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kti

La première fois

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Qu'avez-vous ressenti la première fois que vous avez croisé l'animal, Votre oiseau, qui allait partager votre vie pendant des années ?

Et pourquoi avez-vous voulu l'acquérir ?

Quelle force vous a-t-elle poussés à vous orienter vers un oiseau ?

Et quel oiseau plutôt qu'un autre ? Pourquoi ?

Quelles démarches avez-vous effectué pour aboutir, si cela est le cas ?

Etes-vous déçus ?

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Reponse mais cela concerne des réponses personnelles

La première fois: de l'ecxitation, mon coeur en joie, et faire toute gentillesse à l'oiseau, comme ci j vais un bébé...

Pourquoi l'acquérir? ...

La passion... Et un calopsitte car elles sont joueuses, drôles, et son expression me plait

J'ai alors voulu lui apprendre le cliker car un amour s'était installé

Non vraiment pas déçu, sans mon oiseau je perds de mon coeur

Mon amour est immense pour les oiseaux, mon oiseau, bref une fidélité que l'on ne trouve plus chez les hommes... lol! tut

Bref je deviens responsable, comme un père de famille...

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A l'âge de 12 ans le père d'une amie m'avait donné un pigeonneau, que j'ai nourri à la main, je ne l'ai jamais oublié. Il y a presque 2 ans, nous avons recueilli un bébé grive, que j'ai nourri à la seringue, elle était très sympa, mais nous n'avons pas cherché à l'apprivoiser, le but étant de la laisser repartir. Pour elle nous avons acheté une cage à perroquet, de voir cette cage vide, sa photo en bureau sur l'ordi, nous avions de la nostalgie de sa présence. Nous avons envisagé de chercher un oiseau que nous pourrions garder à la maison, en parcourant les sites, j'ai trouvé un éleveur qui avait une calopsitte EAM, bientôt disponible. J'ai passé la commande, cet éleveur est à l'autre bout de la France, donc notre Titi viendrait à la maison par le train. Nous avions reçu des photos par internet, c'était le coup de foudre, à nos yeux c'était la plus belle des calopsittes. J'avais lu beaucoup de choses, il fallait la laisser plusieurs jours dans sa cage etc... Le jour de son arrivée, nous n'avons pas réussi à la sortir de la boîte de transport, donc on l'a mise dans la cage, elle est sortie, j'ai ouvert la cage et elle est montée sur le perchoir supérieur, elle nous a tout de suite adoptés, mais il était difficile de la prendre avec nos mains, on l'a un peu forcé au début, mais sans jamais l'effrayer, cela fait un mois et une semaine qu'elle partage notre nid, tout se passe très bien elle vole en toute liberté dans la maison, enfermée dans sa cage en cas de nécessité, mais très rarement et la nuit.

Il m'arrive fréquemment d'effectuer des séjours de 2/3 jours à l'hôpital, je ne voudrais pas que Titi se sente abandonnée car mon compagnon doit travailler pour lui payer ses graines. Donc j'ai choisi d'acquérir un caïque, le peu que j'avais lu m'avais convaincue que c'était le perroquet qui nous convenait. Nous sommes allés le chercher, il y en avait deux, nous avions le choix. Dès que nous sommes arrivés dans la pièce où se tenaient les oiseaux, Coco s'est accroché aux barreaux de la cage en faisant du bruit, je l'ai caressé, il m'a fait des yeux langoureux, nous regardions les autres perroquets, et Coco n'arrêtait pas d'appeler, l'autre caïque restait au fond de sa cage. Sans nous concerter avec mon compagnon, notre choix était fait, pourtant Coco avait la queue abimée, des couleurs moins bien définies que son frère, mais il y avait déjà tant de promesse dans son regard ! Ca fait 10 jours qu'il est à la maison, je lui mets son harnais sans qu'il râle, il se tient sur le dos dans notre main ou sur mes genoux, il sait faire des bisous, des calins , Titi lui mange dans sa patte. C'est vraiment un clown. Tous les deux s'entendent de mieux en mieux, Titi est de moins en moins jalouse car nous leur portons la même attention.

Amitiés

marie

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Moi aussi Marieninou, ton récit m'a touchée.

Je n'en n'attendais pas moins de toi boum boum boum boum

Mais je croyais que tu avais Titi depuis beaucoup plus longtemps que ça !

Merci Fidjy, pour tes réponses. Dans le topic où j'en parle, de cette première fois (hors sujet, comme d'hab...)
j'ai hésité à dire que ma rencontre avec Calypso m'avait procuré la même émotion que lorsqu'on avait posé mon Mathieu, mon premier fils, sur mon ventre après l'accouchement.

Le souffle coupé, le coeur qui bat, les larmes aux yeux !
Mais je vois que tu as ressenti pareil...

J'ai eu plein d'animaux, depuis toujours, souvent recueillis, parfois achetés.

Mon amour des oiseaux date de mes onze ans, lorsque, lors d'un arrêt dînette avec mes parents, sur la route des vacances d'été, maman a recueilli sous un arbre un bébé moineau tombé du nid : Pickwick.

On n'avait pas de cage, alors elle l'a tenu dans ses mains toute la suite du trajet et une fois rendus à destination, elle l'a installé sous une passoire retournée.

Le lendemain, il avait sa belle cage, mais il était surtout sur nous, tout le temps. Elle a dû le sevrer à la main et il s'est vite apprivoisé. A la fin des vacances, on est tous repartis sur Paris, l'oiseau inclu.

Et on l'a cajolé presqu'une année. Il voletait dans tout l'appartement. Et des fois, on oubliait de fermer la fenêtre mais il ne partait pas. C'est même devenu une habitude, on laissait toutes les fenêtres ouvertes.

Et au printemps suivant : la catastrophe !!! Enfin, on était très contents pour lui, c'était la saison des amours... Mais on ne l'a pas retrouvé dans la maison, y'avait juste une crotte sur le balcon, sa dernière signature !

Ah comme il m'a manqué !

Pour me consoler, mon papa m'a offert un canari epp (pickouette). Mais y'avait rien à voir. Il chantait certes, mais jamais il ne se posait sur nous... Craintif, il nous évitait.

Le plus terrible, dans cette histoire, c'est que Pickwick a voulu revenir chez nous.
Le voisin du deuxième nous a raconté qu'un petit moineau s'était jeté à plusieurs reprises contre la vitre de sa cuisine, pour entrer chez lui.

Il n'a pas fait le rapprochement, n'a pas ouvert sa fenêtre et on n'a plus jamais revu Pickwick.

Après le canari, qui s'est échappé, j'ai eu un autre canari epp, que j'ai laissé mourir bêtement (il m'intéressait tellement peu que j'ai oublié, un jour, de retirer le tissu posé la nuit sur le toît de sa cage).

Puis un canard espagnol, le temps des vacances, mais maman a jugé qu'il ne se plairait pas dans l'appartement parisien. Saturnin était très marrant pourtant, il nous suivait partout, mais s'il croisait quelqu'un d'autre qui allait dans la direction opposée, hop, il changeait de trajectoire ! Avec la même conviction !

Puis 17 bec pointus... epp dans deux grandes volières sur terrasse.
J'avais, une fois de plus, recueilli un moineau tombé du nid, que j'ai apprivoisé puis gardé deux ans et demi. Mais comme j'étais toute la journée au job, j'ai voulu lui offrir des compagnons, achetés en animalerie.

Ca n'a collé avec aucun ! Je me suis donc retrouvée avec 16 epp dans une grande volière et mon moineau tout seul, dans une autre grande volière.
Il est décédé du manque d'exercices et d'un excès de cholestérol... Je lui donnais trop de jaune d'oeuf, à la fin, il était carrément obèse.

De Calypso, je ne sais pourquoi, son regard sans doute, je suis tombée folle amoureuse..... Je n'avais jamais plus, depuis Pickwick, ressenti un tel attachement, immédiat, pour un animal.

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merci Un amour cette histoire, et au combien je la connais , bravo Cathy thumleft lol! boum boum boum boum

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Les mains moites, j'ai composé le code de ma carte visa.

J'entendais mal ce que le type disait : «il a une aile taillée, pour qu'il ne se blesse pas contre les fenêtres»
— oui, oui, j'ai vu
— si vous voulez revenir quand elle repoussera, on pourra lui tailler de nouveau
— oui, oui...
— Pour les graines, ce sont les meilleures du marché
— oui, oui...

J'étais dans un état second ! Mon bébé dans sa boîte d'achat, trop calme... Je m'inquiétais déjà !
Et une fois dehors, attention !!! Je me trimballais avec tout l'argent des coffres-forts Suisses !

Mon cabas collé à mon corps, fallait pas m'approcher, pas me coller.

Dans le bus, j'ai été presqu'odieuse : «déplacez-vous SVP, là, vous allez l'empêcher de respirer, y'a un petit bébé oiseau là-dedans !»

Ah ! J'en tremblais de partout !

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Kti ton histoire est super, je pense que dans le bus, si il y avait eu un homme pour te pincer les fesses, il serait estropié !!! lol! C'est vrai que ce sont des trésors, nos pioupioux. Tu aurais été bien dans les Vosges, avec moi au pied de la forêt, j'avais des souris, des lapins, des canards apprivoisés, des grenouilles, tritons, orvets, oiseaux, mon pigeon ... Quand je me suis mariée, en plus des enfants il y a eu des chiens, colleys (clin d'oeil à Micheline), corniauds, berger allemand, dogue allemand, chats, poules...
Tout ce qui était perdu dans le quartier atterrissait chez moi. A cause de ma maladie, je ne souhaite plus prendre de chien, il serait malheureux, c'est aussi pour ça que nous nous sommes tournés vers les perroquets.

Bises

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