UNE BELLE HISTOIRE

[CANIS111 0]

Une jolie histoire arrivée à des amis :
Sur un chemin, très près d'un village en Corse, ils ont été attirés par un bruissement sous un banc. Un bébé faucon crécerelle tentait de battre des ailes. Ils l'ont recueilli mais ne savaient pas trop ce qu'il fallait lui donner à manger, et les personnes qu'ils ont interrogées non plus.
Ce petit rapace s'est laissé prendre, garder et caresser uniquement par la jeune fille, si son ami approchait, il ouvrait les ailes et tendait ses serres en avant. Le lundi ils ont pu joindre la LPO et ont convenu de faire chacun une heure de route pour se retrouver.
La personne de l'Association a immédiatement diagnostiqué un grand état de faiblesse dû à un manque de nourriture et s'est précipité près de la fontaine pour tuer des insectes qui venaient s'abreuver et les a fait ingurgiter au petit faucon. En repartant, elle leur a avoué être inquiète de son état et peu sûre de le sauver.
Mais ils ont eu de bonnes nouvelles par la suite, il a été relâché dès qu'il a pu voler et se débrouiller par lui-même.

[Oraah1 0]

:coeur2: :coeur2: :coeur2:

C'est rare de part chez nous

[glaurung 0]

Vu son plumage et sachant qu'il n'était "que" affaibli il avait quand même de bonnes chances de s'en sortir...
Longue vie à lui.

[Jacques09 0]

Je vous retransmet une anecdote marrante trouvée sur un site ornitho (http://fr.groups.yahoo.com/group/obsfr/message/22050) :

"C'est une aventure relativement étonnante qu'ont vécu Colette et Gabriel Meunier mercredi dernier chez eux à Puellemontier à côté de l'étang de La Horre (52). Le couple qui n'attendait personne ce soir-là, était tranquillement installé dans sa salle à manger lorsque "quelqu'un" vint pourtant toquer à leur carreau. Suspendant la lecture de son journal quotidien, l'homme de la maison s'est tout naturellement dirigé vers l'entrée pensant y trouver une figure connue. Une fois la porte ouverte, il eut en fait la drôle de surprise d'y voir entrer une Grue cendrée. Sans doute complètement désorienté par l'épais brouillard qui enveloppait la région du Der ce soir-là, le volatile avait visiblement décidé de s'octroyer une petite pause au chaud et à l'abri. Lui emboîtant docilement le pas, il devait suivre le propriétaire des lieux jusqu'à son garage avant de reprendre finalement son envol ". Etienne Clément

[glaurung 0]

Jacques a écrit:

il eut en fait la drôle de surprise d'y voir entrer une Grue cendrée. Sans doute complètement désorienté par l'épais brouillard qui enveloppait la région du Der ce soir-là

Bizar, parce que c'est quand même pas un oiseau très proche des humains...
Sinon le brouillard autour du Der a eu d'autres effets moins sympathiques...

Citation :

Au lac du Der, le brouillard est responsable d'une véritable hécatombe : plus de 40 grues sont retrouvées mortes, victimes des fils électriques (et pour 2 d'entre elles, de collision avec des automobiles).

Source : LPO champagne ardenne

[animalelectro 0]

Ca m'a fait penser à une histoire qu'a vécu un vieux cousin de l'Aveyron:
Un hiver, il avait recueilli un grand-duc adulte béssé à l'aile dans son jardin.
Comme il est médecin et ami des animaux, il a voulu le soigné...et ça a marché, 2 mois plus tard, il l'a relaché dans le jardin et l'oiseau s'est envolé!! Il parait que le hibou a tournoyé et est redescendu comme pour remercié son "sauveur" avant de partir...

Je trouve cette histoire vraiment magnifique...
Mais le cas de la grue est sincèrement troublante

[Dos Jones 0]

Mon amie me signale qu'il y a un oiseau dans le grenier qui à l'air coincé…

Je monte voir et je tombe sur un martinet noir posé sur un fil à linge et, à priori, pas coincé…

J'approche doucement et tend les mains pour le saisir… L'oiseau se laisse faire…

Ses pattes me griffent un peu la peau mais il n'est pas agressif…

Je l'emmène sur un balcon et le pose délicatement sur une jardinière d'où il s'envole sans demander son reste…

Je n'ai pas eu le réflexe de faire une photo car je sais que les oiseaux peuvent faire une crise cardiaque en situation de stress, le plus urgent étant de le rendre à son milieu rapidement…

C'est la deuxième fois que cela se produit, la première c'était avec un jeune moineau, mais ce qui m'a surpris dans les deux fois c'est que l'oiseau s'est laissé attrapé à la main sans chercher à fuir, comme s'il devinait que c'était sa seule solution pour recouvrer sa liberté…

Voili, voilou… C'est quand même pas souvent qu'on peut tenir un martinet en main…

[_CF_ 0]

C'est vrai que cela doit être magique de voir une petite boulle de plumes nous faire confiance à ce point




Voilà je poste cette adresse car peut être que ca pourra en interresser quelques uns : http://pie-corneille.actifforum.com/index.htm
Ce forum regroupe plusieurs témoignages de personnes ayant élevé des corvidés, ceux ci sont connus pour leur intelligence mais au contacte eds humains les surprises sont là :
je raconte vite fait deuc coup de coeur :

-charly la pie : ce qui m'a étonné c'est l'amour entre cette pie et le chien de la famille : on voit d'ailleurs une photo ou ce chien lèche charly qui n'a pas l'air de ce plaindre, dès qu'un oiseau extérieur se montre menacant, charly fonce dans les pattes du chien et quand un invité arrive ils prennent chacun un bout diu pantalon^^Sinon apparemment charly "parle" "très bien" (pour une pie ) et parait-il est rès propre : elle fait ses popos sur un tas de caillou minitieusement sélectionnés

-chouk le choucas des tours : je trouve que cette histoire est un très bon compromis entre la vie sauvage de l'oiseau et le contacte humain (très fort puisque chouk et son proprio se becotaient souvent (je pensait pas qu'un oiseau pouvait avoir confiance au point d'approcher sa t^te si pres de la bouche^^))
voila des citations de la la "fin" de l'aventure:

Citation :

Chouk, mon choucas, est un choucas farceur mais je crois que tous les choucas le sont.
Le ménage est un agréable moment de détente et Chouk veut participer à tout.
Mais il ne faut pas oublier de lui faire des bisous régulièrement car il en demande en frottant son bec contre la bouche.

Chouk se promène partout dans la maison et toutes les babioles posées ici ou là changent de place souvent.

J'ai été obligée de poser un carton sur le clavier de l'ordinateur car quand je l'ai vu taper sur les touches, j'ai bien cru qu'il les avait cassées. Ce n'était pas des petits coups, que non, des gros coups de bec. Mais heureusement, il n'y avait pas de dégâts.

Je dois aussi cacher mon paquet de cigarettes. Nous regardions la télévision et alors que j'allais en allumer une, Chouk, plus rapide que l'éclair s'en empare et le voilà parti dans le jardin, fier de lui sans doute et la cigarette au bec (pour une fois, cette expression est au sens propre).
Et, très rapidement, il sait ouvrir seul le paquet, prendre une cigarette et s'enfuir dans les arbres du jardin.

On ne retrouve plus rien. Le bureau est aussi un de ses terrains de jeux favoris ; il y a tant de choses qu'il aime : les stylos, les gommes, les trombones, les clés de voiture.
Tous les objets se retrouvent sur le haut de l'armoire de la salle à manger. Ah ! cette armoire, c'est le point le plus haut dans la maison, alors il en fait sa cachette.

On trouve de tout sur cette armoire, des billes, des vis, des punaises, des trombones, des crayons, des fils argentés et même des petits cailloux blancs, ceux-là même qui recouvrent la terre des pots de la terrasse.

J'ai rangé mes bijoux et cessé d'en porter car les matières brillantes l'excitent beaucoup trop, surtout les boucles d'oreille. Et quand Chouk veut quelque chose, il sait tirer très fort et cela fait mal.

Côté vaisselle, les petites cuillères dorées ne sortent plus de leur tiroir. Un jour, je retrouverai la cuillère manquante dans une de ses cachettes du jardin.

Les repas sont plutôt mouvementés maintenant. Il faut penser à couvrir les plats sur la table, car quand Chouk survole la table, un "splash" est très vite arrivé.
"Tiens, encore une crotte qui n'est pas tombée loin de mon assiette".
Je préfère encore le voir picorer dans l'assiette, ce qu'il fait volontiers car il aime tout. Son alimentation est très variée, brioche, pain, laitages, viande, petites croquettes des chattes et évidemment le contenu de nos assiettes.

Chouk adore le jardinage. Quand je jardine dans le jardin, il fait comme moi, il gratte et les pauvres petits vers de terre n'ont qu'à bien s'enfouir.

Nous sommes début septembre, Chouk a maintenant 4 mois, il pèse 200 grammes et est en pleine forme.
Il vole haut et son point favori est la cheminée de la grange.
Il y reste parfois très longtemps, il écoute les autres choucas.
Dans le bois, il y a une petite colonie de choucas, une vingtaine.
J'appelle Chouk, j'ai peur qu'il ne s'en aille trop tôt. Il vient aussitôt se poser sur mon épaule.
Ses yeux ont perdu leur beau bleu et sont de couleur grise maintenant ; les premières plumes sont tombées.

Cela me fait mal de penser que l'oiseau s'en ira un jour, mais il faut qu'il vive sa vie de choucas, sa vraie vie d'oiseau libre.

Citation :

Histoire d'un choucas apprivoisé, nommé Chouk.

Chouk a maintenant 5 mois. Il est beau et fort. Il passe de moins en moins de temps dans la maison mais jusqu'à présent, il ne découchait pas.

Depuis quelques jours, une femelle choucas se pose près de lui sur le haut de la cheminée ou sur un fil électrique. Je les entends se répondre.
J'appelle Chouk, il vole aussitôt vers moi puis repart vers sa nouvelle amie.

Je me dis que le moment viendra bientôt où Chouk nous quittera et je me demande s'il est vraiment prêt.

Depuis un moment, nous espaçons les repas, l'obligeant à se débrouiller seul.
Et chaque fois, il rejoint la communauté de choucas qui déjeune sur le champ d'à côté.

Une nuit, j'ai attendu Chouk, en vain, il n'est pas rentré.
J'étais folle d'inquiétude et j'ai presque eu peur quand brutalement il s'est posé sur mon épaule.
Il est resté 5 minutes, pas plus et est reparti vers son amie choucas perchée sur le fil électrique.
Ils avaient donc passé la nuit ensemble.

12 octobre : Nous n'avions pas revu Chouk depuis le début du mois. Comme si de rien n'était, il est rentré dans la maison, a salué tout le monde, dévoré un morceau de brioche et 1/2 heure plus tard, repartait.

25 octobre : Retour de Chouk à la maison.
Est-ce la dernière fois que nous le voyions ?

17 novembre : Chouk fait un passage éclair à la maison, donne des bisous du bec à tout le monde, mange un morceau de brioche et repart vers ses amis, les choucas du bois.

27 novembre : Chouk vient de moins en moins souvent et ne reste jamais longtemps.
Et aujourd'hui, bizarrement, il s'attarde.
Il est beau mon choucas, il sent bon, il est vraiment en pleine forme.
Je regarde dehors et son amie choucas est sur le fil, elle semble l'attendre. Elle patientera une bonne heure que Chouk la rejoigne.

Je crois, j'en suis sûre que c'est la dernière fois que Chouk nous rend visite.

Je suis triste et heureuse à la fois. J'aimais la compagnie de ce choucas et il me manque beaucoup. Chouk n'est jamais revenu depuis et il me plaît de croire qu'il a trouvé le bonheur auprès de son amie choucas, parmi ses congénères, les choucas du bois.

[glaurung 0]

Dos Jones a écrit:

C'est la deuxième fois que cela se produit, la première c'était avec un jeune moineau, mais ce qui m'a surpris dans les deux fois c'est que l'oiseau s'est laissé attrapé à la main sans chercher à fuir, comme s'il devinait que c'était sa seule solution pour recouvrer sa liberté…

Il y a peut etre la fatigue qui joue aussi. Tout les oiseaux qui sont rentrés chez moi ne se laissaient pas attraper facilement, mais généralement on les voyait rentrer et tenter de retrouver la sortie, donc ils étaient encore tout pétant de vitalité...

Dos Jones a écrit:

C'est quand même pas souvent qu'on peut tenir un martinet en main…

Participe a du baguage...

Sinon pour le forum avec les témoignages de pies, corneilles et autres choucas "apprivoisés" (vous remarquerez les guillemets) je suis pas spécialement fana...
D'ailleurs, comment le sexe du choucas a t'il ete déterminé ???

[tite drine 0]

Ce à quoi je viens de passer une partie de l'après midi : Opération sauvetage

[_CF_ 0]

Bien joué pour le sauvetage apparement ca n'a pas été facile heuresement que le poèle n'était pas en fonctionnement sinon ( :bird2: )
C'était une jeune linotte? en tout cas un peu trop exploratrice
Content que ca se finisse bien (en plus il avait l'air bien grassouillet ce petit gas ) par contre les parents sont repassés? "chéri, je crois qu'on en a oublié un dans la cheminée"

edit: je pense que tu as choisi la meilleure solution, le garder pour qu'il se repose n'aurait que diminué ses chances de retrouver ses parents et puis a son age il n'aurait peut être pas accepté qu'on le nourrisse et le stress l'aurait empéché de mnger tout seul...
C'a m'étonnerait pas qu'il puisse déjà se débrouiller seul

edit 2: Ok pour le moineau bien vu canis ! (je vois des linottes partout moi

[tite drine 0]

Je ne sais pas du tout de quel oiseau il s'agit...
J'ai été surprise quand je l'ai pris dans ma main qu'il ne cherche ni à me piquer, ni me griffer, le pauvre devait être bien fatigué...
J'espère que ça ira, sincèrement

[Louve16 0]

Ouais, bravo Tite Drine !

T'as raison, il devait être très épuisé. T'as dû arriver juste à temps. Sa position dans le poêle (tête sous l'aile), c'est peut-être pas seulement parce qu'il dormait : ils font ça aussi quand ils abandonnent.
J'espère vraiment qu'il réussira à se nourrir, ou retrouver ses parents, et recupérer ses forces suffisament vite... mais de toute manière, comme dis CF, c'est encore moins évident de le nourrir, à cet âge-là... Tu pouvais difficilement faire mieux, vu le risque qu'il y a à le garder s'il n'accepte pas de manger.
Sur la photo que t'as prise de lui dans ta main, on dirait qu'il fait le mort. Gros stress, grosse trouille et grosse fatigue... Ca confirme que le nourrir aurait été quasi mission impossible. Je pense que t'as bien fait de le relacher : mission réussie !

PS : CF moi j'aime beaucoup les témoignages que tu cites du forum sur les corvidés.

[CANIS111 0]

C'est un tout jeune moineau...non ? Je pense que s'il a eu la force de s'envoler dans le prunier il aura celle de se nourir.

[tite drine 0]

CANIS a écrit:

C'est un tout jeune moineau...non ? Je pense que s'il a eu la force de s'envoler dans le prunier il aura celle de se nourir.

C'est ce que je me dis et que j'espère !

[Ugatza 1]

En gobant des prunes?
On dirait un jeune (il a encore du jaune au bec)...
Bravo pour ton obstination...et ton Anglais!
Le poêle, t'as réussi à le remonter?

[glaurung 0]

Drine

Pour avoir un certains nombre de moineaux nicheurs dans ma cour et alentour, des qu'ils savent plus ou moins bien voler ils savent manger... Donc aucun besoin de le garder...

[animalelectro 0]

Drine!! copine de sauvetage
Moi c'était une femelle coincé dans le "tuyau" d'aération de la salle de bain. J'ai entendu qqch bouger alors que je me lavais. Heureusement qu'il n'est pas descendu plus bas, parce qu'on aurait pas pu le faire sortir. Enfin...heureusement dés qu'on a ouvert la grille, et les fenêtres, elle a foncé vers la liberté

[Dos Jones 0]

Ben encore un martinet coincé dans le grenier…

Attrapé sans difficultés et relâché sur le balcon…

[Dos Jones 0]

Encore un martinet de sauvé… (enfin j'espère)

Mon amie l'a repéré sur le trottoir blotti sous le portail…

Pris délicatement et emmené dans le jardin j'ai testé ses capacités de vol en le lançant doucement à environ 1,50 du sol…

S'il battait bien des ailes il n'est pas arrivé à prendre de l'altitude et s'est reposé une 20aine de mètres plus loin dans les pommes de terre donc souci.

Que faire ?

Je l'ai attrapé à nouveau sans difficultés et l'ai blotti sous ma chemise pour rentrer à la maison…

Nous avions une cage à oiseaux qu'un voisin avait stocké dans le grenier.

Aménagée tant bien que mal pour l'y déposer, il se tenait perché sur le haut de la cage à la verticale.

Recherche d'infos sur Internet par mon amie tandis que j'arrivais à lui déposer des gouttes d'eau sur le bec.

A priori d'après les informations recueillies il avait environ 30 jours donc quasi adulte au bout d'environ 30/45 minutes où il s'habituait à boire l'eau que je déposais sur son bec il s'est mis à s'agiter comme s'il voulait sortir. J'ai pris donc la décision de le relâcher à nouveau mais depuis le balcon.

Et là bingo un vol d'abord à l'horizontale puis nous l'avons vu prendre un peu d'altitude, suivi près de 30 secondes et cela avait l'air d'aller.

J'espère qu'il survivra.

Par contre comme les précédentes fois pas pensé à faire des photos.

Voili, voilou…

Ce sont des oiseaux très difficiles à nourrir jeune et la plupart du temps les vétos les euthanasient…

[glaurung 0]

On nous en a amené un récemment au bureau, il avait les plumes d'une aile coupées ( ). Pour le nourrir le mieux est du steack haché trempé dans de l'eau (plutôt que de donner de l'eau) et pour lui donner on s'y mettait à 2 : un qui tient le martinet et ouvre le bec, l'autre qui enfourne les boulettes de steack...

[Louve16 0]

Pour les martinets trouvés, La Hulotte a fait une excellente rubrique détaillant les soins à leur apporter :

http://lahulotte.fr/nature_aide_martinets.php?osCsid=ub1hajfpf7he2mnm8qmmeesou5

je vous invite à vous y référer quand ça vous arrive.

En tous cas, bravo Dos Jones pour ce sauvetage ! l'efficacité, c'est l'essentiel ! Il est possible qu'il ait été seulement affaibli et déshydraté.

Mais ils ne sont pas si difficiles que ça à nourrir. Et il vaut mieux nourrir un peu avant de relacher, du moins quand on y arrive (vaut toujours mieux moins en faire que mal le faire).
La plupart du temps, faut les gaver ! comme le dit Glaurung. C'est vrai que c'est pas évident et les vétos savent rarement trop quoi faire, et pourtant ça se fait ! c'est triste, et c'est pour ça que La Hulotte a rédigé cette synthèse (très bien faite d'ailleurs !!).