Chatipi : la solution One Voice pour les chats sans-abri

[Tigron 0]

Enquête :

la vie sans espoir des chats sans abri

La situation des chats sans abri en France est dramatique. Une enquête de deux mois réalisée par One Voice en atteste. Vilipendés par la société, ces chats sont confrontés aux pires difficultés pour survivre et sont traqués aujourd’hui comme des « animaux nuisibles ».

Les faits sont sans équivoque. Alors que le chat est l’animal de compagnie préféré des Français, il est aussi l’animal le moins considéré : si plus de huit millions d’entre eux ont pris place dans nos foyers, ils seraient presque autant à errer misérablement dans les rues, sans abri. Aussi incroyable que cela puisse paraître, c’est la triste réalité à laquelle notre enquêteur a été confronté au cours de son investigation. Épaulé par une dizaine de structures spécialisées dans la protection des chats sans abri, il a parcouru pendant deux mois la ville comme la campagne, les usines désaffectées comme les cités sur les traces des chats errants en France. Quel que soit le lieu, la même désolation.

Liberté égale galère
Le chat sans abri, que l’on pourrait croire « libre » et heureux, est en réalité un animal « triste », pétrifié par la peur, souvent malade, toujours sur le qui-vive et dont les seuls buts de la journée sont de trouver sa nourriture et un abri pour se cacher. Comme le montrent les images que notre enquêteur a rapportées, en ville les chats se terrent sous les voitures, dans des vide-sanitaires souvent insalubres, des caves où parfois ils restent enfermés ou emmurés vivants. Hors de la cité, ils se réfugient dans des sites désaffectés ou sous des abris de fortune, une vieille bâche, des tôles abandonnées. Pour se nourrir, les plus chanceux ont droit à des repas préparés par des associations et disposés çà et là. Les autres font les poubelles, sont condamnés à se mettre en chasse ou à se contenter d’un peu d’eau boueuse lapée dans une flaque. La dégradation de leurs conditions de vie est cause de nombreuses maladies. Poil terne, sale, pelage hérissé, yeux purulents sont souvent les manifestations, entre autres, du coryza, de la gale des oreilles, de la teigne ou encore du sida du chat. Un chat sans abri est en effet mille fois plus exposé à la maladie qu’un chat domestique.

Objets de violence
Autre aspect du peu de considération des chats dans notre société : la cruauté avec laquelle ils sont traités. Notre enquêteur a rapporté nombre d’exemples de chats martyrisés par les adultes comme les enfants. En la matière, l’imagination est diabolique à l’instar de ce « jeu de l’hélicoptère » consistant à attraper un chat par la queue et à le faire tourner jusqu’à rupture de celle-ci. Chats des villes ou chats des champs, ils sont pareillement les exutoires d’une violence extrême allant des jets de pierre, au coup de fusil ou à l’empoisonnement pour les uns, à l’écartèlement sur une poubelle avec du scotch, aux taillades à coups de cutter ou aux mises à feu pour les autres. Leur prolifération, est aujourd’hui considérée par une large partie de la population et des municipalités comme une nuisance à laquelle l’euthanasie massive est la seule réponse. Cet état de fait est pourtant le fruit de l’irresponsabilité des propriétaires de chats et de l’inaction des pouvoirs publics. Pour un chat stérilisé combien d’autres ne le seront jamais ?

Sauver les chats
Un autre destin pour ces « compagnons de vie » est pourtant possible. Des expériences menées conjointement par des associations de protection des chats sans abri, des bailleurs et des municipalités ont permis d’instaurer une cohabitation paisible et harmonieuse tout en régulant le nombre de chats. C’est le cas de l’École du Chat de Poitiers (ecoleduchat.poitiers.free.fr/) ou l’École du Chat Val d’Yerres et de Seine (www.chatlibre.org/) en région parisienne que notre enquêteur a pu visiter. Mieux, le chat est au centre de projets pédagogiques ou vecteur de lien social. C’est dans cet esprit qu’a été conçu « Chatipi », un projet porté par One Voice dans le cadre d’une vaste campagne destinée à réhabiliter le chat au sein de la société et à le préserver de la vie misérable décrite dans les deux vidéos



ICI Vidéo 1
ICI vidéo 2

Source : http://www.onevoice-ear.org/fr/

[titcoincoin 0]

