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joye

bonjour

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Bonjour a tous .Je sais pas si je suis au bon endroit pour poser mes questions.Je voudrai des renseignements avant d'adopter un oiseau.
Voilà j'habite en appartement j'ai deux enfants un chat , deux cobaye .
Je suis tomber sous le charme de le perruche royale et du pyrrhura molinae.
Mais plusieurs personnes mon recommander la perruche royale plutot que le pyrrhuras molinae .
vous en pensez quoi?
J'ai du temps pour m'occuper de lui car je ne travail pas .
Est pour la 2ème question:es-ce vrai que les perruche ou pérroquet sont porteurs de maladies transmissible a l'homme?
Je vous demande çà car on m'avais dit pareil pour les chats .j'ai mon fils qui fait de l'asme, mais il n'est pas allergique a aucun poile ou plume ou autres.
Merci .

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@joye a écrit:
Bonjour a tous .Je sais pas si je suis au bon endroit pour poser mes questions.Je voudrai des renseignements avant d'adopter un oiseau.
Voilà j'habite en appartement j'ai deux enfants un chat , deux cobaye .
Je suis tomber sous le charme de le perruche royale et du pyrrhura molinae.
Mais plusieurs personnes mon recommander la perruche royale plutot que le pyrrhuras molinae .
vous en pensez quoi?
J'ai du temps pour m'occuper de lui car je ne travail pas .
Est pour la 2ème question:es-ce vrai que les perruche ou pérroquet sont porteurs de maladies transmissible a l'homme?
Je vous demande çà car on m'avais dit pareil pour les chats .j'ai mon fils qui fait de l'asme, mais il n'est pas allergique a aucun poile ou plume ou autres.
Merci .


Bonjour et bien venue à toi,

BIENVENUE

Alors je ne peux pas répondre à toutes tes questions mais ne t'inquiète pas, Fandeparrot va te répondre certainement, elle est bien plus calée que moi en Perruche Royale, et pyrrhuras molinae.

Ce que je peux te dire par contre, c'est que tu signal que tu vie en appartement, il va donc falloir faire ton choix en respectant les ouies de tes voisins

Deuxièmement, ton petit bout est asthmatique malheureusement, es tu certaine qu'il pourra tolérer la poussière de plume?

Généralement ça ne passe pas trop bien avec l'asthme... vérifie donc avant de te lancer...

Troisièmement ; est ce que ton chat va respecter tes perrok ? ne va t'il pas tenter de les croquer ? à vérifié aussi, les chats sont des félins et ont ça dans le sang, on ne peux pas leur en vouloir

Quatrièmement ; NON les perrok ne transmettent pas de maladie à l'humain, sauf grippe aviaire, mais tu es loin de ce risque Par contre tu vérifiera au près de l'éleveur que tes perrok soit testé PBFD maladie du perrok assez grave, ce qui serait dommage non...

Ensuite, que recherche tu ? EPP EAM MAN, j'ose espérer que tu compte prendre un couple quand même, une perruche seule ou tout autre perrok seul serait très malheureux tu sais....

As tu pensé au questions essentiel avant de te lancer ?

Lis donc ceci, ça pourrait t'aider avant de faire un choix...

clic sur le liens.

/t1873-10-bonnes-raison-de-reflechir-avant-de-vous-lancer?highlight=10+bonnes+raisons

Voilà, je pense avoir répondu à quelques une de tes questions

étudie bien toutes les données, budget, véto aviaire, espace, cage airs de jeux, jouets, temps de liberté, tes vacances, nourriture, epp eam man, couple . quelqu'un à qui les confié en cas d'hospitalisation etc...

Bonne journée

Chichi

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merci pour les réponses. pour le PBFD je le savais et oui je ne voudrai pas il tombe malade ça serai trop triste ,en ce qui concerne mon fils il a fait des testes pour les allergies est rien. il dors avec un duvet et taie d'oreiller en plumes depuis qu'il est bébé ( j'ai une amie qui a un gris du gabon et mon fils adore quand il vient ce son épaule , et aucune crise d'asthme ). pour ce qui est du chat il est assez calme.au début qu'on a eu nos cobaye il était très tenter mais on lui a fait comprendre qu'il ne devait pas etre méchant avec . au bout d'une semaine les cobaye ce promenait dans l' appartement et il n'y porté plus cas.
pour ce qui est des voisins je ne pense pas que les pérroquets ou perruches font autant de bruit qu'un chien qui abois du matin jusqu'au soir.
Mais je suis déjà rassurer sur certain point .
je voudrai juste que vous m'aidiez dans ma décision je ne voudrai pas faire de bétises .
je ne voudrai pas adopter un perroquet pour devoir m'en séparer dans 6 mois (je l'ai je le garde jusqu'au bout )
Et j'attend avec impatience la réponse de FANDEPARROT ( je suis fan de FANDEPARROT) :clap.gif:

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on est tous fan de Fandeparrot

Pour tes voisins tu serais surprise de savoir qu'un perroquet peut être bien plus bruyant qu'un chien...
Les kk2 le sont souvent, mais il suffit parfois de problèmes de comportement, manque d'attention du maître, absence prolongée pour que le perrok te le fasse savoir et crois moi c'est dur dur pour les tympans...

J'habite la campagne dans une petite rue ou il y à une 30aine de masons tout au plus, je peux t'assurer que toute la rue connais mes perroks sans pour autant les avoir vu, surtout mon gris qui sait quand il le faut se faire entendre par des cris très strident comme quand ils sont dans leur milieu naturel...

Petite anecdote, l'une de nos voisine agée à longtemps penser sans oser en parler que mon mari la sifflait quand elle passait devant la maison.... naan mais!!!! ouf mon mari est fidèle, c'est juste gigi qui à pris cette vilaine habitude... que ce soit homme femme enfants rien n'y fait

c'est en venant m'acheté des oeufs de nos poules qu'elle s'est rendue compte de la mégarde et à oser me le dire

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ah oui quand meme je penser pas que c'était a ce point un oiseau plus bruyant qu' un chien .
on ma dit que le pyrrhura molinae et la perruche royale était moins bruyant que les autres .
mais je n'ai pas une grande connaissance de ce que peut etre le niveau sonore de ces animaux .
je ne travail pas donc j'aurai du temps pour m'occuper de lui, par contre si je viens a en adopter un je voudrai le laisser en liberté
et le metre dans sa cage uniquement pour dormir ou si je dois partir plus d' 1heure dans la journée.
Et je sais que les boules de plumes fond pas mal de saleté ,mais je suis habitué mes enfants sont de vrai petits cochons lorsqu'ils
mange .
mais j'aurai surtout aimer savoir leurs comportement .
bonne jounée

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La Perruche Royale (Alisterus scapularis) est une perruche endémique de l'Est de l'Australie



Perruche royale

Alisterus scapularis

Ordre : Psittaciformes

Famille : Psittacidés

Biométrie :

Taille : 41 à 43 cm
Envergure :
Poids : 195 à 275 gr

Longévité : 25 ans

[b]Sous-espèces


La Perruche royale est représentée par deux sous-espèces :

- Alisterus scapularis scapularis ;
- Alisterus scapularis minor, plus petite et généralement plus mince.

Description

Le plumage de la Perruche royale est vert pour les parties supérieures et rouge pour les inférieures. Le croupion est bleu. Les iris sont jaunes et les pattes grises.

Cet oiseau mesure environ 43 cm.


Le dimorphisme sexuel est prononcé : le mâle possède une tête complètement rouge et un bec orange tandis que la femelle présente une tête et une poitrine vertes ainsi qu'un bec noir.

Les immatures ressemblent à la femelle à l'exception du bec et des iris bruns.

Répartition

La Perruche royale est présente sur la côte est de l'Australie du nord du Queensland au sud de Victoria. Elle est assez répandue mais a cependant disparu de certaines régions où l'Eucalyptus a été arraché pour faire place à des arbres non autochtones comme le Pin de Monterey Pinus radiata.

Captivité

La Perruche royale est bien connue dans les élevages même si elle n'est pas très répandue. La première reproduction a été enregistrée en 1880 en Allemagne.

