actif, la molécule, responsable de l’activité de la moisissure. Fleming laisse tomber ses recherches sur le penicillium notatum et retourne à ses travaux sur les vaccins.
 
Oui, mais avant, il avait tout de même publié ses observations et c'est sur cette base qu'à la fin de la seconde guerre mondiale, deux chercheurs américains, ont repris des travaux sur le sujet et purifié la penicilline.
Donc je persiste et signe, La pénicilline a bien "démarré" sur un rebord de fenêtre...mon cher Watson...

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C'est seulement dix ans plus tard, en 1938, que deux autres scientifiques, Howard Florey, qui dirigent le laboratoire de pathologie de l'Université d'Oxford, et Ernst Chain, un jeune biochimiste d'origine juive, qui a fui l'Allemagne nazie, décident de s'attaquer de nouveau au problème. Après trois ans d'efforts, ils isolent assez de pénicilline relativement pure pour les premiers essais humains. Albert Alexander, un policier de 43 ans d'Oxford aux portes de la mort à cause d'une septicémie bactérienne, est le premier à en bénéficier. Après avoir été injecté avec la petite quantité de pénicilline disponible, son état s'améliore de manière radicale. Mais cela a nécessité l'utilisation de toute la pénicilline disponible. Quand l'état du policier s'aggrave à nouveau, les chercheurs extraient de l’urine du policier la pénicilline non métabolisée, la purifient et la réinjectent au patient. Encore une fois, son état s’améliore mais, éventuellement, cela ne suffit pas et Albert Alexander meurt.
Florey et son équipe se rendent compte que c’est seulement aux États-Unis qu’ils auront les moyens de mettre en œuvre la production de la pénicilline à grande échelle. En juin 1941, Florey, accompagné d'un autre biochimiste de talent, Norman Heatley, s’envole pour les États-Unis avec des échantillons de penicillium notatum. Ils établissent leur recherche à Peoria, dans l'Illinois, dans un laboratoire du ministère de l'Agriculture spécialisé dans les processus de fermentation. En quelques semaines, le laboratoire, sous la direction d'Andrew Moyer, introduit un nombre de techniques qui améliorent de manière considérable les rendements de la pénicilline. Moyer décide notamment d'utiliser, pour la fermentation, de «l'eau de maïs», un sous-produit de la préparation de l'amidon. Il remplace aussi la culture en surface de l'équipe d'Oxford par la culture en milieu submergé, beaucoup plus efficace. Mais Moyer se rend compte que ce dont il a vraiment besoin, c'est d'une souche de pénicilline plus performante. Il fait venir des échantillons du monde entier, mais, ironiquement, c'est Peoria qui lui fournit la souche recherchée. Une secrétaire du laboratoire à son heure de lunch remarque un melon moisi au marché aux fruits de Peoria. Sachant l'intérêt des chercheurs pour les moisissures, elle le ramène au laboratoire. La moisissure est identifiée comme étant du penicillium chrysogenum. Et les chercheurs découvrent qu'elle a la faculté de produire 200 fois plus de pénicilline que le penicillium notatum. À la suite de sa découverte, les chercheurs baptisent la secrétaire, Mary Hunt, «Moldy Mary» (Mary la moisissure).
Il devient dès alors possible de produire la pénicilline à l'échelle industrielle. Merck, Pfizer, Abbott et Squibb font partie d'un groupe de 21 laboratoires pharmaceutiques qui se partagent la tâche. En l'espace de quelques années, la production de pénicilline passe de bouteilles individuelles d'un litre et à des rendements de 0,0001% à des cuves de 50 000 litres et à des rendements de 90%. D'abord réservée à l'effort militaire, la pénicilline devient disponible à grande échelle à la fin des années 1940.
Depuis, la pénicilline –et ses dérivés– a sauvé la vie de millions de personnes. C’est grâce, bien sûr, à Alexandre Fleming, mais aussi à Howard Florey, Ernst Chain, Norman Heatley, Andrews Moyer, Mary Hunt et d'innombrables chercheurs en Grande-Bretagne et aux États-Unis.

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OK je note qu'à la boîte de Petri au rebut, il faut ajouter un melon pourri. Very Happy

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octave a écrit:
 il faut ajouter un melon pourri. Very Happy
Octave!.... arrêtes de parler comme un gamin!.Razz:geek:(humour! lol)
Carton rouge!, Je sors!.

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