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Chris371

La consanguinité

Messages recommandés

bbienvenue Poline..!

Que vas-tu ramener comme "sang" irlandais et qualités pour améliorer la race alors..??
Parce que je ne connais pas du tout l'élevage AA irlandais... :*1:
Qu'as-tu prévu comme tracage éventuel ?

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bbienvenue et me**e pour tout tes projets!!!!

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Chris37 a écrit:
bbienvenue Poline..!

Que vas-tu ramener comme "sang" irlandais et qualités pour améliorer la race alors..??
Parce que je ne connais pas du tout l'élevage AA irlandais... :*1:
Qu'as-tu prévu comme tracage éventuel ?


Je parle pour élogner la consenginité!!!! Généralement certaine personne qui vivent en france et qui on une femelle chercher des male en france, dans leur pays quoi!!! alors a force on se rend pas conte mais on reproduit le demi frère et ça c'est la consenginité qui tombe au fil du temps, les problème de santé arrive....TERRIBLE, alors je bveux metre du nouveau sang!!! Pour l'avenir de la race!! C'est assez logique!!

Merci pour l'acceuil et l'encouragement Chris37, missln22, juju(ta une magnifique fille!), sandrine.

Bisous :d34:

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Invité
Tu sais, je crois que chacun d'entre nous, ici sur ce forum, sait très bien ce qu'est la consanguinité et ceux qui veulent faire reproduire leur femelle y font très attention.
Et ceux qui importent, font également attention au patrimoine génétique du sujet qu'ils font entrer en France.
En ce qui te concerne, j'espère que tu as sérieusement étudié les origines de ton chiot, que tu connais les résultats de production de ses parents et bien sûr que tu peux suivre sur plusieurs générations qu'ils sont indemnes de maladies....
Car importer un futur étalon n'est pas un acte à prendre à la légère et à faire sur un coup de foudre.

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D'acc avec Anne So, il faut bien étudier la lignée, c'est pas parce que tu importe du nouveau sang que ça ne peut pas faire de dégat, et la consanguinité peut etre utilisée en repro pour fixer des qualités, ce n'est pas toujours mauvais.

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Virginie a écrit:
D'acc avec Anne So, il faut bien étudier la lignée, c'est pas parce que tu importe du nouveau sang que ça ne peut pas faire de dégat, et la consanguinité peut etre utilisée en repro pour fixer des qualités, ce n'est pas toujours mauvais.

Exact.... Il faut tout simplement savoir comment bien utiliser la consanguinité, bien l'encadrer..!
mais il ne sert à rien de la mettre en avant comme étant la pire des choses..!
Pour choisir un chien comme tu veux faire, il faut pouvoir avoir accès à bien plus de générations qu'il n'y a sur un simple pédigrée !!
Et se renseigner au maximum sur tous les ascendants, leur vie, leur mort, meurs co-latéraux, etc....
C'est pas un coup de foudre sur un chien de comagnie :*1:

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une mariage en consanguinité bien menée vaut mieux que du n'importe quoi avec des supers papiers!!!! ça c'est sur mais il y a une limite à respecter....maintenant que penser de mariages qui donnent du "mixed salad" et surtout des sujets peu homogènes et atteints de tares invalidantes qui sont réitérés ?

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SYLVE a écrit:
une mariage en consanguinité bien menée vaut mieux que du n'importe quoi avec des supers papiers!!!! ça c'est sur mais il y a une limite à respecter....maintenant que penser de mariages qui donnent du "mixed salad" et surtout des sujets peu homogènes et atteints de tares invalidantes qui sont réitérés ?

Comme je disais, la genétique a toujours le dernier mot..!
Et qlqfois, on n'a pas le résultat qu'on espérait..! :*1:

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Invité
Je vais bien étudier les assendant de mon chiot, posser beaucoup de question a l'éleveur mais nous avions bien étudier les éleveur en irlande et on a remarqué que cétait un élevage particulièrement attentionné par la race! Léleveur est extraimement cerieux ce qui est un très bon début.

Il a des chiens champion internationnal de beauté sans problème de santé!! Simplement l'éleveur a fait saillir une de ses chienne et les chiots sont né début janvier 2008. La femelle rentré d'une expo et quelle est la maladie qu'on trouve en expo?????! C'est la toux de chenil!!! Et bien les 6chiot sont mort!! Est que sa peut donner des résultats sur le niveaux de santé de lélevage ou c'est normal??

merci pour la réponce.

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Les problemes de santé a verifier sur plusieurs generations et descendant, sont des cas de VKH, Adenite sebacee, etc...

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les AA sont aussi atteinent du VKH?????????!!!

Au non me dites pas ça!SVP! pas le VKH.... No ppleur

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Invité
missln22 a écrit:
Il emmene la femelle en expo quand elle a des chiots?


En faite elle était pleine et la je vien de réalisé!! Je crois qu'il a emener ses chiens et il a pas voulu la laissez seul donc il la pris mais je pence qu'il la pas présenté!!!


Retournons au sujet:
vous pensez qu'il y a beaucoup de consenginité en france???

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Retournons au sujet:
vous pensez qu'il y a beaucoup de consenginité en france???


ca ressemble a un sujet de philo ton truc :m34:

la consanguinité, vaste debat

un chtite definition

Consanguinité
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, Rechercher
La consanguinité est la parenté entre deux personnes (ou plus généralement deux êtres vivants), ou à l'intérieur d'une population (même espèce).

Concept d'abord empirique et lié à l'élevage, ainsi qu'à certaines pratiques matrimoniales, il a été formalisé par la génétique avec la découverte des supports matériels de l'hérédité.

Il a été ensuite étendu, ce qui a conduit au concept de biodiversité, qui ne s'applique pas à une espèce mais à l'ensemble de la biosphère.

Sommaire [masquer]
1 Définition et mesure
2 Croyances et réalités
3 Etudes scientifiques sur la population des Hautes-Pyrénées
3.1 Liens externes



Définition et mesure [modifier]
La consanguinité entre deux individus (personnes ou animaux) se définit comme la proportion d'allèles identiques par descendance. C'est donc un nombre compris entre 0 et 1, souvent exprimé en pourcentage. Notez qu'il est bien question d'allèles et non de gènes : l'homme possèdant déjà entre 98,4 % et 98,6 % de ses gènes en commun avec le chimpanzé, un pourcentage sur les gènes serait à peu près inexploitable.

Deux clones, deux vrais jumeaux sont bien entendu parfaitement consanguins (100%). Ils ne sont pas pour autant identiques : les empreintes digitales de jumeaux diffèrent, les pelages de chats ou de bovins clonés aussi, etc.

La consanguinité de parent à enfant, en supposant une consanguinité nulle (cas d'école impossible en pratique ) entre les deux parents, est de 50 %. En effet, l'enfant partage dans ce cas la moitié de ses chromosomes (ou plus exactement de ses allèles, pour tenir compte des cas de cross-over) avec chacun de ses parents.

La consanguinité de ces enfants entre eux est en moyenne la même que celle vis-à-vis de leur parents. Cela implique qu'un enfant d'un accouplement entre frère et sœur a le même degré de consanguinité qu'un enfant d'un accouplement entre parent et enfant. La multiplication de ce type d'accouplement conduirait rapidement, sans l'apparition aléatoire de mutation parfois significative, à une consanguinité de 100%, c’est-à-dire à un clonage avec un unique allèle pour chaque caractère non sexuel (il resterait toujours la différence entre les chromosomes sexuels, X et Y) : au départ, chaque gène dispose d'au maximum 4 allèles différents (un pour chacun des deux chromosomes de chacun des deux parents), et à chaque accouplement chaque copie à une chance sur deux de disparaitre. Mais, inversement, il suffit d'un seul accouplement exogame pour faire immédiatement tomber la consanguinité à 0%

On peut également définir, sur cette base, une consanguinité moyenne dans une population, comme la moyenne des consanguinités. Elle dépendra du nombre de variantes (allèles) du même gène qui sont disponibles dans la population, et donc du nombre d'ancêtres différents qui ont fondé la population considérée et du taux de mutation depuis cette fondation.


Croyances et réalités [modifier]
Au XIXe siècle des écrivains expliquent la tare héréditaire ou congénitale par l'influence néfaste d'une consanguinité importante (considéré comme un facteur explicatif de décadence par exemple dans des familles royales et peut-être justificatif de la nécessité de leur disparition et par là des révolutions).

La consanguinité était également la règle des sociétés rurales, voire de toutes les sociétés humaines, par la difficulté matérielle qu'il y avait à chercher femme ailleurs. La terre n'aurait pu par ailleurs porter le nombre d'ancêtres théoriques qu'a chaque individu, soit plus d'un milliard d'ancêtres théoriques à la trentième génération aux alentours de l'an mil.

Certes, il est incontestable que la procréation consanguine concentre certaines caractéristiques génétiques défavorables.





Etudes scientifiques sur la population des Hautes-Pyrénées [modifier]
En 2002, une étude fut menée sur les populations rurales des Hautes-Pyrénées (France). Cette étude dirigée par le CNRS avait la particularité de regrouper des scientifiques mais aussi des historiens, des anthropologues et des sociologues. Les groupements/sociétés suivant furent impliqués dans les investigations: La société des généticiens (spécialisés sur les mutations dans l'Histoire des allèles), la société des historiens des Hautes-Pyrénées, l'institut de la sociologie des Hautes-Pyrénées et enfin l'institut de l'anthropologie du Midi-Pyrénées. Cette étude visait notamment à retracer les flux migratoires ruraux de la zone et les interactions des individus dans un milieu isolé, c'est à dire loin des courants migratoires favorables à une diversité bio-culturelle. Etaient visées également l'influence du regroupement de ces habitants durant l'Histoire sur une période donnée (analyse tant historique que sociologique) et les altérations génétiques qui en decoulaient telle que la consanguinité.

Les analyses de cette enquêtes furent publiées lors du dernier trimestre 2005 notamment dans la revue Genômes et Cahiers français des études anthropologiques. Les résultats et les interprétations publiés montrent une forte concentration de problèmes consanguins au sein des communes rurales du département plus ou moins prononcés. Cela touche 80% de la population étudiée. Toutefois, les auteurs de l'enquête soulignent que cela ne signifie pas que toute la population souffre de dégénérescence. Certaines altérations découvertes sont aussi présentes dans d'autres populations, et sont propres aux populations européènnes. Cependant, certaines altérations majeures sont spécifiques à la communauté étudiée. Ce seraient le résultat d'un renfermenent de celle-ci et d'une volonté de préserver certains attributs tant matériels qu'abstraits. C'est ainsi que des mariages entre cousins permettaient d'une part des garder les terres cultivables, sources de richesses au sein de la même famille et d'autre part d'empécher un étranger de rentrer dans cette communauté. Cette tendance fut vraie jusqu'à la fin de la seconde Guerre Mondiale. Pour autant, ces spécificités perdurent de nos jours puisque ce schéma consanguin est ancré depuis plusieurs siècles dans toute la région, et l'ouverture auprès d'une souche biogénétique différente reste un probléme sociologique de l'ouverture d'un individu sur l'étranger. A noter également que furent retrouvées des caractéristiques génétiques propres aux populations d'Afrique du nord qui ont ensuite mutées caractérisant la population locale. L'explication de cette présence vient du fait que des populations Nord Africaines pénétrent le territoire au cours de l'Histoire de France tel au VIIIe siècle.

Ces résultats sur la consanguinité contrarièrent certaines personnalités des Hautes Pyrénées. L'une d'entres elles, par l'intermédiaire du quotidien Midi Pyrénées en janvier 2006, dit que 'si on donne de la drogue à un imbécile, ce dernier rédigera un papier scientifique de ce genre'.

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Le choix des reproducteurs et consanguinité

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L'apparition de la vie, puis les milliards d'années d'évolution ont abouti non seulement à l'homo sapiens, mais aussi à toutes les formes de vie sur notre planète. S'il est certain que les protozoaires et les amibes sont nos lointains ancêtres, les années, les climats, les hasards des mutations génétiques ont joué leur rôle pour faire de nous ce que nous sommes.

Si demain vous décidez de recréer l'homme à partir d'amibes, il vous suffira de quelques milliards d'années, de retrouver les conditions climatiques géologiques et l'activité solaire identiques aux milliards d'années déjà écoulées et d'avoir une incroyablement improbable chance d'obtenir les mêmes mutations génétiques pour y arriver.

Pour votre élevage, il en est un peu de même en ce qui concerne le choix des reproducteurs. Plus vous partirez de reproducteurs d'un haut niveau, plus il y a de probabilités (il s'agit bien de probabilités et non de certitudes !) que vous réussirez à avoir de beaux chiots. Si vous ne profitez pas du travail de sélection de la nature et des éleveurs qui vous ont précédé, avec du temps et de la chance vous y arriverez peut-être aussi. Ce n'est qu'une question de probabilité. Vous n'aurez par contre AUCUNE chance d'y parvenir si le capital génétique de tous les reproducteurs successifs que vous allez utiliser ne comporte pas les gènes des caractères recherchés. Il vous faudra attendre une mutation génétique favorable, et alors là : patience et bonne chance !

Partons du postulat que vous possédez une petite femelle et que vous voulez avoir de beaux chiots. Votre chienne étant d'un certain niveau, elle transmettra la moitié de ses gênes à ses bébés, l'autre moitié proviendra de l'étalon. Le niveau de l'étalon peut être jaugé au travers des instruments de sélection (voir grille de sélection) qui, s'ils ne sont pas absolus car principalement basés sur le phénotype, méritent tout de même d'exister. Plus l'étalon en question sera consanguin, plus il aura de chances d'être homozygote pour les caractères recherchés et plus vous aurez de chances de les récupérer pour vos futurs bébés. Voila pourquoi il est plus que souhaitable que non seulement le niveau de l'étalon soit élevé et supérieur à celui de votre chienne, mais encore qu'il soit issu d'une lignée fortement consanguine.

Si vous souhaitez de beaux chiots, mettez un maximum de chances de votre côté. La situation idéale est que les 2 géniteurs soient de vrais cracks, ce qui relève du loto lorsqu'on démarre son élevage en achetant la femelle à 2-3 mois. L'étalon "crack" lui, même s'il n'est pas chez vous, reste souvent accessible.

Dès que vous vous serez lancé dans le choix des reproducteurs, vous vous trouverez donc face à un point incontournable, la consanguinité. Elle peut être la meilleure et la pire des choses car elle a pour particularité de fixer les caractéristiques génétiques d'une souche. Ces caractéristiques peuvent être très recherchées ou pas du tout et on parle alors de tares.

Chez les animaux sauvages qui vivent en société, généralement seul le mâle dominant s'accouple avec les femelles qui sont souvent ses sœurs, ses filles, ses cousines etc… Soit il a de grandes qualités génétiques qui seront fixées dans sa souche du fait de la consanguinité et cette souche perdurera. Soit il véhicule certaines tares génétiques préjudiciables et à nouveau du fait de la consanguinité elles seront fixées aussi mais, soumise la rigueur de la sélection naturelle qui ne tolère aucune faiblesse, sa souche ainsi diminuée finira par disparaître.

Tous les dangers de l'élevage consanguin décidé par l'homme résident là. L'homme qui sélectionne par consanguinité ses animaux reproducteurs n'est pas, loin s'en faut, aussi rigoureux que la nature par rapport aux animaux qu'il aura produit. Il s'acharnera à essayer de faire vivre et reproduire les sujets porteurs de tares génétiques importantes allant ainsi droit vers l'impasse et la catastrophe. Voila pourquoi beaucoup de spécialistes (vétérinaires) mettent la consanguinité à l'index : ils n'ont (souvent à juste titre) qu'une confiance limitée dans les capacités et la rigueur de la sélection de l'éleveur et préfèrent conseiller une voie à moindre risque.

N'oublions pas toutefois que de nombreuses grandes races de chiens sont issues d'un nombre très restreint de géniteurs.

La consanguinité existe dans la nature et est partout autour de nous. D'ailleurs ne peuvent s'accoupler que les espèces avec un certain degré de consanguinité (un chien avec un chien mais pas un chien avec un chat). Il ne faudrait donc parler que de degré de consanguinité et non pas de consanguinité tout court. Si aucune n'apparaît dans le pedigree de votre chien, vous la retrouverez si vous pouvez "remonter" de quelques générations de plus. Ce n'est donc qu'une question d'information.

Si dans le pedigree de vos chiots apparaît à plusieurs reprises le nom d'un géniteur, cela prouve une consanguinité plus ou moins forte. Ce qui importe c'est de connaître la valeur génétique de ce géniteur. Est-il reproducteur Elite, a-t-il reproduit de très beaux sujets, a-t-il un excellent caractère ? Si la réponse est oui c'est une consanguinité intéressante. Si au contraire c'est un chien quelconque, à la limite du type et qui a déjà notoirement transmis des tares c'est une consanguinité catastrophique.

La consanguinité permet l'établissement de souches avec des caractéristiques fixées. Il est intéressant ensuite, si l'on veut introduire dans cette souche d'autres caractéristiques qui lui manquent de procéder à une retrempe, à savoir de trouver un reproducteur d'une autre souche bien distincte (mais avec une consanguinité forte à l'intérieur de cette souche) et chez laquelle ces caractéristiques qui manquent à la première sont bien fixées.

Pour simplifier, si votre chienne a de très belles oreilles et que c'est le cas de presque tous ses frères, sœurs et cousins et que ces belles oreilles sont dues au reproducteur X très présent dans leur ascendance, il est souhaitable de la marier avec un chien issu d'une souche consanguine sur le reproducteur Y où la situation est la même concernant les yeux. Ainsi vous aurez des chances d'avoir une partie des chiots avec de belles oreilles et de beaux yeux et qui retransmettront ces deux facteurs à leur propre descendance.

Notons au passage que, du fait de l'homozygotie qu'elle induit, seule la consanguinité permet l'éradication de certaines tares dues à un gène récessif.

Si c'est une méthode de choix pour un bon élevage de sélection, la consanguinité ne pardonne pas la médiocrité des géniteurs ou du sélectionneur vis-à-vis des gènes majeurs. Ceux qui auront eu la chance de partir avec un bon stock de gènes et de peu se tromper en route auront d'excellents résultats. Inversement si un éleveur clame qu'il est contre la consanguinité, il proclame du même coup son ignorance et son incompétence.

Pourquoi alors cette odeur de souffre autour de la consanguinité ? Tout d'abord parce que chez les humains elle est entourée de considérations morales, religieuses ou patrimoniales qui n'ont rien à voir avec la génétique. La génétique humaine elle-même est "suspecte" dès que l'on s'y intéresse. Certains exemples du passé récent ont d'ailleurs de quoi nous faire frémir et méritent de rester longtemps dans la mémoire collective. Notre éthique nous interdit toute sélection génétique sur l'homme.

L'homme se permet de braver les lois de la nature et de la génétique grâce aux progrès d'une médecine de plus en plus performante. Il a même pratiqué la génétique à rebours en envoyant d'une part se faire tuer à la guerre des classes entières de "jeunes mâles sains" et laissant à la maison et, oserais-je dire "à la reproduction", les autres. Heureusement les survivants, le "système D" et les "planqués" ont quelque peu atténué ces aberrations.

Il n'en reste pas moins que comme en éducation, l'anthropomorphisme n'est pas de mise en sélection canine et nous ne devons en aucun cas transposer en génétique animale les interdits et les tabous que nous impose la morale en génétique humaine.

* Beaucoup d'entre vous l'auront constaté, cet article est fortement inspiré par les travaux du Professeur Guy Queinnec.


http://www.ccce.org/infos_generales/selection_genetique/consanguinite.html

pourquoi reecrire ce qui est asssez clair :pà:

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Invité
petite définition..... :m34: :m34: :m34: :m34:

Laisse moi lire apprès je te dirais si j'aime mais tu est un très "renseigneur"!!(chez pas ci ce mot existe! :m34: )

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Invité
Sa y est j'ai tout lu!! Interresssent mais j'ai repéré un petit truc que j'ai du mal a piger:

"Voila pourquoi il est plus que souhaitable que non seulement le niveau de l'étalon soit élevé et supérieur à celui de votre chienne, mais encore qu'il soit issu d'une lignée fortement consanguine."

mais si il est issu d'une forte consenginité alors il y aurra de grois problème de senté et les fameuses TARES surgiront!!!! :*1:

Aussi quand jétait petite, je savais que les deux parents donnez aux enfant la matier chaqu'un de leur consenginité!donc 50% mais j'ai toujours crue que comme ma soeur avais pareil que moi alors avec elle j'avais le meme sang!!100% :m34: jétait petite :p0:

Bisous

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Invité
ou est le probleme de la consanguinité si on connait ses lignées?
peu de soucis si les eleveurs font du bon boulot (pas naisseur, eleveurs), c'est meme le Beaba de la sélection!! tout du moins dans le cheval ou un trotteur ou cheval de course est souvent pres des 50% de taux de consanguinité, je ne vois pas le soucis chez le chien,
sauf idée preconsue de, les consanguin ce sont des "tarés"

expliquez moi si effectivement il existe un soucis chez le chien, ca pourra orienter ma selection canine( chien de compagnie cool et sans soucis de maladie autre que congénitale) , la consanguinité equine ayant été pour moi une chose normale voire obligatoire?

je ne cherche pas une discussion stérile, juste à savoir!

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les consanguin ce sont des "tarés"
La consanguinité ne donne pas systématiquement des chiens "tarés" !
Mais si tu as 2 chiens qui ont le même courant de sang et qui ont la même "tare" génétique (connue ou surtout inconnue) là tu vas multiplier les problèmes, pas juste les ajouter Wink

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ma suki est issue d'un demi frere et d'une demi soeur... on ne le savait pas en la réservant car on y connaissait rien et on n'avait pas penser à regarder les pedigree des parents...
quoi qu'il en soit elle n'est pas "taré" dans le sens "barge" ou folle.
je pense que j'ai une chienne bien dans ses pattes et dans sa tete.
en revanche, je pense que ce mariage consanguin fixe du coup une "tare"... et fragilise la santé de ces chiots.
sur le mariage d'avant ma chienne, il y a eu deux chiot sur 6 décédé du VKH tres jeune... et quasiment tous ont des problemes de santé sur ces chiens là.
donc quand on y connait rien, à fortiori sur les lignées et leurs soucis on ne fait pas de consanguinité.

bizoo

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la consanguinité équine ou canine est un vaste débat..........

je pense qu'un éleveur qui connait bien ses lignées et ses qualités peut travailler en consanguinité dans des limites acceptables. il y a un bouquin trés intéressant qui prone la consanguinité jusqu'à 20 % (conseil d'élevage et abrégé de génétique) au delà ????? ça peut devenir limite dans des races trés trés rare où on est obligé de recourir à la "retrempe" mais c'est un autre débat...................

apparement en chien de travail (je commence à m'y intéresser) les éleveurs "serrent" beaucoup en consanguinité pour fixer des qualités. aprés ça dépend ce qu'on recherche.

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d'ailleurs à ce propos.... je n'ai jamais réussi à calculer le % de consanguinté sur suki....
quelqu'un sait il le faire ??

bizoo

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normalement tu as un logiciel d'élevage qui calcule automatiquement.............aprés pour le calcul c'est trés compliqué car il y a 1/2 2/2 ou 3/3...........jamais ça un dimanche soir :Ejè:

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ou est le probleme de la consanguinité si on connait ses lignées?


tu parles bien le langage éléveur je trouve :pà: c est pareil en cheval alors?

peu de soucis si les eleveurs font du bon boulot (pas naisseur, eleveurs), c'est meme le Beaba de la sélection!! tout du moins dans le cheval ou un trotteur ou cheval de course est souvent pres des 50% de taux de consanguinité, je ne vois pas le soucis chez le chien,
sauf idée preconsue de, les consanguin ce sont des "tarés"



ce ne sont pas que des idées preconsue, regarde les méfaits de la consanguinité sur l homme, dire le contraire est aberrant, tu crois que les mariage frere soeur ou entre cousin sont interdits en france pour une simple idee qu y en a un qui s est levé un matin en ce disant que c etait pas bien :m34:



expliquez moi si effectivement il existe un soucis chez le chien, ca pourra orienter ma selection canine

( chien de compagnie cool et sans soucis de maladie autre que congénitale) ,


t'eleve quoi comme race? du husky?du border? y en a pas beaucoup de race sans maladie


la consanguinité equine ayant été pour moi une chose normale voire obligatoire?
.

c est comme pour les baudets c est tellement rare dans l espece qu ils sont bien obligé mais attention à la maitrise derrière c est du super boulot

je ne cherche pas une discussion stérile, juste à savoir!


c est le but d un fofo apres je ne sais pas ou tu place la fecondité d une conversation :pà:
tu verra ici les conversation sont animées et fort distrayantes

mais du coup j ai pas compris, t eleve un autre race et tu vveux te lancer dans l americain? y en a pas mal d eleveur en transition ici aussi, tu trouvera surement conseil
ou t eleve du cheval?


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SYLVE a écrit:


apparement en chien de travail (je commence à m'y intéresser) les éleveurs "serrent" beaucoup en consanguinité pour fixer des qualités. aprés ça dépend ce qu'on recherche.

Malheureusement, quand tu arrives à fixer des qualités, il y a inévitablerment des défauts qui se fixent aussi... :*1:

Et pour stabiliser d'un côté en essayant d'eradiquer de l'autre, ça ne se fait pas sur une seule génération..! scratch

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Invité
a SISKO
pas d'elevage, sauf peut etre les souris qui courent au grenier!!!
non les chevaux et vaches souvenir de famille, les vosges profondes ne sont pas connu en premier lieu pour leurs industries!

et que vient faire un chevalet la dedans a part couper du bois? Suspect

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Invité
je vais m'initier un peu dans votre conversation,c'ets un sujet que j'appréci tout particulièrement,car j'adore la génétique.
Je peux vous affirmer que meme si vous mariez un frère avec sa soeur,il n'y aurait pas de chiens dégénéré,seul des chiots plus petits en gabarit adultes,et plus faibles contre les maladies.
De plus la consanguinité fixe les genes c'est a dire quelle est a double tranchant;par la vous fixez aussi bien les qualitées que les défauts,ainsi dans une meme portée vous obtenez des chiots homogenes très bons comme des très mauvais.
Mai aussi,suivant si c'est de la consanguinité rapprochée ou éloignée les réusltats diffrerons.
Pour moi il ne faut pas jouer aux apprentis sorciers surtout avec des chiens ou des chats car le but est de ne pas appauvrir le patrimoine génétique de la race ce qui nuirrait a son bon dévellopement :pà:

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Je déterre un peu le sujet, excusez-moi!

Parle t-on de consanguinité entre "père-fille" ou "mère-fils", au même titre que "frère et soeur" ?
Jusqu'ici j'ai toujours crû qu'il était naturel, voire normal de marier un père avec sa fille par exemple.
Qu'en est-il vraiment ?
Merci d'avance

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