Ugatza 1 Posté(e) le 17 février 2010 Lycanos a écrit:Ugatza a écrit:Si on lit bien ce que tu as écrit, on s'aperçoit qu'aucun "seuil" (il n'est question que de proportion: et alors?) n'est défini...parce que le milieu ne l'est pas.Et pour cause: le milieu est "économique".Le biologique et l'économique sont opportunément confondus.Je maintiens que c'est aux dégâts que cet indice s'applique et à eux seuls.Ugatza,Comme tu sembles chercher à critiquer, je vais te poser quelques questions et après on en rediscutera.1) Et la densité bio et éco, c'est pas des seuils ça ?2) Tu veux que je définisse le milieu comment ?3) Comment tu conclus que cet indice ne s'applique qu'aux dégâts ?1) Non, la densité n'est pas un seuil. C'est une mesure. Point.2) Le milieu n'est pas justement "définissable" en dehors d'un projet humain, d'une représentation de ce qu'il DOIT être idéalement.Il s'agit donc de traficoter pour faire "coller" le milieu à une représentation qu'on s'en fait.Or, tu parles de seuil biologique comme si la dynamique de la vie sauvage avait elle même un projet précis qu'il s'agirait de l'aider à atteindre.C'est impossible.3) Je ne le conclus pas, je le constate: c'est toujours parce qu'il y a des dégâts qu'on dit qu'un seuil a été dépassé. Ce seuil n'a donc rien d'objectif.On le fait passer pour tel, afin de prévenir des dégâts sous couvert de gestion "scientifique". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Nico_le_chasseur 0 Posté(e) le 18 février 2010 Ben tiens je vais t'en donner un exemple de milieux U,4000 hectares, situés entre l'autoroute, la ligne de chemin de fer et la ville.La dynamique de la vie sauvage la dedans, c'est quoi?Et oui, même si les dégâts s'appliquent aux animaux eux-même...Par contre il y à un exemple encore plus frappant d'écart entre le seuil bio et éco, c'est dans le cas du sanglier, car au dela de 1 sangliers, les agriculteurs voudrai le voir mort... :'( Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ugatza 1 Posté(e) le 18 février 2010 La dynamique de la vie sauvage s'observe en creux de l'intervention humaine.C'est ce qui arrive malgré cette intervention ou à cause d'elle de manière "imprévue" par les écologistes de bistrot.Mais on l'observe le mieux quand il n'y a plus d'intervention.Et là, ô miracle, toutes les théories fumeuses des apprentis gestionnaires sont démenties par les faits.Le nombre d'espèces augmente et les populations se stabilisent...toutes seules. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Nico_le_chasseur 0 Posté(e) le 18 février 2010 Et où as tu vu sa, et comme garantis-tu m'absence d'action humaines dans un milieux péri-urbain/rural? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ugatza 1 Posté(e) le 18 février 2010 Je le vois dans mon jardin...A Tchernobyl, aussi.Sinon, je suis pour appeler un chat un chat.Je dénonce l'utilisation abusive des mots (représentant des concepts avec un contenu précis) de l'Ecologie pour en parer des pratiques qui n'ont rien à voir avec elle, comme la gestion cynégétique qui est à l'Ecologie ce que le jardinage est au naturalisme.On ne peut pas utiliser ces mots pour maquiller une intervention de plus dans un "milieu" déjà fortement anthropisé.Les pyromanes n'éteignent pas les incendies. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Guilbeuche 0 Posté(e) le 18 février 2010 Comment fait on pour cantonner les animaux qui par principe sont nomades ?Cette théorie est elle applicable là ou les troupeaux sauvages sont présents : gnous ,antilopes, gazelles , zebres ou bisons; voir les rennes. Personne ne calcule dans la savane si la nature peut nourrir le cheptel présent . Quoique cheptel est un terme mal choisi. Et pourtant ces animaux évoluent dans des milieux hostiles (climatiquement parlant) avec des périodes séches ou la nourriture peut venir à manquer. La Nature ne se régule t'elle pas seule. Il n'y a pas d'intervention humaine ou juste celle du chasseur cueillir..................dans le sens noble du terme (pas le viandard) .De plus la présence de prédateur évite le sur paturage en dispersant les herbivores. J'avais lu une étude à ce sujet parlant d'un développement arbustif le long des cours d'eaux du parc de yellow stone à la suite de la réintroduction du loup car les herbivores y séjournaient moins et recherchant plutôt les sous bois pour se mettre à l'abri des prédateurs. Dans ce cas l'atteinte au milieu est moindre. Vous ne semblez pas tenir compte de cet élément dans votre définition .Bref 5 ou 9 chevreuils c'est toujours pas bezef, sauf si il n'y a rien à bouffer dans cette forêt Bruxelloise, mais j'en doute. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
