Ugatza 1 Posté(e) le 15 décembre 2006 http://www.sudouest.com/151206/une.asp?Article=141206a101393.xml Un bon article de Sud Ouest... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
CANIS111 0 Posté(e) le 16 décembre 2006 Bonrepaux, Suite : pays de l'Orus a écrit: Augustin Bonrepaux s'en prend encore à l'ours. Ca devient une (mauvaise) habitude... Cette fois, le député ariégeois a rédigé un rapport pour l'assemblée nationale dénonçant le coût de la réintroduction de l'ours. L'ours coûte t-il trop cher ? Une actualité Ours : satisfait ou remboursé... 23-11-2006 - 17:11 Pays de l'Ours – Adet a reçu ce jour le député Bonrepaux, dans le cadre de la mission d'information sur les dépenses liées à la réintroduction de l'ours dans les Pyrénées dont il est le rapporteur pour la Commission des Finances de l'Assemblée Nationale. Nous avons ainsi eu l'occasion de lui présenter notre point de vue sur ce dossier. Cette mission d'information a la particularité de porter sur un budget microscopique à l'échelle du budget de l'Etat : 2 millions d'euros à peine, soit 0,0004 % des dépenses publiques annuelles nationales, tandis que les rapports à la Commission des Finances concernent habituellement des dépenses de plusieurs milliards d'euros. Ne cachant pas son opposition farouche à l'ours, M. Bonrepaux, sera t-il objectif et impartial, comme l'exigerait une telle mission ? On en doute en constatant que M. Bonrepaux a tiré les conclusions avant-même d'avoir rencontré tous les acteurs du dossier. N'a t-il pas déjà proposé de réduire de 90 % les crédits du programme « Ours » lors de l'examen par la Commission des Finances du budget du Ministère de l'Ecologie ? En vain, heureusement. Pourtant, le programme Ours intègre une forte composante cohabitation et développement pastoral (50 % du budget), dont l'impact positif sur l'économie pyrénéenne est important : plus de 60 emplois (équivalents temps plein) directs. Ce sont des bergers, bergers itinérants, techniciens, salariés associatifs... qui tous travaillent et vivent en zone de montagne. Monsieur Bonrepaux a t-il conscience des conséquences économiques et sociales que la suppression de ce programme entraînerait, sur le territoire même qu'il dit défendre et promouvoir ? Par ailleurs, nous lui avons rappelé que, contrairement à une idée répandue, les communes ayant accepté les lâchers d'ours n'y avaient aucun intérêt financier. Aucune des communes concernées par les lâchers d'ours de 2006 n'a en effet touché ne serait-ce qu’un seul euro pour cela ! Les comptes des collectivités étant publics, chacun peut facilement aller le vérifier dans les Mairies. Nous avons également demandé à M. Bonrepaux si le champ de sa mission portait aussi sur le financement public des opposants à l'ours. Nous constatons en effet que le Conseil Général de l'Ariège (dont il est le Président) finance fortement la principale association d'opposants, au point que cela représente, à budget équivalent, une somme trente fois supérieure aux dépenses de l'Etat en faveur de l'ours ! Nous serions curieux de savoir ce qu'en pensent les Ariégeois, dont les études d'opinion montrent qu'ils sont majoritairement favorables au retour de l'ours, y compris en zone montagne. Par pure idéologie anti-nature, M. Bonrepaux use de tous les moyens pour essayer de supprimer un programme soutenu par une large majorité de Pyrénéens et de Français, et qui leur coûte moins de 4 centimes par personne. Pays de l'Ours - Adet est prêt à rembourser ces quatre centimes à toute personne qui jugerait cette dépense trop élevée. Nous avons réagit à la sortie du rapport. Une actualité Augustin Bonrepaux exagère ... 12-12-2006 - 13:38 Augustin Bonrepaux présentera demain les conclusions de son rapport à la Commission des Finances de l'Assemblée Nationale sur le coût de la réintroduction de l'ours. Selon nos informations, il a gonflé le budget exagérément pour pouvoir le dénoncer. Il ne fallait malheureusement pas attendre autre chose du député le moins objectif sur la question puisqu'il est à la tête des opposants, allant jusqu'à les financer via le Conseil Général de l'Ariège. Oublierait-il que le programme "ours" finance directement 120 emplois en zone de montagne (60 équivalents temps plein : bergers, techniciens, salariés associatifs ...) ? Pour notre part, nous n'oublions pas que la France paye chaque année plus de 60 millions d'euros d'amende à l'Union Européenne pour non-application d'une Directive européenne sur la protection de la nature (Natura 2000). De la même manière, la France aurait sans aucun doute été condamnée financièrement si elle n'avait pas agit pour conserver une population d'ours dans les Pyrénées. Mais la sensibilité au "gaspillage d'argent public" du député est à géométrie variable. Ces dépenses là ne semblent pas le choquer et il préfère s'acharner sur un programme "ours" au budget microscopique : 2,2 millions d'euros pour 2006 (hors les frais causés par les opposants, bien sûr), soit 0,0004% du budget de l'Etat, soit moins de 4 centimes par Français. Pays de l'Ours - Adet est prêt à rembourser ces quatre centimes à toute personne qui jugerait cette dépense trop élevée. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites