animalelectro 0 Posté(e) le 9 décembre 2006 Je viens de voir une émission sur la 5, sur les espèces de manchots en Antarctique et il paraît que la glace font rapidement aux abords de la calotte glaciaire alors qu'elle se durcie au centre... En fait la tepérature augmentant au centre, des ouragans terribles se forment et empèche la glace de se figer et "attaquent" les animaux alors cloués au sol, congelés!!! C'est à la foi stupéfiant et terrible... On voit également que les manchots d'Adélie et empereurs reculent alors que les royaux gagnent de nouveaux terrains... C'est terrifiant Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ugatza 1 Posté(e) le 9 décembre 2006 Hé oui...Après avoir vibré avec "La marche de l'Empereur", on va bien consommer et "illuminer" pour Noël... Tant pis si les Kw tuent... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ugatza 1 Posté(e) le 24 janvier 2008 Il y a encore des illuminations. Nous sommes le ...24 janvier. Tant pis pour la banquise. Le début Citation :La biodiversité est menacée Outre cette aggravation de l’effet de serre, on peut d’ores et déjà tirer une sonnette d’alarme sur les effets concernant la biodiversité. En effet, même si cet écosystème est encore mal connu, l’accélération de la fonte de ces glaces laisse présager une menace sévère sur certaines espèces vivant sur la banquise, telles que l’ours polaire, et le phoque, le morse mais aussi le caribou, le renne, le lemming, et la chouette harfang. Louis Fortier, professeur à l’université Laval à Québec, souligne: «Nous avons constaté que des espèces peut-être moins spectaculaires mais plus importantes comme la morue arctique (le poisson principal de cet océan), le zooplancton, et jusqu’à un certain point les micro-algues sont aussi dépendantes de cet écosystème. Or, on assiste déjà à leur remplacement par des espèces venues du sud. La pénétration des saumons du Pacifique en Arctique est de plus en plus fréquente. Dans la baie d’Hudson, la morue est peu à peu remplacée par le capelan de l’Atlantique». Ces modifications ne seront pas sans conséquences pour l’équilibre des populations autochtones, les Inuits et les Lapons, qui vivent de la terre, et de la glace. … les hommes aussi Les populations sont menacés à plus d’un titre. D’une part, leur alimentation est basée sur ces animaux menacés d’extinction, d’autre part «l’arrivée des nouvelles espèces venant de contrées tempérées pourront entraîner le développement de nouvelles maladies transmissibles à l’homme, comme le virus du Nil occidental», explique Paal Prestrud. «Mais là ne s’arrêtent pas les effets de ce phénomène sur la biodiversité. La limite de croissance des arbres va se déplacer vers le nord, les forêts remplaçant une partie de la toundra actuelle», et les populations seront contraintes au déplacement. obligés au déplacement. Enfin, pour compléter le tableau déjà sombre, «les gaz à effet de serre, en réchauffant la couche d’ozone, risquent d’augmenter le niveau d’UV dans la région. Les jeunes vivant aujourd’hui en Arctique recevront au cours de leur vie une dose d’UV supérieure d’environ 30% à celle que recevaient les générations précédentes, soit des risques de cancers accrus». Les Esquimaux ne sont pas les seuls à être menacés: Certes la fonte de la banquise ne provoque pas en soi une hausse du niveau des océans (puisque la glace flottante prend plus de place que l’eau qu’elle contient) mais la fonte des glaciers terrestres, amenés à fondre eux aussi avec le réchauffement général, devrait provoquer un relèvement accéléré du niveau des océans (ndlr : les estimations avancées sont d’un mètre au-dessus du niveau des océans). En conséquence de quoi, un recul des terres est diagnostiquer, qui pourrait affecter plus d’une centaine de millions de personnes vivant dans des deltas, sur des îles et sur les littoraux. «A toute chose malheur est bon» ? Pourtant ce scénario n’est pas complètement apocalyptique pour tout le monde, si l’on considère que malgré l’ampleur de la catastrophe attendue, le rétrécissement de la banquise ouvrira à la navigation les eaux arctiques, réduisant de 6 000 à 8 000 km la route entre l’Europe et le Japon, et de 8 000 km celle entre les Etats-Unis et la Chine. De nouvelles opportunités commerciales s’ouvriront donc avec ce nouveau «passage nord», pour le trafic maritime entre les océans Pacifique et Atlantique –permettant des gains de temps par rapport au trajet passant par le canal de Suez. L’ouverture de cette route de la mer du Nord a toujours été un rêve pour la Russie notamment, et pour son développement. Par ailleurs les économistes entrevoient la perspective de nouvelles exploitations des ressources halieutiques et minières jusqu’à présent cachées par les glaces. La zone recèlerait un quart des ressources planétaires d’hydrocarbures, certaines régions comme le Nunavut au Canada en regorgeant même. Alors doit-on considérer, comme le dit le proverbe, qu’«A toute chose malheur est bon» ? Paal Prestrud souligne: «cela dépend du point de vue : la compagnie pétrolière pense que c’est une bonne chose, mais l’Inuit sur la banquise est certainement d’un autre avis ! ». La suite Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ugatza 1 Posté(e) le 9 avril 2008 Le réchauffement plus rapide que prévu. http://sandrominimo.blog.tdg.ch/tag/wilkins http://www.france-info.com/spip.php?article114820&theme=29&sous_theme=31 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites