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Dakota1111

Les dix commandements de votre animal domestique

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J'ai trouvé ce texte sur un autre forum très beau , très émouvant et si réel

J’aime les humains et voici les 10 règles de base à suivre pour que je sois heureux!

1- Ma vie a une durée de 10 à 15 ans. Chaque fois que je suis séparé de vous, je souffre.

2- Donnez-moi du temps pour comprendre ce que vous voulez de moi, ne brisez pas ma personnalité avec votre tempérament, en me criant après ou en me frappant. Votre patience sera beaucoup plus efficace.

3- S.V.P., faites-moi opérer pour ne pas avoir de chaleur et vous taper sur les nerfs!

4- Traitez-moi gentiment, mon maitre bien-aimé. Aucun cœur au monde ne peut vous aimer plus que moi! Ne soyez pas fâché contre moi longtemps et surtout ne m’enfermez jamais pour me punir. Après tout, vous avez vos amis, votre travail et vos divertissements dans la vie. Moi, j’ai VOUS seulement!

5- Parlez-moi souvent, même si je ne comprends pas ce que vous dites, je reconnais votre voix qui est le son le plus doux à mes oreilles. Vous pouvez même voir mon enthousiasme à chacun de vos sons!

6 – Entrez-moi à la maison quand il fait froid ou s’il pleut. Je suis un animal domestiqué et mon corps n’est plus conditionné aux climats extrêmes.

7- Donnez-moi de la bonne nourriture pour que je puisse rester en forme et jouer. À vos côtés, je me tiens prêt à vous divertir et à vous aimer inconditionnellement ainsi que de partager ma vie entière avec vous!

8- Ne me frappez jamais! Souvenez-vous que j’ai des dents ou des griffes pouvant facilement vous blesser que je n’ai jamais utilisées contre vous!

9- Avant de vous choquer parce que je suis paresseux et que je ne bouge pas beaucoup, demandez-vous si je vais bien ou s’il y a quelque chose qui me dérange. Peut-être que vous ne me donnez pas la bonne nourriture et les soins appropriés?

10- Faites attention à moi quand je serai vieux, vous allez vieillir aussi! Quand je serai vieux et que ma santé se détériorera, ne vous acharnez pas à me laisser vivre, car je ne m’amuse plus et je souffre!

Faites plutôt confiance à une personne qui prendra ma vie d’une façon douce.

Surtout, soyez présent lors de cette journée difficile.
Quand il sera le temps de se dire au revoir, ne vous dites jamais – je ne serai pas capable de le regarder mourir et de subir cette épreuve – tout est toujours plus facile pour moi quand vous êtes présent et que je peux vous voir.

Je vais quitter cette terre et lors de mon dernier souffle, vous serez la dernière personne que je verrai. Je veux mourir avec la certitude que ma vie était douce et en sécurité entre vos mains.

Merci mon maitre chéri!♥

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Je trouves ça super emouvant ! Et tellement vraie !
bien trouvé Dakota ^^

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C'est très chouette. Émouvant.
Il y a une lettre ("lettre à mon maître", je crois), aussi, qui a circulé fut un temps, que j'aimais beaucoup mais je ne la retrouve pas.
Il y en a une également sur le site de La légende du Loup Blanc.

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pour cette lettre la non merci car elle est tellement emouvante mais malheureusement tellement vraie que je peux la lire en entier.par contre ses dix commandements sont tres biens mais un peu émouvant aussi.moi les dix commandements que j'avais ecris pour ma chienne CHERKANE sont beaucoup plus gais.

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OUKIOK a écrit:
pour cette lettre la non merci car elle est tellement emouvante mais malheureusement tellement vraie que je peux la lire en entier.

Elle est très dure, en effet.

