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CANIS111

QUESTIONS/REPONSES OISEAUX

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Marrant on a le même guide Laughing Dans le sibley, le jeune bec cerclé me semble plus clair, mais la photo est peut-être trompeuse. En travaillant les contrastes on voit assez nettement que le bec est rosâtre avec l'extrémité noire, m'enfin ça aide moyen ! Ce qui me perturbe, c'est que sur la zone je n'ai vu que de l'argenté en Goéland Suspect Les juvéniles c'est vraiment une plaie Laughing

EDIT : j'ai oublié un détail, photo prise mi aout

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Louvargent a écrit:
Marrant on a le même guide Laughing
Normal, le Sibley in english est the best... Very Happy
Sinon pas vérifié donc c'est peut etre un goél d'amérique...


duc

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Je suis pas aussi calé en oiseaux de mer qu'avec ceux de montagne, et j'ai un doute sur celui là… j\'saispas

Mon Elsevier ne me permet pas d'ôter ce doute…

Pour info : Pris dans une Saline au sud de la Sardaigne…

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Dos Jones a écrit:

Je suis pas aussi calé en oiseaux de mer qu'avec ceux de montagne, et j'ai un doute sur celui là… j\'saispas
Je pencherais plutot pour une mouette rieuse. Un goéland railleur aurait le bec dans les tons noir et l'audouin aurait les pattes noires...


duc

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J'aurais aussi pensé à une rieuse, mais l'expertise de glaurung est bien plus fiable que la mienne ! D'ailleurs j'ai une question piège, quel oiseau est susceptible de se trouver en bandes nombreuses (40-50 individus) à 1500m dans les Pyrénées ? Je les ai d'abord aperçus posés, puis en l'air, suivant un petit rapace. Je les ai entendus triller régulièrement, un trille assez doux, relativement grave et court. Gabarit entre le pigeon et l'étourneau je dirais, ça inspire quelqu'un ? Et non je n'ai pas de photo, j'étais bien trop gelée et détrempée à ce moment là pour ça Laughing

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Louvargent a écrit:
J'aurais aussi pensé à une rieuse, mais l'expertise de glaurung est bien plus fiable que la mienne ! D'ailleurs j'ai une question piège, quel oiseau est susceptible de se trouver en bandes nombreuses (40-50 individus) à 1500m dans les Pyrénées ? Je les ai d'abord aperçus posés, puis en l'air, suivant un petit rapace. Je les ai entendus triller régulièrement, un trille assez doux, relativement grave et court. Gabarit entre le pigeon et l'étourneau je dirais, ça inspire quelqu'un ? Et non je n'ai pas de photo, j'étais bien trop gelée et détrempée à ce moment là pour ça Laughing


Chocards Exclamation





Toujours en bande nombreuse et bruyante

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La silhouette c'est tout à fait ça, et confirmation du cri sur oiseaux.net (les trilles du début), merci beaucoup ! J'avais un peu sous estimé la taille on dirait !

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glaurung a écrit:
En montagne t'as une chance sur trois : choucas, chocard ou crave... Surprised


duc



Suspect Choucas QuestionSuspect dans le clocher du village au fond de la vallée. Jamais vu en montagne.
Quelqu'un a-t-il une obs. Questionscratch


Par contre on pourrait ajouter :
Casse-noix (en tout petit groupe), corneille et corneille mantelée (vue à 5.300m au Tibet Exclamation )

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orever a écrit:
Suspect Choucas QuestionSuspect dans le clocher du village au fond de la vallée. Jamais vu en montagne.
Quelqu'un a-t-il une obs. Questionscratch
Bon d'accord, c'était pas en haute montagne, c'était plutot dans la vallée... Rolling Eyes

orever a écrit:
Par contre on pourrait ajouter :
Casse-noix (en tout petit groupe), corneille et corneille mantelée (vue à 5.300m au Tibet Exclamation )
En meme temps le cassenoix est quand meme une taille en dessous... Et puis les mantelées en bandes aussi nombreuses en France, c'est quand meme pas du tout commun...


duc

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Pour les Choucas, une colonie vie dans les falaises au dessus de Pra long à Estenc (06), c'est les seuls que je connais en altitude.

