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les proies pour insectivores

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Invité
Article écrit par Vincent Noel

N'hésitez pas à compléter la liste!

Insectes et autres nourritures carnées :

Voici une liste des insectes et autres aliments carnés que l’on peut distribuer aux insectivores: Lézards, amphibiens, arachnides, mantes...


Les étoiles indiquent la qualité de la nourriture : * qualité médiocre, ** moyenne, *** bonne et **** très bonne.


Les vers à soie ****:

C’est une alimentation à la mode aux Etats-unis comme au Canada et encore très difficile à trouver en France ou en Allemagne. Pourtant, les vers à soie, larves du Bombyx moori, sont une alimentation de très bonne qualité et peut servir de nourriture régulière. Mais le vers à soie, animal domestique élevé depuis des siècles se nourrissent uniquement de mûrier blanc, un arbre assez peu courant et en plus caduque. Mais il existe une poudre à réhydrater dans l’eau bouillante à base de mûrier blanc et qui sert à nourrir ces chenilles grises. La problème est la résistance de ces chenilles, elles sont fragile et notamment sensibles à l’hygiène. Les oeufs peuvent être ardé plusieurs semaines au réfrigérateur et il est possible d’élever de A à Z cette espèce, mais c’est laborieux et il faut une grande rigueur. L’achat de larves se fait en général par correspondance et en grande quantité, c’est le principal frein aujourd’hui à l’utilisation de cette alimentation pourtant appréciée de tous les lézards. la larve mesure de 1 à 8 cm et peut nourrir de petits lézards d’une vingtaine de centimètres. Il lui faut 25 à 30 jours depuis l’éclosion pour atteindre la taille maximale.


A voir : http://www.versasoie.fr/


Les grillons : ****

Ce sont les plus connus ! Il y a en général 3 espèces de grillons que l’on peut trouver en animalerie : Gryllus bimaclatus ou grillon noir, Acheta domesticus ou grillon domestique (gris) et Gryllus assimilis. G. bimaculatus n’est pas toujours apprécié de tous les insectivores, il est assez coriace. .A. domesticus ou G. assimilis ne posent aucun problèmes encore moins le petit mais très vif Gryllodes sigillatus.

Les grillons sont une nourriture produite en grande quantité et relativement peu chère. On en trouve en 4 à 5 tailles. Mesurant de 3 mm à 3 cm, c’est un insecte pour petits et moyens lézards ou amphibiens. C’est un aliment de qualité somme toute moyenne, mais tellement facile à se procurer qu’il est devenu le menu principal de bon nombre de nos animaux. En effet, il peut constituer sans problèmes 50 à 70% de la ration d’un lézard de 20 ou 30 cm comme E. macularius.

Néanmoins il est préférable d’enrichir les grillons achetés en boite, pour cela on place soit des paillettes de nourriture pour poissons, des croquettes pour chien ou simplement un morceau d’endive ou de frisée.

Saupoudrer les grillons de calcium est chose aisée : On met la ration de grillons dans une boite (pot à confiture par exemple) dans laquelle on a d’abord mis du calcium en poudre : Et on secoue ! Et voilà des grillons tous blancs !

Les grillons se conservent une à deux semaines s’ils sont nourris et maintenus à 18-22°C. Privilégiez des sub-adultes (sans ailes) car les adultes vivent moins longtemps. la reproduction c’est une autre affaire !

Enfin, la distribution des grillons doit se faire avec parcimonie car leur premier réflexe est de rechercher à se cacher et ils passent parfois inaperçu et meurent dans le terrarium sans avoir été mangés. Evitez donc la nuée de grillons. Beaucoup de lézards accepteront de les manger dans un récipient aux parois lisses ce qui évite les évasions. Sinon, dernière astuce : 10 minutes un réfrigérateur pour les calmer.