C'est terrible
Si déjà la stérilisation et la castration, la responsabilité des maîtres&maitresses des chats étaient courants, les chats seraient plus heureux :69:

[Popiette11 0]

J'ai également reçu la revue One Voice et été très triste de ce reportage. Avoir un petit animal chez soit, qu'est-ce que c'est : un peu d'alimentation, normal, des bons soins, normal, mais surtout, de l'amour, beaucoup d'amour, une présence bienfaisante.
Une maison sans animaux est pour moi une maison sans âme. Je ne pourrais jamais vivre sans.
Parfois on dit, je ne peux pas prendre de chat car c'est petit chez moi, mais ces pauvres bêtes dans la rue, elles aimeraient un petit coin douillet elles, elles ne demandent pas grand chose.

[Invité]

Sa prend pas de place un chat !
j'ai eu ma première minette dans un studio ? j'avais mi une planche en dessous de la fenêtre
tout les jours les enfants regarde ma minette ....

[Popiette11 0]

florline a écrit:

Sa prend pas de place un chat !
j'ai eu ma première minette dans un studio ? j'avais mi une planche en dessous de la fenêtre
tout les jours les enfants regarde ma minette ....

C'est vrai ce que tu dis, une petite boule de poils qui se met dans un coin, qui ne fait même pas de bruit, franchement...c'est que du bonheur.

[titcoincoin 0]

C'est sûr qu'une petite boule de poils c'est beaucoup de bonheur pour de moindres contraintes.
Un petit nid douillet vaut mieux qu'un grand fracas dehors :69:

[Popiette11 0]

titcoincoin a écrit:

C'est sûr qu'une petite boule de poils c'est beaucoup de bonheur pour de moindres contraintes.
Un petit nid douillet vaut mieux qu'un grand fracas dehors :69:

[Tigron 0]

Source : http://www.one-voice.fr/fr/article/chatipi-la-solution-one-voice-pour-les-chats-sans-abri



Chatipi : la solution One Voice pour les chats sans-abri

Alors que One Voice publie un rapport en forme de cri d’alarme sur la dramatique situation des chats sans-abri en France, l’association propose aussi une solution originale et globale visant à régler le problème des chats jetés à la rue. Avec le programme Chatipi, les chats délaissés, en particulier, retrouvent dignité, et les félidés, en général, sont réhabilités dans notre société.

La détresse des chats sans-abri, abandonnés ou nés dans la rue, n’est plus à démontrer. Dans son enquête réalisée début 2010, objet d’un rapport, One Voice a fait état de la vie misérable à laquelle les chats délaissés, toujours plus nombreux, sont condamnés. Pour mettre un terme à ce traitement indigne d’un compagnon de longue date, One Voice a imaginé Chatipi, un vaste programme de réhabilitation du chat dans notre société, conciliant lieu d’accueil et programme d’éducation.

Original

Chatipi c’est en effet plus qu’un espace de nourrissage et de soins pour tous les chats errants. Les tipis, constructions écologiques et durables, évoquant le cercle qui unit, composent une infrastructure où humains et chats renouent le contact. Installés dans des espaces publics, tels que maisons de retraite et hôpitaux notamment, les Chatipis sont des lieux d’éducation et d’information. Les écoles y sont accueillies et découvrent le monde des chats dans le cadre de programmes pédagogiques et à travers les contes. Ils sont aussi un lieu de rencontre et de partage favorisant la mixité générationnelle et sociale. À travers le chat, c’est tout un univers de douceur, de tendresse et de jeu qui réunit des générations ou des milieux différents.
Contrairement à ce que beaucoup pensent, de par sa nature et ses comportements le chat est source d’enseignements et vecteur de lien. Cette richesse est en partie à l’origine du concept Chatipi conçu avec la collaboration de Nathalie Simon, vétérinaire comportementaliste, spécialiste de la relation homme/animal de compagnie.

