Guilbeuche 0 Posté(e) le 21 novembre 2006 Bon eh bien apparemment il est mort notre ami CANIS ! 21 novembre 2006 17:33 Loup abattu dans le Chablais valaisan BERNE (ATS) Un loup mâle a été abattu dans la région d'Arcojeux, dans le Chablais valaisan. Il s'agit vraisemblablement de celui qui avait tué 31 moutons fin septembre, car il a été tiré dans un lieu très proche de celui où l'attaque s'était produite. Cet abattage a été réalisé en application du concept loup suisse, dans le délai et le périmètre fixés par l'autorisation de tir, a indiqué le service d'information du canton du Valais. Le concept précise qu'un loup peut être abattu s'il a tué 25 moutons en un mois ou 35 moutons en quatre mois. Le tir a été effectué par des professionnels du Service cantonal de la chasse, de la pêche et de la faune. Une première grande attaque avait eu lieu dans la nuit du 26 au 27 septembre, dans la région d'Arcojeux (alpage de Conche), où 31 moutons avaient été tués. Il s'agissait d'un loup provenant d'Italie. Son sexe n'avait pas pu être déterminé. Une deuxième attaque s'est produite le 16 octobre dans la région de Onne. Dans ce cas, il s'agissait d'une louve. Le fait qu'un mâle ait été abattu mardi confirme donc pour la première fois la présence d'au moins deux loups dans ce secteur. Tirer avec certitude le loup qui avait commis les dégâts, comme le demande le WWF Suisse, est une tâche impossible, relève l'Etat du Valais dans son communiqué. C'est pourquoi le concept loup oblige le canton à définir un périmètre de tir englobant les secteurs où les dégâts ont été commis et fixe une limitation dans le temps pour l'autorisation de tir. En procédant ainsi, le canton estime disposer ainsi du maximum de garanties afin d'éliminer le loup ayant commis les dégâts. Les organes fédéraux compétents, partenaires du canton dans ce dossier, partagent cet avis. SDA-ATS News Service Edipresse Publications SA, tous droits de reproduction et de diffusion reservés. http://www.24heures.ch/vqhome/le_journal/vqnews.detailcateg.YXRzLmNoOjIwMDYxMTIxOmJyZjA1Mw==.3.0.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
CANIS111 0 Posté(e) le 21 novembre 2006 Guilbeuche a écrit:Bon eh bien apparemment il est mort notre ami CANIS ! Ca va pas non....!!!!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
tite drine 0 Posté(e) le 22 novembre 2006 donc le but, c'est de flinguer tous les loups pour être sûr d'avoir tué celui qui a bouffé les moutons ? intéressant comme technique....... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Guilbeuche 0 Posté(e) le 22 novembre 2006 Pas toi 'CANIS' mais l'autre CANIS LUPUS que les Suisses ont honteusement occis, et rendu responsable ce pelé ce galeux comme nous a dit ce cher MR DE LA FONTAINE ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Michel23 0 Posté(e) le 28 novembre 2006 Protection du loup: la Suisse déboutée par l'Europe Le loup continuera de relever des «espèces de faune strictement protégées». (Keystone) Sur le même sujet : Le loup: mission Plateau suisse Un loup ne vaut pas plus qu'un lynx La Suisse, qui demandait de déclasser le niveau de protection de cet animal, a été déboutée à Strasbourg par le Comité permanent de la «Convention de Berne», qui protège la faune et la flore. Les organisations écologistes - Pro Natura, WWF - saluent cette décision [...] La suite => swissinfo Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Dos Jones 0 Posté(e) le 15 décembre 2006 Lu dans le Dauphiné Haute-Savoie, je cite : Citation :Le loup de retour dans l’Oberland SUISSE Il n’y a pas que le Valais! Dans le canton de Berne, un loup, venu d’Italie, a tué huit moutons, près de la ville de Thoune. C’est la deuxième preuve, cette année, de la présence de l’animal au nord des Alpes. En effet, un premier individu avait été écrasé par un train, le 22 mars. Pour répondre aux craintes des éleveurs de petit bétail, le gouvernement fédéral va augmenter les ressources humaines et financières, pour qu’ils puissent obtenir des chiens spécialisés et des conseils de protection.C'est Johnny qui l'a ramené... :rire: Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