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A priori oui, bien qu'il semble très "ramassé", très trapu.

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Le fait qu'il semble trapu, ça peut venir du fait qu'il est en bas de la falaise et moi en haut (au moins 30 m de dénivelée)

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glaurung a écrit:
Dos Jones a écrit:

Je suis pas aussi calé en oiseaux de mer qu'avec ceux de montagne, et j'ai un doute sur celui là… j\'saispas
Je pencherais plutot pour une mouette rieuse. Un goéland railleur aurait le bec dans les tons noir et l'audouin aurait les pattes noires...


duc


Le railleur n'a surtout pas de tache parotique.

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J'ai un petit doute. Grégaire, pas loin du chant du chardonneret, photo prise à 2.000m dans une clairière de mélèzes...

Question :study:

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orever a écrit:
J'ai un petit doute. Grégaire, pas loin du chant du chardonneret, photo prise à 2.000m dans une clairière de mélèzes...
Au 1er coup d'oeil j'aurais dit venturon ou verdier pour celui de droite, mais en regardant de plus près on a l'impression qu'il a du rouge sur l'oeil... Neutral
Celui de gauche.... euh... T'aurais pas d'autres photos ???


duc

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Celui de gauche, de prime abord, j'aurais tapé dans les bruants mais ça fait tard et j'suis pas une pointure !

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Loulou a écrit:
Celui de gauche, de prime abord, j'aurais tapé dans les bruants mais ça fait tard
Ben ça dépend lesquels... ça pourrait etre un bruant fou... j\'saispas A la limite j'y verrais plus un pinson vu la teinte générale, mais je ne suis pas convaincu... scratch


duc

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glaurung a écrit:
Loulou a écrit:
Celui de gauche, de prime abord, j'aurais tapé dans les bruants mais ça fait tard
Ben ça dépend lesquels... ça pourrait etre un bruant fou... j\'saispas A la limite j'y verrais plus un pinson vu la teinte générale, mais je ne suis pas convaincu... scratch


duc


Ni bruant fou ni verdier ni pinson : je les connais trop bien Rolling Eyes

Vol grégaire et cri du chardonneret : venturons probables mais aussi tarins et/ou linottes (mais c'est un peu tard pour cette dernière) Ideaconfusedscratch

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Peut etre chercher dans les femelles de tarier ? j\'saispas (je pense plutot au patre, mais ce n'est qu'une hypothèse...)


duc

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Ugatza a écrit:
La queue est trop longue pour un tarier , non?
Plutot oui... Pas vraiment d'idées non plus à part ça... j\'saispas


duc

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orever a écrit:

Autre photo mais bon ...

Je peux me tromper mais la première impression m'a fait penser à la Pie-grièche écorcheur, ce pourrait-être un jeune dont l'œil est moins marqué que chez les adultes…

Le bec étant fin c'est plutôt un insectivore…

Les Bruants ont un bec plus fort…

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Dos Jones a écrit:
Je peux me tromper mais la première impression m'a fait penser à la Pie-grièche écorcheur, ce pourrait-être un jeune dont l'œil est moins marqué que chez les adultes…

Le bec étant fin c'est plutôt un insectivore…
J'y ai pensé aussi, mais à 2000m mi novembre au milieu de mélèzes... scratchscratchscratch


duc

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glaurung a écrit:
Dos Jones a écrit:
Je peux me tromper mais la première impression m'a fait penser à la Pie-grièche écorcheur, ce pourrait-être un jeune dont l'œil est moins marqué que chez les adultes…

Le bec étant fin c'est plutôt un insectivore…
J'y ai pensé aussi, mais à 2000m mi novembre au milieu de mélèzes... scratchscratchscratch


duc
Une autre couvée, un retour de flamme… va savoir…

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Dos Jones a écrit:
Une autre couvée, un retour de flamme… va savoir…
Mais vu l'altitude et la période, je ne sais pas trop quelle température il fait là haut mais elle doit bien galérer pour trouver suffisamment d'insectes...


duc

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glaurung a écrit:
Dos Jones a écrit:
Une autre couvée, un retour de flamme… va savoir…
Mais vu l'altitude et la période, je ne sais pas trop quelle température il fait là haut mais elle doit bien galérer pour trouver suffisamment d'insectes...


duc
On ne sait pas dans quel massif la photo a été prise ?

Ici jusqu'à y'a 15 jours les températures étaient douces… D'autre part ces oiseaux ont des migrations altitudinales, faudrait avoir plus de précisions sur la date exacte et le lieu aussi…

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Ressemble pas du tout à une pie-grièche cette affaire. J'aurais dit bruant aussi pour moi. Un fou parait possible.

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Allez de retour avec mes questions à deux balles ! Grand oiseau (plus grand qu'une buse) aperçu se chamaillant avec deux corneilles au Tilden Park (Californie, près de San-Francisco). Une idée ?



La photo est pourrave, prise à la volée à travers des branches, les piafs se castagnaient à 10m au dessus de ma tête et j'ai été trop stupéfaite pour réagir avant qu'ils s'en aillent...

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ça ressemble fort à un urubu à tête rouge... Surprised (présent aussi au Québec)


duc

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Ca pourrait tout à fait, il y en a sur le secteur du parc et c'est le premier qui m'était venu en tête, la coloration rousse des ailes (extrémités) m'avait surprise par contre... C'est caractéristique ou c'est le contre jour et les ailes "vrillées" ?

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Ben j'ai pas vérifié dans le Sibley, mais à mon avis la couleur est dû au contrejour...


duc

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Vérification faite, le contraste net entre la base sombre de l'aile et l'extrémité grise vu de dessous est caractéristique, puis j'ai vu plusieurs photos d'oiseaux avec les rémiges primaires rousses vu de dessous, il est donc tout à fait probable que ce soit ça genial Vu la tête et les pattes ternes, c'est sûrement un jeune...

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Loulou a écrit:
Vos gueules les mouettes !
Et la question ? Laughing
Sinon marrante cette photo Surprised


duc

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M..... j'me suis trompé, je voulais poster dans "pour partager nos photos"

geek

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Loulou a écrit:

Qu'est ce qu'ils foutent en Bretagne ceux là ?
Ils foutent qu'ils se sont échappés du parc de Branféré il y a un certain temps et que depuis ils se sont multipliés et foutent le bordel sur les espèces autochtones...


duc

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Il y en avait 28 dans un pré avec des vaches, à Séné, à coté de Vannes dans le golfe du Morbihan !

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Loulou a écrit:
Il y en avait 28 dans un pré avec des vaches, à Séné, à coté de Vannes dans le golfe du Morbihan !
Tiens, le marais de Séné Surprised J'y suis allé quand j'étais minot Surprised J'étais sur l'ile de Berder en classe de mer... Smile
Pour en revenir aux ibis, dans le golfe du Morbihan il y en a pas mal, malheureusement...