villards 0 Posté(e) le 18 février 2010 Ben oui mais on pas de territoire primaire en françe, il faudrait des décennis pour les recréer et encore les especes seraient différente, ca anéantirait notre petite faune traditionnelle, peut etre faudrait t'il ensuite réintroduire des bisons, des chevaux ou des auroch génétiquement modifié pour avoir des ouvertures naturelle?C'est intérréssant comme débat mais ça ne peut que rester théorique et irréalisable, je me suis toujours demandé si les perdrix et les lievres étaient présent avant l'arrivée des celtes et de l'agriculture, je sais qu'il n'y avait pas de lapin de garrenne par exemple.Je ne trouve pas de source sur ces sujets, si quelqu'un a des titres de livre sur ce sujet ça m'intérresse, par exemple avant on disait toujours que le cerf élaphe n'est pas un animal forestier mais un animal de steppe qui c'est adapté a l'agriculture. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ugatza 1 Posté(e) le 18 février 2010 Abolir des privilèges semble toujours utopique aux privilégiés.Pourquoi craindre la disparition de la petite faune du fait de la dynamique naturelle, alors qu'en fait elle est menacée seulement par l'urbanisation, la croissance et la pollution (et la gestion cynégétique)?Partout où la nature reprend le dessus, elle se diversifie et s'enrichit de diversité.Citation :"Mais le vieil orgueil néolithique veut faire de la Terre entière la niche écologique de la seule espèce humaine. Il veut lui soumettre toutes les créatures. Il veut que l'homme soit le seul facteur d'ordre dans un monde de hasard. L'idée que la nature soit abandonnée à elle-même lui cause une terreur sacrée. Cela ne peut donner que des désastres, la maladie, la corruption. L'idée de gestion est à l'opposé du sentiment du naturaliste qui recherche ce qu'il n'a pas fait, ce qui vit hors de sa volonté et de ses systèmes, ce qui est, par là, source d'émerveillement."Robert Hainard " Mammifères sauvages d'Europe" Dela chaux et Niestlé Tome 1 page 14 (quatrième édition) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Nico_le_chasseur 0 Posté(e) le 18 février 2010 Oui débarrassons nous de l'espèce humaine et de son encombrante civilisation. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ugatza 1 Posté(e) le 18 février 2010 Qui a dit ça?Pas moi!Déjà parce qu'il n' y a pas l'espèce humaine et SA civilisation.Ensuite, il est possible de réduire l'encombrement (pacifiquement)... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Nico_le_chasseur 0 Posté(e) le 18 février 2010 Se coup si, trève de plaisanterie, je te pose la question : comment?Sa m"intéresse... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
villards 0 Posté(e) le 18 février 2010 Mouais, j'ai une quinzaine d'hectare a moi et d'autre a disposition, je compte quand même pas laisser tomber les lievre, la perdrix et bien d'autre.Je compte quand même aggrandir la surface boisée naturellement (en supprimant les faux accacia quand même pour laisser les chêne reprendre le dessus).Je garderais toujours quelques bande pour mes moutons et quelques parcelle de luzerne ou autre pour les lapins et les lievres ainsi que quelques vignes pour les perdrix, les serpents et ma consomation personnel.Mais c'est vrai que des moments quand je suis au fond des petits ravins rhodanien qui ne sont jamais modifié par l'homme et qui ressemble vraiment a des territoires primaire et ou de plus je suis sur de ne jamais croiser personne ça fait un autre effet, c'est le territoire des prédateurs qui sont caché dans les falaises rocheuse notament des genêtes et des grands duc. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ugatza 1 Posté(e) le 18 février 2010 Demain...Nico_le_chasseur.Le message sera long...et cruel. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ugatza 1 Posté(e) le 25 février 2010 Réponse là Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites