Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
SISKO

HéraultIl tue le chien qui a mordu son fils (akita)

Messages recommandés

Akuma a écrit:
Source : http://www.midilibre.com/articles/2009/06/02/20090602-BEZIERS-Il-tue-le-chien-qui-a-mordu-son-fils.php5


HéraultIl tue le chien qui a mordu son fils
Mis à jour à 19 h 10 - Mercredi dernier, un adolescent de 14 ans qui s'amusait chez un copain à Maureilhan s'est fait mordre sévèrement à l'avant-bras par le chien de la famille. Le père de la victime a alors pris son fusil de chasse et aurait tiré à deux reprises sur l'animal.

Le second coup l'atteignant à la tête tuant le chien. Quant à l'adolescent, il a dû être opéré d'urgence. Le comité de soutien à la cause animale a contacté la fondation Bardot qui devrait se porter partie civile aux côtés des proprétaires du chien. Ceux-ci devraient porter plainte contre le père de la victime. Ce dernier pourrait aussi porter plainte contre les propriétaires du chien, un akita.

Plus d'informations demain dans votre édition locale de Midi Libre.



http://fr.news.yahoo.com/63/20090602/tfr-son-fils-se-fait-mordre-il-tue-le-ch-019dcf9.html

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
http://www.midilibre.com/articles/2009/06/03/20090603-BEZIERS-A-Maureilhan-il-tue-le-chien-qui-a-mordu-son-fils.php5#reaction

Édition du mercredi 3 juin 2009

MaureilhanIl tue le chien qui a mordu son fils
Mercredi dernier, en début d'après-midi, alors que des adolescents s'amusaient dans une villa de Maureilhan, l'un d'entre eux s'est fait mordre à l'avant-bras droit par le chien de la famille : un akita, une race assez puissante. La mère du jeune qui accueillait ses amis a tout de suite accompagné le copain de son fils âgé de 14 ans chez lui, un peu plus bas, dans la même rue.

Alors qu'elle était en train d'expliquer aux parents ce qui s'était passé, le père de la victime a pris un fusil et, s'apprêtant à sortir, aurait dit, selon la mère : « Je vais tuer le chien. » Elle poursuit : « Il est sorti. Dans la précipitation, j'avais poussé les portes de chez moi, mais je ne les avais pas fermées à clef. Lorsque le père est sorti, je n'ai pas osé le suivre, je n'y croyais
pas. De plus, j'étais encore très choquée. Quand il est revenu, je continuais à m'excuser. Il a fait de même. C'est là que j'ai compris qu'il avait tué mon chien. Je me suis donc précipité chez moi, il y avait déjà les gendarmes de Capestang et la police municipale. Les voisines m'ont expliqué ce qui s'était passé. Il y avait trois impacts de balles : un sur le mur, et deux sur le chien. » Une voisine ayant vu la scène raconte : « J'habite la maison d'à-côté. C'était environ 14 h 30. Comme j'entendais du bruit, j'ai regardé par la fenêtre. Le portail et la porte d'entrée de ma voisine étaient fermés. J'ai vu l'homme entrer dans le jardin, ouvrir la porte d'entrée. Il a fait sortir le chien dans la cour, lui a tiré deux fois dessus, la deuxième fois, de très près, dans la tête. »

Et de conclure : « Une véritable exécution ! » Elle a donc alerté la gendarmerie de Capestang et une autre voisine la police municipale. Arrivées sur place, la scène s'étant déroulée très vite, les forces de l'ordre n'ont pu que faire les constatations d'usage.

Quant à la version du père de l'adolescent mordu, elle diffère : « Je suis sorti de chez moi car je voulais d'abord savoir si le chien ne divaguait pas dans les rues, n'était pas un danger pour autrui. Lorsque je suis arrivé chez la propriétaire, tout était ouvert, la porte d'entrée comme le portillon du jardin. Et le chien s'est précipité vers moi, en furie. J'ai eu peur, pour moi, mais surtout pour les autres. J'avais le fusil, j'ai tiré une première fois, je l'ai raté, la deuxième a été la bonne. Mais je ne suis jamais entré dans le jardin. Tout s'est passé depuis l'extérieur. ».

L'adolescent gravement blessé au bras a été conduit à l'hôpital de Béziers. Il n'en est sorti qu'hier après avoir subi une opération. Ses parents n'ont pas souhaité se prononcer sur un éventuel dépôt de plainte.

Toujours hier, la famille, dont le chien a été tué, se disait encore « très choquée par la réaction disproportionnée du papa ». Elle s'est rendue à la gendarmerie de Capestang pour porter plainte. « Mais le gendarme qui nous a reçus nous a dissuadés de porter plainte de suite, nous conseillant de ne le faire que si la famille de la victime portait plainte. Mais nous allons le faire quoi qu'il arrive. »

Enfin, Michèle Perlini, présidente du comité de soutien à la cause animale, a déclaré être « horrifiée » de la réaction du père. « Le comité ne peut pas encore se constituer partie civile car il n'a pas cinq ans d'existence. » Contact a donc été pris avec la fondation Bardot.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
cf a voir les commentaires en suite d article

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...