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COCO88

Photo Mystère

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Photo Mystère
Un petit jeux tous simple
Trouver le nom de cet oiseau ?
Tous a vos claviers

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Rolling Eyes oulala en tout cas il a un bec pointu celui la j'y mettrais pas les doigts........ rambo

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titine59 a écrit:
fait il parti des rapaces ?

Non Titine il ne fait pas parti des Rapaces Question

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Il s'agit d'un perroquet de Nouvelle Zélande appelé courament Kéa mais de son vrai nom Nestor . Ils ont passé un reportage à la télé il y a pas longtemps dans son milieu naturel et un autre dans un zoo où il testait son intelligence car il est très intelligent, curieux et pas craintif.
Si çà vous dit je peux vous faire un topo sur les 2 seules espèces que comprend ce genre de perroquet ( un résumé on dira!): le Nestor notabilis ( ou Nestor Kéa) et le Nestor meridionalis (ou Nestor Superbe).
En espérant que je ne me sois pas trompé!

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Bravo Bluebird cartonne cool2 thumleft happy3
effectivement c'est bien le KEA (NESTOR NOTABILLIS)
je te laisse donc faire le TOPO de ce belle oiseau
cela tombe bien je ne l'avait pas encore préparer
a trés bientot pour une autre photo

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la prochaine photo que j'ai déjà préparer va vous faire chercher de longue heures Laughing

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... nous sommes armés .... ... Nous avons un pro ... BALLE ... Bluebird est parmi nous ... ...

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LE NESTOR !

Famille : Psittacidae.
Sous-famille : Nestorinae.

Ce genre comprend deux espèces rares de perroquets, le Nestor Kéa (Nestor Notabilis) dont l’une très rare, le Nestor Superbe (Nestor Meridionalis).
Ces perroquets sont particuliers de part leur conformation, leur plumage et leur bec dont la maxille est très longue.
Autrefois, il existait une troisième espèce ; le Nestor Productus , proche du N. Superbe, aujourd’hui éteinte.

Le Nestor Kéa ou Kéa. Le nestor kéa ou plus simplement kéa (Nestor notabilis) est un perroquet montagnard endémique de la Nouvelle-Zélande. Son nom commun vient de son puissant cri : « keee-aa ».




Description :

C’est un oiseau bien particulier :
- des plumes vert olive bordées de noir donnant un effet « écailles »
- des rectrices et rémiges ayant le bas ourlé de jaune
- un bec caractéristique dont la maxille est longue et noire, la mandibule plus courte et orange.
- une peau nue et jaune entoure l’œil dont l’iris est foncé
- la région sous-alaire est d’un orange intense et un croupion aux reflets cuivrés chez l’adulte alors qu’il est vert olive chez les jeunes comme le reste de leur plumage.
Le kéa adulte mesure près de 50 centimètres et pèse plus de 900 grammes.

Habitat naturel :

Le kéa habite les forêts d'altitude et les prairies des Alpes méridionales de la Nouvelle-Zélande, sur des terrains habituellement difficiles à traverser et exposés à un climat rigoureux. Il est le seul perroquet de montagne du monde. On peut l’observer dans les prés entre 600 et 2000 mètres d’altitude lorsqu’il cherche des baies en sautillant ou lorsqu’il joue dans la neige.
Oiseau curieux et intelligent, il n’est nullement craintif. Il est d’ailleurs souvent signalé à l’intérieur des chalets dans lesquels il est entré par la cheminée.
Le kéa est connu pour son comportement curieux et sa vive intelligence, qui l'a fait surnommer « le clown des montagnes ». Il explore minutieusement l'environnement, allant parfois jusqu'à endommager les constructions et les véhicules. Ce clown fait la joie des touristes, ce qui compense en partie sa mauvaise réputation.
Alimentation :

En été, le kéa se nourrit principalement de graines, feuilles, bourgeons, fruits, fleurs, d'insectes et de vers. Il apprécie tout particulièrement le lin cultivé. En automne, il mange les pousses et les feuilles dans les forêts de hêtre. En hiver, il ne dédaigne pas les charognes en particulier celles des moutons mérinos et le placenta laissé après la mise-bas dans les pâturages au moment des naissances. C'est le seul perroquet carnivore connu. Cette habitude lui a valu une sale réputation de mangeur de mouton et donc l’attitude hostile des éleveurs qui l’ont beaucoup chassé.
Cette habitude alimentaire tient du climat rude dans lequel vit c’est oiseau, nécessitant d’importantes réserves de graisses. Mais des cas ont été rapporté, vidéo à l’appui, d’oiseaux se servant sur moutons vivants.

Reproduction :
La période de reproduction s'étend de juillet à janvier. Le nid est construit parmi les rochers et la couvée comprend entre deux et quatre œufs blancs. Lors de l'incubation, qui dure jusqu'à quatre semaines, le mâle alimente sa femelle. En quatre mois, les poussins peuvent atteindre leur masse adulte. Les jeunes quittent leurs parents à leur maturité sexuelle. Il faut environ 14 semaines avant l'envol des jeunes.

Population :
Le nombre de kéas est mal connu en raison de la difficulté d'accès à leur habitat de montagne. On craint que sa population ne soit faible et que l'espèce ne soit menacée. En raison de leur comportement curieux et de leur réputation de carnivores, ils ont été persécutés et on estime que plus de 150 000 oiseaux ont été exterminés au cours des 130 dernières années. En 1970, l'espèce est devenue protégée. En 1986, les fermiers de la montagne ont été persuadés de renoncer à tuer les kéas en échange d'une compensation financière accordée par les organismes gouvernementaux.
A présent, il est protégé et même s’il n’est pas en danger, il reste une espèce assez rare à l’aire de répartition limitée. Il n’est pas très répandu en captivité, surtout en-dehors de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande. On ne trouve que quelques couples reproducteurs aux Etats-Unis et en Europe.

Voici 2 liens pour plus de photos de cet étonnant oiseau et une bande son de son cri.

http://images.google.com/images?q=Nestor+notabilis

http://www.altavista.com/audio/results?q=Nestor+notabilis&maf=mp3&maf=wav&maf=msmedia&maf=realmedia&maf=aiff&maf=other&mad=all

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J'ai vus pour la première photo
Ils y a des gens très caler
Alors tous a vos LIVRES

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Possible que Bluebird soit dans le vrai ..
Françis a qui j'ai montré la photo pense aussi à un KEA (????????????) Perso je n'en sais rien ... oups

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Eh ben ... Chapeau bas les amis ... chapo ... Je ne sais si vous avez raison mais ... :question: ... ça a au moins le mérite de nous montrer des choses ... bravo

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Pour la première photo mystère, c'est sûr; c'est un Kéa. Pour la deuxième photo, je pense au cacatoès gang-gang avec photo à l'appui. Maintenant, on attend le verdict de COCO88... Wink

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Bonjour
et mille excuse pour ce retard
oui effectivement c est bien cela le cacato
bravo a tous

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Identification :
Le cacatoès à tête rouge est un petit perroquet trapu, avec une huppe fine, des larges ailes et une queue relativement courte. Les mâles adultes se reconnaissent immédiatement en raison de leur tête et de leur crête écarlate. Le reste du plumage est gris-ardoise. Les femelles ont une tête et une crête grise. Les plumes de leur parties inférieures sont terminées de rose ou de jaune, ce qui leur donne un aspect écailleux. Chez les deux sexes, les plumes du dessus et des ailes présentent un fin liseré gris pâle, ce qui leur donne l'impression d'être barrés. Les femelles ont une bordure jaune supplémentaire sur l'ensemble des plumes du dessus, ce qui renforce cet effet de barres. Les immatures sont semblables aux femelles. Toutefois, les jeunes mâles diffèrent par leur capuchon, leur front rouge et leur huppe plus courte et moins vrillée.
Les cacatoès à tête rouge ne peuvent être confondus avec aucune autre espèce de perroquet. En vol, cependant, leur silhouette rappelle parfois celle du cacatoès rosalbin.

Chant : Les appels très caractéristiques peuvent être émis en vol ou à partir d'un perchoir situé tout au sommet d'un arbre. Ce sont des cris aigus et perçants qui se prolongent et se terminent par une inflexion abrupte vers le haut. Ils ressemblent étrangement au bruit d'un bouchon de liège que l'on retire.

Habitat : Durant l'été, on trouve le cacatoès à tête rouge dans les larges forêts d'altitude, les forêts subalpines pourvues en eucalyptus et les zones boisées dont le sous-bois est dense. Il s'installe dans les endroits frais, les petites gorges ombragées à proximité des cours d'eau. En hiver, ce cacatoès redescend à des altitudes plus modestes, occupant des boisements plus arides ou des forêts plus clairsemées. A cette période, il est visible sur le bord des routes, dans les parcs et les jardins des zones suburbaines. Il a besoin de grand arbres pour la nidification.
Les cacatoès à tête rouge sont confinés au sud-est de l'Australie. Ils sont répandus dans l'est de la province des Nouvelles-Galles du Sud, des versants de la cordillière centrale jusqu'à la côte sud. Leur aire se poursuit dans l'état de Victoria jusqu'à la banlieue est de Melbourne. Une population isolée vit dans la moitié ouest de Victoria, de la région Otway jusqu'à la frontière avec l'Australie Méridionale. L'espèce est éteinte à King Island, mais son introduction a été réussie à Kangaroo Island, dans le sud de l'Australie.

Comportements : On assiste à des mouvements altitudinaux : la plupart des populations vivant dans les montagnes descendent en hiver dans les vallées et les plaines littorales mais certains oiseaux continuent à séjourner en altitude. Un afflux remarquable d'oiseaux est constaté dans la banlieue de Canberra, sans doute attirés par la présence d'arbres ornementaux bien pourvus en ressources alimentaires.
Pendant la saison de nidification, ce cacatoès vit surtout en couples ou en petits groupes, ce qui ne l'empêche pas de former des groupes plus conséquents s'il trouve des lieux favorables dans sa quête de nourriture. Cet oiseau extrêmement confiant peut être approché quand il se restaure. A la mi-journée, le cacatoès à tête rouge s'abrite dans les arbres à feuillage épais. Pendant les averses ou les chutes de neige, il se livre à des acrobaties aériennes, effectuant des vols circulaires ou plongeant en direction de la cime des arbres.

Nidification : Les cacatoès à tête rouge atteignent la maturité sexuelle vers l'âge de quatre ans. Dans le sud de l'Australie, la saison de reproduction s'étend d'octobre à janvier. Les femelles choisissent une cavité naturelle située dans un grand eucalyptus en bonne santé. Le nid est placé à une assez grande hauteur, dans un site pas très éloigné de l'eau. Les deux partenaires élargissent la cavité en rognant les bordures avec leur bec puis ils garnissent le fond avec des petits copeaux de bois. La ponte est constituée de deux oeufs (rarement trois) que les deux parents couvent pendant trente jours. Ils prennent une part égale dans le nourrissage des jeunes. Le séjour au nid dure environ huit semaines mais, même après l'envol, les parents continuent à nourrir la couvée pendant encore quatre à six semaines. Les familles restent ensemble pendant le reste de la saison de reproduction. On assiste parfois à un phénomène particulier. Lorsque plusieurs couples ont niché dans un environnement proche, leurs petits se regroupent dans le même arbre et forment une 'crêche' pendant que leurs parents respectifs s'absentent pour rechercher la nourriture.

Régime : Les cacatoès à tête rouge sont principalement végétariens. Ils consomment surtout des graines qu'ils trouvent dans les espèces d'arbres locales ou dans les essences qui ont été introduites, telles que les eucalyptus, les acacias ou les aubépines. Ils ingurgitent également des baies, des fruits, des noix ainsi que des insectes et leurs larves. C'est un oiseau presque exclusivement arboricole, qui ne descend à terre que pour se désaltérer ou pour recueillir les fruits et les cônes de pins qui sont tombés. En dehors de la saison de nidification , les cacatoès à bec rouge recherchent leur nourriture en grand groupe pouvant compter jusqu'à 60 individus. Pendant la saison des nids, ils restent en couples ou en petit groupes familiaux.

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Bravo à Bluebird bravo ...Et merci pour tous ces renseignements très intéressants Coco ... BALLE

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Bonjour les amis
Alors voici un nouveau
« Challenge »
Quel est le nom de cet oiseau ?
Celui qui trouve aura gagner le droit
De nous faire un petit exposé pour nous faire découvrir cette espèce
Alors tous a vos livres
Bonne chance study

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Non STEPH
je savait qu'on allait me dire cela en premier lol
cela aurait été trop facile :humour: lol! Laughing :rire: :rire: :rire: :rire:

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Bonjour Bluebird

Je m'incline[/size] devant tes connaissances
Ou alors tu as une méthode de recherche
Très au point
je confirme que c'est bien le Psittacula [size=24]eques echo

Tu as gagner le droit de faire le TOPO de
L’espèce
Encore bravo
Et pour la prochaine photo
Vous verrez que les ongles de l’oiseau

Laughing :rire: :rire: :rire: :rire: :rire: :rire: :rire: :rire: :rire: Laughing colors

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:rire: On va dire que je n'ai pas de méthode de recherche; mais lorsque j'ai eu Mago et que je cherchais un piou plus gros, j'ai acheté pas mal de bouquins et fait des recherches sur le net. J'ai pas mal potassé et quand çà m'intéresse ou me passionne, j'imprime très vite. Pour cette photo, je pensais bien à cette espèce, mais je suis quand même allé vérifier avant de poster! Il y a toujours le doute avec une photo un peu loin et les différentes sous-espèces.
Pour le topo; pas de soucis!

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PS: Par contre, si pour la prochaine il n'y a que les ongles; tout le monde va trouver! :rire:

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Perruche de l'Île Maurice ou Psittacula Echo.

Très semblale à la Perruche à Collier, elle s'en différencie par la plus grande vivacité de la coloration verte, par la bande noire qui va du bec au cou (chez les deux sexes), par le collier rose et la nuque bleue chez le mâle, et le collier vert jaunâtre et la nuque verte chez la femelle.


C'est un oiseau tranquille, timide et silencieux qui passe la plus grande partie de son temps perché sur les cimes des arbres.


Originaire des îles Maurice et Mascaraignes, cette perruche est gravement menacée d'extinction, en raison de la compétition avec la Perruche à collier, introduite par l'homme, du pillage des nids par les singes, de la chasse et de la déforestation.
En 1975, on comptait à l'état sauvage moins de 50 individus; dans les années 1980, il n'en subsistait qu'une dizaine.
Grâce aux programmes d'élevage en captivité et de sauvegarde, et à l'action du WPT (World Parrot Trust), menée dans le Parc National de Georges, l'espèce est en train de se reconstituer.

Remarque: Sur les îles Mahé-Silhouette vivait la Perruche des Seychelles (Psittacula Wardi), aujourd'hui disparue, cogénère de Psittacula Echo.

PS: Topo court mais de choses sur cette espèce.

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Chants :
(Sons web: Psittacula echo | Perruche de Maurice )



La Perruche à collier de Maurice (Psittacula écho) [Echo Parakeet] de l'île éponyme est la dernière espèce du genre Psittacula sur les îles Mascareignes, qui comptait également autrefois des représentants à la Réunion, à Rodrigues et aux Seychelles.






C’est l’installation des colons au 18e siècle qui provoque une première diminution dans la population des perroquets. Avec la destruction des forêts humides qui constituent leur habitat naturel, le nombre diminue encore.


