Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
Fidjy

Les prédateurs des oiseaux: chauves souris, moustiques...

Messages recommandés

les prédateurs des oiseaux:
Les Rongeurs (rats, souris), les Serpents, la Fouine et la Belette, le Chat, le Renard, le Blaireau, le rapaces diurnes, le rapaces nocturnes, les pesticides, les chauves-souris, les écureuils (eh oui, ils mangent les oeufs), les moustiques...

Les principaux oiseaux de proie observés dans nos jardins sont
: les hibous et chouettes, l'Autour, l'Épervier brun, la Crécerelle d'Amérique, la Buse à queue rousse, le Faucon pélerin et l'Émérillon
Les Corneilles, Pie-grièches, Mainates (quiscales) et Étourneaux sont aussi des sérieux prédateurs.
Le faucon crécerelle, est aussi appelé émouchet. Parmi les oiseaux prédateurs, une pie-grièche écorcheur s'intéressait de près aux petits oiseaux exotiques. Elle a du se décourager, après quelques jours elle n'est plus revenue. Voici l'adresse d'un site où l'on trouve des tas d'informations sur oiseaux prédateurs du jour : Les Rapaces Diurnes (http://perso.wanadoo.fr/marie-christine.dehayes/Index.htm)
Les rapaces peuvent blesser des oiseaux imprudents qui se tiennent trop près du grillage. Ils les effraient aussi considérablement. Les oiseaux de volière retrouvent des réflexes naturels de méfiance, et savent reconnaître un prédateur. Un merle qui se pose au-dessus de leur tête ne les effraie pas, contrairement à un rapace.

Des chauves-souris consommatrices d'oiseaux en plein vol
La plus grande chauve-souris d'Europe, Nyctalus lasiopterus, principalement présente en Italie et en Espagne, capture des oiseaux en migration et donc en plein vol afin de se nourrir, selon des scientifiques espagnols. Il s'agit de la seule espèce connue à prendre régulièrement comme proie des oiseaux, a déclaré Carlos Ibanez de la Estacion Biologica de Donana, Sevilla (Espagne). Ces conclusions découlent non seulement de l'analyse de la fiente de ces chauves-souris mais aussi de leurs performances de vol et de la fréquence des ondes sonores qu'elles utilisent pour capturer leurs proies. Ce sont les oiseaux traversant la Méditerranée durant le printemps et l'hiver qui constituent, semble-t-il, leurs mets de choix.
La plupart des chauves-souris se nourrissent d'insectes. Quelques-unes seulement, parmi lesquelles les grandes chauves-souris tropicales, sont consommatrices de viande. "Ces recherches sont très intéressantes et surprenantes" a déclaré Andreas Seit, secrétaire exécutif de l'Unep(United Nations Environment Programme) - Eurobats. La revue Proceedings of the National Academy of Sciences en fait état.


Les moustiques:
Les oiseaux de la famille des corvidés sont très vulnérables au virus du Nil occidental, et de nombreux sujets meurent rapidement après avoir été infectés. L’étude d’oiseaux morts appartenant à la famille des corneilles (corvidés) est l’un des premiers indices indiquant la présence de moustiques infectés dans une région.
Sachez que certains oiseaux mangent les moustiques:
La raison déterminante vient du régime alimentaire spécialisé de l'hirondelle. Elle ne mange que des insectes volants qui disparaissent totalement l'hiver alors que dans le même temps, l'Afrique en regorge.
Sachez que nos oiseaux sont piqués par nos moustiques et transmettent des maladies à nos pious, ils peuvent en mourir. Pour les éviter ne mettez pas n'importe quel produits dans l'air nocif pour l'oiseau et pour l'homme...

Fouine et belette
La Fouine est un bel animal. Animal à l'activité nocturne, elle se nourrit de divers oiseaux, oeufs, souris, rats, lombrics, fruits, etc. Les déjections sont rassemblées près de son gîte. Les crottes sont de la taille d'un doigt. Son corps mesure env. 45 cm, et sa queue 25 cm. Elle ira plutôt s'installer dans votre grenier plutôt que dans votre volière.

