Michel23 0 Posté(e) le 4 février 2009 La Commission européenne organise une consultation du public européen pour évaluer les besoins en matière de normes de piégeage. Elle met un questionnaire en ligne, disponible sur cette page : http://ec.europa.eu/yourvoice/ipm/forms/dispatch?form=trapping&lang=en Nous comptons sur vous ! Exprimez-vous ! Remplissez ce questionnaire et faites circuler au maximum ce message. Il ne faut pas que seuls les chasseurs et piégeurs répondent à cette consultation. Cela aboutirait à une déréglementation en matière de piégeage et laisserait le soin aux chasseurs et piégeurs de fixer leurs propres règles. Le questionnaire est en anglais. Pour faciliter votre compréhension, l’ASPAS vous transmet en pièce jointe la traduction en français. Il vous faut donc répondre aux questions en anglais sur le site, en vous aidant de la traduction (imprimée ou ouverte dans une autre fenêtre). http://www.aspas-nature.org/images/stories/campagnes/defense_nuisibles/questionnaire_piegeage_francais.pdf Dans cette traduction, l’ASPAS a souhaité vous donner son point de vue en répondant à certaines questions (Réponse cochée : l ). Ces réponses ne sont qu’une indication de la position de l’ASPAS sur ces sujets. Vous êtes bien sûr libres de vos réponses. Il nous faut par ailleurs préciser que pour la question ci-dessous, notre choix de privilégier les “lésions physiques” comme indicateur du “bien-être” animal pris dans un piège est motivé par la nécessité d’éviter que seuls les pièges tuants soient envisageables. En effet, tous les systèmes de pièges causent un stress à l’animal et déclenchent des comportements de défense, seuls les pièges tuant sur le coup évitent ces réactions, mais ces derniers ne peuvent jamais être à 100% sélectifs (tuent espèces protégées et domestiques). When assessing the welfare of an animal caught in a holding/restraining trap, which one of the following indicators do you think should be given the most weight? (Select one option) (compulsory) Pour l’évaluation du bien-être d’un animal pris dans un piège à capture, à quels indicateurs énumérés ci-dessous devrait-on selon vous accorder le plus de poids ? (Sélectionnez une option) ° Behavioural signs (e.g. biting the bars of the trap) Signes de comportement (par ex. morsure des pièces du piège) ° Physical injuries (e.g. damaged skin or broken tooth) Lésions physiques (par ex. peau endommagée ou dents cassées) ° Physiological indicators (e.g. high levels of stress hormones) Indicateurs physiologiques (par ex. haut niveau d’hormones de stress) ° Do not know Ne sais pas . Nous comptons sur votre mobilisation ! Meilleures salutations L’équipe de l’ASPAS ******************************************* Association pour la Protection des Animaux Sauvages BP 505 - 26401 CREST CEDEX Tél: 04 75 25 10 00 / Fax: 04 75 76 77 58 http://www.aspas-nature.org Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
glaurung 0 Posté(e) le 5 février 2009 I'm answering now... Edit : à la fin ça dit : "Thank you ery much for your contribution" Une faute sur 7 mots sur un site de l'europe... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Michel23 0 Posté(e) le 5 février 2009 Au fait saviez-vous que le loup peut-être sous certaines conditions piégé en France Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
stéphane41 0 Posté(e) le 5 février 2009 complété. :furet: Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Loulou34 0 Posté(e) le 5 février 2009 Michel, bien sur comme toutes les espèces protégées, par piégeage il faut alors entendre opération visant à la capture de l'individu vivant à des fins scientifiques. Dans l'absolu ça revient au même que piéger des oiseaux protégés pour les baguer ! Et dans ce cas là personne n'y voit à mal, non ? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Michel23 0 Posté(e) le 5 février 2009 Non, non... cela a ete pecise par je ne sais plus par quel article du code rural toujours en vigeur (sous certaines conditions...au cas ou...) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
stéphane41 0 Posté(e) le 6 février 2009 Michel a écrit:Non, non... cela a ete pecise par je ne sais plus par quel article du code rural toujours en vigeur (sous certaines conditions...au cas ou...) Le questionnaire est en réponse à cette étude : "Proposition de DIRECTIVE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL introduisant des normes de piégeage sans cruauté pour certaines espèces animales" lancée en 2004 et théoriquement applicable au 1er Janvier 2009 : http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=COM:2004:0532:FIN:FR:PDF On peut y lire entre autre : Citation :L’article 1 de la proposition porte sur l’objet et le champ d’application. En conséquence, la directive établit des normes de piégeage sans cruauté, des exigences relatives aux méthodes de piégeage, des dispositions techniques pour les essais des méthodes de piégeage et la certification des pièges pour le piégeage de certaines espèces d'animaux sauvages et concerne les pièges utilisés pour la capture des animaux sauvages énumérés à l'annexe I dans un but de gestion de la faune, de lutte contre les parasites, de capture de mammifères à des fins de conservation, et d’obtention de fourrures, de peaux ou de viande. Il me semble que j'avais vu un truc avec une autorisation dans des cas sanitaires et de sécurité des biens et des personnes, mais je ne sais plus où et je ne le retrouve pas. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Michel23 0 Posté(e) le 8 février 2009 Loulou a écrit:Michel, bien sur comme toutes les espèces protégées, par piégeage il faut alors entendre opération visant à la capture de l'individu vivant à des fins scientifiques. Dans l'absolu ça revient au même que piéger des oiseaux protégés pour les baguer ! Et dans ce cas là personne n'y voit à mal, non ? Voila : sont inclus : les "bêtes noires" (sanglier), les "bêtes fauves" au sens strict (cerf, chevreuil, daim, chamois), les "bêtes rousses ou carnassières" (loup, renard, fouine, putois, ours, blaireau, martre) Cette destruction se fait obligatoirement par le propriétaire ou le fermier en tout temps. Pour justifier d'une telle opération, il faut que les animaux portent un dommage à la propriété. La preuve que l'animal porte dommage à la propriété est à la charge de celui qui opère ou tente d'opérer sa destruction : il faut donc que la bête fauve ait été trouvé au moment où elle était en train de causer le dommage ou bien immédiatement après qu'elle l'avait causée, ou enfin dans une situation telle que le dommage pouvait être considéré comme imminent. Dans tous ces cas, le propriétaire ou fermier peut soit repousser la bête soit la détruire. Le sanglier et le grand gibier soumis au plan de chasse sont exclut de la destruction comme les espèes dont la destruction est prohibée. Les collets et les fosses sont interdits. Seuls les moyens licites pour la chasse sont autorisés, les moyens prohibés par d'autres réglementations sont interdits. La destruction au titre de la protection de la faune Certains dommages peuent justifier la destruction de certaines espèces protégées (lynx, loup). La capture ou la destruction de ces espèces sont autorisées à condition qu'il n'existe pas d'autres solutions satisfaisantes pour prévenir ou stopper le dommage. Cet article n'a jamais été abrogé.... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