Citation :
L’ibis sacré Threskiornis aethiopicus a été introduit dans de nombreux zoos du monde entier
du fait de sa facilité de maintien et de reproduction en captivité, ainsi que pour sa prestance et
son grégarisme spectaculaire. C’est d’ailleurs l’une des espèces les plus citées par les tour
operators africains (voir les sites Internet des zoos et des agences de safari). Dans certains
cas, l’espèce a pu s’échapper parce que laissée « en plein vol » et s’est installée dans des
espaces naturels proches du zoo d’origine. Dans l’ouest de la France, les oiseaux issus du parc
zoologique de Branféré se sont ainsi rapidement multipliés et commencent à poser
interrogations et problèmes.
La lettre de mission que nous a donnée le Ministère de l’Écologie et du Développement
Durable (6 décembre 2004) nous demande d’établir l’état actuel des connaissances sur cette
espèce et ses impacts éventuels (biologiques et socio-économiques) afin de permettre une
décision concernant la gestion de cet oiseau. Il nous a été demandé de coordonner « une
expertise collective sur les problèmes posés par les populations introduites d’ibis sacré
en France métropolitaine ». Celle-ci doit s’appuyer sur un rapport préparatoire à un
séminaire, l’ensemble de ce dossier étant sous la direction scientifique de MM P.
Clergeau (INRA) et P. Yésou (ONCFS). Dans un souci d’objectivité, la DIREN des Pays de
la Loire, qui est à l’origine de cette demande, a sélectionné les missionnés en dehors des
quelques personnes qui étudient l’espèce ou ont pris position à son propos. Cette mission
d’expertise, qui s’est déroulée sur une période très courte (3 mois) a associé notamment des
directeurs et personnels d’espaces protégés, des associations de naturalistes, des scientifiques,
des fédérations de chasse et de défense contre les ennemis des cultures.
Les études réalisées antérieurement sur cette espèce en France sont très peu nombreuses. Le
fait de ne pas attendre de disposer d’un ensemble de connaissances (notamment sur la
dynamique de population), contrairement à ce qui est souvent le préalable à une éventuelle
décision de gestion d’une espèce, est explicable par le statut même de l’espèce étudiée ici, qui
est une espèce exotique introduite. Il serait donc possible de ne pas s’inscrire dans le
« jugement » d’une espèce par rapport à un éventuel objectif de limitation ou d’éradication
suite à des préjudices reconnus, mais simplement de se référer aux décisions et
recommandations internationales sur les conduites à tenir face aux espèces exotiques
envahissantes. Ces espèces sont actuellement reconnues comme la seconde cause de
disparition de la biodiversité et comme la première cause de l’homogénéisation des faunes et
des flores. C’était dans ce sens, et avec cette sensibilité écologique, que le Parc de Branféré a
alerté dès 1993 (lettre du 6 août 1993) puis à plusieurs reprises, le Ministère de
l’Environnement afin d’empêcher le développement des reproductions de l’ibis à l’extérieur
de son enceinte. R. Mahéo (université Rennes 1) fait part de ses inquiétudes à la Préfecture à
propos des reproductions en liberté de l’ibis en 1994. La DIREN Bretagne transmet ces
interrogations à la Direction de la Nature et des Paysages du Ministère de l’Environnement, la
même année. En l’absence de réponse du Ministère et dans l’incapacité d’obtenir une
information de l’administration sur la démarche à adopter, la direction du parc a entrepris
d’éjointer ses oiseaux. En 1996, P. Clergeau, écologue à l’INRA, a également sensibilisé la
DNP du Ministère de l’Environnement face aux éventuels impacts de l’ibis. Parallèlement, L.
Egain, alors Président de la FEMODEC, interrogeait à plusieurs reprises la Préfecture du
Morbihan à ce sujet. Il n’y a pas eu non plus de suite donnée par l’administration à ces
Ibis sacré en France – Rapport INRA / ONCFS mars 2005 Clergeau P., Yésou P. & Chadenas C.
contacts. Cependant, suite à l’installation d’une partie de ces oiseaux sur le lac de Grand Lieu,
L. Marion, Directeur de la Réserve naturelle de Grand-Lieu, a obtenu un programme
personnel de marquage dès 1993 et a pris rapidement une position favorable à l’installation en
nature de cet oiseau. Par lettre datée du 1er mars 2004, C. Priou, Député-maire du Croisic en
Loire-Atlantique et alors Président du Syndicat Mixte du Parc naturel régional de Brière, a
demandé à M.-C. Eybert, Présidente du Conseil Scientifique de ce Parc naturel régional, "s'il
ne serait pas opportun d'étudier le comportement de l'ibis sacré, ses capacités d'adaptation…",
suite "à l'inquiétude que suscite chez certains usagers l'accroissement des populations à
grande vitesse". Celle-ci lui répondra effectivement que "seule une étude initiée sur ce sujet
pourra apporter des éléments de réponse".
Aujourd’hui le nombre d’ibis qui se reproduisent en liberté est de quelques centaines
d’individus, ce qui inquiète agriculteurs (interrogation sanitaire) et responsables d’espaces
protégés (prédation sur des espèces rares). Cela remet donc légitimement en question le
laisser-faire qui s’était instauré. Cependant le nombre d’oiseaux, et la possible appropriation
affective de l’espèce par une partie des riverains des zones humides qu’elle fréquente,
impliquent de se rapprocher d’une analyse classique d’impact d’espèce pour justifier toute
stratégie de gestion qui pourrait être adoptée. Une première réunion sur le sujet a été
organisée par le PNR de Brière en octobre 2004 et a permis de lancer un premier recensement
global de l’espèce, coordonné par la LPO. Cette réunion a par ailleurs été à l’origine de la
présente demande d’expertise collective de la part du Ministère.
Pour répondre à cette demande, nous avons construit un argumentaire concernant l’ibis sacré
en France en prenant en compte une double entrée : d’une part, il s’agit d’une espèce
introduite, ce qui motivera un rappel sur les conduites à tenir élaborées par les instances
internationales ; d’autre part, il s’agit d’une espèce soupçonnée de causer des préjudices aux
activités humaines et/ou au maintien de la biodiversité. Nous avons cherché à respecter au
mieux les différentes positions exprimées et à rester au plus près des données connues ou
reconnues. Notre travail doit être lu comme un ensemble d’éléments permettant discussion
puis décision par le ministère, et non comme un réquisitoire pour ou contre une espèce.
Nous avons voulu fournir un rapport le plus synthétique possible afin d’en faciliter la
diffusion. On trouvera en bibliographie les sources permettant d’accéder à des informations
complémentaires.
Nous aborderons d’abord ce qui a motivé ce travail, à savoir l’expansion numérique et
spatiale de l’ibis sacré en France. Ce premier chapitre, qui intégrera l’historique de
l’installation, le recensement actuel de la population et ses comportements, a nécessité une
recherche bibliographique et l’activation de réseaux de personnes « de terrain », ainsi que des
études propres à cette expertise (utilisation des différents habitats et approches du régime
alimentaire). Nous rapporterons ensuite les éléments qui nous semblent indispensables à la
prise de décision. Le deuxième chapitre traitera ainsi des comportements, statuts et impacts de
l’espèce sur son aire d’origine. Le troisième chapitre abordera les perceptions des différents
acteurs et riverains des zones humides puis les impacts de l’ibis en France (impacts
biologiques et sur les activités humaines). Le quatrième chapitre proposera les différentes
stratégies et outils de gestion qui nous paraissent pouvoir être appliqués au cas de cet oiseau.
Au-delà d’un résumé du rapport, notre conclusion présentera des pistes de recherche à
développer dans le cas où le ministère prendrait la décision d’un nécessaire développement
des connaissances. Notre souhait est que l’administration centrale puisse prendre une
décision, quelle qu’elle soit, vis-à-vis de cette espèce avant l’envol d’une nouvelle génération
d’ibis sacré français.
C'est tiré de "Ibis sacré (Threskiornisaethiopicus) Etat actuel et impacts potentiels des populations introduites en France métropolitaine."
A lire là : http://w3.rennes.inra.fr/scribe/document/ibis_v2.pdf


duc

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Je confirme pour les ibis, j'en ai vu de la grande brière (près de Branféré donc) jusqu'au mont saint-michel... Cest affolant à quel point ils se sont multipliés !

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De prime abord, je dirais crécerelle: moustache noire, ailes courtes n'atteignant pas le bout de la queue, ongles noirs (?).

Où as-tu pris cette photo et quand?

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photo prise à midi, chez moi :ange1: (Loire, sur les massifs du Forez, 900m alt)
en fait c'est la couleur de la tête qui me revient pas...

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Je pense c'est un crécerelle (mâle, justement à cause de la couleur grise de la tête), la femelle a la tête marron tâchetée de brun.

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