Global

L’originalité du projet réside également dans la réponse globale au problème des chats sans-abri dont l’origine est à chercher du côté de la déconsidération dont pâtit le chat, en général, depuis le Moyen-Âge. One Voice est convaincue que seul un changement de regard de la collectivité tout entière permettra de réhabiliter les félidés auprès des humains. Le concept Chatipi met donc en œuvre un partenariat tripartite au cœur duquel les pouvoirs publics –départements, municipalités, etc.-, et les bailleurs ont un rôle à jouer aux côtés des associations. La mise à disposition de l’espace dédié est un prérequis minimum. Le milieu associatif assure quant à lui, en lien avec les autorités de l’établissement d’accueil, la gestion quotidienne des Chatipis, allant des soins, du traitement des maladies en passant par la vaccination et la stérilisation en partenariat avec les services vétérinaires affiliés. Les associations animent également le lieu et sont les interlocuteurs privilégiés de tous ceux qui souhaitent découvrir ce merveilleux compagnon.

Coup d’envoi

Aujourd’hui, One Voice met à la disposition des municipalités et des bailleurs qui le souhaitent un projet clef en main permettant non seulement de réguler efficacement la prolifération des chats sans-abri mais aussi de leur redonner la dignité et le respect qu’ils méritent. La première réalisation est en cours d’étude et servira de modèle pour le déploiement du concept sur tout le territoire national. Son ouverture sera accompagnée d’une vaste campagne d’information destinée à changer durablement le regard porté sur celui que beaucoup considèrent comme l’animal de compagnie préféré des Français. Avec Chatipi, One Voice agit pour que « liberté » ne rime plus avec « galère » pour tous les chats abandonnés ou nés dans la rue.



Clic sur l'image pour voir le rapport

[Popiette11 0]

j'espère que cet article sera lu et relu... et surtout, suivant la possibilité, mis en pratique.

[Tigron 0]

[Tigron 0]

[Popiette11 0]

Heureusement qu'il y a des personnes comme ça, pour s'occuper de toutes ces pauvres bêtes.
Si nous en avons la possibilité, aidons les.

[Tigron 0]

Voici quelque rapport très intéressants a lire

http://www.one-voice.fr/sites/default/files/Rapport_ChatsSansAbris_2010_4e.pdf

http://www.one-voice.fr/sites/default/files/chatsNathalieSimon.pdf

http://www.one-voice.fr/fr/printpdf/127205

[Popiette11 0]

Terrible à lire... et horriblement vrai. merci à toutes ces associations ONE VOICE etc... à eux je donne car je sais que l'argent vraiment pour ces pauvres bêtes.

[maïté08 0]

[Invité]

je suis désolée mais je n'ai pas pu lire le rapport jusqu'au bout ........

[Tigron 0]

Je me doute Mamaya

la réalité est effroyable, ce rapport démontre la cruauté des humains envers ses animaux, non pas des humains des tortionnaires.

[Popiette11 0]

Ça m'a fichu le moral à zéro, en plus j'ai appris ce matin que le petit chat qui avait disparu a été retrouvé mort devant chez ses maîtres ... j'en ai pleuré.
J'ai appris aussi par un petit garçon (le fils du gardien du collège, au bout de ma rue) que des sales gamins avaient poursuivi mon chat caruso, en lui balançant des boules de neige, le pauvre, il est rentré vite fait, mais n'ose plus du tout sortir... quelle bande de sales mômes. Qu'est-ce que ça donnera ça plus tard, d'être méchants tous jeunes !

[Tigron 0]

plus tard des voyous, qui écraserons tout ce qui bouge.

les jeune ont de la haine quand ils ne savent quoi faire de leur journée.

[Popiette11 0]

Tigron a écrit:

plus tard des voyous, qui écraserons tout ce qui bouge.

les jeune ont de la haine quand ils ne savent quoi faire de leur journée.

Plus le temps passe, plus j'aime les animaux, moins j'aime les gens. pas tous bien sûr, heureusement qu'il y a des personnes comme nous avec des valeurs, sinon, il n'y aurait plus qu'à se fiche en l'air.

[Invité]

Popiette a écrit:

Ça m'a fichu le moral à zéro, en plus j'ai appris ce matin que le petit chat qui avait disparu a été retrouvé mort devant chez ses maîtres ... j'en ai pleuré.
J'ai appris aussi par un petit garçon (le fils du gardien du collège, au bout de ma rue) que des sales gamins avaient poursuivi mon chat caruso, en lui balançant des boules de neige, le pauvre, il est rentré vite fait, mais n'ose plus du tout sortir... quelle bande de sales mômes. Qu'est-ce que ça donnera ça plus tard, d'être méchants tous jeunes !

oh mais c'est pas vrai !!! il faut être vraiment déjanté pour ramener le cadavre d'une animal devant le domicile de ses maîtres...c'était le petit qui était venu manger des croquettes dans ton jardin ???
Comment ça, on a poursuivi le prétendant de ma fifille avec des boules de neige...
et maintenant il est tout traumatisé... excuse moi de te dire ça mais tu habites vraiment un quartier de racailles....
Mon véto avait trouvé dans le caniveau devant chez lui un pauvre chat noir qui avait été heurté par une voiture... il l'a remis sur papattes et l'a adopté... comme il avait une vilaine cicatrice sur le dos à la suite de son accident, il l'a réopéré..
il était devenu magnifique Brichambeau mais malheureusement c'était un chat de la rue et il aimait sortir d'autant que mon véto habite un quartier où il y a des maisons individuelles avec des jardins... un beau jour il a disparu... mon véto a battu le quartier pour essayer de la retrouver avec l'aide de quelqu'uns de ses clients...
il ne l'a pas retrouvé mais un jour en arrivant à son cabinet, il a trouvé le collier de Brichambeau délicatement posé sur son paillasson... voilà encore un bel exemple de la connerie humaine...
Il a également déjà sauvé in-extrémis Grosse Mimine qu'il a adopté après Brichambeau.. deux fois elle a été empoisonnée par de la mort aux rats et à chaque fois il a réussi à la tirer d'affaires... Il a sauvé aussi pas mal de chats de son quartier qui ont été aussi empoisonnés par ce même procédé... le plus dur, c'est qu'il sait très bien quel est l'instiguateur de cette horrible chose mais malheureusement il n'a aucune preuve et il ne peut rien faire... je vais vous dire que Grosse Mimine est une chatte sauvage qu'il a récupérée sous son escalier avec ses 4 chatons et que parmi ces chatons il y avait un seul petit mâle qui était tigré et qui s'appelle maintenant TOMMY... Grosse Mimine va bien.. je l'ai encore vue samedi matin et devinez pourquoi elle s'appelle GROSSE Mimine ?? parcequ'elle est bien grassouillette... et.... elle n'est plus du tout sauvage mais elle crache sur son fils quand, par hasard, ils se croisent dans la salle d'attente ou dans le cabinet..... et lui se demande bien pourquoi, le gros benêt....

[Popiette11 0]

Oui mamaya, il y a des sales gosses dans mon coin, mais je pense partout d'ailleurs... la vermine (hors Tico bien sûr) ça s'étend.
Oui, c'était le petit chat que javais trouvé l'autre jour... mais entre temps il était retourné chez lui, car moi, c'était le samedi et il a disparu pour de bon le mardi, jour où ma voisine a vu des gosses avec ce chat dans les bras, ... Elle croyait que c'était caruso, mais caruso est beaucoup plus gros. Ça ma fichu le bourdon ces histoires là.
Ton véto est vraiment quelqu'un de bien, pauvres petits chats.

Grosse mimine, est le nom que je donnais à ma mimine "assassinée, elle aussi par des sales gosses. Je ne sais pas si tu t'en rappelle. Mais, à la fin, elle avait 18 ans, elle n'était plus grosse mimine, la pauvrette, elle était maigre à faire peur...
Tout ça, pur constater que la méchanceté humaine, n'a aucune limite.
Quand j'ai vu qu'au Népal, des enfants accrochaient une chèvre vivante et l'écorchait à vif, jusqu'à ce que mort s'en suive ...(entr'autre) pour des sacrifices à la con... le post est d'ailleurs sur le fofo ...je te dis pas mamaya, j'en suis malade.

[Tigron 0]

La cruauté n'a pas de limite
surtout chez les jeunes maintenant
le désœuvrement, le manque d'autorité, en font d'eux des tueurs nés.

[Popiette11 0]

Tigron a écrit:

La cruauté n'a pas de limite
surtout chez les jeunes maintenant
le désœuvrement, le manque d'autorité, en font d'eux des tueurs nés.

on vit une drôle d'époque. C'est pas beau pour tous ceux qui sont biens.

[Invité]

Popiette a écrit:

Oui mamaya, il y a des sales gosses dans mon coin, mais je pense partout d'ailleurs... la vermine (hors Tico bien sûr) ça s'étend.
Oui, c'était le petit chat que javais trouvé l'autre jour... mais entre temps il était retourné chez lui, car moi, c'était le samedi et il a disparu pour de bon le mardi, jour où ma voisine a vu des gosses avec ce chat dans les bras, ... Elle croyait que c'était caruso, mais caruso est beaucoup plus gros. Ça ma fichu le bourdon ces histoires là.
Ton véto est vraiment quelqu'un de bien, pauvres petits chats.


Grosse mimine, est le nom que je donnais à ma mimine "assassinée, elle aussi par des sales gosses. Je ne sais pas si tu t'en rappelle. Mais, à la fin, elle avait 18 ans, elle n'était plus grosse mimine, la pauvrette, elle était maigre à faire peur...
Tout ça, pur constater que la méchanceté humaine, n'a aucune limite.
Quand j'ai vu qu'au Népal, des enfants accrochaient une chèvre vivante et l'écorchait à vif, jusqu'à ce que mort s'en suive ...(entr'autre) pour des sacrifices à la con... le post est d'ailleurs sur le fofo ...je te dis pas mamaya, j'en suis malade.

oh oui, je me souviens très bien de l'histoire de ta mimine... il y avait d'ailleurs eu une pétition à signer je crois... d'ailleurs c'est elle qui est en avatar.... ça m'avait beaucoup marqué... que des sales gosses rentrent chez toi pour venir chercher la pauvrette et la balancer de l'autre côté du mur... je ne risque pas de l'oublier....

[Popiette11 0]

mamaya54 a écrit:

Popiette a écrit:

Oui mamaya, il y a des sales gosses dans mon coin, mais je pense partout d'ailleurs... la vermine (hors Tico bien sûr) ça s'étend.
Oui, c'était le petit chat que javais trouvé l'autre jour... mais entre temps il était retourné chez lui, car moi, c'était le samedi et il a disparu pour de bon le mardi, jour où ma voisine a vu des gosses avec ce chat dans les bras, ... Elle croyait que c'était caruso, mais caruso est beaucoup plus gros. Ça ma fichu le bourdon ces histoires là.
Ton véto est vraiment quelqu'un de bien, pauvres petits chats.


Grosse mimine, est le nom que je donnais à ma mimine "assassinée, elle aussi par des sales gosses. Je ne sais pas si tu t'en rappelle. Mais, à la fin, elle avait 18 ans, elle n'était plus grosse mimine, la pauvrette, elle était maigre à faire peur...
Tout ça, pur constater que la méchanceté humaine, n'a aucune limite.
Quand j'ai vu qu'au Népal, des enfants accrochaient une chèvre vivante et l'écorchait à vif, jusqu'à ce que mort s'en suive ...(entr'autre) pour des sacrifices à la con... le post est d'ailleurs sur le fofo ...je te dis pas mamaya, j'en suis malade.

oh oui, je me souviens très bien de l'histoire de ta mimine... il y avait d'ailleurs eu une pétition à signer je crois... d'ailleurs c'est elle qui est en avatar.... ça m'avait beaucoup marqué... que des sales gosses rentrent chez toi pour venir chercher la pauvrette et la balancer de l'autre côté du mur... je ne risque pas de l'oublier....

oui, mamaya, c'est elle. La pétition n'a rien donné car la SPA m'a dit qu'il n'y avait pas preuve de malveillance, puisque la véto n'a pas voulu témoigner...quel cauchemar j'ai vécu, parfois lorsque j'y pense j'ai encore les larmes aux yeux, surtout qu'à cette époque, pleins de petits chats à moi et ma petite chienne sont morts (maladie-vieillesse)mais tuer ma mimine comme ça, a non, à 18 ans, elle allait s'endormir, ma pauvrette; j'espère qu'il y a un monde meilleur où je les retrouverais tous.

[Tigron 0]

Main dans la main contre l'abandon et la maltraitance animale !!!

ENQUÊTE : LA VIE SANS ESPOIR DES CHATS SANS ABRI !!!

La situation des chats sans abri en France est dramatique. Une enquête de deux mois réalisée par One Voice en atteste. Vilipendés par la société, ces chats sont confrontés aux pires difficultés pour survivre et sont traqués aujourd’hui comme des « animaux nuisibles ».

