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chris42210111

aspidites melanocephalus

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D’après:


Aspidites melanocephalus ( krefft 1864)
Python à tête noire

Texte originale: Neil sonnemann






La beauté saisissante de ce python est facilement identifiée par le noir brillant de sa tête sa gorge et son cou. Cet espèce est volumineuse et robuste la tête est légérement plus large que le cou, les lèvres ne possèdent pas de fossettes thermosensibles.
Le corps et la queue sont de couleurs crèmes, jaunâtre, brun à brun-rougeâtre avec un grand nombre de bandes marrons ou noires. Les spécimens les plus occidentaux sont plus pale avec des bandes noires plus fines.
Le ventre est est crème à jaune pale avec des taches sombres. Les deux sexes possèdent de petits éperons cloacaux et la queue n’est pas préhensile. Les spécimens peuvent atteindre 2,5 m.

Les pythons à tête noire fréquentent surtout les prairies, les bois souvent dans les coins rocheux.
Ils cherchent abris dans les cavernes, les crevasses les terriers et les cavités abandonnés, mais peuvent aussi creuser leur propre cavité lorsque la terre est meuble.
C’est un python terrestre qui est nocturne bien que l’on puisse l’observer se réchauffant durant la journée.
Il est suggéré que la couleur noire de la tête absorbant mieux la chaleur peut être dissimulé pendant que le reste du corps est exposé au soleil et aux prédateurs.
Les proies de ce serpents sont quasi exclusivement composées de reptiles y compris des serpents venimeux et une grande variété de lézards. Ils peuvent aussi consommer de petit mammifère et des oiseaux.
Des combats vigoureux avec des morsures entre males ont été rapporté.
Les accouplements ont lieu en juin-septembre avec 6 à 18 oeufs pondu en octobre-novembre. Les éclosions ont lieu de novembre à janvier.
Cette espèce se rencontre au nord de l’australie du nord de west cape, W.A à Gladstone, Qld.

Management captif:

Cette une espèce populaire chez les herpetologues simplement en raison de sa pure beauté. C’est une espèce facile à maintenir, et bien que les reptiles constituent la majorité de leur repas dans la nature, ils se contentent facilement de rongeurs.

Un bon nettoyage, suivant le nourrissage est recommandé, car il y a de nombreux écrits relatants que l’un de ces serpents à tenté d’en mangé un autre.

Généralement le python à tête noire est plutot calme cependant certain sujets peuvent se montrés menaçant, plaçant leur corps de façon à former un «S», souffler fortement et frappant bouche ouverte. Il n’y a que peut de tentatives réelles de morsures. Surtout que la morsure de cette espèce peut être douloureuse.




Les males peuvent se battre et se mordre s’ils sont maintenus ensemble.
Les données suivantes proviennent de l’élevage et des 33 pontes produitent par 14 femelles maintenues entre 1995 et 2005.

Une très jeunes femelles fut obtenue en 1993, originaire du nord du queensland. Cette femelle fut la fondatrice de la colonie et était la progéniture de parents originaire de cairns et port douglas ( Naylor 1995).

Les males sont originaire du queensland et du territoire du nord et proviennent d’éleveur amateur, animalerie et de parc naturel.
Un gestion saine et standard est utilisé pour cette espèce. Chaque spécimen est logé individuellement dans une pièce chauffée et isolée. Les adultes requièrent des terrariums de taille généreuses et sont maintenus dans des enclos en bois mesurant entre 1 et 2 mètre carrés.
Les juvéniles et les nouveaux-nés sont maintenus dans des boites en plastiques de 18 litres sur un rack d’étagère.
Le substrat est constitué de roche écrasée utilisé pour la fabrication de route ( diamètre 7 mm), de couleur blanche, nettoyé dans une bétonnière pour éliminer saleté et les particules de poussières puis sécher à l’air. Une profondeur d’environ 75 mm est nécessaire.
Les systèmes de chauffage inclus des spots chauffant, des cables entérrés dans le substrat et des blocs chauffants.

