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Dominique6811

ANNONCE SUR LEBONCOIN ALSACE

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Bonjour,

..... NO COMMENT.......

Lapin

Mis en ligne par vivien le 16 février à 13:42.
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Ville : 68400 Riedisheim

bonjour je vend des bb lapin pour compagnie ou pour reptile
il mesure a peut pret 7 a 10 cm pour le moment donc pour reptile pas de sousi jai aussi du congeler des pres en boite de 4 prix a voir

Respectueusement Votre,

Dominique68

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Bonjour, (pour info) "ces animaux qu'on abat !

Notre livraison de mars conte la belle histoire de Clémentine, vache de haute montagne en Ariège. "Chaque année, depuis sa naissance, elle quitte la vallée vers la mi-mai pour monter à l'estive avec l'ensemble du troupeau". C' est avec tristesse, larmes et colère que je mentionne ces lignes car elles évoquent une image idyllique d'un temps révolu. Aujourd'hui, 70% des viandes que nous mangeons sont issues d'élevages industriels. Il est vrai que l'homme est carnivore, et on ne pourra pas changer de sitôt ses pratiques ancestrales. Alors ne nous voilons pas la face : le sort des veaux, vaches, cochons, poulets est malheureusement de finir dans nos assiettes. Toutefois, nous devons agir pour que ces bêtes qui nous nourrissent puissent avoir une vie digne, et que leurs dernières heures ne soient pas synonymes d'atroces souffrances. Leur inacceptable calvaire est relaté avec détail dans le livre de l'américain J.F. Foer (dont nous parlons dans ce numéro). Lui ose mettre en lumière le degré d'horreur qu'à atteint la "fabrication" de la viande aux Etats Unis. Animaux entassés, difformes, drogués de médicaments, gavés d’antibiotiques. Poussins hachés vivants. Cochons et vaches à qui l'on scie les pattes sans anesthésie. Dindes gazées. Poulets élevés en batterie, ne voyant jamais la lumière du jour. Nous pouvons, nous devons agir, car ces pratiques sont en train de se généraliser en Europe aussi !
Nous, consommateurs, en acceptant de changer nos habitudes, et en exigeant un étiquetage garantissant que les animaux n'ont pas souffert et qu'ils ont été élevés dan des conditions respectant les besoins sociaux de leur espèce. Nous médias, en portant à la connaissance du public les images, même insoutenables, du martyr de ces bêtes depuis leur naissance jusqu'à leur mort, en passant par le traitement inhumain qui leur est infligé lors de leur transport vers l'abattoir. Dénoncer l'horreur de l'abattage de ces animaux sans étourdissement préalable ne suffit pas.
Nous, Association,, en continuant de protester auprès des pouvoirs publics et des instances européennes pour revenir à des élevages traditionnels plus respectueux des animaux. La rentabilité et le profit ne doivent plus être le seul mot d'ordre d'une industrie agro-alimentaire en passe de perdre tout scrupule. Reha HUTIN de la Fondation 30 Millions d'Amis

Merci de diffuser

Respectueusement Votre,

Dominique68

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Re-bonjour

Extrait du livre de J.F FOER " Faut-il manger les animaux ?" ! Désolée pour le coté "immonde" mais tout le monde doit savoir....

Avec J.S. FOER, nous assistons "en direct" aux 5 étapes de abattage tel qu'il se pratique dans les grands sites industriels, depuis le coup du pistolet pneumatique asséné par le knocker ( l'étourdisseur) entre les yeux de l'animal dont la tête dépasse du "box d'étourdissement" jusqu'aux "coupeurs de pattes", en passant par "l'entraveur" chargé d'accrocher l'animal par le jarret et le voir ainsi partir pendu sur la chaine d'équarrissage, le "pointeur" qui tranche les carotides et les jugulaires pour saigner l'animal et "l'écorcheur de tête" qui retire la peau en commençant par la tête. Le tout chez un animal qui n'est pas toujours mort...

L'auteur évoque le comportement maltraitant de nombreux travailleurs de cette industrie à l'égard des animaux. Comportement résultant avant tout des conditions de travail anormalement "insatisfaisantes"...Il évoque aussi tout ce qui a trait à l'alimentation (de plus en plus artificielle), l'utilisation "d'additifs médicamenteux et autres", les "soins" (arrachage de dents, section du bec des poulets et des queues des gorets, castration à vif), etc.

La violence est partout.

°°°

Tout a changé dans nos rapports avec les animaux, vus comme objet de consommation, depuis que l'industrialisation a remplacé l'élevage de voisinage.

Désormais l'animal est un simple produit comme un autre et seul est pris en compte le profit que son commerce peut générer.

Respectueusement Votre,

Dominique68

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