Il en va autrement pour la Belette. Ce petit Mustélidé roux au ventre blanc est assez frondeur. La belette croquera les oiseaux de préférence à leurs oeufs.
Une jeune belette, par un jour ensoleillé, escaladait la volière où elle avait aperçu les oiseaux. Ceux-ci étaient étonnés, pas vraiment effrayés. Elle a couru en tous sens, sur les parois et le toit, malgré ma présence à moins de 3 mètres d'elle. Très longue, bien étirée et agile, elle semblait capable de se faufiler par n'importe quelle ouverture aussi petite qu'elle soit. Cela se passait pendant une courte période où nous n'avions plus de chien. Maintenant, bien que notre chien ne soit pas agressif avec les animaux sauvages, les belettes gardent leurs distances.
Pour se protéger d'elles, le meilleur remède est d'avoir installé un grillage à maille fines. C'est un bon grimpeur et un animal très souple.

Le Blaireau
Le blaireau européen (Meles meles)est un important risque pour une volière, même si une fois introduit il a peu de chances de capturer un oiseau.
D'un poids allant environ de 9 à 13 kg, il est facile à reconnaître : sa face blanche est traversée par une large bande noire, de chaque côté de la tête, allant du museau aux oreilles. Il a une démarche de petit ours. On peut le rencontrer la nuit, à la campagne. Il est armé de redoutables griffes et d'une solide dentition. Il peut être dangereux pour les chiens.
Nous avons eu la visite d'un blaireau, dans la volière, une des rares nuits où le chien était absent car nous partions en vacances.

Le Chat
Bien qu'il soit un animal de compagnie fort agréable, le chat reste un prédateur pour un oiseau. J'estime qu'un chat n'a rien à faire chez un éleveur d'oiseaux. Surtout si celui-ci souhaite aussi la présence d'oiseaux sauvages.
Au cours de la première année d'existence de notre volière, elle était équipée d'un filet en guise de toit. Le poids d'un chat marchant sur ce filet lui a permis d'atteindre le nid d'un petit cordon-bleu, situé tout en haut d'un arbre. L'oiseau a été tué, d'un coup de griffes.
C'est à la suite de cela que nous avons remplacé le filet par du grillage. Le chat n'a plus jamais réussi à toucher l'un des oiseaux, et n'est pas revenu. Il s'agissait du chat d'une ferme voisine.

Le Renard
Nous partageons notre territoire avec un blaireau, mais aussi avec un renard.
Jamais le renard n'a posé de problèmes. La présence du chien, pour lui aussi, est dissuasive.

Sur un sol de volière non protégé, on peut aussi recevoir la visite d'une taupe, et, pourquoi pas, d'un lapin de garenne ! Mais le risque est trop grand de laisser entrer un prédateur : pas de sol sans protection efficace.

Parmi les Rongeurs, il n'y a pas que les Rats et les Souris. On trouve aussi les Campagnols, les Mulots, les Lérots, les Loirs. La Musaraigne est le plus petit mammifère que nous ayons en France (ce n'est pas un Rongeur, et elle consomme des insectes). On rencontre diverses Souris, Rats ainsi que le Surmulot. Dans les soins de la volière, nous avons rencontré des Souris, Mulots, Musaraignes, jamais de Rats ou autres Rongeur plus important.

Connaître l'ennemi : il est important de savoir distinguer quel est l'intrus, quand on se rend compte qu'un rongeur s'est glissé dans la volière. C'est pour cela que je tente de décrire les différents rongeurs que l'on peut rencontrer.

Ces animaux sont vecteurs de maladies graves pour les Oiseaux. En particulier elles sont des porteurs de la pseudo-tuberculose. Les rongeurs peuvent aussi apporter la salmonellose, parmi d'autres maladies plus rares chez les oiseaux. Les souris consomment la nourriture des oiseaux et, parfois, peuvent détruire une couvée ou, la nuit, blesser un oiseau.
Le Surmulot (appelé rat d'égout), gros rongeur d'à peu près 500g pour 25cm env. avec une queue plus courte que le corps, est omnivore et peut manger des canetons et des poussins. Le Rat noir, plus petit (env. 20 cm, avec la queue plus longue que le corps), est omnivore lui aussi mais préfère les céréales. Heureusement pour nos petits oiseaux, ils ne sont pas très présents dans notre campagne. Ou bien peut-être sont-ils très discrets, au point que nous ignorons leur existence. Leurs habitudes de vie sont différentes : le premier vit dans l'humidité et les caves, le deuxième plutôt dans les greniers, au sec. La crotte du Rat noir présente la forme d'un grain de riz; elle est plus courte et d'un diamètre plus important chez le Surmulot.
La souris adulte, env. 8cm sans la queue (~8cm aussi), ainsi que le Mulot, peuvent se glisser par des trous d'un diamètre de 2 cm. Beaucoup de Français(es?) craignent les Souris. Ce que je reproche à ces indésirables, pour la vie de la Volière, c'est leur acharnement à vouloir rentrer. La minuscule Musaraigne (env. 10 cm avec la queue) ne semble pas faire de fréquentes visites, et c'est un petit animal plutôt sympathique.

Les serpents
Nous avons chaque année de nombreuses couleuvres. Pas de vipères. Les adultes sont de taille imposante, mais ne présentent aucun danger pour les oiseaux en volière. Elles ne peuvent pas entrer. Par contre, une jeune couleuvre peut se glisser entre les mailles du grillage.
Régulièrement, dispersons un répulsif sur le socle de béton de la volière, à l'extérieur.

Par son activité dévorante d’espace, l’homme modifie, appauvrit les habitats naturels, pourtant les oiseaux sont de précieux auxiliaires pour limiter les insectes et rongeurs, alors donnons-leur un petit coup de pouce, ils nous le rendront au centuple à la belle saison, et nous ferons des "économies" de pesticide !
Heureusement il reste encore les haies bocagères.
Parlons en de ces haies, avant dans nos campagnes, les champs étaient bordés de haies bocagères, on dénombrait alors jusqu’à 80 espèces pour 100 km2 (source CTIFL). Aujourd’hui par l’agriculture intensive, par l’urbanisation, on arrache, on rase. En 40 ans, on a arraché, en France 2 millions de Km de haies réduisant le taux d’occupation à 15 espèces d’oiseaux pour 100 km2 ! Sans parler de ces haies strictes de type Thuyas, que l’on plante à tour de bras pour se cacher du voisinage, mais sans aucun intérêt écologique. Bien au contraire, elles augmentent le risque de prolifération de parasites et de maladies. En effet, dans une haie mixte si une plante est malade, on la soigne, au pire on la change, mais on ne touche pas à toute la haie.Mais alors ?
Et oui, adieu chouette, hirondelles, mésanges… Si utiles pour la protection de nos jardins. Prenons, par exemple, notre cher Carpocapse des pommes ou des poires dont la larve rend le fruit impropre à la consommation. Après avoir accompli sa croissance dans le fruit, la larve tisse, à l’automne, un cocon dans l’écorce de l’arbre ou dans le sol, duquel sortira un papillon. Or beaucoup d’oiseaux, comme les mésanges, prospectent ces lieux à la recherche des cocons. Des études ont démontré que sur 1 arbre, le taux de capture pouvait dépasser les 90 % ! Que de parasites en moins pour l’année suivante.
De même, pour élever ses petits, la mésange effectue jusqu’à 900 parties de chasse par jour, sans oublier que pour passer l’hiver, elle stockera environ 14 kg d’insectes.
Quand à la chouette, un couple consomme 4 000 proies par an, comprenant mulots, souris, insectes… Malheureusement ces dernières sont aujourd’hui victimes du trafic routier : 20 000 effraies tuées par an, allant parfois sur certaines portions autoroutières à 1 effraie par Km et par an (source CTIFL).

Les chiens et les chats.
Un chien peut être dompté à ne pas déranger les oiseaux au jardin et dans les mangeoires mais pas un chat.
Contre les chats il n'y a que des clochettes attachées à leur cou qui soit efficace, cela rend leur approche moins silentieuse et avertit les oiseaux

Les écureuils.