Pendant la majeur partie de l’année la température de la pièce d’élevage durant la journée varie autour de 30°, avec une baisse jusqu’à 20° pendant la nuit.
Des spots chauffant et des cables chauffant pendant la journée maintiennent la température de l’aire d’insolation au dessus de 30° avec une fluctuation de 30° à 42°. La température la plus basse l’air a été de 17° durant l’hiver. La durée du chauffage varie selon la saison avec un minimum de 8 à 9 heures en hiver jusqu’à 14 heures en été.
Aucun chauffage ne fonctionne la nuit la température rejoignant celle de l’air ambiant de la pièce. Les pythons à tête noire se chauffe le jour se lovant dans leur cachette pour conservé la chaleur en hiver.

Les températures sont cyclées pour provoquer les accouplement des pythons. Durant le printemps et l’été les températures sont maintenues dans une gamme étroites. Au début de la saison des amours en automne les températures hautes et basses sont modifiées graduellement, avec les plus basses enregistrées pendant l’hiver en juin et juillet. Les températures hautes sont accrues pour compenser la baisse des températures nocturnes et la diminution des durée d’éclairage. Les thermostats des lampes chauffantes sont réglés à leur maximum de 40° de l’automne jusqu’au printemps.

La lumière naturelle fournit la photopériode naturelle pour le nord de victoria, australie.

Les fournitures des enclos sont constitués de graviers, d’un bol d’eau et d’une cachette en contre-plaqué pour apporté un endroit de taille confortable au serpent.

Les adultes sont nourris avec des rats de laboratoires. Ils sont nourris de proie fraichement tuées ou décongelées. La plupart prennent les proies sur le sol du terrarium. La fréquence des repas varie tout au long de l’année, les adultes cessant de se nourrir en avril et recommançant au printemps. Les femelles gravides refusent jusqu’à la ponte. Les juvéniles peuvent être nourris toutes l’année si ils sont maintenus au chaud l’hiver.
Les adultes sont nourris à volonté du printemps durant l’été et l’automne et jusqu’a ce qu’ils cessent d’eux-mêmes en hiver. Les gros adultes acceptent 3 à 4 rats.

Une technique d’assist-feeding à été développée sur un grand nombre de juvéniles et semble bien fonctionné. Une à deux fois par semaine ils sont laissés avec un rongeur mort dans une boite pour une courte période. Les rongeurs vivants ne sont pas utilisés car ils stressent les jeunes. Ceux qui n’ont toujours pas mangé sont assistés en utilisant une queue de rat humide introduite dans leur gueule, le coté le plus gros en premier, et pousser délicatement jusqu’à la moitié de la gorge. L’animal est alors replacé dans la boite avec le rongeur mort. La plupart avale la queue de rat après une initiale période d’hésitation. Cependant certain la régurgitent surtout si il perçoivent des mouvements. Pour ceux qui mange la queue il y en a parmis lesquels certains finissent aussi par manger le rongeur mort car il semblent le trouver plus facilement.

Cette procédure est utilisé jusqu’à ce que les jeunes se nourrissent seul. Ce qui peut prendre un peu de temps pour certains. Quelques juvéniles ont eu besoins de plus d’une année pour se nourrir sans assistances.
Parfois des juvéniles oublient comment se nourrir seul et ont besoins qu’on les assiste un ou deux fois encore pour recommencer à se nourrir seul.
Pour la majorité cependant le premier repas est pris volontairement, il rate rarement les repas suivants, y compris lorsqu’ils sont en mue.

Après avoir manger ils peuvent devenir agressif au point d’attaquer leur propriétaire, il vaut alors mieux les laisser seul.
De l’huile de mutton-bird à été utilisé comme supplément mais aucune autre vitamine ou minéraux n’a été utilisé.

Sexage:

Le sexage se fait par sondage, la sonde s’enfonçant jusqu’à la 10-12éme écailles sub-caudales des males contre 2 à 5 chez la femelle.

Accouplements:

Les accouplements commencent en mai et continuent jusqu’à la mi juillet.
Le male est toujours introduit dans l’enclos de la femelle. Il localise la femelle et la courtise sans délai.Si le couple est compatible les accouplements ont lieu durant les deux jours suivant l’introduction. Souvent aucun interet n’est montré par le male ce qui est sans doute dut au fait que la femelle n’est pas receptive où que le male est immature. Les deux sexes effectuent souvent une mue de pré-saison après un jeûne de quelques temps en automne, ils sont présentés à l’issue de cette ponte.
Les males sont placés chez la femelle pour une semaine, puis enlevé une semaine avnt d’être à nouveau présenté pour le même laps de temps.
Si plusieurs males sont présentés au différentes femelles cela peut être contre-productif car le male détecte la présence d’un précédent concurrent. Ce qui peut engendrer des combats avec la femelle plutôt que des accouplements ce qui a engendrées des blessures à quelques femelles. Si un couple compatible est trouvé, ils sont mis ensemble chaque année, ainsi les résultats semblent meilleur que si l’on changeait à chaque fois de male.

La plupart des accouplement ont lieu en juin et vers la fin juillet, la plupart des activités sexuelles ont cessées. Les males sont retirés définitivement fin juillet.

Pon
te:

La plupart des pontes ont lieu en septembre. On fournit au femelles des boites de pontes en bois avec un couvercle à charnière. Ce qui permet de l’inspectée avant et pendant la ponte, avec un minimum de désagrément. Du papier journal chiffonné est placé dans la boite ce qui permet à la femelle de s’isolée. Celui-ci est humidifié à l’aide d’un spray, quand la ponte approche.

Quelques jours avant la ponte, les femelles sont souvent très actives parcourant l’enclos à la recherche du meilleur endroit pour construir leur nid. Le dernier, ou deux derniers jours avant la ponte, la femelle devient très recluse, s’aventurant rarement hors de la boite de ponte.

Après que la femelle ai pondu son dernier oeuf, la ponte lui ai soustrait, et les oeufs sont séparés avant de les mettre en incubation artificielle. L’incubation maternelle, les oeufs étant laissés à la femelle, n’a jamais été tenté en raison des conditions trop sèches dans le terrarium et du fait que la femelle doit être nourris de nouveau le plus rapidement possible. Permettre à la femelle de se reposée une semaine puis nettoyer le substrat pour éliminer les odeurs dut à la ponte, a comme résultat que la femelle recommence à se nourrir.

Incubation:

L’incubation artificielle à été utilisée pour toutes les pontes en utilisant les techniques standards pour l’incubation des oeufs de pythons. Les températures d’incubation sont de 31,5°, +/- 1°

Un ratio au oids de 0,8/1 est utilisé dans les conteneurs. Cette un mélange plus sec que pour la plupart des autres espèces de pythons, avec 500 gr de vermiculite mélanger à 400 ml d’eau dans un plat à cake.
Chacun de ces conteneurs contient 6 oeufs à moitié enterrés dans la vermiculite, avec un espace large entre chaque oeuf.

Les oeufs sont séparés immédiatement après la ponte et avant que ceux-ci n’adhère entre eux. Les oeufs du python à tête noire ont une coquille relativement mince et la séparation des oeufs peut malgré cela être effectuée quelques heures après la ponte.

La plupart des oeufs sont d’un blanc pur lors de la ponte, et peuvet être mirer avec une petite lampe de poche pour voir si ils contiennent des vaisseaux sanguins, indication qu’ils sont fertilisés. Tous les oeufs qui semblent bons sont incubés, sauf ceux qui sont manifestement trop petit, jaunae donc infertile ou ceux qui ressembles à des limaces ( slugs).

Eclosion:

Le procéssus d’éclosion d’une ponte peut prendre une semaine entre le temps ou le premier est percé et le moment où le dernier serpenteau émerge. Les jeunes restent souvent un ou deux jours dans l’oeuf, lorsque leur tête est sortie hors de la coquille, avant finallement d’émerger de celle-ci.

