Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
Michel23

Les Forêts sauvages N° 6 et 7 - Janvier 2010

Messages recommandés

L’équipe de Forêts Sauvages est heureuse de vous adresser le premier numéro de Naturalité, sa newsletter.

Nous nous efforcerons, tout au long de nos parutions, de vous faire partager notre amour de la nature sauvage et des forêts naturelles.

Bien sur, si vous avez aimez cette newsletter, vous pouvez la faire suivre à qui vous le souhaitez.

Aves nos très cordiales salutations

Pierre Athanaze : Secrétaire général de Forêts Sauvages

Gilbert Cochet : Président de Forêts Sauvages


Naturalité…

Pierre Athanaze

Toute l’équipe de Forêts Sauvages est heureuse de vous présenter le premier numéro de sa lettre électronique. Nous souhaitons, par ce nouveau lien, vous faire partager notre amour de la Nature sauvage, au travers du concept de naturalité, principalement en forêt.
Si ces dernières années, nous avons noté à notre plus grande joie le retour d’espèces forestières qui avaient disparu de France, comme la Cigogne noire ou le Lynx, cela ne doit pas cacher l’état de conservation très préoccupant de très nombreuses espèces végétales ou animales directement inféodées aux milieux forestiers, plus particulièrement aux forêts à fort degré de naturalité. Et pour cause...


La suite : ICI

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Je viens de découvrir (pas encore lu)...
Miam-miam.tongue
Merci Michel...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Mémoire des forêts et naturalité

Par Jean-Claude Génot et Daniel Vallauri

Dans le n°14 des Rendez-vous techniques de l’ONF (automne 2006), Jean-Luc Dupouey et Etienne Dambrine ont signé un article intéressant sur la mémoire des forêts, montrant que l’ancien usage agricole de sols actuellement forestiers laisse des traces dans les sols et donc dans la végétation herbacée sur plus d’un siècle, voire sur près de 2 000 ans depuis l’époque romaine ! Les auteurs estiment d‘ailleurs que «les arrière-effets de l’agriculture paraissent irréversibles à l’échelle historique » (histoire humaine bien sûr). Certaines plantes deviennent ainsi des traceurs d’un ancien usage anthropique comme le groseillier à maquereau ou la pervenche, tandis que d’autres traduisent une continuité forestière comme le muguet ou l’anémone des bois.
Toutefois, en constatant que la diversité globale de la forêt est augmentée du fait de cette végétation liée à un ancien usage agricole, les auteurs ne prennent en compte que la sacro sainte biodiversité dans son sens le plus restrictif, à savoir le nombre d’espèces, uniquement végétale de surcroît que l’on sait représenter moins de 20% de la diversité d’une forêt naturelle. Mais qu’est-ce qu’une forêt a à gagner d’avoir plus d’espèces végétales dont les auteurs reconnaissent d’ailleurs qu’elles sont rudérales pour ne pas dire banales et en tous les cas non forestières ? C’est une vision bien étrange que de considérer comme positif pour la diversité globale d’une forêt un apport d’espèces liées à des usages anthropiques dont l’essence même était de détruire la forêt. Est-ce que dans quelques années, on se réjouira d’avoir des plantes calcicoles qui longent les chemins forestiers empierrés en calcaire sur des substrats acide à l’heure où tant de gestionnaires craignent les néophytes souvent qualifiées d’« invasives »?

La suite => ICI

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Michel,

Le numéro 4 a le même nom de fichier PDF que le numéro 3 et lorsque qu'on le charge, on obtient le numéro 3.
Sur la Meute, on obtient le numéro 3 mais la présentation porte le numéro 4, j'ai du mal a comprendre. Ici aussi.

C'est la présentation qui ne correspond pas au fichier ou le fichier qui ne correspond pas à la présentation. Je pense à la deuxième solution, peut être une erreur des noms de fichiers.

Bob.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Wooulf a écrit:
Michel,

Le numéro 4 a le même nom de fichier PDF que le numéro 3 et lorsque qu'on le charge, on obtient le numéro 3.
Sur la Meute, on obtient le numéro 3 mais la présentation porte le numéro 4, j'ai du mal a comprendre. Ici aussi.

C'est la présentation qui ne correspond pas au fichier ou le fichier qui ne correspond pas à la présentation. Je pense à la deuxième solution, peut être une erreur des noms de fichiers.

Bob.


c'est réparé Laughing

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Je n'avais pas mis celui-là

Photo Pierre Athanaze
Sommaire

Actualités :

Compte rendu du Colloque
« biodiversité, Naturalité , humanité »
page 2
Grand Prix spécial WWF du
« Protecteur des forêts sauvages
d’Europe »2008 page 4
Plus vieux qu’Erode!, page 6
Hauts lieux de la Naturalité :
La Réserve absolue de Derborence
page 3
Une réserve forestière intégrale aux
portes de Sarrebruck, page 5
Le parc national de Poloniny, page 9
Lu pour vous :
Forêts alluviales d’Europe, page 6

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
La photo est splendide! Quelle force!
Citation :
Les zones de nature vierge sont jugées indispensables pour contrer la perte de biodiversité (l’objectif
européen fi xé pour 2010 ne sera pas atteint) et le changement climatique (important stock de carbone).

Un bon pied de nez aux emmerdeurs et gestionnaires de la nature.
La meilleure façon de la protéger n'est pas de la "réguler" mais bien de lui foutre la paix.
A bons entendeurs, salut!
Citation :

D’abord, il y a le Grenelle et son slogan schizophrène pour la forêt « Produire plus tout en préservant mieux la biodiversité ». L’agrément officiel de France Nature Environnement à cette politique est une erreur stratégique et l’on ne mesure pas encore les effets pervers que cet accord aura sur les forêts françaises.

Voilà un débat qui devrait intéresser les écologistes.
Citation :
« Souvent difficile à pénétrer, la forêt réclame de celui qui s’y enfonce ces concessions que, de façon brutale, la montagne exige du marcheur. (...)
Quelques dizaines de mètres de forêt suffisent pour abolir le monde extérieur, un univers fait place à un autre, moins plaisant à la vue, mais où l’ouie et l’odorat, ces sens plus proches de l’âme, trouvent leur compte.
Des biens qu’on croyait disparus renaissent : le silence, la fraîcheur et la paix. »
Claude Lévi-Strauss,
Tristes tropiques (1955).

Un luxe anachronique que certains s'autorisent à nommer "rêvasser", eux qui sont des cauchemards en chair et en os...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...