Invité Posté(e) le 24 février 2010 sans craintes pour les enfants , ou les ames sensibles , il n'y a pas d' images sanglantes , pour le plus grand réspect de tous : merci de lire le texte ci-dessus : Chien appât pour la pêche au requin à l'Ile de La Réunion Le 5 novembre 2005, un nouveau chien est retrouvé sur le front de mer de Sainte-Marie, celui-ci avait un hameçon enfoncé profondément dans la babine. Les bénévoles de l'association protectrice des animaux ( SPA ) ont soigné la chienne et ils envisagent de déposer plainte pour acte de cruauté envers animaux. Photos journal de L'île 29 juillet 2005, un chiot est découvert avec un hameçon entre le museau et la babine un autre planté dabs la patte. 26 septembre 2003, un croisé Labrador regagnait le domicile de son maître avec des hameçons encore accrochés aux babines. A l’époque, l’affaire avait défrayée la chronique. Et grâce à la mobilisation de la Société protectrice des animaux (SPA), l’auteur de cet odieux dessein avait pu être identifié et condamné par les tribunaux. Une peine symbolique de trois mois de prison avec sursis plus une amende de près de 500 euros pour acte de cruauté. La pêche aux requins est pratiquée par des petits pêcheurs et à la pêche aux gros, les requins n’hésitent pas à croquer dans les bonites que leur envoient les pêcheurs. La pêche au requin avec appâts vivants existe à la Réunion, même si ce genre de pratique est marginale. Pêche cruelle La technique de pêche au requin en utilisant des chiens comme appât commence à être bien connue. Elle est rarement le fait de pêcheurs professionnels, mais plutôt d’amateurs alimentant un marché parallèle du squale mangeur d’homme. Le plus souvent, le pêcheur ramasse un chien mort, ce qui n’est pas bien difficile à trouver sur les routes réunionnaises, ou bien se sert parmi les chiens errants de son quartier, qui eux aussi sont légion. En bord de mer, à la tombée de la nuit, le chien est “préparé”, c’est-à-dire percé d’hameçons de bonne taille en plusieurs endroits et relié à une corde. L’animal est ensuite installé sur une planche attachée à une bouée. À l’aide d’un canot, le pêcheur amène son appât à une centaine de mètres du large et l’abandonne là pour la nuit, bien lesté pour que l’appât ne dérive pas. S’il ne dispose pas de canot, le pêcheur pousse l’embarcation de fortune vers le large, équipé d’une chambre à air de pneu gonflée, grâce à laquelle il pourra regagner la côte, toujours à la nage. Le pêcheur rentre ensuite chez lui, et laisse la nuit passer. Au petit jour, il vient “relever” son piège en tirant la corde. Si la technique a fonctionné, le requin est au bout. Sinon... L’avantage de cette pêche est que son auteur est très rarement repéré par les forces de l’ordre. Au pire, les gendarmes ou les pêcheurs tombent sur un chien seul, abandonné au milieu de l’océan. Le pêcheur au chien, lui, dort sur ses deux oreilles. Il est très important de montrer que les Réunionnais ne sont pas des sauvages, des tueurs de chiens ou de chats” martèle Sarah Delavergne, inspectrice de la fondation Brigitte-Bardot à la Réunion. “Il est révoltant de constater que quelques braconniers peuvent nuire à ce point à la réputation de l’île et des Réunionnais[u][u Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
latitebossdu21 0 Posté(e) le 1 mars 2010 j'ai deja vu plusieurs petition a ce sujet ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites