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mukiray

liste de maladie et traitement pour y remedier

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Colibacillose
Le colibacille est une bactérie en forme de bâtonnet qui se trouve à
l'état normal dans le tube digestif des animaux et de l'homme; il peut
devenir pathogène, donc dangereux, parfois mortel, chez des oiseaux
affaiblis, carencés, mal nourris. Il provoque chez les jeunes oiseaux
des abcès volumineux au niveau des oreilles (coligranulomatose).
Symptômes : toux, éternuements, diarrhées.
Traitement: Faire faire un antibiogramme par le vétérinaire, qui prescrira les antibiotiques adéquats.
Coccidiose
Trois sont distinguées :

  1. Coccidiose cæcale hémorragique
  2. Coccidiose intestinale aiguë
  3. Coccidiose duodénale

Sur un plan général, la coccidiose aviaire est une infection
parasitaire grave de l'intestin que l'on rencontre dans toutes les
régions du globe. En dépit des progrès qu'a amenés la chimiothérapie,
la coccidiose demeure un problème majeur auquel les tous les détenteurs
d'oiseaux doivent faire face.
Très courante et souvent mortelle en
cas de non-traitement rapide, cette maladie, due à la présence de
parasites microscopiques (protozoaires du genre Isospora, se manifeste par une diarrhée plus ou moins sanglante, un amaigrissement, des plumes ébouriffées.
Les coccidies sont des protozoaires unicellulaires microscopiques,
considérés comme étant spécifiques aux espèces, ce qui signifie que les
coccidies des merles ne peuvent infester les pinsons et vice-versa. La
gravité de l'infection est proportionnelle au nombre d'ookystes
infectieux ingérés. Les oiseaux les plus sensibles sont surtout ceux
dont l'état nutritionnel est faible, ou encore ceux qui sont atteints
de conditions immunosuppressives telles la maladie de Marek ou une
infection de la bourse de Fabricius. Dès son ingestion, l'ookyste
débute son cycle de vie dans la muqueuse intestinale ou paroi interne,
provoquant ainsi des dommages cellulaires. Selon l'espèce en cause, les
ookystes sont rejetés avec les fèces dans un intervalle de quatre ou
huit jours.
Leur incubation de douze ou même trente heures dans un environnement
humide et à des températures qui varient entre 20 et 30 oC permet la
sporulation des ookystes qui deviennent alors infectieux. C'est la
raison pour laquelle les oiseaux élevés à l'extérieur seront plus
sensibles à l'infection au printemps et en été. Dans un élevage en
claustration totale, la maladie peut toutefois se manifester en tout
temps.
Agent pathogène ou Vecteur : protozoaire du genre Isospora.
Symptômes :
Quoique les jeunes oiseaux âgés de quelques jours puissent être
affectés, la coccidiose se manifeste rarement avant l'âge de deux
semaines. Les sujets adultes qui n'ont pas été exposés à la maladie
demeurent susceptibles de la contracter mais développent une certaine
résistance ou immunité, lorsque défiés par la présence limitée mais
continue des organismes en cause. Les oiseaux touchés d'une infection
clinique sont pâles, affaissés, amaigris, ils ont des plumes hérissées
et des fientes teintées de sang ou présentent une diarrhée plus ou
moins sanglante.
Contagiosité : très
contagieuse par les contacts avec les déjections des oiseaux atteints.
Dans un sol à l'abri du soleil, les ookystes peuvent survivre plus d'un
an. Leur survie de même que leur pouvoir infectieux seront favorisés
par les conditions d'humidité élevée fréquemment rencontrées aux
environs des abreuvoirs et des lieux de bains des oiseaux. Le
transport d'oiseaux infectés peut amener les organismes sur de longues
distances. Un équipement malpropre, des cages de transport et des
chaussures souillées sont tout autant de formes possibles de
transmission de la maladie. À cause de leur taille, on ne croit pas que
les ookystes puissent être transportés par les poussières ou par les
particules en suspension dans l'atmosphère.
Immunité
: On a déjà cru que les oiseaux immunisés contre la coccidiose
conservaient leur résistance à cette maladie pour toute leur vie. Ce
n'est pourtant pas le cas et on a maintenant la preuve que l'immunité,
qui n'est que temporaire, ne peut être maintenue que grâce à
l'exposition répétée aux coccidies. À moins qu'ils ne passent leur vie
dans une cage à fond grillagé, les oiseaux qu'on élève devraient être
immunisés contre les coccidies. Il existe plusieurs façons de leur
donner cette immunité. L'oiseau peut acquérir une immunité naturelle
par l'ingestion d'un nombre réduit d'ookystes infectieux. Les ookystes
rejetés après un premier cycle de vie assurent la continuité de
l'exposition et renforcent ainsi le développement de l'immunité. Il
s'agit là de la méthode idéale pour immuniser les oiseaux élevés sur le
sol.
Traitement : La sulfaquinoxaline,
la sulfaméthazine ou une combinaison des deux sont utilisées de
préférence dans l'eau, quoiqu'elles puissent être ajoutées à la
nourriture. Comme elles sont vendues en concentrations variables, on
doit toujours vérifier les directives inscrites sur l'emballage afin
d'appliquer la dose prescrite. Des précautions supplémentaires
s'imposent lorsqu'on utilise ces drogues dans l'eau par temps chaud, la
consommation accrue d'eau pouvant alors mener à une toxicité aux
sulfamides.
Les coccidiostats semblent demeurer efficaces pendant
deux ou quatre ans. Comme différents produits entrent régulièrement sur
le marché, les amateurs devraient d'abord se renseigner sur ceux
d'entre eux ayant été reconnus comme les meilleurs. Le vétérinaire
prescrira des anticoccidiens comme le S-Mez à 16%, très efficace.
Prophylaxie :
Tel que mentionné précédemment, les ookystes ont besoin d'humidité, de
chaleur et de temps pour développer leur pouvoir infectieux. Ainsi, on
devrait s'occuper sans tarder des endroits humides ou mouillés, dans
les volières ou autour des abreuvoirs. Le recouvrement du sol souillé
et humide devrait être retiré et remplacé rapidement. On recommande
fortement de toujours procéder au nettoyage rigoureux des cages et des
volières pour éviter que les coccidioses ne résultent en une mortalité
importante. Assurez-vous de garder vos cages et volières dans un état de propreté parfaite.

Foie (maladies)


L’abdomen présente parfois une zone brun-violet sur le côté droit,
l'oiseau perd son appétit, devient triste, et le plumage est terne. Il
est conseillé de donner quelques gouttes d'un draineur hépatique.
Éviter les régimes trop riches en graisses ou en huiles qui provoquent
la dégénérescence graisseuse du foie.
Bronchite
L’oiseau est triste et abattu, il respire difficilement et garde le
bec entrouvert, il halète. Peut être causée par des mycoplasmes (PPLO).
S'il y a aggravation, faire effectuer des aérosols à l'oxygène par le
vétérinaire. Ces symptômes doivent faire également penser à
l'aspergillose.
IL EN A ENCORE MAIS JE SAIS PAS TOUT METTRE Y A BEAUCOUP SI VOUS AVEZ BESOIN D UNE PRÉCISION PAR RAPPORT A UNE MALADIE DITES LE.
TENEZ LE SITE C EST MEIUX http://aob.be/petit_vademecum_maladies_oiseaux.html#A

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