animalelectro 0 Posté(e) le 15 décembre 2006 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Vari 0 Posté(e) le 15 décembre 2006 Elle est sympatoche meme si le sujet est sérieux, il faut bien détendre l'atmosphere Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Dos Jones 0 Posté(e) le 6 janvier 2007 Agrigate.ch a écrit:Valais: unis contre le loup 18.12.2006 / AGIR Agence d'information agricole romande Le PDC et l'UDC valaisans veulent la tête du loup. Deux interventions parlementaires déposées vendredi réclament l'abolition de l'effet suspensif pour les tirs de loups et une révision du principe de protection du prédateur. Contre l'effet suspensif, les groupes PDC et UDC ont déposé une motion. Ils veulent que le Conseil d'Etat propose l'introduction, dans la loi sur la chasse, d'une disposition précisant qu'une autorisation de tir contre un loup ne bénéficie pas d'un effet suspensif. Ce genre d'exception à un régime ordinaire est connu dans le droit valaisan, expliquent les signataires. Lorsque les conditions sont réunies pour tirer un loup et que l'autorisation est donnée, il y a un intérêt public à ce que la décision soit immédiatement exécutoire. Les deux interventions seront débattues par le Grand Conseil valaisan lors de la prochaine session parlementaire en février 2007. Source: agir et ats Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
tite drine 0 Posté(e) le 13 octobre 2007 Citation :Loup en Valais: ses jours sont comptés Melina Sargenti - 12/10/2007 Le Matin Le 28 octobre, l'autorisation de tirer le loup du Chablais entrera en force. Les 41 bêtes de traites auxquelles il s'est attaqué les dernières semaines lui seront peut-être fatales Qui décide comment on peut tuer le loup? En Suisse, deux textes font office de loi en matière de gestion du loup. La Co nvention de Berne régit la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel en Europe. Le Concept Loup Suisse, lui, décrit les principes qui régissent la protection du loup, sa capture, les indemnités versées aux éleveurs ainsi que les éventuelles autorisations de tir. Le tir peut être autorisé si un loup a tué 35 moutons en quatre mois ou 25 en un mois. Mais pour qu'un loup soit abattu il faut encore que le troupeau attaqué ait été correctement protégé, avec bergers, chiens et enclos pour la nuit. suite ICI Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
tite drine 0 Posté(e) le 27 octobre 2007 Citation :Loup du Chablais: le WWF ne fait pas recours Le WWF ne fera pas recours contre l'autorisation de tir du loup du Chablais délivrée fin septembre. Il "désapprouve fermement" cette décision, mais attend de la Confédération qu'elle mette en place des mesures de protection des troupeaux efficaces. Le loup en question a tué 39 moutons et 2 veaux en quatre mois. Bon nombre de ces animaux n'étaient pas protégés de manière suffisante, écrit le WWF dans un communiqué. Pourtant, suite aux attaques de l'année dernière dans une autre partie du val d'Illiez, les éleveurs concernés ont pris des mesures de protection, qui ont prouvé leur efficacité cet été SUITE J'ai pas tout compris... Ils désapprouvent mais ne font pas recours ? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Jacques09 0 Posté(e) le 27 octobre 2007 Ben , faudrait leur demander... http://www.wwf-vs.ch/wwfvr/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Jacques09 0 Posté(e) le 8 janvier 2008 Dispositif anti-loup efficace à Berne "Le recours à des chiens pour protéger les moutons contre les attaques du loup dans le canton de Berne est un succès. Aucune attaque de loup ou de lynx n’a été signalée sur les 3 alpages gardés par des chiens l’été dernier. Les chiens se sont rapidement intégrés aux troupeaux de moutons de ces trois alpages. Aucun incident n’a en outre été signalé avec des randonneurs..." La suite ici : http://ours-loup-lynx.info/spip.php?article1160 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Chichaî 0 Posté(e) le 20 janvier 2008 Allez, un petit coup d'oeil sur les loups en Italie, ça baigne pour eux.... Heureux comme un loup des Abruzzes Au moment où la France relance l’abattage partiel jusqu’en 2008, gros plan sur le modus vivendi adopté par nos voisins italiens Dans le Parc national des Abruzzes 43900 hectares, trente patelins de 300 à 800 habitants , il y a des siècles que l’on a appris à vivre avec les loups. Sans problèmes. Sans gros incidents. Sans panique surtout. De cinquante à soixante-dix spécimens de Canis lupus italicus, 70 centimètres au garrot, peuplent aujour-d’hui ces montagnes qui s’étendent entre Rome et la mer Adriatique. Et les seules campagnes de presse sur ce sujet concernent la protection des loups, une espèce qualifiée depuis 1992 de «patrimoine de l’Etat». Le 2 novembre dernier, le quotidien «la Repubblica» pleurait ainsi une «famille de loups écrasée par un train», narrant par le détail le triste sort de ce «papa-loup» et de cette «maman-loup», fauchés alors qu’ils portaient leur rejeton à la «découverte de son territoire». Quel est le secret de cette convivenza, cette vie en commun, entre l’homme et le loup? Dans les zones montagneuses des Abruzzes, où domine la vieille culture pastorale fondée sur la transhumance des brebis, il y a belle lurette que l’on sait deux ou trois choses essentielles sur le célèbre prédateur. Un: le loup n’attaque jamais l’homme; cela ne s’est pas produit, en tout cas, depuis plus de cent ans. Deux: les chiens sont les principaux alliés des bergers, pourvu qu’ils soient de grande taille, pas peureux et capables de rester immobiles près du troupeau même en cas de danger. Trois: les brebis doivent être regroupées, la nuit, à l’abri de clôtures de 2mètres de haut. «Les techniques n’ont pas varié depuis des décennies: on ne pratique pas ici l’élevage "sauvage", et les brebis sont toujours accompagnées de chiens», confirme Duccio Centili, du WWF-Italie. Bien sûr, tout cela implique des primes à l’amélioration de la protection des troupeaux et des compensations économiques en cas d’incident, prises en charge par le gouvernement et l’Union européenne. Mais le modus vivendi italien se base aussi sur d’autres ingrédients. Les médias répercutent depuis longtemps les campagnes de préservation des espèces animales en danger, comme l’«opération Saint-François», dans les années 1970, qui suscita un véritable mouvement d’opinion en faveur de la protection de la nature et déboucha sur des lois adéquates. Aujourd’hui, des sites internet comme Lupi, apprennent à «parler avec les loups» pour éviter des «dommages réciproques» entre l’homme et le grand prédateur. Les bénévoles du Gruppo Lupo Italia gardent un contact permanent avec les habitants des Abruzzes en leur expliquant que les loups sont «de pauvres bêtes inquiètes, des espèces de sans-logis» qui s’en prennent aux brebis surtout au printemps «après un long hiver où ils ont littéralement crevé de faim» Et que si les loups se jettent sur les troupeaux, c’est faute de cerfs ou de chamois à se mettre sous la dent, d’où la nécessité d’une multiplication de ces espèces. Le célèbre prédateur est devenu une véritable mascotte. Des agences spécialisées dans le trekking proposent de passer un «Noël 2004 avec les loups». Des pubs essaient d’attirer les touristes au célèbre camping Lupi en bordure du Parc national. «Le secret du compromis historique italien avec les loups? C’est tout bonnement que les populations méridionales sont traditionnellement plus tolérantes», soutient Luigi Boitani, professeur à l’université de Rome. Et de citer le seul cas d’ostracisme patent des Italiens envers les loups. C’était en 1939, sous Mussolini, lorsqu’une loi avait qualifié le prédateur «d’animal nocif à éliminer par tous les moyens». Le loup fut alors, lui aussi, une victime du fascisme Marcelle Padovani Le Nouvel Observateur Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites