Céline-minidogs-chihuahua 1 Posté(e) le 25 septembre 2010 La chenille processionnaire est la larve d'un papillon de nuit qui ne vit que 24h : Pour la chenille processionnaire du pin : (Thaumetopoea pityocampa) Pour la chenille processionnaire du chêne : (Thaumetopoea processionea) Elles apparaissent entre mars et mai. Leur cycle biologique est annuel Elles sont très allergisantes, abondantes tous les 7/10 ansLes risquesIls sont surtout pour l’homme, les animaux domestiques et les animaux d’élevage : le chien et le cheval…. Le chat du fait de sa méfiance est très rarement atteint.Chaque poil est relié à une glande à venin qui est libéré lorsque le poil se casse. Ce venin, provoque une nécrose tissulaire. En cas de vent, les poils des nids peuvent être dispersés, se planter dans la peau ou dans les muqueuses et le venin libéré provoquer des crises d’urticaires importantes .Les zones de transpiration et les muqueuses, naturellement humides, sont les plus touchées (bouche, aisselles, yeux, etc.)Lors de contacts directs avec les nids et les chenilles, ce sont des milliers de poils urticants qui peuvent provoquer des troubles graves (œdèmes, crises d’asthme, gonflement des yeux, vertiges, etc.), Les poils urticants conservent leurs propriétés tant qu’ils sont à l’abri de l’humidité, Les nids conservent leurs capacités urticantes plusieurs mois, voire plusieurs annéesLes risques pour le chien peuvent se compliquer du fait qu’il peut ingérer les chenilles ou les nids qui tombentLes symptômes les plus fréquents chez le chien surtout s’il a léché, touché avec le museau ou avalé des chenillesIl peut pleurer car il a mal Il peut être prostré Il peut baver La langue durcit La langue se met à gonfler puis 2 à 3 h après elle commence à se nécroser Il peut vomir Il peut avoir des symptômes oculaires Il peut avoir des symptômes cutanés inflammatoiresLes premiers gestes d'urgenceÉviter de frotter pour ne pas disséminer la substance irritante Rincer abondamment les lésions cutanées ou l’œil à l'eau claire Ne pas donner à boire ou à manger Emmener l'animal le plus rapidement possible chez un vétérinaire.Prévention Il n'existe aucun moyen de se débarrasser définitivement des chenilles Il n'y a pas de méthode de lutte contre le papillon lui-même Il faut surtout enlever, en se protégeant avec gants masques et lunettes, les nids des arbres et les brûler. Ne pas ouvrir un nid, pour ne pas disséminer les poils urticants Éviter de se promener dans une forêt de pins ou de chênes, par grand vent ou au printemps En été et à l’automneTraiter avec des insecticides chimiques ou biologiques au début de l'automne, mais les larves peuvent persister plusieurs années dans le sol. Pour les communes particulièrement infestées : épandage en hélicoptère au début de l’automne (contacter l’Office National des Forêts) Au printempsDétruire les chenilles en les brûlant ou en utilisant un insecticide Empêcher les chenilles de descendre au sol, en posant dès janvier un anneau de glu sur le tronc des arbres sauf si votre terrain héberge des calosomes En hiverCouper les rameaux atteints avec un sécateur ou un échenilloir (un sécateur au bout d'une longue perche et commandé par une corde). Il n'y a aucun risque que les chenilles sortent du nid coupé, se dispersent et remontent dans l'arbre (même après plusieurs jours, les chenilles restent fidèles à leur branche et leur nid). Brûler le tout Ces chenilles représentent un danger pour les petits enfants, les personnes allergiques et les chiens, mais les guêpes et les frelons sont plus dangereux (quelques dizaines de morts par an en France) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Alexia1 0 Posté(e) le 4 novembre 2010 Coucou tout le monde,J'ai lu le post sur les chenilles processionnaires et du coups je viens vous parler de mon expérience avec ces vilaines petites bêtes.Au mois d'avril, j'ai sorti Early dans ma résidence et il a lécher une chenille sans que je m'en rende compte (et de toute façon je ne savais pas ce qu'il risquait).Lorsqu'on est rentré il s'est mis a être mal, il tremblait, ne tenait plus sur ses pattes et essayait de vomir sans y parvenir. j'ai donc décidé de l'emmener chez le véto et dans la voiture catastrophe, il a vomit partout dans son sac, et plusieurs fois de suite chez le véto pendant que l'on patientait.Le véto lui a fait une radio pour voir d'où cela pouvait provenir car je ne savais pas qu'il avait léché une chenille. et dans son estomac il a vu plein de tout petit cailloux.Il lui a donc fait une piqûre dans l'estomac et m'a donné un traitement (pensemant gastrique ect) pour le soigner. Il a été mal pendant deux jours puis c'est passé.Au bout de la fin du deuxième jour, j'ai vu quelques choses de verdatre sur sa langue, je pensais que c'était des glaires mais pas du tout c'était bien sa langue.Comme c'était un dimanche je l'ai emmené chez le vétérinaire de garde qui m'a appris que c'était une chenille et que sa langue était entrain de nécroser et que le petit bout infecter allait tomber.Il m'a donné un autre traitement en plus du premier, son bout de langue est effectivement tombé le soir même...Heureusement ce n'est qu'un tout petit bout donc il n'est pas gêné pour manger ou boire mais j'ai eu vraiment très peur.Alors faites vraiment attention à ces bestioles !! on dit qu'il n'y en a que dans le sud mais non moi je suis dans le centre (en auvergne) et il y en a aussi. Je vais devoir être très vigilente car il y a de nombreux arbres dans la résidence et le syndic ne peut pas tout traiter.J'appréhende mais au moins je sais à quoi m'attendre et je ferai très attention !! edit: photo ajouté par pop Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
