le sondage de la peur explique le succès et les craintes d'Internet ?

[Michel23 0]

Je ne savais pas trop ou le mettre...aviez-vous vu l'emission sur France2 ?

Sinon la session de rattrapage c'est ici :

http://www.ed-productions.com/leszed/index.php?le-sondage-de-la-peur-explique-le-succes-et-les-craintes-d-internet

[sabartes 0]

Michel a écrit:

Je ne savais pas trop ou le mettre...aviez-vous vu l'emission sur France2 ?
Sinon la session de rattrapage c'est ici :
http://www.ed-productions.com/leszed/index.php?le-sondage-de-la-peur-explique-le-succes-et-les-craintes-d-internet

Je viens de regarder la session de rattrapage « Le sondage de la peur explique le succès et les craintes d'Internet ? »

Où j’ai aussi entendu : Dépersonnalisation - Pertes de repères – Déstabilisation – Standardisation - Déconsidération
Méfiance - Hyper individualisation

Comment pouvoir exister face à un nos peur ?
Il me semble qu’internet permet de le faire, car sans vraiment être soi, presque anonyme, l’on peut penser pouvoir enfin exister librement, mais par procuration, devenant maitre de ses propres choix virtuels sans avoir à affronter une réalité paraissant souvent trop effrayante …

Mais si ce monstre virtuel s’arrêtait que resterait-il de soi ?

Cette type d’attitude inconsciente, représente pour moi, l’individualisation poussée jusqu’au dénie de soi.

[Nico_le_chasseur 0]

sabartes a écrit:

Mais si ce monstre virtuel s’arrêtait que resterait-il de soi ?

la même choses que quand une vraie vie s'arrête : nihil.

n'empeche internet c'est vrai que c'est dangereux quand même... je connais pas mal de nolife...

[Ugatza 1]

Je viens de regarder ce doc que j'avais loupé.
Passionnant.
Mais il ne parle pratiquement pas d'Internet!
Moi aussi, je ressens ce qui a été dit...sauf par les journalistes, les sociologues, les philosophes et bien sûr et surtout le patron et Luc Ferry qui m'ont bien fait rire.
Et c'est peu dire.
Très intéressé par contre par ce qu'a dit le psy.
Pas d'accord pour parler da faillite de l'école quand c'est de la faillite de la société dont il s'agit.
L'Ecole n'a pas pour vocation de donner du travail, y compris l'Université: c'est dans les textes et ça a toujours été ainsi.
Et le savoir n'a pas à avoir d'utilité monnayable : ce n'est pas une marchandise.
On est écolier OU apprenti.
Si on est l'un et l'autre, c'est dans deux lieux différents.
Le problème c'est que le divorce des valeurs entre ces deux lieux ne cesse de s'aggraver.
De même qu'entre l'Entreprise et la République.
Mais je n'en tire pas comme conclusion que l'Ecole et la République doivent s'aligner sur l'Entreprise.
Et comme l'inverse est impossible...
Je ne vois pas pourquoi la sociologie devrait s'éteindre parce que les patrons n'en veulent pas, alors qu'elle répond à un goût pour le savoir qui fait le vrai citoyen.
Mais il y a bien d'autres choses à dire.
Et toi Michel, pourquoi as tu voulu qu'on le regarde?