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uriel

uriel et ses animaux

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Invité

c'est toujours bien d'élever au moins une race belge

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Invité
Tu en élèves, Denis, des races belges??

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Invité
Wyandotte7 a écrit:
Tu en élèves, Denis, des races belges??


moi 2 ,mes dindons de ronquières et rouge des ardennes
et mon jeune fils des barbus d'anvers

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Invité
Ah oui, c'est juste!

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j ai craqué

je vient d acheter 1 trio de jeunes paons bleu (agé de 11 mois)

[b]voici les photos des parents chez le vendeurs.
[/b]







voici les photos des jeunes en compagnie d un autre jeune couple chez la personne qui a fait le déplacement pour les chercher.














.

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Superbes paons.
Tu as une grande volière pour les mettre ou tu les laisses en semi-liberté?

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Spipou a écrit:
Superbes paons.
Tu as une grande volière pour les mettre ou tu les laisses en semi-liberté?


bonjour spipou,

il arrive chez moi mercredi car sont chez une amie qui a ete me les chercher pres d ostende.

pour l instant il vont allez en voliere de 4 m de large sur 6 m de long , hauteur 2m
par la suite vont avois une voliere de 5m de large sur 8 m de long , hauteur 3m adosé a un hangart (3m fois 6 m fermé) ou ils pourrons y rentrer .

samedi on doit me liver des piquets de sapin et des longueur de 4 m et 5 m pour le haut, sont en sapin naturel ( fait sur place aux bois).

pour le grillage c est du plastifier vert en 1 m 50 d hauteur (donc j en met 2 .

chez moi je peu pas laisser en liberté, car y a des renards a 2 et 4 pattes donc tout dois etre enfermé avec cadenasé

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et bien, il sera dans un grande volière alors, jespère que tu nous montreras une photo

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Spipoe a écrit:
et bien, il sera dans un grande volière alors, jespère que tu nous montreras une photo


bonsoir spipoe,

dés que la voliere est finie je posterais des photos
.

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sont super ,
les miens sont encore jeune 11 mois

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oui spipou reproduction apres 2 ans
----------------------------------

Le nid

aménager un nid dans son abri : une caisse en bois de 60cm au cube assez sombre fera l'affaire.
Elle y pondra certainement ses œufs et sera à l'abri des prédateurs pendant la couvaison et l'élevage de ses jeunes.

La couvaison :

La paonne pond de 10 à 15 œufs de 120 à 140g si vous prenez soin de lui ramasser tous les jours.
En fin de ponte elle peut très bien ne pas vouloir couver si elle n'a pas d'œufs dans son nid.
Si vous voulez la faire couver ramassez les 10 premiers œufs et laissez la faire avec les suivants, remettez éventuellement les œufs ramassés à la paonne ou confiez les à une poule.
Si vous ne la laissez pas couver elle re-pondra quelques œufs 1mois plus tard.
Si elle pond en liberté elle peut couver au 2ème ou 4ème œuf.
Si les petits naissent elle ne re-pondra pas.

données provenant de http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20060704140106AAbZkOn

Incubation artificiel.
durée de couvaison 30 jours.
Temp (°C) 37.6
Humidité 45-50 % du Jour 1er au 28 eme jours
Retournement matin et soir du Jour 1er au 28 eme jours
du Jour 29 eme au 30 eme jours , arret retournement et Humidité 70-75 % + ouvrir les trous d'aération à l'éclosion.
Mirage au 8 eme et 28 eme jours

données provenant de moi

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Qu es qu un paon ,en savoir plus sur ce belle animal

paon

PaonCousins éloignés des pintades et des dindons et parents plus proches des faisans, les paons peuplaient au tertiaire une bonne partie de l'Ancien et du Nouveau Monde. Depuis, en Europe et en Amérique, où le paon bleu a été introduit par l'homme, on ne peut admirer la longueur et l'extravagance de la queue des mâles qu'en captivité.

Introduction
Grands oiseaux terrestres de la même famille que les cailles, les coqs sauvages et les faisans, les paons sont sans doute originaires d'Asie, où ils vivent toujours à l'état sauvage. Mais les restes fossiles retrouvés attestent la présence, à des époques anciennes, d'oiseaux très semblables en Amérique et en Europe.