Lorsque le premier oeuf est percé ou au delà de 60 jours, tous les autres sont ouverts. Ce qui est effectué en faisant une incision dans la longueur sur le haut de l’oeuf à l’aide de ciseaux à ongle recourbés. Ce qui permet de s’assurer que les jeunes peuvent prendre leur souffle et sont coincés incapable de sortir pour quelconques raisons. Avec cette méthode un grand pourcentage de jeunes sont obtenus des oeufs fertilisés. La plupart des serpenteaux sortent sans assistances, cependant les plus faibles ou ceux qui ont une malformation doivent être aidé manuellement. Parfois les jeunes on besoin d’être séparé du reste du jaune d’oeuf si celui-ci n’a pas été absorbé après deux ou trois jours. Ceux-ci peuvent être plus petits et plus faibles que le reste de la ponte, cependant avec une nutrition adéquate il rattrape vite. Habituellement, les jeunes absorbent le reste du jaune dans l’oeuf et leur estomac est bien distendu lorsqu’ils sortent de leur coquille.

Après les éclosions, tous les nouveaux-nés sont enlevés de la boite de ponte et placé individuellement dans une boite en plastique d’élevage aussi grand qu’un plat à gateau.
Des graviers sont utilisés en guise de substrat et sont changé dès que nécessaire. Un petit plat d’eau et un bol en plastique servant de cachette sont ajoutés. Ces conteneurs sont acceptables pour les pythons à tête noire, mais pour une courte période seulement. Lorsque qu’ils deviennent trop grand, ils requièrent des enclos de tailles adaptés.

Conclusion:

Une variété de pathologie à impliquée le décès d’animaux captifs, les plus significatives étant les infections par des salmonelles. Il à été soupçonné que celle-ci provenait d’un lot de rongeurs, bien que les tests effectués sur les fèces des rats furent négatives.
Ces bactéries se trouve facilement dans l’environnement et peuvent causer la mort lorsqu’elles sont présentes en grand nombre, particulièrement dans la nourriture.
Elles sont souvent retrouvées dans la volaille, bien qu’aucun serpent ayant succombé au salmonelle n’eut été nourris d’oiseaux.

Les parasites internes était plus présent durant les premières années, notamment les nématodes ( vers ronds) et les cestodes ( vers plats). Ces affections furent traitées avec du panacur ( fenbendazole) pour les vers ronds et du drontal ( praziquentel), qui sont des tablettes pour les chiens, pour les vers plats. Ces médicaments étaient dissimulés dans les repas et distribués ensuite. Les dosages furent obtenus dans le livre de Roger Klingenberg « Understanding reptile parasites» publié en 1993.

Les juvéniles ne furent pas traités, car supposés exempt de toute infection.

Deux juvéniles mourrurent car le jaune de l’oeuf était devenu dur dans leur estomac, créant une occlusion.
Certains adultes sont décédé en raison d’un syndrome leur provoquant le fois gras, probablement en raison d’un surdosage en nourriture.

Les 14 femelles ont pondus un total de 441 oeufs en 33 pontes entre 1995 et 2005. Dont 386 étaient fertile, 89% ont éclos.
La plupart des accouplements ont été enregistrés en juin et la majorité des oeufs pondu en septembre.
Les données sur les spécimens captifs incluent le temps entre l’ovulation et la ponte, qui à une moyenne de 50 jours, et la moyenne entre la mue de pré-ponte et la ponte est de 30 jours.
L’effort de reproduction est calculé en pesant la ponte et la femelle à l’issue de celle-ci. ce qui donne le poids relatif pondu exprimé en pourcentage du poids de la femelle.
L’effort moyen de reproduction obtenu est de 0,35. Ce qui signifie que le poids des oeufs est de 35% de celui de la femelle.

La ponte la plus lourde pesait 172 gr, la moyenne pour une ponte fertile est de 132 gr.
Il y eu un cas de jumeaux dans la ponte 30 lorsque deux serpents sortirent du même oeuf. Les deux était de petite taille et avaient une petite queue.

Démarrer les juvéniles peut être un challenge pour l’éleveur, certains mangent dès le premier jour où après la première mue d’autre mettent des mois avant de se nourrir volontairement. Des données ont été notées sur 32 petits et, en moyenne, il leur faut quelques semaines pour démarrer. Deux d’entre eux acceptèrent leur repas après leur première mue.
Une moyenne de huits ont été assistés avec une queue de rat pour démarré, dont 65% ont commencé à manger des souris et 35% des rats
Frotter la proie sur un oiseau ou un lézard n’as pas semblé efficace pour initier la prise de nourriture.
La couleur des bébés est variable entre les pontes mais également au sein d’une même ponte, certain étant très foncé, et d’autre très clair avec des bandes très marquées. Parmis les nouveaux-nés il y eu un spécimen axanthic quelques hypomelanique et des pinstripe.

Deux adultes ont subi un changement graduel de couleur à chaque mue, des écailles blanches remplaçant les pigments noirs.

Barker (1992) rapporte qu’au sein de l’élevage du zoo de dallas ou les pythons à tête noire furent soumis à des simulations de pluie journalière pendant 4 mois. Les pythons était brumisé et s’accouplaient pendant les deux mois suivant ces pluies. Ce qu’il a soupçonné être un stimulant pour le succès de le reproduction.

Dans la présente étude les accouplement sont provoqués par la diminution des jours et la diminution des températures nocturne.
La maturité sexuel intervient entre deux et trois ans, cependant Barker (1982) rapporte que ses spécimens n’ont pas montré de comportement sexuel avant 5 ans.

Les femelles ont pondus vers l’age de 2,5 ans et le poids des pontes allait de 645 gr à 2167 gr. Les males ont montré un comportement sexuel dès 18 mois, cependant leur fertilité est meilleur lorsqu’il sont plus vieux et plus imposants.

Multiplié les males ou utilisé les combats entre eux ne fut pas une stratégie considérée essentielle pour la production d’oeufs fertiles. En fait les meilleurs résultats furent obtenus en conservant les mêmes couples chaques années.

Leyden et al. (1990) rapporte des accouplements infructueux au zoo de melbourne. Le male était introduit pour de courte période chez la femelle de début avril jusqu’à septembre. Une étagère en plexiglass était chauffé par une lampe chauffante et permettait au pythons de se thermoreguler avec des températures variant de 16° à 52° durant l’automne.

Quelques oeufs furent perdus durant l’incubation, probablement en raison d’un excès d’humidité. Le point important pour réussir les accouplements est de donné accès à un point chaud et d’obtenir des fluctuations journalières significatives. LEs autres facteurs importants sont de séparer le male reproducteur de la femellle et de s’assurer que celle-ci est en bonne forme.
Pour cette étude le plus important facteur pour la production d’oeufs fertiles est considéré de pouvoir fournir à la femelle gravide un bon point de chauffage.

Shine (1991) donne une moyenne de 8 oeufs pour des sujets capturés. Au sein de l’élevage le nombre moyen est de 12 oeufs ce qui est sans doute due à une meilleur alimentation et à l’absence de parasite.

L’effort moyen de reproduction sur 19 pontes est de 35% ( 22% à 47%), c’est le même résultat que Greer ( 1997)
Un sex-ratio de 1,06 males à été obtenu sur 327 naissances, un sex-ratio de 1,84 ( 54 naissances) fut obtenu par slip & shine (1991)
Le nombre de males et de femelles est à peu près similaire ( 169,158), cependant certaines pontes tendent à avoir plus de petits du même sexe, par exemple la ponte 24 les 5 bébés étaient des femelles.

Le python à tête noire est facile à maintenir et à élever en captivité si ses exigences sont respectées. Il a le potentiel pour montrer des couleurs et des patrons de grande variété, et avec l’intérêt actuel pour les morphs il devrait continué à être populaire en captivité.

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