chibelle 0 Posté(e) le 4 novembre 2010 ou la la ça fait peur quand mêmemerci pour ton temoignage Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Alexia1 0 Posté(e) le 4 novembre 2010 De rien mais je pense qu'il est bien d'en parler pour sensibiliser tout le monde Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
ani1 0 Posté(e) le 4 novembre 2010 La tu viens de m'apprendre quelque chose, je ne connaissais pas du tout ce truc.Je vais aller lire ce post la.Merci de nous avoir fait part de ton expérience Alexia Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 22 novembre 2010 Oh oui je me souviens de ca ^^ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
rosakcz 0 Posté(e) le 22 novembre 2010 merci beaucoup on en parle souvent mais sans connaitre ces horribles conséquences.. merci Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
ElodieC 0 Posté(e) le 22 novembre 2010 J'avais déjà entendu parler de ses chenilles, mais ça fait peur quand même, quand on sait tout ce qu'il peut arriver à nos loulous :S Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
rosakcz 0 Posté(e) le 22 novembre 2010 ho oui j'ai été voir sur internet quelle horreur dis donc.... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pop 0 Posté(e) le 23 novembre 2010 merci pour ce pot alexia je vais le metre en post it Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pop 0 Posté(e) le 23 novembre 2010 sources:http://patrick.oger.free.fr/nature/processionnaire/La chenille processionnaire du pin,dont on apprécie assez peu la présence en raisondes dégâts qu'elle occasionne, méritecependant d'être étudiée. Le papillon du même nom ne vit que quelquesjours à l'air libre, après un certain nombred'étapes bien précises, dans les arbres, surterre et dans le sol. On peut schématiquementreprésenter le cycle de vie du papillonprocessionnaire du pin. Les 8 étapes sontdécrites ci-dessous. -1. Un soir d'été, les papillonsprocessionnaires sortent de terre.Le mâle et lafemelle s'accouplent. Le mâle meurt un oudeux joursaprès.-2. La femelle s'envole et va pondre entre 70 et 300oeufssur une branche de pin. Puis elle meurt à son tour.-3. Les chenilles éclosent 30à 45 joursaprès la ponte. Elles se nourrissent avec les aiguilles dupin, et restent reliées entre elles par un fil de soie.-4. Au cours de leur croissance, les chenilles changent decouleuret ont de plus en plus de poils (jusqu'à 1 million). Ceux-cipeuvent se libérer avec le vent et provoquer desproblèmes de santé aux hommeset aux animaux.-5. Les chenilles construisent un abri en soieen automne,sur la branche d'un pin. Puis elles passent l'hiver dans cet abri, nesortant que la nuit pour entretenir leur nid et se nourrir. 6. Au printemps, la colonie conduite par une femellequitte l'abri et se dirige vers le sol. C'est la processionde nymphose : toutes les chenilles se tiennent les unes auxautres et se déplacent en longue file. Une file peut compterquelques centaines de chenilles. Au bout de plusieurs jours, elless'arrêtent dans un endroit bien ensoleillé. Puischacune d'entre elles s'enfouit dans un trou de 10à 20 cm. 7. Deux semaines plus tard, les processionnaires onttissédes cocons individuels et se transforment enchrysalides. Elles vont rester dans cetétat pendantplusieurs mois (ou parfois plusieurs années selon lesrégions).8. Au bout de quelques mois, chaque chrysalidesemétamorphose en papillon, toujours sousla terre. Etpuis, un soir d'été, les papillons sortent deterre... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pop 0 Posté(e) le 23 novembre 2010 source: http://www.poisoncentre.be/article.php?id_article=21Les poils de la chenille processionnaire provoquent une réaction urticarienne, éruption douleureuse avec fortes démangeaisons. Une intervention médicale est souvent nécessaire. Les poils urticants persistent longtemps après la disparition de la chenille, l’éradication des nids est réservée aux professionnels. Introduction La chenille processionnaire est la larve d'un papillon de nuit, le Thaumetopoea processionea. Ce papillon pond des oeufs à la fin de l'été aux extrémités des branches des chênes. De la mi-avril jusqu'à fin mai éclosent de petites chenilles. Les jeunes chenilles sont oranges et portent de longs poils non urticants. Après la 3ème mue, entre la mi-mai et fin juin, elles deviennent grises avec une bande sombre sur le dos et apparaissent les premiers poils urticants. En juillet, les chenilles fabriquent leur cocon. La métamorphose en papillon se produit en août. Les papillons ainsi formés vont à leur tour s'accoupler et pondre des oeufs.Les poils de la chenille processionnaire sont urticants. Ces propriétés urticantes persistent même après la disparition de la chenille.Les chenilles processionnaires vivent en groupe et forment sur les plus grosses branches de grands nids, sortes de pelotes serrées faites de la peau des mues successives, de poils urticants et d'excréments. Les chenilles se nourrissent la nuit. Pour cela, elles se déplacent en longues files (d'où leur nom) vers leur nourriture, les feuilles de chêne. Elles peuvent ainsi dépouiller complètement un arbre de son feuillage.En Belgique, elles se retrouvent principalement dans les provinces d'Anvers, du Limbourg et du Brabant flamand. Les problèmes se présentent de la mi-mai (dus aux chenilles) jusqu'en septembre (à cause des nids vides pleins de poils urticants).Photos : Dr Meurisse Nicolas - Laboratoire de Lutte biologique et Ecologie spatiale ULB Exposition aux chenilles processionnaires - les symptômesLes poils urticants se terminent en pointe et portent à leur extrémité de petits crochets. Ils se détachent facilement de la chenille lors d'un contact ou sous l'effet du vent. Par leur structure particulière, ces poils s'accrochent facilement aux tissus (la peau et les muqueuses) y provoquant une réaction urticarienne par libération d'histamine (substance aussi libérée dans les réactions allergiques). Ceci est à l'origine des symptômes suivants :Contact avec la peau Apparition dans les huit heures d'une éruption douloureuse avec de sévères démangeaisons. La réaction se fait sur les parties découvertes de la peau mais aussi sur d'autres parties du corps. Les poils urticants se dispersent aisément par la sueur, le grattage et le frottement ou par l'intermédiaire des vêtements.Contact avec les yeuxDéveloppement après 1 à 4 heures d'une conjonctivite (yeux rouges, douleureux et larmoyants). Quand un poil urticant s'enfonce profondément dans les tissus oculaires, apparaissent des réactions inflammatoires sévères avec, dans de rares cas, évolution vers la cécité.Contact par inhalationLes poils urticants irritent les voies respiratoires. Cette irritation se manifeste par des éternuements, des maux de gorge, des difficutés à déglutir et éventuellement des difficultés respiratoires dues à un bronchospasme (rétrécissement des bronches comme dans l'asthme). Contact par ingestionIl se produit une inflammation des muqueuses de la bouche et des intestins qui s'accompagne de symptômes tels que de l'hypersalivation, des vomissements et des douleurs abdominales.Une personne qui a des contacts répétés avec la chenille processionnaire, présente des réactions qui s'aggravent à chaque nouveau contact. Dans les cas sévères, il peut y avoir un choc anaphylactique mettant la vie en danger (urticaire, transpiration, oedème dans la bouche et la gorge, difficultés respiratoires, hypotension et perte de connaissance).TraitementSymptômes générauxLes personnes qui, en plus des signes locaux, présentent des symptômes généraux tels que malaise, vertiges, vomissements, doivent être dirigées vers un hôpital.PeauOter tous les vêtements et les manipuler avec des gants. Les vêtements seront lavés à température la plus élevée possible et séchés au séchoir.Laver la peau abondamment à l'eau et au savon.On peut éventuellement se servir de papier collant pour décrocher les poils urticants de la peau, un peu à la manière d'une épilation.Brosser soigneusement les cheveux si nécessaire.Les antihistaminiques peuvent soulager les démangeaisons. Consultez un médecin en cas de forte éruption cutanée.YeuxLes yeux doivent être rincés, de préférence chez un ophtalmologue après application d'une solution anesthésique locale. Après le rinçage, un examen minutieux des yeux excluera la présence de poils urticants résiduels. Les poils profondément ancrés dans les tissus oculaires doivent être ôtés chirurgicalement.Voies respiratoires L'évaluation des symptômes respiratoires se fait par un médecin. Celui-ci donne un traitement adapté aux symptômes. Le traitement comporte des antihistaminiques et/ou des corticoïdes et des aérosols ou des nébulisations.Système disgestifDiluer la quantité de poils ingérés en buvant un grand verre d'eau. On peut tenter d'enlever les poils de la muqueuse de la bouche en raclant prudemment à l'aide d'une spatule ou d'une compresse ou en les "épilants" à l'aide de papier collant. Une endoscopie sous anesthésie générale est souvent nécessaire pour extraire les poils urticants profondéments ancrés dans les muqueuses de la bouche, de la gorge ou de l'oesophage.PréventionLes personnes précédemment atteintes par la chenille processionnaire doivent éviter tout nouveau contact, des réactions de plus en plus sévères sont à craindre. Ceci est particulièrement important pour les personnes qui, de par leur profession, fréquentent régulièrement des lieux infestés. L'éviction peut se faire par le port de vêtements de protection : gants et bottes de caoutchouc, combinaison de protection étanche , masque et lunettes anti poussières.Les poils urticants sont facilement dispersés par le vent. Dans les régions où sévissent les chenilles, certaines précautions sont recommandées : ne pas sécher le linge dehors de mai à septembrelaver soigneusement les légumes du jardinarroser la pelouse pendant quelques jours avant de la tondre pour que les poils urticants soient entraînés dans le solne pas laisser jouer les enfants à proximité d'un arbre atteint. A distance, les munir de vêtements à longues manches, de pantalons, d'un couvre-chef et éventuellement de lunettes.LutteN'essayez en aucun cas d'éliminer vous-même les chenilles processionnaires. L'utilisation sans discernement d'insecticide ou de nettoyeur à haute pression peut créer davantage de problèmes. L'effet irritant des poils persiste plusieurs années après la disparition des chenilles. Quand le traitement anti chenille disperse des poils dans l'environnement, ces poils peuvent causer des problèmes pendant des années.La lutte contre les chenilles processionnaires est une affaire de professionnels (les pompiers par exemple). La méthode la plus efficace consiste à brûler et aspirer les chenilles et leurs nids, de préférence tôt dans la saison quand les poils urticants ne sont pas encore développés. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pop 0 Posté(e) le 23 novembre 2010 source: http://lesraidsforum.chez-alice.fr/ete/chenillespro.htmnid de chenilles processionnairesprocession de chenille de pin article pour les symptome pour les animaux et conduite a tenir en cas de contact SYMPTOMES Ces chenilles contiennent une substance urticante et nécrosante au niveau de leurs poils. Lorsqu'on les touche, cela est douloureux et plus on frotte, plus cela fait mal. Dans le cas des animaux, si ces derniers lèchent ou touchent les chenilles avec leur museau, ils peuvent souffrir de divers symptômes. Langue Dans un premier temps, ils couinent car ils ont mal, se mettent à baver, la langue gonfle et présente des tuméfactions avec un durcissement assez inquiétant. Sans soins, la langue peut virer au sombre voire violet, et une nécrose peut occasionnellement se produire. Une partie de la langue peut tomber. Si les premiers soins consistent en anti-inflammatoires et histaminiques puissants, parfois des antibiotiques, de l’héparine, perfusions, etc.., au stade de nécrose l’amputation de ce bout de lange doit parfois être envisagée. C’est pourquoi si l'animal présente d’un coup une gêne importante à la bouche, comme un corps étranger, vérifier la langue et consulter le vétérinaire rapidement si celle-ci se durcit. D’autres signes peuvent se produire, comme des atteintes au niveau des yeux avec développement très rapide d'une conjonctivite. Le poil urticant s'enfonce dans les tissus et peuvent provoquer la cécité. Voies respiratoires En cas d'inhalation des poils, ils vont de la même manière s'enfoncer dans les tissus provoquant de graves difficultés respiratoires CONDUITE A TENIR EN CAS DE CONTACT La première chose à faire est d'éloigner l'animal des chenilles. Ensuite, il faut éviter de frotter car cela dissémine la substance irritante. Il ne faut pas non plus donner de l'eau ou à manger. Le mieux est de se rendre au plus vite chez un vétérinaire qui pratiquera les premiers soins afin de limiter les effets de la substance urticante. (nettoyage des zones touchées, corticoïdes, antihistaminiques) Le contact avec des chenilles processionnaires représente une urgence vétérinaire Ne pas attendre pour consulter MOYENS DE PREVENTION Tout d'abord de la vigilance mais cela n'est pas toujours facile car les animaux et particulièrement les chiens sont sans arrêt en train de tout renifler. Ensuite, il faut également faire traiter les pins touchés s'ils sont dans votre jardin ou demander à la mairie de le faire si les pins sont en ville. Il faut impérativement supprimer les nids de chenilles processionnaires qui se trouvent encore dans vos pins avant fin février, car les chenilles quittent leur nid dès le mois de mars, soit en les brûlant soit en employant des insecticides appropriésà base de Bacillus Thuringiensis. Un traitement par insecticide spécial peut être appliqué avant l'hiver. (se renseigner auprès des services municipaux et départementaux) Si vous traitez vous-même vos arbres, portez gants, masque de protection, vêtements bien enveloppants. De nombreuses communes ont pris des arrêtés imposant la destruction des nids. Il n'existe aucun moyen de se débarasser définitivement des chenilles. Le traitement est à refaire chaque année. En effet, même si on détruit toutes les chenilles existant sur un terrain donné, les arbres seront réinfestés l'année suivante par des papillons pouvant provenir de plusieurs kilomètres. Ce traitement annuel doit donc être maintenu tant que des nids, et donc des papillons, existent dans la région. CONCLUSION En tout état de cause, si votre animal bave ou vomit, s'il a la langue enflée ou violacée, il ne faut pas hésiter à l'emmener rapidement chez un vétérinaire. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
alina 0 Posté(e) le 5 décembre 2010 merci pour ces renseignements ,meme lors des promenades,il faut rester vigilent!je surveillerais mon chichi si je vois le moindre signe. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
fleur de jasmin 0 Posté(e) le 4 avril 2011 Si votre chien lèche une de ces bestioles, allez immédiatement chez votre vétérinaire: la langue enffle, les poumons tout enffle à une grande rapidité votre chien est en grand danger chenille processionnaire du pin : méthode de lutteCet insecte est très répandu dans les régions mediteranéennes . Ces caractéristiques sont les suivantes : Il n'a qu'une génération par an. Les oeufs groupés sont déposés vers le milieu de l'été sous forme de manchons qui entourent deux ou plusieurs aiguilles de pin : leur éclosion se produit 30 à 50 jours plus tard. Les chenilles, groupées en colonies, s'alimentent et poursuivent leur développement pendant l'automne et l'hiver. Au cours de l'automne, elles tissent en commun un nid soyeux blanc. A la fin de l'hiver ou au début du printemps, au terme de leur développement, elles quittent les nids en procession et descendent s'enfouir dans le sol à une profondeur de 5 à 20 cm. Chaque chenille tisse alors un cocon dans lequel elle se transforme en chrysalide. Les papillons émergent au crépuscule pendant les mois de juillet et août : leur activité est nocturne et leur vie très brève. Les dégâts :La période de dégâts est celle en rouge. Les défoliations automnales et surtout printanières des pins entraînent une perte de production ligneuse et plusieurs défoliations successives peuvent causer des mortalités dans les jeunes sujets.Les urtications que provoquent les chenilles sont gênantes pour les adultes voir dangereuses pour les jeunes enfants. Méthodes de lutte :La lutte mécanique : la récolte des nids peut être valablement envisagée (numéro 1). Ce travaille ce fait avec le matériel d'élagage pour pouvoir accéder aux nids de chenilles plus facilement. Les nids de flèche seront arrachés et les colonies collectées seront détruites par le feu. La chenille processionnaire du pin est décrite classiquement comme infestant la forêt méditerranéenne, et on la trouve en Europe méridionale et centrale, ainsi qu'en Afrique du Nord. En France, toutes les régions au sud d'une ligne Lorient - Orléans - Dijon sont atteintes, sauf en montagne. Certains pensent que les chenilles sont de plus en plus fréquentes. Je n'ai pas trouvé de références confirmant ou infirmant ce fait, mais les chenilles bénéficient de conditions favorables : - on a planté beaucoup de bois et forêts de Mon jardin abritant quelques pins, j'ai été confronté, comme beaucoup de personnes, à la prolifération des chenilles processionnaires qui occasionnent des dégats sur ces arbres. Voici une compilation des renseignements que j'ai trouvés sur Internet concernant ces chenilles et les méthodes de lutte qu'on peut utiliser pour s'en défendre, dans le cadre d'un jardin privé. J'ai trouvé peu de documents en français sur le sujet, et très peu en anglais (pine processionary caterpillar ou pine procession moth ; cette chenille n'infeste pas les États-Unis, ni l'Angleterre...). Cette page doit beaucoup aux lecteurs des premières versions qui m'ont écrit pour compléter mes informations ou demander des renseignements. Merci à eux.Ces chenilles consomment les aiguilles des pins (et parfois de cèdres). Des branches sont défoliées, d'autres portent des aiguilles jaunies et flétries, comme brûlées. La défoliation ne provoque pas la mortalité des arbres mais en ralentit la croissance. Les chenilles forment des nids très visibles en hiver et les arbres prennent un aspect peu esthétique. En fin d'hiver, les chenilles et les nids sont un danger pour les personnes et les animaux domestiques (voir ci-dessous). Ces chenilles sont donc une plaie, et dans certaines régions des règlements imposent aux propriétaires de pins infestés de les traiter.Elles ont malheureusement peu de prédateurs, les oiseaux en général ne les mangent pas à cause de leurs poils urticants et de leur mauvais goût. Seul le coucou s'attaque aux chenilles, parfois même dans leur nid, et la mésange huppée chasse la première forme larvaire. On m'a rapporté que des mésanges les chassent lorsqu'elles sont en procession. Leur principal prédateur est le grand calosome, un carabe, insecte coléoptère vivant ordinairement sur le sol, remarquable avec ses élytres aux reflets verts métalliques (voir le document [4]). C'est la larve de calosome, ressemblant quelque peu à une chenille, qui en fait la plus grosse consommation. Elle monte parfois aux arbres pour attraper ses proies. Plusieurs espèces de guêpes ainsi qu'un champignon, le cordiceps, peuvent les parasiter.pins, - les hivers sont de moins en moins rigoureux, donc la chenille a pu s'étendre au nord de sa zone d'origine, - les populations de calosomes et de guêpes parasites ont peut-être été affaiblies par les insecticides.On trouve parfois des nids de chenilles sur d'autres arbres que les pins, sur des feuillus. Il s'agit d'autres espèces de chenilles, sur lesquelles je n'ai aucune information. En particulier, la chenille processionnaire du chêne semble redoutée des forestiers. Le traitement préconisé contre la chenille du pin est efficace contre toutes les chenilles, mais la période de traitement est peut-être différente.Danger des chenillesEn fin d'hiver et au printemps, les chenilles se déplacent au sol en procession. On peut aussi en voir occasionnellement lors de belles journées d'hiver ou même en fin d'automne. Les chenilles sont recouvertes de poils urticants et peuvent occasionner des désagréments ou même des ennuis graves aux personnes et aux animaux. Chaque poil est relié à une glande à venin. Ce venin, provoquant une nécrose tissulaire, est libéré lorsque le poil très fragile se casse. En cas de vent, des poils urticants infestant les nids peuvent être dispersés et tomber sur les promeneurs ou être inhalés. Les ennuis provoqués sont des démangeaisons, des oedèmes, des troubles oculaires, des accidents respiratoires et d'autres symptômes plus ou moins graves suivant les individus, en particulier s'ils sont allergiques ou asthmatiques. Les petits enfants sont particulièrement exposés à ces risques (en cas de symptôme, consulter immédiatement). Les