Un ancêtre américain des paons, Parapavo californicus, était si répandu en Amérique du Nord au pléistocène supérieur, il y a environ 100 000 ans, que l'on a retrouvé des éléments de pattes ou des sternums incomplets dans des dépôts fluviatiles de plusieurs vallées, mais aussi dans de nombreux gisements fossilifères, notamment dans les nappes d'asphalte naturel de La Brea, un site près de Los Angeles, où sont venus se fossiliser toutes sortes d'animaux du pléistocène. D'autres restes de paon, découverts dans la grotte de Potter Creek (comté de Shasta, Californie), proviendraient de spécimens mangés par des mammifères carnassiers ou des hommes.

En Europe, les paons devaient être aussi assez largement répandus avant le quaternaire, puisque plusieurs gisements français ont révélé des restes de Pavo bravardi datant du pliocène, entre 4 et 1,4 millions d'années. À cette époque, l'Europe jouissait d'un climat chaud, et cet oiseau, d'abord considéré par les paléornithologues comme un coq imposant et non comme un paon, vivait au milieu d'une flore de type tropical. Des fossiles de paons datant de la même époque ont aussi été mis au jour en Afrique.

Actuellement, le paon bleu, Pavo cristatus, et le paon spicifère, Pavo muticus, vivent à l'état sauvage en Asie, tandis que le paon du Congo, Afropavo congensis, est le seul paon africain. En Europe et en Amérique, les paons n'existent que dans les parcs, les zoos et les fermes d'élevage, ainsi que dans les jardins de quelques particuliers.

La vie du paon
Des arbres dortoirs pour dormir en groupe
Selon un rituel quasi immuable, au lever du jour, le paon s'envole de l'arbre où il a passé la nuit avec ses congénères pour gagner la terre ferme et chercher, seul, sa nourriture. Celle-ci se compose surtout de bourgeons, graines, fruits et pousses, que l'oiseau trouve dans les clairières, en lisière des forêts ou dans les sous-bois plus denses. De son bec puissant, il capture également les petits animaux qui passent à sa portée tels que vers, mollusques, gros insectes – notamment les coléoptères et leurs larves –, amphibiens et même des reptiles. Les serpents constituent un mets de choix, surtout dans certaines régions d'Inde. Pour limiter les risques de ce type de prise, le paon s'attaque plus volontiers à de jeunes sujets. Lorsqu'ils vivent à proximité, les paons arpentent les champs fraîchement labourés, de préférence quand la terre a été retournée, amenant ainsi à la surface larves, insectes ou même petits rongeurs. Les paons complètent ces ressources alimentaires terrestres en grimpant dans les frondaisons des arbres pour cueillir des fruits et des pousses et pour capturer des insectes et des petits animaux arboricoles.

Après avoir glané son alimentation, le paon s'octroie, en milieu de journée, une pause favorable à la digestion. Les aliments qu'il a emmagasinés dans son jabot sont triturés, dans le gésier, par des plaques cornées fonctionnant comme des meules et mues par de puissants muscles. Cette opération mécanique prépare l'action chimique de l'estomac. En fin de journée, quelques heures sont encore consacrées au fourrage, mais, dès le crépuscule, le paon regagne les grands arbres garants de sa protection.

Une cohabitation rassurante
Le soir venu, la cohésion du groupe se manifeste, tous les membres d'une bande se groupant sur les mêmes perchoirs pour plus de sécurité. En dehors de la saison de nidification (au cours de laquelle chaque mâle s'installe sur un territoire séparé des autres avec deux, ou plus, femelles), le paon vit la journée en groupes de taille variable, lâches et libres de toute hiérarchie, mais, la nuit, il privilégie les rassemblements. Chaque oiseau, mâle ou femelle, fait alors office de sentinelle : à l'approche d'un danger, le premier oiseau qui le remarque émet un puissant coup de trompe, aussitôt repris par les clameurs sonores de la dizaine d'oiseaux qui forment son clan familial.

Le signal d'alarme des paons, qui profite aux autres habitants du milieu, les incite à se réfugier sur les arbres « reposoirs », qui servent de dortoirs, non pas par la voie des airs, mais en les escaladant branche par branche.