En 1950, par exemple, des parties importantes de la forêt de Kanaka sont rasées pour la culture du thé. Puis de 1969 à 1973, 4 000 hectares de forêts avaient été coupés pour faire de la place à une plantation de pins américains. Ce sont autant de pas vers l’extinction, accélérée par l’arrivée de prédateurs, tels rats, chats et macaques.




LA SAUVEGARDE



Les premiers programmes de sauvetage en 1975, axés sur le kestrel et le pigeon des mares, ne bénéficieront pas au CATEAU vert. Des maladies et des problèmes de reproduction, tels des parents qui ne nourrissaient pas leurs oisillons, donneront du fil à retordre aux chercheurs.

Un effort de conservation a été lancé en 1973 et intensifié en 1987, se concentrant sur la protection et l'amélioration de l'habitat, l'élimination des rats, la reproduction en captivité, la fourniture de nourriture et de nichoirs. 12 Perruches ont été placées en centre d'élevage en vue d'un relachage.

Elleaurait pu s’éteindre comme le perroquet turquoise de Rodrigues, le perroquet bleu et le perroquet des Mascareignes. On ne comptait que 25 entités en 1986. Ils sont aujourd’hui quelque 230, connu sous le nom de gros CATEAU vert, est la dernière espèce de perroquet encore en vie dans les Mascareignes.




LA REPRODUCTION



Il pèse entre 130 et 210 grammes. Il a un rôle très important à jouer dans la dispersion de graines et de fruits. C’est aussi un des plus beaux oiseaux du pays. Il se nourrit de fruits, de fleurs, de feuilles et d’écorces d’arbres variés.

De septembre à décembre, les femelles pondent entre un et quatre œufs.

La période d’incubation dure 25 jours. 55 jours après l’éclosion, les plumes commencent à pousser aux petits oisillons.

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BALLE merci tres interressant ce jeu ont apprend plein de chose

merci a bluebird et nelly ,adrien

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Bonjour les amis
aller voici une nouvelle Photos Mystere
et je vous souhaite bonne chance Laughing I don't want that study
Question Question Question Question Question Question Question Question Question Question Question

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Strigops kakapo (Strigops habroptilus)



Drôle de nom

Son nom complet est Strigops kakapo (Strigops habroptilus) il est également appelé perroquet-hibou, whakapapa ou kaka de nuit. En Maori, kakapo signifie "perroquet de nuit".

Un perroquet non-volant
Ce grand perroquet nocturne se trouve exclusivement dans les forêts de Nouvelle-Zélande. Les mâles à l'âge adulte mesurent jusqu'à 60 cm et pèsent entre 3 et 4 kg. Les femelles sont plus petites et moins colorées que les mâles. Leur plumage vert et noir est utile pour se camoufler d'autant plus qu'il ne peuvent pas voler pour échapper à leurs prédateurs. En effet, leurs ailes sont trop courtes et ils ne possèdent pas de sternum ( os rattachant les muscles du vol et servant de quille aux autres oiseaux).


Nocturne et solitaire

Le kakapo est un perroquet nocturne et solitaire et peut vivre jusqu'à 60 ans. Il peut parcourir de très grandes distances; jusqu'à 40 hectares en une nuit. Sa période de reproduction est irrégulière et intervient environ tous les deux ans. Cet oiseau est exclusivement végétarien.




Déclin de l'espèce

Il y a environ 1 000 ans, l'homme devint son plus grand prédateur. En effet, la chasse, le déboisement et l'introduction par l'homme de divers mammifères contre lesquels son "camouflage" était inefficace entraîna le déclin de l'espèce. La population fut presque anéantie au début du XXe siècle et seule une cinquantaine de kakapos subsistaient en 1995 ce qui fait de lui un des animaux les plus rares au monde.

Animal protégé

Espèce extrêmement menacée, il figure sur la liste des espèces de l'Annexe I du CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction, dite de "washington" et fait l'objet d'un plan de sauvegarde de la part du Département de conservation Néo-zélandais.

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