nids de chenilles dans les lieux publics, parcs et jardins, sont donc une grave menace de santé publique, qui devrait être sérieusement prise en compte. Les chiens sont tentés de flairer les chenilles de près et d'en avaler, ce qui provoque une nécrose de la langue, et peut être mortel (consulter immédiatement un vétérinaire). On m'a rapporté le cas d'un poney mort des suites de l'ingestion d'une branche infestée. Les chats, plus prudents, sont rarement atteints.La vie des chenillesLa chenille processionnaire du pin (Thaumetopoea pityocampa SCHIFF.) est la forme larvaire d'un insecte appartenant à l'ordre des lépidoptères (un papillon nocturne, gris avec des motifs noirs et des taches blanches, voir des photos en [5] et [6]). L'activité des chenilles, l'alimentation et la confection du nid sont nocturnes.Le cycle biologique de cet insecte est annuel. Les adultes, papillons nocturnes à vie brève (un jour), s'envolent au cours de l'été, de fin juin à mi-août. Ils recherchent un hôte pour pondre, pin ou cèdre (les autres conifères ne sont pas attaqués). Les arbres jeunes sont préférés et parmi les différentes espèces de pin, le pin d'Alep semble leur favori. Ils peuvent parcourir ainsi quelques kilomètres. Les femelles pondent des oeufs par centaines autour de la base de quelques aiguilles. Ces oeufs forment un manchon gris argenté recouvert d'écailles, et long de deux à cinq centimètres.Le développement larvaire complet s'effectue en cinq stades, pendant la fin d'été, l'automne et l'hiver. Dans les premiers stades larvaires, les chenilles ne sont, paraît-il, pas urticantes. Dès leur éclosion en été, trente à quarante jours après la ponte, les larves commencent à manger des aiguilles de pin et tisser des abris en soie. Ces premiers abris sont légers et peuvent passer inaperçus. Une touffe d'aiguilles qui jaunit en est la principale manifestation. Dès que la zone autour de leur abri n'offre plus de nourriture suffisante, les chenilles émigrent plus haut dans l'arbre et forment un nouveau nid. On peut parfois les voir migrer en procession sur le tronc ou les branches de leur pin, lors de journées ensoleillées. Pour finir, les chenilles construisent un nid solide pour passer l'hiver, qui les protège du froid et de la pluie. Ce dernier nid, construit fin octobre ou début novembre dans les branches les plus hautes, est beaucoup plus gros et solide que les précédents, et de ce fait, très visible. Les aiguilles autour desquelles est bâti le nid sont conservées intactes.À la fin de leur développement, en mars ou avril, les chenilles quittent l'arbre et cherchent un endroit au sol suffisamment chaud et meuble pour s'enfouir et se transformer en chrysalide, d'où émergera le papillon. Les chenilles se déplacent en processions de plusieurs dizaines d'individus, chaque chenille étant reliée par un fin fil de soie à la précédente. Je ne sais pas quelle distance elles peuvent parcourir, mais j'en ai vues assez loin de tout pin (une centaine de mètres). Les chenilles sont parfois visibles dès le mois de janvier si le temps est doux. Les papillons peuvent s'envoler quelques mois plus tard, mais les larves peuvent aussi dans certains cas rester quelques années dans le sol avant de prendre leur envol.La lutte contre des chenillesLa lutte contre les chenilles peut prendre différentes formes selon les saisons, en fonction des stades d'évolution de l'insecte. Les actions décrites dans les paragraphes ci-dessous ne dépendent évidemment pas des dates administratives des saisons, mais sont liées au cycle de l'insecte, variable suivant les régions et le temps.Il n'existe aucun moyen de se débarasser définitivement des chenilles. Le traitement est à refaire chaque année. En effet, même si on détruit toutes les chenilles existant sur un terrain donné, les arbres seront réinfestés l'année suivante par des papillons pouvant provenir de plusieurs kilomètres. Ce traitement annuel doit donc être maintenu tant que des nids, et donc des papillons, existent dans la région.Il n'y a pas de méthode de lutte contre le papillon lui-même. Il paraît que des recherches sont en cours. La méthode consisterait à piéger les papillons en les attirant avec des phéromones, comme on le fait avec d'autres insectes.J. H. Fabre, qui écrivait à une époque où les insecticides étaient rares ou inexistants, recommandait de détruire les oeufs en août, après la ponte et avant leur éclosion. Les oeufs sont pondus selon lui dans les branches basses des pins, à portée de main. Ils sont groupés autour de la base de aiguilles situées à l'extrémité des rameaux, et forment comme un chaton gris et soyeux, assez visible dans le vert foncé du feuillage. Il suffit d'arracher l'aiguille qui le porte et de l'écraser par terre. J. H. Fabre recommande également de couper préventivement les branches basses des pins. Cependant j'ai vu des nids sur des pins dont les branches les plus basses sont à plus de cinq mètres.En été et automneLa meilleure méthode consiste à traiter les arbres pendant la saison où les chenilles mangent les aiguilles, avec un insecticide spécifique. En effet, les nids dans lesquels les chenilles passent la journée, leur assurent une protection efficace contre un insecticide ordinaire. Utiliser un insecticide à base de Bacillus Thuringiensis (BT). Il se présente sous la forme d'une poudre qu'on dilue dans l'eau et pulvérise sur l'ensemble du feuillage.Un traitement annuel peut suffire, à faire pendant la période où les chenilles mangent des aiguilles. La meilleure époque est l'été, après la ponte et l'éclosion des oeufs, mais avant la formation des nids d'hiver. On peut traiter dès qu'on aperçoit le travail des chenilles (des touffes d'aiguilles jaunies), en août.Les exploitants forestiers font faire des pulvérisations par hélicoptère ou depuis des engins tout-terrain (un pulvérisateur motorisé très puissant est monté sur le plateau de l'engin, et peut souffler le produit jusqu'en haut des arbres, voir des photos dans le document [9]). Ces procédés sont difficilement accessibles au particulier hébergeant quelques arbres attaqués. Certaines communes organisent la lutte contre les chenilles processionnaires et proposent aux particuliers le passage d'un hélicoptère ou d'engins motorisés à coût partagé. Voir ci-dessous le paragraphe à qui s'adresser ?.Pour des arbres jeunes, pas encore trop hauts, on peut agir avec un pulvérisateur de jardin et une échelle.En hiverSi le traitement n'a pas été fait ou s'il a échoué, et que les nids d'hiver sont apparus, que faire ? Le traitement au BT est toujours possible, mais on peut aussi détruire les chenilles en profitant du fait qu'en principe, dans la journée, les chenilles sont dans le nid ou à sa partie supérieure (elles prennent le soleil). On peut couper les rameaux atteints avec un sécateur ou un échenilloir (un sécateur au bout d'une longue perche et commandé par une corde). Il n'y a aucun risque que les chenilles sortent du nid coupé, se dispersent et remontent dans l'arbre (même après plusieurs jours, les chenilles restent fidèles à leur branche et leur nid). Brûler ou enterrer les nids. Cependant ne pas couper le rameau sommital d'un pin, car cela provoquerait une déformation de la future flèche, et éventuellement la formation d'une fourche.Les chenilles sont urticantes et ne doivent pas être touchées. Les nids eux-mêmes peuvent être urticants, car infestés de poils. Il faut donc porter des gants, un masque et des habits protecteurs (en tissu ou matériau lisse, sans quoi des poils urticants peuvent s'y incruster).Je ne connais pas de méthodes de lutte sur de grands arbres, dès que le haut du feuillage est inaccessible aux pulvérisateurs, et les nids trop hauts pour l'échenilloir. Certains recommandent de tirer au fusil de chasse sur les nids pour les endommager, par un jour froid et humide. Je vous laisse juger de cette proposition. L'idée n'est pas de détruire directement les chenilles, mais de détériorer le nid de façon à ce qu'elles ne résistent pas au froid de l'hiver.Si des nids sont restés dans les arbres en hiver, certains recommandent d'empêcher les chenilles de descendre au sol, en posant dès janvier un anneau de glu sur le tronc des arbres (mais si votre terrain héberge des calosomes, ce n'est peut-être pas une bonne idée). Attention, si elles sont nombreuses, les chenilles arrivent à passer en marchant sur le corps de celles qui sont engluées.Au printemps Il n'est pas inutile de détruire les chenilles en procession, si on vient à croiser leur chemin, pour éviter leur dissémination future, mais aussi et surtout à cause du danger qu'elles présentent. À ce stade, les chenilles ne s'alimentent pas et le BT n'est vraisemblablement pas efficace. Les chenilles peuvent alors être détruites avec des insecticides courants, et jetées ou enterrées (car même mortes, elles restent urticantes). Les gens pas trop sensibles peuvent se contenter de les écraser.Les nids restants après la descente des chenilles sont vides, et ne sont pas un foyer d'infestation pour l'année suivante (c'est les papillons sortant des cocons souterrains qui réinfesteront l'arbre). Les nids seront petit à petit détruits naturellement. Il n'y a pas obligation de les enlever sauf pour la gêne esthétique. Il n'y a aucun traitement à faire (sauf noter sur son agenda le traitement à faire fin août)._________________size=12]Les insecticides à base de Bacillus Thuringiensis (BT).[/size]Comme déjà dit, ces insecticides se présentent sous la forme d'une poudre qu'on dilue dans l'eau et pulvérise sur l'ensemble du feuillage. Le principe actif (BT) est bactériologique et non chimique : c'est un bacille provoquant une maladie mortelle des chenilles ; le bacille est ingéré par les chenilles lorsqu'elles mangent des aiguilles qui ont reçu le produit. Pour cette raison, le BT n'agit que sur les larves de lépidoptères, et est considéré comme non toxique pour les autres espèces animales, même les autres insectes (d'ailleurs il est accepté en agriculture biologique). On peut consulter les données scientifiques concernant le BT dans le document [8].Comme pour toute pulvérisation, agir un jour sans vent, et sans risque de pluie. Les chenilles mangeant la nuit, il est sans doute préférable de traiter en fin de journée.On trouve facilement dans le commerce et à bon marché (moins de 10 euros) différents produits à base de BT (chercher au rayon jardinerie les insecticides contre les chenilles et regarder la composition du produit). Ces produits ne sont pas spécifiques des chenilles du pin, mais servent aussi à lutter contre d'autres lépidoptères, parasites des cultures, comme la piéride du chou, les noctuelles, pyrales, etc. Le bacille est parfois mélangé à des insecticides chimiques, pour avoir un spectre d'utilisation plus large. Je préfère utiliser un produit ne comportant que du BT comme principe actif, préservant ainsi le caractère peu nocif de celui-ci. Pourquoi pulvériser un produit mélangé, qui tuera les abeilles et les calosomes, et sera toxique pour les poissons si le produit vient à atteindre un ruisseau ou une mare, alors que le BT seul est parfaitement efficace et peu (ou moins) toxique ? J'ai expérimenté le BT sur des chenilles qui infestaient mes pins en traitant début septembre 2000 : il s'est révélé très efficace (un seul nid d'hiver sur un pin que je n'ai pas pu pulvériser entièrement, les autres pins, plus petits et au nombre d'une dizaine, en étaient indemnes).Travailler en hauteurEn 2001, mes pins sont devenus un peu hauts pour mon pulvérisateur. Les rallonges vendues dans le commerce ne sont pas bien longues, et du sol, on ne peut guère pulvériser plus haut que trois mètres. Une échelle ne fait gagner que deux mètres. J'ai imaginé de bricoler une rallonge vraiment plus longue, et c'est finalement facile. Les rallonges vendues sont en deux parties, on peut les séparer et les relier par un tube de plastique transparent (vendu dans les magasins de bricolage), maintenu par deux colliers. Le tout est placé sur une perche la plus longue et légère possible (j'ai utilisé une tige de bambou, un manche de balai de piscine conviendrait aussi). Il faut naturellement un pulvérisateur à dos pour laisser les mains libres. Ce système est rapide à monter et fonctionne très bien. Cependant un pin adulte reste complètement hors de portée.Une solution pour traiter les grands arbres, que ce soit pour pulvériser de l'insecticide ou couper les branches infestées, consiste à louer une nacelle. Un lecteur m'a signalé cette possibilité qui lui avait coûté dans les 160 euros. Il faut chercher dans les pages jaunes à la rubrique Plates-formes et nacelles élévatrices.À qui s'adresser pour un traitement ?Comme mentionné plus haut, certaines communes organisent des traitements à coût partagé, généralement en fin d'été. Se renseigner à la mairie ou au service départemental (ou régional) de protection des végétaux (chercher dans l'annuaire à la rubrique Administration de l'agriculture). Je ne peux pas donner de références d'entreprises assurant ces traitements Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pop 0 Posté(e) le 4 avril 2011 1 ou 2 post it ont deja ete ouvert a ce sujet donc je vais fusionner ton post jacqueline Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
fleur de jasmin 0 Posté(e) le 4 avril 2011 tu fais bien,car je n'ai pas pû mettre à la suite vu que le post de céline était verouillé, merci anais... tu es un ange !!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Alaryel 0 Posté(e) le 9 avril 2011 Ma Diva a mis une de ces sales bestioles dans sa gueule il y a deux ans. Elle a failli en mourir, nous avons été très traumatisés par cette histoire. Elle a d'abord beaucoup salivé. Je l'ai emmené dans les minutes qui ont suivi chez le véto. Elle s'est ensuite mise à vomir puis à uriner du sang. Le véto nous A demandé de la veiller toute la nuit car il craignait une embolie pulmonaire. Le lendemain la langue de Diva s'est nécrosée. Ce n'est qu'au bout de 5 jours interminables que le véto nous a annoncé que Diva était sauvée car la langue commençait à guérir. Au final, Diva n'a perdu qu'un tout petit bout de sa langue. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pop 0 Posté(e) le 9 avril 2011 ho le truc de dingue 5 jours interminable j'imagine comme ca a ete dure on aimerais avoir une reponse dans la minute qui suit et son petit bout de langue en moins ca ce voie ??? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Chino&Liloo 0 Posté(e) le 18 avril 2011 Une propriétaire de chichi croisée aujourd'hui m'a parlé de ça, ça lui est arrivé sur Paris. Je ne connaissais pas, merci pour les explications. C'est terrifiant par contre! Pauvres toutous! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Alaryel 0 Posté(e) le 19 avril 2011 pop a écrit:ho le truc de dingue 5 jours interminable j'imagine comme ca a ete dure on aimerais avoir une reponse dans la minute qui suit et son petit bout de langue en moins ca ce voie ???Je n'avais pas vu ton message Anaïs. Oui cela se voit un peu mais cela ne la gêne pas pour manger et boire. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Firstounet 0 Posté(e) le 19 avril 2011 Je n'avais pas vu cette histoire avec Diva. Mon Dieu pauvre tite mère! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pop 0 Posté(e) le 19 avril 2011 ha oui ca va encore mais elle a quand même des sensation dans la langue ?? enfin quoi que tu ne sais peut etre pas Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Alaryel 0 Posté(e) le 19 avril 2011 Je ne sais pas, elle ne me l'a pas dit Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pop 0 Posté(e) le 19 avril 2011 hihihipetit hors sujet : tu va a l'expo de bordeaux au mois de mai ne serais ce qu'en simple visiteur ?? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Alaryel 0 Posté(e) le 20 avril 2011 Non, je n'y vais pas. çà fait trop loin de chez moi pour une expo en visiteur. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites