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luciole1

Freeflight ou Vol libre

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Pourquoi je pense que les oiseaux doivent voler librement » de Chis Biro. Traduit par Wen
http://www.parrotchronicles.com/mayjune2003/procon.htm Version originale

« Je pratique le vol libre en extérieur pour mes perroquets. Pourquoi ? Parce que je pense que c’est mieux pour eux, pour leur santé autant physique que mentale, et parce que j’adore les voir se développer et vivre leur meilleur potentiel. Je crois également que je peux leur offrir cet important aspect de leurs vies avec des risques minimaux. Je crois vraiment que je peux entraîner mes oiseaux à voler d'une manière qui est sûre ou même plus sûre que la vie qu’ils pourraient avoir avec les ailes coupées.


macao Janis en vol libre
Le premier perroquet que j’ai dressé au vol libre de manière totale, était une femelle ara chloroptère du nom de Janis. Mes techniques d’entraînement étaient alors primaires : je l’envoyais essentiellement vers un perchoir et la rappelais à moi et ainsi de suite. Mais elles ont malgré tout fonctionné car Janis était très jeune. Elle n’avait que 12 semaines quand je l’ai prise chez un ami éleveur.

Même si je vivais de mon travail de dresseur pour spectacles de perroquets, je n’avais pas beaucoup de contact avec le monde aviaire à ce moment. Je ne savais pas où trouver des informations pour entraîner un oiseau au vol libre en extérieur (et il s’est avéré qu’il n’en existait pas beaucoup). Alors je me suis débrouillé le mieux que je pouvais en apprenant de mes erreurs et de mes expériences. De chaque erreur, je ne retirais pas seulement une importante leçon sur le dressage, mais je devais aussi faire face au sort d’avoir à récupérer les oiseaux lâchés.

Quand j'ai commencé me renseigner sur Internet sur la manière de garder des oiseaux pratiquant le vol libre, il est rapidement apparu que quiconque prétendant savoir quoique ce soit sur les soins pour perroquets étaient opposés de manière inflexibles à cette pratique. Beaucoup m'ont dis « J’aime trop mon perroquet pour risquer de le perdre » en sous-entendant que je n’aimais pas les miens vu que je prenais ce risque. Après tant de confrontations sur internet qui résultèrent à mon bannissement d’un important groupe de discussion par e-mail, quelqu'un a suggéré de commencer mon propre groupe. En 1999, j’ai lancé la liste du « vol libre » sur Yahoogroups.com. C'est devenu une précieuse source d'information et de soutien pour les personnes souhaitant vivre avec et entraîner des oiseaux au vol libre.

Aujourd'hui j'ai neuf perroquets que je laisse régulièrement voler à l’extérieur de la maison ou sur des champs de foire à travers le pays. Après la notation de milliers d'heures de vol libre réussis, l'été passé j'ai perdu mon premier oiseau. En présentation dans le nord de la Californie, mon très précieux youyou du Sénégal, Beamer, est mort suite à une collision avec la fenêtre d’un building en dehors du terrain.


Ce dont les perroquets ont besoin

Alors pourquoi quelqu’un prend tant de risques avec ses oiseaux ? Pour avoir la réponse, nous devons d’abord répondre à quelques questions sur les besoins de perroquets. Imaginez pendant un moment deux sortes d’animaux, une limace et un colibri par exemple. La limace avance si lentement qu’elle passe toute sa vie dans une zone de 15 mètres carré. Le colibri voyage si loin et si vite qu’au cours de sa vie il voit plusieurs continents Maintenant réfléchissez comment la nature a fourni à ces deux animaux un ensemble différent de capacités et de conditions mentales. Même s’ils pouvaient commuter leurs styles de vie, seraient-ils bien mentalement ? La limace pourrait-elle s’adapter à faire des manoeuvres rapides ou traverser des océans? Le colibri pourrait-il s’adapter à voyager à un pas de tortue ou à vivre dans un espace à deux dimensions au niveau du sol ? La nature a dotés les perroquets d'une intelligence incroyable à égalité avec les singes, les dauphins et les baleines. Ce niveau élevé d'intelligence n'exigerait-il pas de stimulus environnemental adaptés pour la garder fonctionnelle ou l’empêcher de développer de sévères troubles mentaux tel que le piquage ?