Chant :

Perruche royale jacasse, siffle. En vol, les perruches royales émettent des "crassack-crassack.....crassack-crassack" stridents. Quand elles se sentent en danger, elles produisent des cris perçants, tranchants et métalliques. Quand ils sont perchés ou sur le point d'atterrir, les mâles lancent des "pwee-eet.....pwee-eet" flûtés et aigus. Les perruches royales se nourrissent généralement en silence ou émettent quelques caquètements sporadiques.


Comportements :

Les perruches royales vivent généralement en couples ou en petits groupes familiaux, mais on peut également trouver de plus grands rassemblements là où les ressources alimentaires sont abondantes. Les bandes qui regroupent jusqu'à 30 immatures ou plus sont assez courantes en automne-hiver. D'ordinaire, ce sont des oiseaux assez prudents. Cependant, dans certains endroits où ils viennent régulièrement se restaurer, en particulier les mangeoires, ils peuvent s'avérer très familiers, n'hésitant pas à venir chercher la nourriture dans la main des visiteurs. Les perruches royales ont un mode de vie essentiellement arboricole, toutefois elles n'hésitent pas à venir à terre pour se désaltérer ou pour saisir des graines et des noix qui sont tombées. Elles sont généralement moins actives et moins bruyantes que la plupart des autres perroquets, les actions semblent plus lentes et plus réfléchies.
Les perruches royales ont un vol direct composé de battements Perruche royale d'ailes amples et rythmés. Leur façon de ramener les ailes en arrière, leurs ailes pointues et leur longue queue leur donne une silhouette en vol qui est facilement reconnaissable. Lorsqu'elles volent au-dessus de la cime des arbres, elles prennent souvent des virages très serrés en faisant basculer leur corps entièrement. Quand elles se posent, leur queue est légèrement déployée. Quand elles sont effrayées, les perruches royales jaillissent et ne se posent de nouveau que lorsqu'elles sont hors de la vue.
Les perruches royales sont majoritairement sédentaires. Toutefois, dans le sud de leur aire, certains oiseaux entreprennent de courtes migrations altitudinales, délaissant les hauteurs de la cordillière pour se rapprocher des côtes en hiver.

Nidification :

La saison de nidification se déroule de septembre à janvier. Le nid est installé dans un trou de branche ou dans une cavité profonde à une grande hauteur dans la forêt (généralement 10 m au-dessus du sol). Perruche royale Le fond du nid est tapissé de sciure ou de petits copeaux de bois. La ponte comprend entre 3 et 6 oeufs (en moyenne 5). La femelle couve seule pendant environ 20 jours. Les oisillons séjournent au nid pendant 5 semaines.

Régime :

La perruche royale possède un menu végétarien. Elle consomme les graines des eucalyptus, des acacias et des arbres du genre Angophora. Elle ingurgite aussi des fruits et des baies provenant des arbres et des buissons tels que les saules Perruche royale australiens (Geijera parviflora), la morelle noire ou le bringellier marron. Elle ne néglige pas les fleurs, le gui et le nectar. La perruche royale procède à des incursions dans les cultures, les vergers et les jardins où elle chaparde des céréales et des fruits. Dans la région de Canberra, en hiver, de larges bandes se réunissent pour se nourrir de glands dans les forêts ornementales de chênes.

Protection / Menaces : Les perruches royales sont rares ou en faible densité à la périphérie de leur aire. Partout ailleurs, elles sont relativement communes. Elles ne bénéficient d'aucun classement particulier ni d'aucune mesure de protection.


Comme tu peux le voir ta futur perruche sera malheureuse seule, je te conseil vivement d'en prendre deux
Couple

Femelle

Mâle


Bonne lecture

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Pyrrhura molinae

L'oiseau est un peu moins répandu que P. frontalis mais reste d'un prix extrêmement abordable (tabler sur 45 € pour un jeune non sexé). Tous les auteurs s'accordent sur le côté enchanteur de cet oiseau. On peut le garder en colonies de plus de dix spécimens à partir du moment où la volière est suffisamment spacieuse et ouverte sur l'extérieur.

Pyrrhura molinae
Conure à oreillons verts.
Green-cheeked Conure.

Annexe B de la Convention de Washington.
Taille : 26 cm.

Distribution : Centre-ouest et sud du Mato Grosso, Brésil,
nord et est de la Bolivie depuis La Pa
jusqu'à Tarija, et nord-ouest de l'Argentine.

Pyrrhura molinae - Comportement dans la nature

Il s'agit d'un oiseau qui vit dans les forêts et est généralement aperçu en larges bandes au sommet des arbres. Il n'est pas rare d'en voir des groupes de vingt ou plus dans les forêts du nord-ouest de l'Argentine. On rapporte qu'à 2.000 mètres d'altitude dans les vallées forestières, autour de Pojo et Irupana en Bolivie, cette espèce y est la plus répandue avec les Pionus sordidus. Il se nourrit de graines, fruits, noix, baies et probablement d'autres matières végétales. Nidification : On sait peu de choses sauf que les trous en hauteur dans les arbres sont utilisés.

Pyrrhura molinae - Comportement en captivité

Ce n'est que depuis trente ans que l'on commence à trouver des rapports sur le comportement en élevage. L'oiseau est un peu moins répandu que P. frontalis mais reste d'un prix extrêmement abordable (tabler sur 45 € pour un jeune non sexé). Tous les auteurs s'accordent sur le côté enchanteur de cet oiseau. On peut le garder en colonies de plus de dix spécimens à partir du moment où la volière est suffisamment spacieuse et ouverte sur l'extérieur.

Les animaux d'importation, au début peuvent être timides et se réfugier au nid dès qu'ils sont inquiets. Mais la plupart du temps ils ne peuvent cacher leur curiosité et leur gourmandise : quand j'entre dans la volière avec des branches de millet à la main, ils n'hésitent pas à se percher sur moi pour être les premiers servis.Les jeunes s'apprivoisent merveilleusement bien et sont d'une grande douceur.

Une fois acclimatés ils ne sont pas frileux, les températures rencontrées dans les hauteurs de la Bolivie, leur pays d'origine, pouvant être particulièrement basses la nuit. Ils ne sont bruyants qu'en colonie et lorsque l'alarme est donnée par suite de la venue d'un intrus aux alentours de la volière. Ils sont très peu destructeurs de bois, seulement à la rigueur pour aménager le nid à leur convenance.

Le bain est nécessaire quotidiennement, ils le prennent même lorsqu'il gèle dehors.Le premier succès d'élevage enregistré, remonte à 1973. La plupart du temps cinq oeufs sont pondus en avril/mai et trois ou quatre poussins naissent, mais il m'est arrivé qu'un de mes couples élèvent six petits en une fois. Il y a peu de problèmes d'élevage. L'incubation dure un peu moins de trente jours et la sortie du nid a lieu vers six/huit semaines.

Sous-espèces :

Il y a cinq sous-espèces: P. m. molinae, P. m. phoenicura, P. m. sordida, P. m. restricta, et P. m. australis. Une révision de la répartition de ces sous-espèces pourrait s'avérer nécessaire car il semble étonnant qu'une espèce séjournant dans une aire de distribution si restreinte montre autant de variations. Il est à noter qu'en Belgique est apparue récemment une mutation bleue.


Pyrrhrura molinae molinae

Distribution : Cette race se trouve confinée sur les hautes terres de l'est de la Bolivie Le plumage est principalement vert.

Description : Le haut de la tête, la couronne, et le crâne sont bruns mélangés de vert. Sur le front la plupart des oiseaux montrent une coloration supplémentaire de rouge-brun. Sur la nuque, il y a quelques plumes bleues qui ne sont pas toujours faciles à voir. Les lores et les oreillons sont verts, les plumes couvrant les oreilles sont brun grisâtre. Les plumes sur le côté du cou, de la gorge et du haut de la poitrine sont brunâtres ou d'un faible brun grisâtre, chaque plume portant une nette démarcation formée par un liseré gris pâle brunâtre ou faiblement jaunâtre.

Cette bordure de plume apparaît quelquefois si pâle sur la gorge qu'elle semble presque blanche. Le bas du poitrail est vert et tourne au brun rouge sur le ventre. Les cuisses et le plumage du dos sont verts. La courbure et le côté de l'aile sont verts. Les plumes primaires de couverture et le côté extérieur des plumes de l'aile sont bleus. Le bas de l'extrémité des plumes de couverture de la queue sont vertes. Les plumes de la queue sont brunes sur le dessus, avec du vert à la base, et brun-rouge en dessous. Le bec est gris, le tour nu de l'oeil est blanchâtre, l'iris est brun et les pattes sont gris foncé. Les jeunes immatures présentent une coloration plus terne de la tache rouge du ventre.

Avec l'importante tache rouge sur le ventre et la bordure distincte sur les plumes de la gorge, la forme nominale de l'espèce est fortement différenciée des sous-espèces ci-dessous.


Pyrrhrura molinae phoenicura

Distribution : A l'ouest du centre du Mato Grosso, Brésil et au voisinage du nord-est de la Bolivie.

Description : Peut-être un peu plus petit: 24 cm. Plumage comme P. m. molinae mais le côté supérieur de la queue est largement marqué de vert.


Pyrrhrura molinae sordida

Distribution : Au sud du Mato Grosso, Brésil, et au voisinage de l'extrême est de la Bolivie.

Description : Comme P. m. molinae mais l'ensemble du plumage est plus terne. Le haut de la tête et la couronne sont marron plus pâle que pour la forme nominale; le vert des joues est plus pâle et moins étendu et peut montrer une touche de bleu. Mais la caractéristique essentielle concerne le plumage de la poitrine qui apparaît presque d'une couleur uniforme blanc brunâtre terne; le côté de chaque plume n'est plus clairement distinguable, il est possible que cette coloration puisse varier. La tache abdominale brun-rouge est plus pâle et moins proéminente; l'apparence des primaires est d'un bleu plus pâle; le dessous des plumes de la queue est fondu avec du bleu. Les jeunes immatures ont moins de rouge sur le ventre, l'ensemble du plumage apparaît très terne et décoloré. Importée occasionnellement. Cette sous-espèce diffère de P. m. australis et P. m. molinae par la moindre étendue du rouge sur le ventre et de P. m. restricta parce qu'elle est d'un vert général plus terne et que le bleu est absent sur les flancs et les cuisses; cependant quelques spécimens ont du bleu très atténué sur les joues.


Pyrrhrura molinae restricta

Distribution : Uniquement rencontré en Bolivie dans la région de Palmarito, Chiquitos.

Description : Comme P. m. molinae mais le vert des oreillons est teinté de bleu; un collier bleu sur le haut du cou est toujours très apparent; les plumes sur les côtés de la nuque, la gorge, et le haut du poitrail sont très bordés de blanc-grisâtre à la place du gris-fauve; la tache abdominale brun-rouge est de couleur plus atténuée et moins étendue; les flancs et le dessous des ailes de couverture de la queue sont fortement teintés de bleu. Cette sous-espèce, la plus petite des P. molinae, est une version bleue de la .P. m sordida. Elle diffère aussi des deux autres sous-espèces importées habituellement par sa faible coloration rouge sur le ventre.

ENCORE UNE FOIS UN SEUL PERROK NE SERA JAMAIS HEUREUX....




VOIL0 POUR MA PART JE NE PEUX FAIRE MIEUX

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super je te remercie pour la lecture
mais peut etre que ça serai mieux le pyrruhra molinae que la royale .
car cette derniere est plus grande et deux dans la meme cage sera trop petit pour dormir.
je vais voir si il y a un éleveur prés de chez moi et ce qu'il me conseil.
je ne veut pas prendre une bete pour la rendre malheureuse, ce n'est pas mon but.

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oh ok je voyais beaucoup plus grand .
bon je vais mesurais chez moi cette aprem.
et si ça ne passe pas et bien j'attendrai pour avoir des pérroquets.
en tout cas je te remercie pour tout.
Et j'adoooooooore votre site
bonne continuation

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