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merci de nous avoir fait partagé ce texte très émouvant

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CocoMala a écrit:
C'est très chouette. Émouvant.
Il y a une lettre ("lettre à mon maître", je crois), aussi, qui a circulé fut un temps, que j'aimais beaucoup mais je ne la retrouve pas.
Il y en a une également sur le site de La légende du Loup Blanc.

lettre a mon maitre c pas une video????? Car si c est le cas et que tu la retrouve dit bien a tout le monde de mettre ces mouchoirs

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Cindy a écrit:
CocoMala a écrit:
C'est très chouette. Émouvant.
Il y a une lettre ("lettre à mon maître", je crois), aussi, qui a circulé fut un temps, que j'aimais beaucoup mais je ne la retrouve pas.
Il y en a une également sur le site de La légende du Loup Blanc.

lettre a mon maitre c pas une video????? Car si c est le cas et que tu la retrouve dit bien a tout le monde de mettre ces mouchoirs


Cindy prépare tes mouchoirs



Et le texte en prime

Lettre à mon maître

Ce matin, tu étais déjà debout, tu faisais les bagages. Tu as pris ma laisse. Que j'étais content ! Une petite promenade avant les vacances !

On est parti en voiture. Tu t'es arrêté au bord de la route, la portière s'est ouverte, tu m'as lancé un bâton... J'ai couru, couru, je l'ai attrapé... Mais quand je me suis retourné, tu n'étais plus là, pris de panique, j'ai couru dans tous les sens pour retrouver, mais ce fût en vain !

De jour en jour, je m'affaiblissais. Un homme s'est approché de moi, m'as mis une laisse et je me suis retrouvé en cage. C'est là que j'ai attendu ton retour, mais tu n'es jamais venu. la cage s'est ouverte mais ce n'était pas toi. C'était cet homme qui m'avait ramassé. Il m'a conduit dans une pièce qui sentait la mort. Mon heure est venue...

Cher maître, je veux que tu saches que malgré ce que tu m'as fait, c'est ton image qui me revenait avant mon dernier soupir et si je pouvais revenir sur terre, c'est vers toi que je courrais, car je t'aimais.


Il y a aussi celle-ci

LETTRE A MON MAITRE

"Comment est-ce possible ?
Quand j'étais un chiot, je vous ai amusés avec mes cabrioles et vous ai fait rire.
Vous m'avez appelé votre enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés, je suis devenu votre meilleur ami.
Toutes les fois que j'étais méchant, tu agitais ton doigt vers moi et me demandais "Comment peux-tu ?" mais après on s'amusait ensemble.
Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu, parce que vous étiez terriblement occupés, mais nous y avons travaillé ensemble.
Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets, et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite.
Nous avons partagé de longues promenades et courses dans le parc, promenades en voiture, arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu le cornet parce que "la glace est mauvaise pour les chiens" comme tu disais), et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison.
Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et tu t'es concentré sur ta carrière, et plus de temps à chercher un compagnon humain.
Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé après chaque déchirement de cœur et déceptions, ne t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer, et puis tu es tombé amoureux.
Elle, maintenant ta femme, n'est pas une « personne chien » mais je l'ai accueillie dans notre maison, essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi.
J'étais heureux parce que tu étais heureux.
Ensuite les bébés humains sont arrivés et j'ai partagé votre excitation.
J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi.
Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser, et j'ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce, ou dans une niche.
Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour".
Quand ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami.
Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes, ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles, et m'ont donné des baisers sur le nez.
J'aimais tout d'eux et leurs caresses parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était.
J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis et rêves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée.
Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien et qu'ils te demandaient une photo de moi, tu en avais une à leur montrer dans ton portefeuille et tu leur racontais des histoires à mon propos.
Ces dernières années tu répondais "juste oui" et changeais de sujet.
Je suis passé du statut de "ton chien" à "seulement un chien" et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi.
Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville, et vous allez déménager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers.
Tu as fait le bon choix pour ta "famille", mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille.
J'étais excité par la promenade en voiture jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux.
Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir.
Tu as rempli la paperasserie et tu as dit "je sais que vous trouverez une bonne maison pour lui".
Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé.
Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec "des papiers".
Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il criait "Non, Papa ! S'il te plaît, ne les laissez pas prendre mon chien !"
Et je me suis inquiété pour lui, quelles leçons lui avez-vous apprises à l'instant, au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour et de la responsabilité, et au sujet du respect pour toute vie.
Tu m'as donné un «au revoir caresse» sur la tête, tu as évité mes yeux, et tu as refusé de prendre mon collier avec vous.Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois et rien fait pour me trouver une autre bonne maison.
Elles ont secoué leurs têtes et ont dit "Comment est-ce possible ?"
Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés ne le leur permet.
Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours.
Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c'était toi, que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve.
Ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver.
Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention, je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu.
J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journée, et je piétinais le long de l'allée jusqu'à une pièce séparée.
Une pièce heureusement tranquille.
Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m'a dit de ne pas m 'inquiéter.
Mon cœur battait d'anticipation à ce qui était à venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement.
Le «prisonnier de l'amour» avait survécu à travers les jours.
Comme c'est dans ma nature, je me suis plus inquiété d'elle.
Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connais votre humeur chaque jour.
Elle a placé un lien doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue.
J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d'années.
Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine.
Quand j'ai senti le dard et les liquides se répandre à travers mon corps, je me suis assoupi, l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré "Comment as-tu pu ?"
Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit "je suis si désolée".
Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail de s'assurer que j'aille à une meilleure place où je ne serais pas ignoré ou abusé ou abandonné, ou aurais à pourvoir moi-même à mes besoins, une place remplie d'amour et de lumière très différente de cet endroit.
Et avec mes dernières énergies, j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue que mon "Comment as-tu pu ?" n'était pas dirigé contre elle.
C'était à toi, mon maître bien-aimé, que je pensais.
Je penserai à toi et t'attendrai à jamais.
Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté.



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Désolée Dakota je n'ai pu lire que 3lignes de "lettre a mon maître"... No

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Dryade a écrit:
Désolée Dakota je n'ai pu lire que 3lignes de "lettre a mon maître"... No


Ce n'est pas grave Julie ,c'est compréhensible , ce texte n'est pas facile à lire même pour moi.

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Dakota a écrit:
Cindy a écrit:
CocoMala a écrit:
C'est très chouette. Émouvant.
Il y a une lettre ("lettre à mon maître", je crois), aussi, qui a circulé fut un temps, que j'aimais beaucoup mais je ne la retrouve pas.
Il y en a une également sur le site de La légende du Loup Blanc.

lettre a mon maitre c pas une video????? Car si c est le cas et que tu la retrouve dit bien a tout le monde de mettre ces mouchoirs


Cindy prépare tes mouchoirs



Et le texte en prime

Lettre à mon maître

Ce matin, tu étais déjà debout, tu faisais les bagages. Tu as pris ma laisse. Que j'étais content ! Une petite promenade avant les vacances !

On est parti en voiture. Tu t'es arrêté au bord de la route, la portière s'est ouverte, tu m'as lancé un bâton... J'ai couru, couru, je l'ai attrapé... Mais quand je me suis retourné, tu n'étais plus là, pris de panique, j'ai couru dans tous les sens pour retrouver, mais ce fût en vain !

De jour en jour, je m'affaiblissais. Un homme s'est approché de moi, m'as mis une laisse et je me suis retrouvé en cage. C'est là que j'ai attendu ton retour, mais tu n'es jamais venu. la cage s'est ouverte mais ce n'était pas toi. C'était cet homme qui m'avait ramassé. Il m'a conduit dans une pièce qui sentait la mort. Mon heure est venue...

Cher maître, je veux que tu saches que malgré ce que tu m'as fait, c'est ton image qui me revenait avant mon dernier soupir et si je pouvais revenir sur terre, c'est vers toi que je courrais, car je t'aimais.


Il y a aussi celle-ci

LETTRE A MON MAITRE

"Comment est-ce possible ?
Quand j'étais un chiot, je vous ai amusés avec mes cabrioles et vous ai fait rire.
Vous m'avez appelé votre enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés, je suis devenu votre meilleur ami.
Toutes les fois que j'étais méchant, tu agitais ton doigt vers moi et me demandais "Comment peux-tu ?" mais après on s'amusait ensemble.
Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu, parce que vous étiez terriblement occupés, mais nous y avons travaillé ensemble.
Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets, et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite.
Nous avons partagé de longues promenades et courses dans le parc, promenades en voiture, arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu le cornet parce que "la glace est mauvaise pour les chiens" comme tu disais), et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison.
Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et tu t'es concentré sur ta carrière, et plus de temps à chercher un compagnon humain.
Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé après chaque déchirement de cœur et déceptions, ne t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer, et puis tu es tombé amoureux.
Elle, maintenant ta femme, n'est pas une « personne chien » mais je l'ai accueillie dans notre maison, essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi.
J'étais heureux parce que tu étais heureux.
Ensuite les bébés humains sont arrivés et j'ai partagé votre excitation.
J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi.
Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser, et j'ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce, ou dans une niche.
Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour".
Quand ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami.
Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes, ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles, et m'ont donné des baisers sur le nez.
J'aimais tout d'eux et leurs caresses parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était.
J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis et rêves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée.
Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien et qu'ils te demandaient une photo de moi, tu en avais une à leur montrer dans ton portefeuille et tu leur racontais des histoires à mon propos.
Ces dernières années tu répondais "juste oui" et changeais de sujet.
Je suis passé du statut de "ton chien" à "seulement un chien" et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi.
Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville, et vous allez déménager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers.
Tu as fait le bon choix pour ta "famille", mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille.
J'étais excité par la promenade en voiture jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux.
Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir.
Tu as rempli la paperasserie et tu as dit "je sais que vous trouverez une bonne maison pour lui".
Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé.
Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec "des papiers".
Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il criait "Non, Papa ! S'il te plaît, ne les laissez pas prendre mon chien !"
Et je me suis inquiété pour lui, quelles leçons lui avez-vous apprises à l'instant, au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour et de la responsabilité, et au sujet du respect pour toute vie.
Tu m'as donné un «au revoir caresse» sur la tête, tu as évité mes yeux, et tu as refusé de prendre mon collier avec vous.Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois et rien fait pour me trouver une autre bonne maison.
Elles ont secoué leurs têtes et ont dit "Comment est-ce possible ?"
Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés ne le leur permet.
Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours.
Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c'était toi, que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve.
Ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver.
Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention, je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu.
J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journée, et je piétinais le long de l'allée jusqu'à une pièce séparée.
Une pièce heureusement tranquille.
Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m'a dit de ne pas m 'inquiéter.
Mon cœur battait d'anticipation à ce qui était à venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement.
Le «prisonnier de l'amour» avait survécu à travers les jours.
Comme c'est dans ma nature, je me suis plus inquiété d'elle.
Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connais votre humeur chaque jour.
Elle a placé un lien doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue.
J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d'années.
Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine.
Quand j'ai senti le dard et les liquides se répandre à travers mon corps, je me suis assoupi, l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré "Comment as-tu pu ?"
Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit "je suis si désolée".
Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail de s'assurer que j'aille à une meilleure place où je ne serais pas ignoré ou abusé ou abandonné, ou aurais à pourvoir moi-même à mes besoins, une place remplie d'amour et de lumière très différente de cet endroit.
Et avec mes dernières énergies, j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue que mon "Comment as-tu pu ?" n'était pas dirigé contre elle.
C'était à toi, mon maître bien-aimé, que je pensais.
Je penserai à toi et t'attendrai à jamais.
Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté.




Moi c est la vieo au texte que tu as ecrit que j ai vue ! d ailleurs il n y avait pas de parole mais que des images avec texte.
La video que tu as mise est tres triste aussi !!!!
Je l ai pas regardé a fond car pleuré a 7h du mat voilà koi ! lol

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pas facile de tout lire,
mais c'est malheureusement la vies de trop d'animaux dit de compagnie.... confused

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Wahhh...
Je n'avais jamais vu cette vidéo. Et je n'ai d'ailleurs pas pu la visionner jusqu'au bout.
C'est bien ce texte que j'ai déjà lu. J'ai été très bouleversée par son contenu!
Mais alors là, texte dit par l'homme pendant la vidéo, c'est horrible.
Malheureusement, ça arrive bien trop souvent ...

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