Une alchimie de couleurs changeantes
Le plumage du paon, du moins celui du mâle, arbore des couleurs et des reflets multiples, parmi les plus belles que l'on puisse observer dans l'ordre des galliformes. Sa parade amoureuse lui fournit l'occasion d'exhiber les multiples éléments le composant. L'instrument principal de sa cour auprès d'une conquête éventuelle est, outre la livrée bleutée aux reflets métalliques qui couvre son cou et son corps, une longue traîne de quelque 100 à 150 plumes qu'il déploie en roue. Les noirs, les bruns et toutes les teintes dérivées dans la gamme du rouge, de l'orange, de l'ocre sont dus à la présence, en concentration variable, d'un pigment foncé, la mélanine (du grec melanos, noir). Les irisations, les teintes aux reflets métalliques, notamment les verts, les bleus et les dorés, proviennent de la diffraction des rayons lumineux. Cette décomposition de la lumière est elle-même assurée par la structure particulière et complexe des éléments constitutifs de la plume, qui agissent comme autant de prismes.

Des plumes très spéciales
Faire la roue est la phase essentielle de la parade nuptiale du mâle. Le succès de cette exhibition est possible grâce à la spécificité des longues plumes de la queue. Les plus longues (1,50 m en moyenne) sont celles qui sont implantées le plus en arrière sur le dos de l'oiseau. Elles sont pourvues latéralement de barbes qui, contrairement à la norme, ne sont pas liées entre elles, mais sont lâches sur la majeure partie du tuyau (ou rachis) qui, chez le paon, est particulièrement allongé. Les barbes qui se situent à l'extrémité des plumes forment une sorte de palette terminale où prend place un dessin en forme d'œil appelé ocelle, en raison de sa ressemblance avec un petit œil à pupille noire.

Lors de sa parade, le mâle, tournant sur lui-même, installe d'abord ses pennes parées des ocelles, puis relève en forme de roue les plumes situées à l'arrière de son long cou. Les modifications de nuance des dessins lumineux des grandes plumes dépendent de l'orientation de celle-ci. Leur légèreté permet au mâle de parader plusieurs minutes durant. Les bruyants « frissons » secouant les plumes participent au succès de cette entreprise de séduction.

La paonne protège seule ses petits
L'arrivée des pluies annonce le début de la saison des amours pour le paon. Chaque reproducteur potentiel s'isole alors et entreprend de défendre ses droits sur un territoire, vaste de 5 000 à 50 000 m2, qu'il s'est choisi dans une zone dégagée assurant une bonne visibilité. Sur cet espace, il privilégie de 1 à 4 sites, de quelques mètres de diamètre. C'est sur l'une de ces pistes d'exhibition que, dès le matin, le propriétaire des lieux attend ses partenaires potentielles ; le plus souvent, il parvient à attirer successivement de 2 à 5 paonnes.

Un rôle limité à la parade
Une cérémonie d'accueil est offerte par le paon à toute paonne qui s'approche ; pour l'attirer au centre de l'aire de parade, il relève sa longue traîne, la déploie en une roue géante et cherche à impressionner la femelle en lui tournant le dos pour bien lui montrer les touffes de duvet contrastées du dessous de sa queue. Puis, se retournant, il s'approche de sa congénère et ponctue sa démonstration de frissonnements des plumes, dont le son évoque le murmure des roseaux secs parcourus par le vent. Si la femelle est sensible à ce spectacle visuel et sonore offert à son intention, elle s'accroupit sur le sol, invitant ainsi le mâle à l'accouplement. La longue traîne se rabat alors sur elle.

De nombreux petits
Une fois fécondée, la femelle gagne un emplacement discret, souvent à l'orée d'un bois. À l'abri des broussailles, dans une dépression du sol sommairement aménagée, elle pond de 5 à 7 œufs de couleur crème, pesant chacun une centaine de grammes. Après 28 à 30 jours d'incubation éclosent les petits, couverts d'un duvet brunâtre mêlé de jaune qui les camoufle à leurs prédateurs potentiels. Très vite, les poussins quittent le nid pour picorer çà et là, s'abritant au besoin sous la queue de leur mère. Malgré l'attention vigilante de la femelle, les jeunes paons restent très vulnérables tant qu'ils ne sont pas capables d'atteindre des branches basses pour y dormir en toute quiétude, protégés par les ailes déployées de l'adulte. Au bout de 4 semaines, les aigrettes pointent sur le crâne, et, à 2 mois, toute la progéniture ressemble déjà à la femelle, avec une taille deux fois moindre. La taille adulte est acquise à l'âge d'un an, mais ce n'est qu'après une année supplémentaire que l'on peut nettement distinguer un mâle d'une femelle. Peu à peu, les liens familiaux se distendent et les jeunes se dispersent pour intégrer les bandes en formation.