Le plus grand problème auquel vous aurez à faire face à vos mangeoires sera les écureuils. Ils s'approprient des mangeoires pour eux seuls, en chassent les oiseaux et parfois même les tuent. Il existe un tas de petits trucs pour les en éloigner temporairement, ils sont tous totalement inefficaces.
L'écureuil est très habile et très rusé, il réussira presque toujours à vous déjouer. La meilleure solution est de leur aménager un plateau de tournesol et d'arachides, mieux vaut vivre avec eux que contre eux.


à suivre... volondulee

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Mais que pouvons-nous faire ? Un exemple:

Nous avons le couvert, offrons à nos auxiliaires un gîte par la pose de nichoirs. Ces derniers doivent cependant répondre à certains critères. Ils doivent être robustes, résistants à la pluie, au vent, aux attaques des pics et des rongeurs, qui agrandissent le trou d’envol pour attaquer la couvée. Ils doivent être faciles à nettoyer pour évacuer la litière laissée par les couvées et souvent infestée de parasites. De même, chaque nichoir doit correspondre au type d’oiseaux que l’on veut accueillir. On veillera alors à la forme du nid, au diamètre du trou d’envol, à son volume intérieur. Lors de la pose dans les jardins et les vergers, le trou d’envol sera orienté au sud-est, dans les bois à l’abri du vent, le trou d’envol sera toujours tourné vers la lumière. On évitera cependant de suspendre le gîte au-dessus de l’eau (rivière, bassin) ou d’une surface dure (terrasse) afin que les premiers vols de nos oisillons ne se terminent pas en noyade ou par un crash. De même ne pas mettre de perchoir devant le trou d’envol, il facilite l’accès aux prédateurs.La surconsommation
Les additifs contiennent souvent des substances chimiques qui, à forte dose, provoqueraient ballonnements, nausées puis vomissements. Afin d'éviter de tels problèmes, une dose journalière admissible (DJA), en dessous de laquelle aucun effet n'est constaté sur l'organisme, a été définie pour certains additifs, sans pour autant lever le problème de l'information des consommateurs.L’hiver venu, on posera des postes de nourriture, pour les aider à passer la mauvaise saison et les retrouver ainsi en bonne santé au printemps suivant.
Alors entre nous, n’est-il pas plus agréable et utile de se faire réveiller par un merle que par les klaxons urbains.

Pour protéger une volière de ces pirates :


La nasse C'est ce que nous utilisons. Des nasses sont installées à demeure, dans lesquelles un bout d'Emmenthal sert d'appât. Une fois la souris ou le mulot capturé, il est relâché loin de la volière.
Il faut contrôler quotidiennement la capture, pour ne pas laisser l'animal dépérir.

Le poison Cela est barbare, mais en cas de grosse infestation par les souris certains n'ont pas trouvé d'autre solution. Le danger, bien sûr, est de deux ordres : empoisonnement direct des Oiseaux, et l'empoisonnement d'autres animaux par les souris mortes.
Pour éviter d'intoxiquer les oiseaux, il ne faut JAMAIS utiliser de grain empoisonné.
Il existe des produits à base de graisses, sous forme de blocs colorés en bleu, que l'on place dans un récipient fermé ou l'on pratique un trou de 2 cm au maximum, posé au sol. Limaces, escargots et fourmis sont susceptibles de déplacer des fragments : donc veiller à détecter tout petit morceau coloré qui pourrait se retrouver sur le passage des oiseaux.
C'est une solution dangereuse, à éviter.