Les faits sont sans équivoque !!!
Alors que le chat est l’animal de compagnie préféré des Français, il est aussi l’animal le moins considéré : Si plus de huit millions d’entre eux ont pris place dans nos foyers, ils seraient presqu’autant à errer misérablement dans les rues, sans abri. Aussi incroyable que cela puisse paraître, c’est la triste réalité à laquelle notre enquêteur a été confronté au cours de son investigation. Épaulé par une dizaine de structures spécialisées dans la protection des chats sans abri, il a parcouru pendant deux mois la ville comme la campagne, les usines désaffectées comme les cités sur les traces des chats errants en France. Quel que soit le lieu, la même désolation.

Liberté égale galère !!!
Le chat sans abri, que l’on pourrait croire « libre » et heureux, est en réalité un animal « triste », pétrifié par la peur, souvent malade, toujours sur le qui-vive et dont les seuls buts de la journée sont de trouver sa nourriture et un abri pour se cacher.

Comme le montrent les images que notre enquêteur a rapportées, en ville les chats se terrent sous les voitures, dans des vide-sanitaires souvent insalubres, des caves où parfois ils restent enfermés ou emmurés vivants.

Hors de la cité, ils se réfugient dans des sites désaffectés ou sous des abris de fortune, une vieille bâche, des tôles abandonnées. Pour se nourrir, les plus chanceux ont droit à des repas préparés par des associations et disposés çà et là.

Les autres font les poubelles, sont condamnés à se mettre en chasse ou à se contenter d’un peu d’eau boueuse lapée dans une flaque. La dégradation de leurs conditions de vie est cause de nombreuses maladies.

Poil terne, sale, pelage hérissé, yeux purulents sont souvent les manifestations, entre autres, du coryza, de la gale des oreilles, de la teigne ou encore du sida du chat.
Un chat sans abri est en effet mille fois plus exposé à la maladie qu’un chat domestique.

Objets de violence !!!
Autre aspect du peu de considération des chats dans notre société : la cruauté avec laquelle ils sont traités.

Notre enquêteur a rapporté nombre d’exemples de chats martyrisés par les adultes comme les enfants. En la matière, l’imagination est diabolique à l’instar de ce « jeu de l’hélicoptère » consistant à attraper un chat par la queue et à le faire tourner jusqu’à rupture de celle-ci.

Chats des villes ou chats des champs, ils sont pareillement les exutoires d’une violence extrême allant des jets de pierre, au coup de fusil ou à l’empoisonnement pour les uns, à l’écartèlement sur une poubelle avec du scotch, aux taillades à coups de cutter ou aux mises à feu pour les autres.

Leur prolifération, est aujourd’hui considérée par une large partie de la population et des municipalités comme une nuisance à laquelle l’euthanasie massive est la seule réponse. Cet état de fait est pourtant le fruit de l’irresponsabilité des propriétaires de chats et de l’inaction des pouvoirs publics. Pour un chat stérilisé combien d’autres ne le seront jamais ?

Sauver les chats !!!
Un autre destin pour ces « compagnons de vie » est pourtant possible.
Des expériences menées conjointement par des associations de protection des chats sans abri, des bailleurs et des municipalités ont permis d’instaurer une cohabitation paisible et harmonieuse tout en régulant le nombre de chats.

C’est le cas de l’École du Chat de Poitiers http://ecoleduchat.poitiers.free.fr/ ou l’École du Chat Val d’Yerres et de Seine www.chatlibre.org/ en région parisienne que notre enquêteur a pu visiter.
Mieux, le chat est au centre de projets pédagogiques ou vecteur de lien social.

C’est dans cet esprit qu’a été conçu « Chatipi », un projet porté par One Voice dans le cadre d’une vaste campagne destinée à réhabiliter le chat au sein de la société et à le préserver de la vie misérable décrite dans les deux vidéos ci-après.


Vie et misère des chats sans abri ...

Vidéo I : Sortir pour manger :
http://www.one-voice.fr/fr/article/video-1-sortir-pour-manger
Vidéo II : La chasse à la cache :
http://www.one-voice.fr/fr/article/video-2-la-chasse-la-cache

Ensemble main dans la main redonnons au Chat la dignité qu'il mérite, cet être merveilleux et sensible ...

[Popiette11 0]

La cruauté, l'horreur sans fin ... sur ces pauvres chats par des sales gosses, des adultes pourris, mais ça ne cessera donc jamais, ça empire en plus. Tout ça me dégoûte

[olive69 0]

C'est sûr,les humains sont pourris.Si les animaux pouvaient leur faire subir le même sort.