Pour tout savoir sur le paon
Paon bleu (Pavo cristatus)
Le paon bleu, comme les deux autres espèces de paons existant à l'heure actuelle, appartient à la sous-famille des phasianinés, elle-même s'insérant dans la famille des phasianidés et dans l'ordre des galliformes, comme ces autres oiseaux à longue queue que sont les faisans. Les points communs avec ces espèces forestières sont nombreux, mais le paon s'en distingue surtout par une taille bien supérieure. Il ne vole qu'en de rares occasions, notamment en cas de danger, battant vigoureusement l'air de ses courtes ailes pour prendre de l'altitude. Ces vols ne sont jamais longs. Sur la terre ferme, ses déplacements sont rapides grâce à la robustesse des doigts de ses pattes fortes et relativement longues. Le doigt postérieur n'est pas trop long, ne constituant donc pas une entrave à la marche, mais suffisamment développé pour que l'oiseau s'agrippe aux branches.

Contrairement à ce que l'on pourrait supposer, la longue traîne du mâle n'est en aucune façon une source d'embarras pour lui, puisque, en dépit de cet imposant ornement dont la nature l'a doté, le mâle parvient à se faufiler avec aisance dans la végétation.

Si l'oiseau acquiert sa taille adulte à un an, le dimorphisme sexuel n'apparaît que vers la deuxième année de vie. Il est très marqué, mais il est plus sensible dans l'aspect que dans la taille ; en effet, à peine plus petite que le mâle, la femelle s'en distingue principalement par son plumage nettement moins bigarré, où dominent les teintes brunâtres, et par sa queue beaucoup plus courte. La modestie de sa livrée est un avantage pour se dissimuler durant les quatre semaines d'incubation des œufs, qu'elle passe à même le sol.

Assez court, épais à la base, légèrement marqué, et pointu à l'extrémité, le bec remplit plusieurs fonctions : il permet aussi bien de cueillir une baie que de picorer une graine ou encore de maîtriser un insecte volumineux. À la base du bec sont situées des narines, partiellement protégées par un renflement corné qui en masque l'entrée. Rare chez la plupart des oiseaux, une telle protection ne s'observe également que parmi les rapaces, les pigeons et les tourterelles. Le long cou rend la nourriture aisément accessible.

Les sens – la vue et surtout l'ouï – sont excellents. De ce fait, les prédateurs nocturnes n'ont pas la tâche facile : au moindre bruit suspect, le paon pousse un cri d'alarme qui déclenche dans l'instant une cacophonie de sons bruyants émis par les autres membres du groupe, clameur dont l'écho est amplifié par l'ambiance sereine de la nuit. Le cri du paon, audible à plus d'un kilomètre par vent favorable, fait songer au prénom « Léon » hurlé par une voix haut perchée. En Inde, il est transcrit par les mots minh-ao, littéralement : « la pluie va tomber ».

Les ailes, à l'instar de celles de la plupart des oiseaux de l'ordre des galliformes, les faisans ou les perdrix par exemple, sont plutôt courtes, larges et arrondies. Elles tranchent sur le reste du plumage par leur teinte cannelle. Leurs plumes principales, les rémiges, sont robustes et arquées vers le bas de façon à mieux supporter la résistance de l'air lors du vol battu. N'autorisant pas de performances voilières notables, elles sont suffisantes pour effectuer de brefs déplacements et de brusques décollages. À l'occasion, de vigoureux battements font d'elles un instrument de défense plus efficace que les courts ergots équipant le tarse, entre les doigts et le talon, et qui, en vérité, ne jouent pas un rôle déterminant lors d'éventuels affrontements entre mâles rivaux ou de territoires voisins.

Signes particuliers
Dos
Le dos du paon porte des plumes caractérisées par des dessins complexes que l'on appelle des vermiculations. Ces taches font alterner les zones claires et les plages sombres, alternance susceptible de « casser » la silhouette de l'oiseau, notamment quand celui-ci évolue dans la lumière tamisée par le feuillage des arbres. Tapi au sol, dans une position immobile, le paon mâle parvient à passer inaperçu en dépit de son envergure imposante.

Œil
Assez petit, il est cerné de deux traits blancs qui le mettent en valeur et qui, à distance, le font paraître plus grand.