Un exemple d’élevage de grillons : http://batraciens.net/grillons_arnaud.php


Les criquets ****

De meilleure qualité que les criquets ils sont néanmoins plus chers car difficiles à élever (disons plutôt que leur élevage est coûteux). On trouve deux espèces : Locusta migratoria (criquet migrateur) et Schistocerca gregaria (criquet pèlerin). Leurs ravages sont célèbres dans le monde entier, mais c’est un source de nourriture no négligeable. On trouve en général 3 tailles en animalerie de 2 à 7 cm. Ces insectes sont réservés à des lézards de plus de 20 cm (et encore pas tous). Les adultes ne conviendront qu’à des lézards de plus de 40 cm ou de gros anoures de plus de 10 cm. Malheureusement ces criquets se conservent mal et arrivent souvent en mauvais état. On peut les requinquer en les mettant dans une petite boite type Geo ou Fauna box, un spot de 25 ou 40W pour les réchauffer et de l’herbe comme nourriture… Quoique, tant qu’on n veut pas faire de l’élevage on peut donner de la frisée ou des endives, des élevage ont par ailleurs été réussi avec du foin.


Les souriceaux et ratons*** :

Les grenouilles de plus de 6-8 cm (selon la taille de la gueule), les lézards de plus de 30 cm et les grosses mygales peuvent s’ »attaquer à des souriceaux de quelques jours. Ensuite, selon la taille de l’animal mais aussi ses qualités de prédateur on peut proposer des ratons, souriceaux « blanchons » ou « sauteuses » voire souris adultes. Mis à part les grands varans, peu de lézards mangent des rats adultes. La plupart des lézards n’accepteront que des souriceaux ou ratons vivants, mais certains notamment les scinques à langue bleue... accepteront des souriceaux morts (mais il faut passer par un apprentissage avec des souriceaux vivants). Les rongeurs ont une très bonne qualité nutritive puisque étant des vertébrés eux aussi, leur corps contient tous les éléments qu’ont besoin les vertébrés pour vivre. néanmoins, chez les insectivores, l’excès de ce type de nourriture entraîne des complications. Leu système digestif est avant tout adapté à la digestion des insectes (difficiles à digérer), un régime majoritairement composé de rongeurs n’est pas adéquat et crée des problèmes d’excès de poids ou des troubles digestifs. Pour les petits animaux ou les animaux principalement insectivores, il faut éviter de donner plus du tiers de la quantité de nourriture en rongeurs et privilégier en majorité les insectes. Saupoudrer de calcium un souriceaux est un jeu d’enfant et ils se conservent longtemps au congélateur.


Les vers de farine et morio*

Seul avantage : on en trouve tout le temps, toute l’année et ils se conservent des semaines a réfrigérateur. Ce qui fait des larves de Tenebrio molitor la nourriture de dépannage par excellence ! Mais ces larves sont grasses (lipides), pauvres en calcium et très coriaces (chitine). La variété XL, Zophobas morio, le vers de farine du Pérou est très rapide (on peut faire des corses avec c’est amusant) et coriace. Seuls les prédateurs aguerris et têtus en viendront à bout. Il n’est pas de meilleure qualité que le vers de farine mais sert également en nourriture de dépannage pour de gros lézard (+ de 40 cm). Attention ! C’est un insecte xylophage, il s’attaque au bois… gaffe à vos lambris !

Bref, il est toujours bon d’avoir sa boite de vers de farine dans le réfrigérateur (les morio se conservent 1 ou 2 mois mais à l’air libre ! Pas au « frigo ») néanmoins, il faut les donner avec parcimonie et ajout de calcium.


Les mouches: ***

C’est une bien meilleure nourriture qu’on le croit ! Avantages : les mouches sont pauvres en chitine et donc très digestes. Elles sont très attractives et stimulent les petits lézards. Obtenir des mouches est très facile. Les magasins de pêche proposent 3 types de larves qui donnent 3 espèces de mouches différentes : Les asticots qui donnent les grosses mouches noires, les pinkies qui donne des mouches plus petites et vertes (les mouches à m….) et les timas ou fifies qui donnent de petits moucherons.

On conserve les asticots au réfrigérateur. Sortez une ration d’asticots, sachant qu’il y a peu de mortalité, un asticot donnera une mouche à coups sur. Mettez vos asticots dans un récipient aux parois bien lisses (verre) comme un pot de confiture. Le couvercle sera bien percé de trous, au mieux on place de la gaz car il faut éviter trop d’humidité. Attendez entre 7 et 12 jours selon la température ambiante et hop ! Vis asticots deviennent noirs puis les ouches sortent.

Ainsi données elles ne valent rien ! Il faut les nourrir. Donc, dès que votre récipient devient un aéroport anarchique et paniqué, versez un peu de jus de fruits, de compote ou de lait à travers le couvercle. 24 hures plus tard elles sont gonflées à bloc. Pour les distribuer sans qu’elles envahissent a maison, mettez le récipient au réfrigérateur 5 minutes, ça leur coupe les ailes. Mais attention ! Elles retrouvent vite leurs esprits !


Les drosophiles ***

Ces très petites mouches, coqueluches des généticiens, sont une source de nourriture assez difficile à trouver en animalerie. Non pas qu’elle soit difficile à élever, ais peut de demande car seules les très petites espèces mangent ce genre de ouches. Baptisées aussi ouches du vinaigre, les drosophiles existent en forme aptère (en fait les ailes sont atrophiées). L’élevage se fait dans de petites boites couverts d’une gaze, et dont le fond est garni d’une mixture laiteuse dans laquelle les asticots se développent. En 4 jours la larve se transforme en pupe d’où sortira la mouche au bout de 5 jours. Le cycle de vie général dure 10 jours (à 25°C).

Ces mouches mesurent 2 à 4 mm, elles sont adéquats pour des jeunes lézards de quelques centimètres.

Ces mouches ne sont pas très chères mais il faut souvent les commander.


Les blattes géantes ***

On peut scinder cette catégorie de blattes en deux groupes : les blattes ailées et les blattes souffleuses. Les blattes ailées le plus courantes sont Blaptica dubia, Blabera fusca ou Blaberus atropos, mais il en existe bien plus ! Les larves de blattes ressemblent aux adultes : elles sont formées mais n’ont pas d’ailes contrairement à leurs aînés. Les blattes ne passent pas par un stade larvaire sous la forme « classique » de larve comme les mouches ou les papillons (métamorphose complète), mais par des stades larvaires comme chez les criquets ou grillons (métamorphose incomplète). Ce qui fait que les larves peuvent être offertes aux insectivores. Les blattes ailées de grandes taille mesure entre 4 et 6 cm, les larves naissent à une taille de 5 mm environ, on peut donc les donner à des lézards de taille moyenne (20 cm minimum). Les adultes sont réservés à de grands insectivores et bons prédateurs : Lézards de plus de 50 cm. Car les blattes sont des insectes très vifs, qui s’accrochent fortement au substrat et dont la cuticule reste coriace. Leur prédateur ont souvent du mal à les maîtriser. De plus les blattes ont horreur de la lumière, elles sont photophobes, et une fois lâchées dans le terrarium elles n’ont qu’une idée c’est se cacher passant alors inaperçues aux prédateurs. Deux astuces : D’une part refroidir au « frigo » les blattes, d’autre part les mettre dans une boite aux parois lisses de 8-10 cm de haut. En effet les blattes ailées ne grimpent pas aux surface lisses ; Contrairement aux blattes souffleuse, dont les adultes sont également aptères et qui peuvent grimper sur le verre.

Les Gomphadorhina sont des blattes africaines mesurant à large adulte 8 à 10 cm. Lorsqu’elles sont attrapées elles soufflent très fort et peuvent faire peur aux prédateurs. Seuls les lézards de plus de 80 cm comme les Varans ou les Physignathus sont à même de maîtriser ces blattes et de s’en nourrir. Ces blattes en sont pas adaptées à des prédateurs peu véloces.

L’élevage des blattes est facile, mais il faut attendre 8 à 12 mois avant d’y toucher car le cycle est long (6 mois en général). Les blattes mangent de tout et c’est une nourriture de très bonne qualité, malheureusement sans les élever, elle reste chère en animalerie. L’élevage peut se faire dans une grande caisse (50x35x30 cm) maintenue à 25-27°C, le fond est garni d’éclats de hêtre, la décoration de contenants à pifs et la nourriture de divers fruits et de nourriture pour chiens en boite.

Les petites blattes ***

Ces petites espèces sont souvent faciles à élever mais rares en animalerie. Panchlora nivea ou Nauphoeta cinerea sont les plus répandues mais attention aux évasions ! Elles se transforment vite en pestes ! Il est préférable de calmer ces animaux en les plaçant quelque minutes au réfrigérateur et éviter d’en jeter trop dans le terrarium. Idéales pour nourrir les espèces arboricoles ou très agiles, il faut s’assurer qu’elles ne peuvent s’échapper ou se multiplier dans le terrarium. C’est parfois un gros problème, notamment avec des espèces fouisseuses comme les Scinques ou les amphibiens et qui demandent un substrat meuble, là où les blattes elles-même risque de pulluler. Certaines espèces volent, d’autres grimpent au vitre, les emprisonner dans une gamelle même aux parois hautes et lisses est inutile. Ce sont néanmoins des aliments d’excellente qualité et si vos scinques les acceptent mortes (tuées par congélation), n’hésitez pas ! Elles sont en revanche une bonne nourriture pour tus les lézards de plus de 20 cm ainsi que de nombreuses grenouilles et insectes prédateurs.

A voir : http://blattaria.new.fr/

http://amphibien.free.fr/pages/blattes.htm

Les lombrics **:

Il existe plus d’espèces et de variété de lombrics qu’on le croit ! Les vers de terre « classiques » (Lumbricus. sp.) et que l’on trouve dans son jardin, son compost ou en magasin de pêche sont souvent de taille moyenne à petite. Par congre les vers dits canadiens sont de gros vers vigoureux et très apprécies des gros lézards. Seuls inconvénients des lombrics : c’est gluant et ça colle ! Pas toujours facile à maîtriser et lors du combat (aussi amusant soit-il) le vers se couvre de substrat. Tous les lézards n’apprécient pas ! On peut néanmoins, découper les lombrics en petits morceaux appréciés par les petits lézards. Les espèces terrestres de milieux humides comme certains lézards (Tribolonotus, Ophisaurus…), les amphibiens terrestres, les tortues terrestres comme aquatiques. Néanmoins ce ne doit as être une nourriture de base car assez pauvre.

Les teignes de ruche.*

Ces petites teignes (Galleria melonella) sont intéressantes pour les petits lézards. Il s’agit d’un petit papillon que les apiculteurs maudissent autant qu’un terrariophile maudit les acariens. L ‘élevage est facile, mais l’insecte est envahissant. Les teignes de ruche sont utilisées par les pêcheurs mais beaucoup déconseillent ces larves vendues en magasins de pêche car parfois dopées avec de substances douteuses ! Si vous avez une cave, vous pouvez les élever dans un simple seau. Sinon elles ne sont pas facile à trouver. Aussi appréciées que pauvre du point de vue qualité nutritionnelles, c’est une nourriture d’appoint pour les petites espèces. A saupoudrer de calcium.

La suite...

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Les cétoines **:

Ce sont des coléoptères diurnes do,nt certaines espèces sont de toute beauté. Larves ou adultes sont souvent bien acceptées. Comme proie, ce sont en général des espèce de Pachnoda, les autres espèces étant moins prolifiques et plus difficiles à élever ne permettant pas un rendement suffisant ou alors sont recherchées par les terrariophiles comme animaux de terrarium à parte entière car beaucoup d’espèces de cétoines sont de magnifiques coléoptères dont l’élevage spécifique peu occuper à temps plein un terrariophile (à voir : www.cetolys.net ). Parfois, chez ses mêmes éleveurs, les surplus finissent dans l’estomac des lézards (j’en fait partie !). Néanmoins, la larve est surtout très grasse et les adultes sont coriaces et réservés à de gros lézards aux puissantes mâchoires (Petits varans, grands scincidés comme les Tiliqua, Novoeumeces...). C’est une bonne nourriture de remplacement ou simplement pour varier et stimuler les animaux (attention ! Elles en ont pas l’air, mais elles cavalent ces grosses larves !). Assez difficile à se procurer et à conserver, elle ne peut matériellement pas être utilisée en grande quantité et d’ailleurs n’aurait aucun intérêt du point de vue nutritionnel.