Commençons par le sens de la mobilité que le vol donne à un oiseau. Pouvons-nous simplement arrêter cet élément sans causer des effets secondaires sérieux? La moitié des propriétaires de perroquet n'a jamais vu comme un oiseau volant en liberté peut-être actif et mobile. Mes oiseaux sont dehors toute la journée ! Ils volent de cet arbre à celui-là et se chassent en cercles autour de la maison et du verger. Mes oiseaux en vol libre sont comme des athlètes olympiques finement préparés qui semblent prendre plaisir à l'acte physique du vol. Pendant qu'ils esquivent et se frayent un chemin entre les branches et les barrières, autour des arbres et des bâtiments, c’est comme s’ils s’échauffaient pour un entraînement de routine. Plus ils sont restés dans leurs cages, plus ils volent avec vigueur quand ils sont relâchés.

La recherche scientifique a prouvé que le système respiratoire d'un oiseau est tellement spécifiquement conçu pour le vol qu'il ne fonctionne à pleine capacité que lorsque celui-ci est en vol. Si leurs corps sont si harmonisés avec le vol, n'est-il pas possible que leurs esprits le soient également ? Nous savons qu'un niveau élevé de forme physique et mentale est important pour la survie des perroquets sauvages. Je pense qu’être en forme physiquement permet à l’oiseau de compagnie de l’être aussi mentalement.

A quel point le jeu est-il important pour eux ? Il apparaît immédiatement à quiconque observant des oiseaux de vol libre en action qu'ils sont des créatures extrêmement espiègles. Mes oiseaux semblent montrer tellement de joie en jouant en vol, que les premiers commentaires des visiteurs se rapportent habituellement au fait qu’ils ont vraiment l’air de s’amuser. Cela prend généralement quelques minutes aux gens pour regagner le contrôle de leurs bouches grandes ouvertes pendant qu'ils observent les oiseaux esquiver et voler comme des flèches, faire des zigzags et plonger, faire la course et planer au dessus de la propriété.

Comme les oiseaux ayant les ailes taillées semblent sérieux et serein en comparaison.

Comment est-ce qu'un changement si dramatique affecte-t-il leur bien être et leur santé mentale ?

Quand mes oiseaux de vol libre ne sont pas en démonstration, ils se laissent aller, jouant « le roi de la brindille » ou avec moi. Plusieurs de mes conures et aras aiment l’élastique qui retient mes longs cheveux dans une queue de cheval. Mes oiseaux ayant les ailes taillées par contre doivent attendre jusqu'à ce que je les laisse sortir de leurs cages. Qui joue le plus avec moi est évident. Nous savons comment les enfants réagissent quand d’autres obtiennent plus d'attention qu’eux. Mes oiseaux aux ailes rognées se sentent-ils comme étant moins importants, ou passant après? Je me sens souvent triste pour ceux auquel je n'ai pas encore pu accorder la liberté de vol.


De meilleurs communicateurs

Voler donne aussi aux oiseaux la chance de vocaliser convenablement. Pour les perroquets de vol libre, rester en contact avec les autres membres du groupe est crucial pour leur survie. Les cris de contact servent de balises pour garder le groupe orienté et ensemble, moins susceptibles d’être attaqués par un prédateur. Je ne peux pas m’empêcher de me demander si cela fait aussi partie de la manière dont les perroquets sauvages trouvent leur compagnon dans la nature. Hurlez suffisamment fort et quelqu'un de bon intérêt pourraient venir vous étudier comme une option potentielle de compagnonnage, qui sait? Comme cela doit être frustrant de passer votre vie seul dans une cage, criant dans l’espoir d’attirer un compagnon sans jamais recevoir de réponse ?

En comparaison, mes perroquets de vol libre semblent avoir des dons de communication plus avancés que ceux qui sont cloués au sol. Mes « vol libre » utilisent leurs cris d’une manière totalement différente, réservant les sons les plus forts pour des buts spécifiques comme le signalement d’un danger immédiat. Cette différence pourrait-elle aussi avoir un effet sur la forme mentale d'un perroquet aux ailes taillées ?


Contrôler la menace des faucons

En fait, je me demande si la capacité de voler correctement pourrait soulager un autre problème psychique qu’ont les perroquets de compagnie aux ailes taillées : la peur d’être physiquement blessé. Les perroquets ont une crainte instinctive des objets qui volent lentement en cercles ou traversent le ciel. J'ai observé la manière dont les oiseaux domestiques et ayant les ailes coupées réagissaient à la vue d’un faucon volant en cercle ou d’un avion visibles de loin quand ils les apercevaient à travers une fenêtre. Quel effet cela a-t-il sur le perroquet de compagnie, d’avoir cette peur instinctive, mais de ne pas pouvoir y répondre convenablement? Est-il possible qu’à chaque fois qu’ils voient une telle menace ils sentent de la crainte et de l’impuissance ? A l’opposé, le perroquet de vol libre, sait qu'il peut efficacement affronter de telles menaces tant qu’il reste au meilleur de sa forme, pratique des manœuvres d’esquive et reste mentalement alerte.

J'ai observé mes oiseaux en vol libre esquiver des attaques de faucon avec succès plus d’une douzaine de fois. Aujourd'hui, quand ils voient un rapace, souvent ils s’envolent en criant sauvagement vers le faucon et forment des cercles, conduisant généralement à la fuite du rapace. Ces craintes peuvent-elles être éliminées de la vie d’un oiseau de compagnie ? Je ne pense pas. Au minimum, il pourrait être difficile de vivre en ayant perdu la capacité de surpasser ces peurs pour reprendre confiance, et au pire, cela pourrait finir par créer de sérieux troubles mentaux

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La peur de tomber

Dans un exemple moins dramatique, il est évident pour moi qu'aucun de mes oiseaux de vol libre n'a la plus légère crainte de tomber. Ils savent qu'ils n’ont qu’à ouvrir leurs ailes et voler vers un endroit plus sûr. Mes oiseaux aux ailes coupés sont des grimpeurs très méticuleux et soigneux. Ils usent souvent énormément d’énergie pour aller là où d'autres perroquets sauteraient simplement, suggérant ainsi qu’en fait ils ont développé un forte crainte de tomber. Combien de fois avons-nous vu un perroquet aux ailes taillées, sursauter, lâchant par là même le perchoir, pour tomber lourdement sur le sol ? Les blessures qui s’en suivent peuvent être très douloureuses. Pourtant les réponses instinctives à la peur sont le sursaut et la fuite et donc le déplacement de l’oiseau. Quel genre de conflits psychologiques ceci peut-il leur créer ? Mais la plupart des personnes ne pensent pas à ces conséquences. Habituellement, quand ils débattent sur laisser ou non leur oiseau voler, les gens parlent des dangers des rapaces, des voitures, des voisins, des toilettes, des fenêtres, des portes ouvertes, des poêles chaudes et des collisions avec les murs. Les rapaces sont probablement les seuls éléments de la liste qui ont vraiment une signification

Par exemple, je n'ai même jamais vu mes perroquets s’approcher d’une voiture - mais je les ai observés avec succès manoeuvrer entre les rayons d’une grande roue en mouvement. Il est certainement possible à un perroquet de vol libre de tomber dans une cuvette de toilette ouverte, de rentrer dans le mur ou la fenêtre fermée, mais il y a peu de risques avec un oiseau doué pour le vol. Normalement ce n’est un problème que pour les débutants, mais ils volent tellement lentement qu’ils ne se blessent pas sérieusement.

Si un perroquet entraîné au vol libre s'échappe hors d'une porte ou d'une fenêtre ouverte, il sera bien plus facile de le récupérer que n'importe quel perroquet aux ailes partiellement coupées. En fait, il est le plus difficile de récupérer ce dernier. Il n'est pas aussi bon pour contrôler sa direction et sa vitesse surtout dans sa condition physique moins bonne que celle d’un oiseau pratiquant régulièrement le vol libre. Il ne sait pas ce que « vient ici Polly » veut dire, alors que les oiseaux entraînés au vol libre comprennent la signification d’un signal de rappel, du moins à un certain degré.

Je me demande combien d'accidents se sont produits spécifiquement parce qu'un oiseau ne pouvait pas voler. Le seul autre oiseau que j'ai perdu au cours d’un de mes spectacles était aussi un youyou du Sénégal appelé Bandit. Bandit a été tué devant un publique quand un chien divaguant a foncé jusqu'à son perchoir. Bandit a essayé de s’envoler pour un endroit plus sûr, mais il avait les ailes taillées. Au lieu de cela j'ai dû arracher le pauvre Bandit hors de la bouche de ce bulldog. Il est mort dans mes mains quelques moments plus tard. Si Bandit avait eu la capacité de voler il aurait survécu à cette expérience.

La réalité est que couper les ailes d'un oiseau a son propre ensemble de risques. Tous les propriétaires de perroquet doivent évaluer leurs conditions et niveaux de compétence et décider ce qui est le meilleur pour leurs oiseaux.


Entraîner ou couper les ailes ?

Alors est-ce facile de dresser un perroquet au vol libre ? Cela varie en fonction de l’oiseau et de son propriétaire. Je sais une chose: la formation n'est pas une option, elle est nécessaire. Se contenter de laisser les plumes de l’oiseau se développer n’est pas suffisant. En fait, un oiseau avec les ailes entières mais aucune formation deviendra probablement par la suite un oiseau perdu. Je crois que chaque propriétaire d'oiseau devrait s'exercer ou couper. Même des perroquets de vol libre en intérieur, à mon avis, devraient être formés comme s’ils étaient destinés à pratiquer en extérieur, car vous ne savez jamais quand ils risquent de s’échapper. Je crois également que, même si je pense que le vol libre est l’apothéose dans l'expérience d’un perroquet de compagnie, tous les perroquet de compagnie et tous les propriétaires ne sont pas de bons candidats pour le dressage.

Premièrement, je décourage généralement les personnes d'essayer de former des oiseaux d'adultes pour le vol libre extérieur. Je forme seulement des bébés, juste avant qu'ils soient sevrés, et je choisis mes étudiants soigneusement. Beaucoup d'oiseaux adultes peuvent apprendre à voler, mais ils apprennent beaucoup plus lentement, ce qui les expose à plus de risques. Il peut falloir des mois à un oiseau d'adulte pour apprendre ce qu'un oisillon apprend en quelques minutes. Pour la plupart des perroquets de compagnie, je préférerais vraiment voir leurs propriétaires construire de larges volières ou encourager leurs oiseaux à voler à l'intérieur, particulièrement les oiseaux plus petits, qui peuvent réellement gagner un certain avantage. Il est dur pour de plus grands oiseaux tels que des aras de voler à l'intérieur. En se retrouvant de nouveau avec leurs ailes entières, ils pourrait réellement perdre plus de leur liberté qu’en gagner. Peut-être que le plus grand avantage du vol libre est la manière dont ça vous force à devenir un meilleur entraîneur.

On ne peut pas vivre avec les mêmes règles pour un perroquet de vol libre qu’avec un perroquet aux ailes coupées. Il est tout simplement trop facile de forcer un perroquet aux ailes rognées à supporter toutes les injustices pour lesquelles un oiseau « entier » volerait simplement plus loin pour les éviter. Soudainement, le propriétaire doit être plus conscient de la façon dont les interactions affecteront l'attitude du perroquet. Les besoins et les intérêts des humains ne sont plus nécessairement primordiaux. Au lieu de cela, la cohabitation devient un jeu joué à égalité. En vérité, un perroquet aux ailes taillées bénéficierait aussi considérablement de telles relations améliorées.

Je vois un meilleur entraînement comme le plus grand cadeau que les partisans de vol libre, comme un groupe, doivent offrir au monde aviaire d’aujourd’hui. Quand vous pratiquez le vol libre, vous n'avez simplement pas d’autre choix que d’apprendre à mieux manipuler les méthodes, telles que le dressage au « clicker » (un tout autre sujet) - ou vous perdez votre oiseau. C’est comme pour le monde cynophile (les chiens), nous devons seulement apprendre à appliquer ce que la science a déjà découvert au sujet du renfort positif (note de la traductrice ‘ndlt’ : un site sur le cliker-training en français : http://membres.lycos.fr/clickertraining/ ) .


Pas de retour en arrière

La plupart des personnes qui ont avec succès formé un perroquet de vol libre disent qu'il n'y a pas de retour en arrière. L'expérience de vol libre est vraiment une de celles qui « doit être expérimentée pour être comprise ».

Pour finir, je crois que les propriétaires de perroquets de vol libre auront plus à offrir qu'une vie améliorée pour leurs oiseaux ou eux-mêmes. Je crois que les entraîneurs de vol libre peuvent par la suite soulever les normes de la façon dont tous les perroquets sont formés et gardés."


Au sujet de l’auteur:

Chis Biro vit à Amboy, Wash, où il élève et entraîne actuellement élevant et formant les « Conures à gros bec»

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Bon en attendant vos reac....... je mets quelques photos de perroquets EAM vivant en liberté (les ailes ne sont pas rognées)

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magnifique photos
mais j'aurais trop peur de le faire
je ne pourrais pas vivre sans mes boules de plumes alors je ne prendrais pas le risque de faire ça
bizzzzz biloutte chapo

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freeflight

Cosmo, un macaw d'bleu-et-or possédé par le partisan Chris Biro de freeflight, prépare pour débarquer pendant une exécution à une foire



Doyen Moser lance Raina, un macaw, sur un bluff près de sa maison dans Windsor, Colo




La plupart des praticiens du freeflight commencent à l'intérieur, formant leurs oiseaux pour exécuter les houblons courts à partir du bras à la perche et graduellement ajoutant la distance.

Après plusieurs mois - ou parfois années, dans le cas des oiseaux d'adulte - les propriétaires commencent à pratiquer le même point pour diriger des houblons dehors.

Cockatoos, macaws, gris africains et conures sont considérés parmi les meilleurs candidats parce qu'ils répondent bien à la formation de rappel.
Mais toutes les espèces de perroquet font de bons freeflyers



Phoebe, le gris africain de Janet Jeanpierre en libre-vol glisse au-dessus du désert en dehors de Riyadh, Arabie Saoudite tous les week-end pendant une heure.

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Daniel Vuillamy, éleveur et producteur de Perroquets de Spectacle.
Titulaire Certificat de Capacité d'élevage et de présentation au public délivré par le Ministère de l'Environnement le 17 septembre 1989 .

Ici dans un moment de détente et de complicité avec des perruches à collier en liberté disposant de toutes leurs capacités de vol .

Créateur du Parc des Perroquets de spectacles en France


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Jamais un sujet comme celui ne m'a autant interréssé,

Pour anectode, j'habite a proximité d'un parc aviaire, le Parc des oiseaux situé à Villars les Dombes dans le 01.

Je recommande à tous d'aller y faire un tour il ont une "cité des perroquets" à tomber par terre.

Je discutais avec un soigneur a propos d'un couple d'ara macao en liberté, j'avais remarqué que le tronc de l'arbre ou etait installé le nid était entouré de plaque de zinc, je lui posait donc la question.

Sa réponse: deux roles, empecher les rongeurs de pouvoir acceder au nid et a la femelle de descendre, elle avait les ailes rognées.

Le couple passait donc l'année dehors, se reproduisant regulierement, le male s'eloignant dans la campagne environante a meme 15 ou 20 km de la et se chargeant de nourrir la femelle et les petits.

Le soigneur m'a aussi raconté que lors de ses observations sur la population migratrice du parc, il avait observé le male ara se faire attaquer par une buse, manque de bol pour elle elle a raté son coup, ce qui rendit fou monsieur ara se trouvant pres du nid.

Resultat, un ara qui poursuit une buse et qui sous la colère repart avec une patte de buse dans le bec.

Comme quoi chez les grandes especes, le risque existe mais si ils ont l'habitude et l'experience acquise au cours d'une vie "sauvage", nos rapaces indigènes ne representent qu'un risque relatif.

Pour info, le soigneur m'a confirmé qu'un gros psittacidé de type ara est parfaitement capable de briser un manche à balai sous le coup de la colère sans aucun problème.

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C'est pas le moment de se ballader à poil à coté de la femelle de ce Aras alors lol! lol! Je suis très intérréssé aussi, c'est mon rêve, je trouve ça magique ces oiseaux, quel bonheur!...très intéréssant ton histoire merci Bon je veindrai chez toi pour voir les oiseaux lol! lol! lol! :pens:

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Pour un macao c'est ok, mais les petits et même les moyens perroquets y laisseraient leur peau.

merci de nous faire partager cette histoire qui est de plus intéressante.
Les aras sont de magnifiques perroquets......et n'est pas Ara qui veut !

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Voici Tinkerbell, un gris du Gabon (congo) avec Shanlung en Freeflight dans la ville de Taiwan. Magnifique !

Cliquez sur FREEFLIGHT pour voir plus d'images.

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Ah il est cool, le beau barbichu !!!! (celui de la fin de la page un)


Jolies pompes ! Jolie casquette !

Pardon, c'est l'heure de mon délire quotidien.

Mais sa pose me fait rigoler .... Il a l'air si sérieux !....


:bravo: :bravo: :bravo: :bravo:

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Ah ! Tu parles de Daniel Vuilamy ?
Ben ! en France, on n'a pas grand monde qui pratique le vol libre.

Moi, je reste bouche bée d’admiration devant Tinkerbell. Sacrée complicité entre lui et Shanlung et c’est très bon pour mon moral.

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Tu es allé sur le site de Shanlung , il y a beaucoup d'images. C'est mieux qu'une vidéo, non :question:

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Coucou à tous ! sunny

Moi je reviens sur le fil à la patte et le harnais. Le fil à la patte (expression d'oiseau lol) je ne sais pas.... Mais j'ai lu que le harnais pouvait leur briser le brechet....

Qu'en pensent nos experts ?????

Pour la petite histoire :

Le 18 août de cette année, un oiseau m'attendait devant la porte de mon immeuble. Il devait être 20 h, je revenais des courses et l'animal pioutait terrible. Pas mal de voitures naviguent dans cette rue, alors je me suis penchée et je l'ai attrapé, sans problème, d'une main.
Il ne ressemblait pas vraiment à un moineau. Même petite taille, même bec pointu mais les plumes de sa queue était bordées de jaune. Son torse était perlé.

J'ai toujours des cages en réserve. Donc, je l'ai confortablement installé et je lui ai acheté des graines. Il n'arrivait pas à picorer (il avait encore des petites plumes de bébé, notamment un toupet, qui a fini par partir). Il pioutait de faim inlassablement, alors j'ai essayé le pain mouillé, puis je me suis procurée de la pâtée aux oeufs et je l'ai nourri à la main pendant une dizaine de jours, toutes les quatre heures, lorsqu'il pioutait.

Il volait très très mal. Il ne savait pas le faire, alors qu'il était parfaitement intact.

En parcourant les sites d'oiseaux, j'ai cru comprendre qu'il s'agissait d'un batard, un mélange moineau/verdier. Si ça se trouve, la mère avait «fauté» et le père avait viré le p'tit du nid.....

Comme il faisait très beau à cette époque, je le descendais tous les jours dans ma courette, dans sa cage et je m'occupais de mes plantes pendant qu'il chantait à tue-tête.

Avec Simon, on le libérait souvent dans le salon pour qu'il apprenne à voler. Il progressait doucement, se cognait de moins en moins. Il s'est mis peu à peu à picorer des graines.

Et à la fin du mois, j'ai ouvert la porte de sa cage dans la courette, parce qu'il me faisait un peu pitié. Et puis, il était illégal de le garder. Et puis j'avais espoir qu'il revienne nous voir....

Il est resté quelques minutes sur le seuil, hésitant, et soudain......

Il a pris son envol et s'est perché sur l'arbre centenaire de ma courette. Si haut que je l'ai perdu de vue. Là, il m'a bien bluffée !!!!

Il n'est jamais revenu nous saluer. On l'a appelé toute la journée sans résultat. Et le lendemain, et le surlendemain.....
J'ai laissé sa cage ouverte dans la courette mais il n'y a plus jamais mis les pattes.

J'étais contente pour lui mais sa présence me manquait.

Alors j'ai décidé de m'offrir CALYPSO le premier septembre.

La suite, vous la savez....

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Coucou Nerval

Les oiseaux, c'est GENIAL !!!!!

Merci pour le lien... On va se marrer avec Marie-Charlotte. Elle raffole de ce genre de trucs.

Tu sais pas quoi ? .... Quand je l'accepte dans mon plumard, parce qu'on adore dormir ensemble....


Tu sais pas ce qu'il y a sous l'oreiller ???

Son réveil (pour pas rater l'école)

Et le Bescherelle !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Un p'tit bouquin de grammaire... Ca me tue !

Ma fille est trop géante

arv :skat: :bogris :youyou: :bbgris: :couicoui: :ange: :baby: :ettoc: :bird3: :amazon crismo lori fisher pionus gilolo afro cacatoes volondulee coca cock conure grisdugabon perrcollier AFX color arahyacinthe eclectus

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Biloutte, c'est géniale cette histoire d'Amazone.

Jürgen raconte que tout est arrivé par accident car il gardait son Amazone dans un enclos à l'extérieur avec d’autres oiseaux. Un jour la femelle Amazone du nom de Kiri s'est échappée.
Elle est revenue quelques heures plus tard toute seule dans l'enclos.
3 mois plus tard, le même scénario de sorte que Jürgen a décidé de laisser la trappe ouverte pour qu'elle puisse aller et venir à sa guise.

Kiri, la femelle avait 3 ans lorsqu'il l'a achetée. Elle est supposée être une femelle d'importation.
Il a eu connaissance que les vols de Kiri allaient jusqu'à 8 Km de distance.
L’amazone a appris à cogner à la fenêtre pour demander de rentrer dans la maison (voir vidéo sur site).
En hiver les sorties sont plus courtes, 2 à 4 heures maximum.
Elle est sortie lorsqu'il fait -8° C..
Il lui a acheté un mâle comme compagnon et qui était complètement sauvage.
Kiri étant dominante, il l'a suivi partout et s'est même laissé apprivoiser.

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