Protection du sol
Le sol de la volière doit être tapissé de grillage, mailles de 1,2 maximum. Cela laisse encore le passage de jeunes Souris et Mulots. La nasse pour cela est utile. Si des plantations sont faites en pleine terre, cela crée des points de faiblesse dans le sol de la volière, il faut prendre quelques précautions, à prévoir à la construction de la volière.
Protection des murs et du toit Lors de la construction d'une volière extérieure, il est préférable de prévoir pour les parois et le toit un grillage à petites mailles (env. 1,2 cm). Là aussi, il arrive que de jeunes Mulots ou Souris parviennent à se faufiler.
Si la volière est peuplée de gros oiseaux agressifs, de la taille d'un toucan, capables de se défendre contre un rongeur, la taille des mailles peut avoir moins d'importance. Un mainate ou autre oiseau de taille équivalente ne sont pas aptes à éloigner un rongeur ni à le détruire.
Il faut veiller et vérifier régulièrement l'état des parois et des jonctions des panneaux de construction

AUTRE:

http://acheter.conrad.fr/chasse_oiseaux_electronique.asp

Quels genres d'oiseaux devrais-je essayer d'attirer pour contrôler les moustiques et les guêpes ?

Pour réduire les populations de moustiques, attirez des oiseaux qui mangent des insectes en plein vol. Les principaux oiseaux sont l'hirondelle bicolore, l'hirondelle à face blanche et l'hirondelle rustique. Le tyran tritri attrape aussi des insectes en plein vol.

De nombreux autres oiseaux insectivores peuvent aider à contrôler les guêpes et, possiblement, les moustiques, notamment la mésange, le troglodyte familier, le moqueur chat, le merle bleu, le viréo, la paruline, l'oriole, le tangara et même certains bruants comme le bruant familier. Même les oiseaux granivores aident à réduire les populations de moustiques, puisqu'ils en nourrissent leurs petits au printemps.

En rendant votre cour invitante pour vos amis ailés, les oiseaux que vous attirez vous aideront à réduire les problèmes d'insectes, mais ils ne les élimineront pas complètement.

Pour attirer les oiseaux, vous devez répondre à leurs besoins essentiels : nourriture, eau, abri et espace. Plus il y a de variétés d'arbres, de fleurs et d'arbustes dans votre jardin, plus les espèces d'oiseaux que vous attirerez seront variées. Les insectes seront attirés par les fleurs indigènes ainsi que par les arbres et les arbustes fruitiers (cerisiers, ciriers et groseilliers), qui attireront à leur tour de nombreux oiseaux chanteurs qui se nourrissent d'insectes et de petits fruits. Les postes d'alimentation d'hiver qui offrent des graines de tournesol et du suif aideront aussi à attirer des oiseaux insectivores.
Certains oiseaux comme l'hirondelle bicolore, le merle bleu et la mésange se serviront de maisons et de nichoirs. De nombreux autres ont besoin de sites de nidification naturels dans des conifères, des arbres feuillus ou des arbustes.
Connaissez vous d'autres exemples pour aider nos oiseaux?
volondulee volondulee

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Je vois, mon Fidj, que ton ordinateur remarche !

cartonne

Je n'ai qu'un pigeon dans ma courette.... Et un merle, des fois, mais là, je ne l'ai pas vu depuis longtemps.

En revanche, j'ai plein de p'tites souris sauvages chez moi (une portée sans doute, j'en ai d'jà choppé trois, toutes minuscules).

Je les crains comme la peste mais je suis incapable de les tuer.

Cette nuit, j'en ai vu filer une de mon salon à la cuisine (elle se restaure dans la petite cage de Calypso, qui n'a plus le droit de ne monter que sur son toît, du coup). Puis je l'ai entendue couiner dans la cuisine, donc elle n'était pas seule.

Une autre squatte ma chambre depuis une bonne semaine. Je l'entends bondir sous mon lit et grignoter les graines que fait tomber Calypso lorsqu'il picore sur mon bureau.

Je n'ai plus de cage piège (deux souriceaux sont dedans) et j'ai la flemme de me rendre aux Halles (on gèle à Paris). Alors j'ai l'intention de me servir de ma corbeille à papiers : j'y ai mis des graines de tournesol et du millet dans le fond, j'ai recouvert de déchets divers (papiers, kleenex, squelettes de grappe de raisin) et surtout d'un sac de bonbons en plastique très bruyant qui m'avertira si elle s'y risque. J'ai à portée de main un numéro de mon mensuel AIM, format A3... Dès que j'entendrai le plastique chanter, HOP, emprisonnée la p'tite souris ! Ensuite, le schéma classique : baignoir etc...

Comme quoi, même si j'y travaille plus, AIM me sert encore !

PS. Mes multiples souris se fichent complètement de l'emmenthal (ou du gruyère)... Je me demande s'il ne s'agit pas d'une idée préconçue.
En revanche, elles ne résistent ni aux graines de tournesol, ni certaines, au millet.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Je rapporte des messages d'internautes:

"Après les chats qui s'en prennent directement aux oiseaux tout en restant à l'extérieur, les souris qui viennent se nourir dans les mangeoires, voilà qu'un de mes oiseaux a disparu la nuit dernière, le prédateur était un lérot.
En construisant mes volières, j'avais en tête que les occupants ne devaient pas pouvoir en sortir ; en fait, il faut aussi penser au fait qu'aucun animal ne puisse y pénétrer."

Chats » Prévention des dégats

"Comme une partie (minoritaire, je pense) d'éleveurs, j'élève des oiseaux une grande partie de l'année en volières extérieures.
Très rapidement, tous les chats du voisinage (que je dois être le seul à considérer comme errants) sont venus visiter mes volières, à noter que ces chats ont des propriétaires qui trouvent normal de laisser minou se ballader dehors seul de jour comme de nuit. Il a malheuresement fallut que je perde un oiseau pour intervenir auprès des volières, un grillage galvanisé mailles carrées de 10(mm) ne suffit pas puisque le chat peut toujours enfoncer une de ses griffes dans le corps de l'oiseau,j'ai donc opté pour un double grillage, le premier écarté du second d'env. 3-4 cms.
C'était çà où laisser le chien dehors la nuit. Il y aurait aussi le poison (la solution radicale) mais bon, c'est pas très sympa pour les chats, c'est interdit (les chats ne sont pas considérés comme des "nuisibles") et surtout, d'autres animaux réellement sauvages pourraient en souffrir, méthode fortement déconseillée donc.
J'habite un petit village d'une centaine d'habitants, ce qui fait pas mal de chats, moi aussi ils sont venus après les volières... Donc je voudrais faire part de mon idée, je n'aime pas personnellement le double grillage je trouve que nous voyons mal les oiseaux à l'intérieur. Ce que moi j'ai fais, j'ai simplement mis 2 fils électriques (appareil parc à vaches ou moutons) au bord du toit, ce qui fait que les chats montent mais au moment de passer sur le toit il se font secouer et sautent et en général 1-2 fois et on ne les revois plus... Car personnellement avec mes oiseaux j'ai remarqué que le chat qui monte au treillis ne leur fait pas peur, mais du moment qu'il se trouve sur le toit c'est la panique, alors là il ne peut pas arriver sur le toit."

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Souris » Prévention des dégats

J'ai lu quelque part que pour dissuader les souris et autres rongeurs du genre de venir dans les volières il faut y maintenir...
des cobayes (cochons d'Inde) mais avez vous essayé?
Se contenter de protéger les mangeoires, celles-ci ne sont plus accrochées directement au grillage mais sur un piquet métallique en T dont le pied est enduit de glue et çà marche.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Grottes de Roumanie, fortification de Pologne, cathédrale du Berry, pénétrez silencieusement dans l'intimité des chauves-souris. Souvent assimilées à des "oiseaux de mauvais augure", elles ont pourtant une importance vitale dans l'écosystème. 29 espèces européennes, plus de 900 à l'échelle mondiale, ces étonnants animaux sont les seuls mammifères volants.

Pour la première fois, un film présente l'évolution, la biologie et le comportement des chauves-souris d'Europe. Tourné en milieu naturel avec des sujets non manipulés, ce documentaire montre ces mammifères sous un nouveau jour.

Grâce à des caméras infrarouges adaptées aux conditions souterraines et des images de synthèse, ce documentaire permet d'assister aux différentes étapes de la capture d'un insecte, à l'hibernation d'une colonie de petites souris ailées ou encore à leurs accouplements. allez voir un extrait gratuit de ce documentaire:


http://www.vodeo.tv/94-23-1879-Les-Chauves-Souris.html?visu=1879 volondulee

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...