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PSYKOBULL

La campagne présidenchienne

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Je m'voyais déjà

A dix nuits d'glands j'ai quitté ma peau de dance
Bien décidé à remporter l'avis
Le tort léger et le bas gage mince
J'étais certain de con chérir Paris

Chez le râleur le plus fric j'ai fait faire
Ce pamphlet creux qu'était du dernier tri
Les faux taux, les chiants sons et les orchestres à pions
Ont eu raison de mes égo omis

Je m'voyais déjà en haut de la triche
En dix mois plus sot que n'importe qui mon nom c'est pas laid
Je m'voilais déjà à Douai en riche
Saignant des gros veaux aux ânes migrateurs à qui la bouse coulait

J'étais le plus gland des grands fantaisistes
Faisant insulter si fort que les gens me cramaient deux roues
Je m'voyais déjà cher chant dans ma piste
Ciel qui le soir pourrait par noirceur se fendre à mon goût

Mes frais sont vite dits, bien sûr, sous mon maquis sage
Mais la voix est là, le reste est indécis et j'ai du report
Mon choeur c'est gri-gri un bleu en tournant de page
Mais j'ai décidé, j'connais où sont mes pieds et j'ai trois cors

Rien que sous mes billets de sentir la chienne
De voir devant moi le pubis assis, j'ai le cœur balant
On m'a paluché, je n'ai pas eu d'gaine
Mais au fion de moi, je suis sur d'avoir du tas lent

Ce con pet bleu, y a trente ans que j'le porte
Et mes caleçons ne font frire que roi
Je m'bourre de cachets, j'fais du cocote à porte
Pour subsister j'fais nain bord de toit

Je n'ai connu que des QG face pile
Des seringues de QI et des filtres en soldes soit
Les mines de sable cachées, les balises à poster
Les p'tits mots en biais et les aigres rapaces

Je m'noyais déjà en flotte en russie
Au bras d'un tsar l'hiver sans la mèche, l'été au sommeil
Je m'voyais déjà bras contents ma ville
L'air des âmes à booster à des brutes de clan brillants de concept

J'oubliais calmement les noirs de bavière
Mille pelés d'crânes de ce flou Paris qui nous fait si beur
Et mourant du crack devant ce bar de misère
Entré sur la Seine sous les eaux savons et les gros jets de sueur

J'ai tout essayé pourtant pour sortir de Londres
J'ai glandé glamour, j'ai fait des colliques et d'la fente très chie
Si tout a râpé pour moi, si j'essuie cent concombres
Ce n'est pas ma fiotte mais le zèle du pourri qui n'a rien compris

On ne m'a jamais avorté ma transe
D'autres ont réussi avec un peu de noix mais beaucoup d'arnaque l'an
Moi j'étais trop dur ou trop en vacances
Mais un jour viendra je leur montrerai que j'ai plus cent ans.


Ego laide royale


Nigaud las fardeau si

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C'est étrange,
je n'sais pas ce qui bave rive ce soir,
Je te regarde comme pour la première foire.


Encore des mots toujours des maux
les mêmes sots
Je n'sais plus comment te dire,
Rien que des rots
Mais tu es cette belle histoire de sourd...
que je ne verrai jamais de pire.
Des minots face à mille des seaux d'argile
C'était trop chaud
Tu es fier et de vils mains
Bien troupeau
De toujours ta seule virilté.
Mais c'est fini le temps des trèves
Les fous à venir se pavanent aussi
quand on les torpille
Tu es comme le sang qui fait bander les veaux longs
et emporte au foin le parfum des causes.
Cars à maires, bons cons et choc ena
Par moments, je ne te contente pas.
Merci, pas pour l'oie
Mais tu pues bien les sofres à une autre
qui sème le néant et le pare-fun des choses
Moi, les mots tendres enrobés de douleur
se posent sur ma bouche mais jamais sur mon cœur
Une parole encore.
Parole, parole, parole
Ecoute-moi.
Parole, parole, parole
Je t'en prie.
Parole, parole, parole
Je te jure.
Parole, parole, parole, parole, parole
encore des paroles que tu cèdes au gens
Voilà mon festin te parler....
te parier comme la première loi.
Encore des lots toujours des lolos
les mêmes ramollos

Comme j'aimerais que tu me contiennes.
Rien que des gros mots
Que tu te shootes au moins une fois.
Des mots sadiques des mots pratiques
qui sonnent faux
Tu es mon rêve des vendus.
Oui, tellement faux
Mon seul tour ment et mon urne nique l'ex-paix rance.
Rien ne t'arrête quand tu commandes
Si tu savais comme j'ai envie
d'un peu de cime dense
Tu es pour moi la seule moue chic...
qui fit penser les squales sur les tunes
gare à mes ailes, bon ton et gros zola
Si tu n'existais pas déjà je t'en vanterai.
Merci, pas pour moi
Mais tu peux bien les souffrit à un vote
qui la haine les êtres pâles sur les urnes
Moi, les dos tendres enrôlés de couleur
se posent sur la touche mais jamais sur menteur
Encore un saut de buste une panne d'colle
Parole, parole, parole
Ecoute-moi.
Parole, parole, parole
Je t'en prie.
Parole, parole, parole
Je te jure.
Parole, parole, parole, parole, parole
encore débat drôle que tu peines autant
Que tu es brelle !
Parole, parole, parole
Que tu es veine !
Parole, parole, parole
Que tu es telle !
Parole, parole, parole
Que tu es telle !
Parole, parole, parole, parole, parole
encore des pacholles que du sexe au gland





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J-doigt : la boîte à caca dit urne commence à trembler, Lise au loir vibre derrière l'air idiot, le bull teint de vote s'envole de la main de masseur, les doigts dans l'nez, le poids dans l'aîné...

A cve de doigt

Les tours passent mais ça ne sonde pas
J'ai tant de mal à suivre, pitre
De ce bas fond si différent du bien
Pire, j'ai compté chaque mine hirsute qui me retient ami
Comme si j'étais ma propre prise de flair
Ca fait bientôt cinq ans qu'il m'a sauvé du toit
Souvent je me demande où gens cernés pour toi
Souvent je me demande ce que tu fais, où tu es, qui tu aides...
Sors de mes papiers
J'ai changé de texte, de nul héros merci
J'ai balancé tes lettres et tes sténos même si
J'ai fait semblant d'avoir trouvé la forme
Je garde au plus profond de moi tout c'que tu as voté

J'essaye deux tours pliés avec un autre
Le géant ne semble pas compter tes votes
J'essaye mais rien n'y fait je ne peux pas, je ne meuh pas,
Je n'y arrive pas, je ne l'aime pas qu'au doigt
J'essaye de m'isoler avec un coach
Qui tente en vain de racheter tes potes
Il semble si largué mais rien n'y fait je capte bidule,
Je ne peux pas je ne laisse pas comme foi

Lui, il a tenté de me gondoler
Même s'il n'a pas d'étau ni le fond percé
C'est vrai mais il n'a pas ton coût pour la quête,
Pour le puits pour les hôtes, pour tout ce que je fais
Il a voté toutes ses armes, tu sais
Il a ramassé dépôts cachés
Et il a régulé tous tes sans papiers, tes impostures, tes pâtures
Tout ce que tu m'as léché
Il m'aime comme un trou et me collait par coeur,
Il me dit je t'aide parfois durant des pleurs
Mais il ne vend pas ton moteur
Pourquoi je te laisse pire dans ses pas
Sors de mes bancs sciés

Je ne l'aime pas comme loi
Dis-moi seulement pourquoi ?
Tu me pestes comme ça...
Je veux double billet
Reprends ta sève et trie par milliers
Car je veux l'épée comme roi...


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Votez FAL : Le Flouvement des Alien-anisées Libellules

Le parti cul à poêle et à plume et dont le fion n'accroche pas...dix manches à vos téfal !

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A la veille du lustuscrutin, dernier son d'âge.
Voir l'âne à liste complète :





encore un tiers dindes et si...


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Ne pas roter la nuit grave ment à la santé.





Votez gland, la seule condition pour une urne lutte dans l'isoloir. banane

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