Aigrette
Composée d'un groupe de plumes érectiles, dont la base du tuyau axial est nue et l'extrémité ornée d'une sorte de pompon duveteux, l'aigrette, présente chez les deux sexes, évoque de longues épingles à chapeau fixées dans une pelote.

Traîne
La traîne du paon n'est pas à proprement parler sa queue : il s'agit en fait des plumes du dessus de la queue, dites « sus-caudales ». Leur rachis est épais afin de permettre un soutien efficace. Discrètes, mais utiles, elles servent de point d'appui à la roue épanouie. Au nombre de 20 chez le mâle, elles ne sont que 18 chez la femelle, qui n'en a pas le même usage.

Plumage
Au niveau de la queue, cinq sortes de plumes sont visibles. Ce sont les grandes sus-caudales multicolores, ensuite les courtes et robustes caudales de teinte brun-orangé et enfin le vaporeux duvet sous-caudal d'un blanc grisé. Les plumes courtes de la queue disparaissent sous les grandes plumes sus-caudales lorsque le mâle ne fait pas la roue. Pour ce qui est des ailes, les scapulaires (plumes à la jonction de l'aile et du corps) sont tachetées et masquent partiellement les rémiges unicolores soutenant le vol.

Pattes
Les pattes sont fortes, longues et munies de 4 doigts. Le doigt central est plus long d'environ un tiers que le doigt extérieur, assez court. Dirigé légèrement vers l'intérieur, l'ergot est conique et implanté au tiers inférieur du tarse.

ce document provient de http://www.larousse.fr/encyclopedie/vie-sauvage/paon/184039

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si ce post de déménage pas vers une rubrique plus appropriée... lol
merci pour l'exposé!

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meci walter3
quand j aurais plus de temp je posterais dans un poste les explication sur les paons.

pour l instant je suis en train de fabriquer une grosse couveuse donc peu de temp libre

je vais poster des photos et explications sur la couveuse.
.

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ça te démange walter3.... un petit tour chez les Rouches....
bel exposé Uriel, on voit le connaisseur en toi. J'avais déjà eu l'occasion de te lire ailleurs et je ne suis pas mécontent de te voir actif ici

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Spipoe a écrit:
ça te démange walter3.... un petit tour chez les Rouches....
bel exposé Uriel, on voit le connaisseur en toi. J'avais déjà eu l'occasion de te lire ailleurs et je ne suis pas mécontent de te voir actif ici


merci spipoe , connaisseur , disont plutot un passionné qui aime que ces animaux sois bien soigné et bien traité.

j essaie de passer souvent car comme tu a pu voir ailleur , j ai un boulot fou sur un autre site.

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bonjour jean paul ,
les paons sont bien installé et j ai deja commencé a les apprivoisser , j arrive deja a carrésser les femelles , le male lu est un peu plus craintif.
.

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nouveauté dans mon élevage:

les wyandottes argenté à liseré noir , naine. (photos au méssage suivant)
les Wyandottes dorée à liseré blanc , naine.

en dorée:
le coq:











montre moi ton ventre , tu as vu je bouge meme pas



la poule:






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les wyandottes argenté à liseré noir , naine.

les 2 poules:








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uriel a écrit:
Mon nouvel achat pour changer les sangs

2 couples de Fauve de Méhaigne

ce sont des jeunes qui devrais pondre vers fin avril .

















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Qu'est-ce que cela donne avec tes Fauve de Mehaigne?
Elles pondent?
Tu as de la repro?
Combien as-tu de parquets de cette race?

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bonsoir jean paul

pour l insant j ai 2 couples + 2 trios .
elle ont pondu puis ot arrêter de pondre en ce moment.
j ai déja 6 poussins de 35 jours.
logiquement mercredi prochaine je reçois 100 oeufs d un eleveurs a mettre couver , on fait moitier moiter de ce qui naitra.
donc je pense que cette années on va pouvoir repeupler.
.

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Jean-Paul a écrit:
Tu mettra tes jeunes sujets en expo?


cette année c est un amis qui va les exposser pour moi Bernard B.
moi je n ai pas de véhicule donc ne sais me déplacer.
.

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Spipou a écrit:
tu as déjà des poussins?


bonjour spipou

j ai deja 6 de 1 mois et demi , 3 males et 3 femelles
une 10 eme de poussins d' 1 semaine
une 15 eme en attente d éclosion pour le 15/05/10 + 71 oeufs en attente d éclosion pour le 16/05/10
.

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