Les cloportes : ***

Ce ne sont pas des insectes mais des crustacés ! De ce faut, leur carapace n’est pas constituée de Chitine (substances difficile à digérer) mais de calcium ! d’où leur intérêt en terrariophilie. Il est facile de trouver des cloportes, sous les pierres, les tas de bois, dans les caves... Totalement inoffensifs, il existe plusieurs espèces en France, toutes sont utilisables. On conseille ces arthropodes notamment pour les amphibiens et les petits lézards comme Eublpeharis macularius, les Phelsuma, petits scinques et autres... Les cloportes n’aiment pas la lumière, ils cherchent de suite à se cacher et doivent être placés dans des récipients à parois lisses ou réservés à des prédateurs nocturnes. L’élevage est possible et parait-il, facile.

Un très bon site sur les cloportes : Cloporteweb. http://perso.orange.fr/zenza/

Ou alors : http://lemondedesinsectes.over-blog.com/article-96480.html


La nourriture pour chats et chiens *:

A la base, c’est prévu pour les chats ou chiens, pas pour les lézards ! Gras et parfois issus de morceaux d’origine douteuse, ce n’est pas une nourriture de première qualité mais appréciée ! Bien utile pour doper un animal un peu affaibli ou attirer un scinque un peu difficile vers d’autres aliments, on limitera cet aliments à une distribution par mois même si certaines éleveurs en donne une fois par semaine, mélangés simplement avec de la salade et des fruits.. Les dégâts à long terme sont certains ! En revanche, excelle te nourriture pour gonfler des blattes ou des grillons !

Un FAQ sur la nourriture pour chiens (pourvu que je ne me réincarne pas en chien !) : http://www.petfoodreport.com/fr/


La viande *:

Acceptée hachée ou en très petits morceaux par les espèces comme les Tiliqua ou certains varans, ce n’est pas une nourriture de bonne qualité car elle est surtout composée de protéines et de graisses (s’agissant en général de muscles). On peut faire un mélange de viande blanche (préférable à l viande rouge), de foie, de cœur de bœuf pour ajouter vitamines et éléments plus riches, mais c’est beaucoup de travail pour pas grand chose car la nourriture restera incomplète. Il vaut mieux réserver cette nourriture en cas de gros soucis d’approvisionnement et de l’écarter dans la plupart des cas.


Les escargots ***:

Très appréciés de nombreux scincidés car c’est une nourriture peu rapide et qu’ils trouvent facilement au sol. Cyclodomorphus gerrardii (Scincidés) et Draeceana guianensis (Téidés) en faont d’ailleurs leur principale nourriture, mais de nombreuses espèces assez lentes comme les Tiliqua (Scincidés) ou les tortues boites ainsi que les tortues aquatiques en raffolent. Chercher les escargots dans son jardin n’est pas sans risque, car votre voisin peut utilise des pesticides dans son jardin et indique ainsi les gastéropodes. De plus, certains escargots sont vecteurs de parasites internes. Ces derniers sont tués par congélation, les produits toxiques ex non ! Si vous chassez l’escargots (attention ! Il y a une législation, renseignez-vous ici !), chassez-le loin des cultures et autres activités humaine polluantes.. Je sais c’est de plus en plus dur à trouver ! Sinon, optez pour des escargots en boite (que l‘on peut congeler) ou dégottez un élevage d’escargots (élevage hélicicole) et voyez si vous pouvez négocier des escargots à bon prix (vu que vous les prenez natures). Les achatines sont des escargots tropicaux de grand taille, on les trouve également en boite ais on peut aussi les élever. Les limaces quant à elles sont rarement appréciées car trop « baveuses » !

A voir : http://escargot.free.fr/fra/index.html


En conclusion.

Les 7 meilleures nourritures :


Vers à soie si vous en trouvez !
Criquets
Grillons
blattes
souriceaux
escargots et limaces pour certaines espèces (Cyclodomorphus gerardii, Tiliqua sp., tortues boites ou aquatiques)
Cloportes (petites espèces)

Le reste, c’est de temps en temps....


Liens intéressants :

http://mygale.chez-alice.fr/nourriture.htm

http://abruley.free.fr/insect.htm

Article généraliste sur l’alimentation des reptiles : http://repssion.free.fr/la_nourriture.htm

Vincent NOËL - Tous droits réservés (septembre 2007)




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