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Admin-eleveurcanin

Bref Info le magazine du chien JANVIER 2008

Messages recommandés

Bref Info le magazine du chien DECEMBRE 2007
http://www.sanslaisse.com/ "coup de pouce, coup de coeur"

Un chien n’est pas une voiture!
Vous avez probablement eu l’occasion, ces derniers mois, en lisant la presse quotidienne romande ou en suivant des émissions à la télévision consacrées à nos animaux domestiques, de tomber une fois ou l’autre sur une démonstration de lavage automatique d’un chien. Que peut-il bien se passer dans la tête de l’homme lorsqu’il planche pendant des mois, voire des années pour mettre au point une telle boîte de lavage et surtout, pour accepter de se servir de cet engin? Quel regard porte-t-il sur l’animal et le chien en particulier pour cautionner une telle pratique et accepter de ramener son fidèle compagnon à l’état d’objet, de bien de consommation, alors que dans le même temps, notre société se bat pour donner une existence juridique à nos chiens et que les éducateurs, comportementalistes, vétérinaires et spécialistes du monde animal, jour après jour, répètent à quel point il est indispensable de multiplier les contacts physiques et les occasions – le moment du toilettage en est une – de renforcer la confiance entre l’homme et l’animal pour assurer le bien-être de ce dernier et en faire une créature sociale, équilibrée et bien dans sa tête. Et même si les personnes qui lavent leur chien de cette manière-là nous prouvent que leur compagnon se plie de bonne grâce à ce traitement, je n’accepterai, quant à moi, jamais de ramener un quelconque animal et encore moins un chien à l’état de voiture. C’est tout simplement une question d’éthique et de respect! Mais c’est aussi un manque de reconnaissance du savoir-faire, du travail et de la fonction même des toiletteurs et tout simplement aussi du maître qui prend le temps d’entretenir lui-même son compagnon.
http://www.lechien.ch/plus_edito.php

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Info du 02/01/2008
Japon - allocations animal de compagnie
Les japonais (une fois n’est pas coutume) considèrent leur animal de compagnie comme un membre de la famille à part entière à tel point que certaines sociétés mettent en place des « allocations animal de compagnie ». Depuis le mois de Décembre 2007, Kyoritsu Seiyaku, une société de produits pharmaceutiques, offre une allocation mensuelle de mille yens (six euros) à ses employés par chien ou chat possédé. Et pour aller jusqu’au bout de l’obsession, l’enseigne envisage à l’avenir d'offrir une prime de 12 000 yens (75 euros) pour tout employé qui adoptera un chat de gouttière…
Source : http://www.fashionpets.fr/

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Info du 02/01/2008
Etats-Unis - TOUTOU A LOUER
Quand ce ne sont pas les japonais qui reprennent les « bonnes » idées des américains, c’est l’inverse. La location de chiens, monnaie courante au Japon est arrivée sur les terres américaines sous le nom de FlexPetz. L’enseigne propose en effet plusieurs races de toutous disponibles pour quelques heures. En comptant l’abonnement mensuel, une formation obligatoire d'une heure avec un éducateur de chez FlexPetz et la location ponctuelle, comptez 800 euros la première année. Pour le moment le concept s’applique à San Diego, Los Angeles ou New York. L'ouverture d’une succursale à Londres est prévue pour 2008. Paris n'est qu'en projet.
Source : http://www.fashionpets.fr/

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Info du 02/01/2008
Japon - La Pet Fashion Week s’exporte au Japon
L’événement New-Yorkais se déroulera donc les 12 et 13 Janvier prochains en plein cœur de Tokyo. Dix créateurs, triés sur le volet par la Pet Fashion Week, présenteront lors d’un défilé leurs créations « haute-couture », composées de vêtements et d’accessoires destinées à 40 000 consommateurs. Ce marché est très porteur aux Japon, 10 milliards de dollars lui est consacré chaque année…
Source : http://www.fashionpets.fr/

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Info du 03/01/2008
Noël : Les stars écrivent aux journaux de petites annonces des Hauts-de-Seine !
Qu'ils soient stars de la chanson comme Charles AZNAVOUR, de l'écriture comme Patrick MODIANO, de l'information comme Patrick POIVRE D'ARVOR, du cinéma comme Jean-Marie POIRE, Judith GODRECHE, de l'humour comme Elie SEIMOUN, de la musique comme Jean-Claude PETIT, ce sont 32 personnalités qui, à l'approche de Noël, ont décidé de s'engager aux côtés de la SPA pour dénoncer l'achat impulsif d'animaux de compagnie.

Dans une lettre ouverte, adressée aux Groupes de Presse des Hauts-de-Seine proposant des annonces animalières, ils indiquent que 40 % de ces animaux sont "écoulés" par le biais des petites annonces, tandis que la Société Protectrice des Animaux rappelle au Gouvernement que plus d'un million de chats et de chiens sont, chaque année, produits pour le marché français.

"La misère animale trouve sa source dans cet afflux massif de naissances qu'il est impossible d'absorber car il n'y a pas autant de familles capables de s'occuper dignement, et sur la durée, d'un animal [...]", déclarent-ils.

Les artistes décrivent ensuite des cas bien connus par la SPA, véritables conséquences de ces achats irréfléchis qui connaissent un pic au moment de Noël : animaux dont on ne sait comment se débarrasser ensuite (chiens traînés en voiture sur des centaines de mètres jusqu'à ce que mort s'ensuive, animal laissé devant la porte d'un refuge ou en pleine forêt, auquel on a coupé l'oreille afin d'éviter toute identification du propriétaire, animaux frappés, massacrés, morts de faim...).

La SPA souhaite prendre le problème à la source et montre du doigt les petites annonces qui tendent à faire de l'animal de compagnie une marchandise comme une autre, jetable et acquise sans aucun contrôle ni traçabilité.

Les artistes, au nom de la SPA, demandent à Michel BARNIER et à Christine LAGARDE d'interdire la cession à titre onéreux ou gracieux d'animaux de compagnie par le canal de petites annonces et viennent également d'écrire aux Présidents de Groupes de presse papier et internet afin qu'ils prennent ces mesures en considération au plus vite.

"La nouvelle Présidente de la SPA, Caroline LANTY, s'est donné pour mission de freiner de manière significative ce fléau et nous sommes déterminés à l'y aider", déclarent les personnalités.

Les lettres adressées aux Ministre et aux Groupes de Presse peuvent être consultées sur le site internet de la SPA ! http://spa.asso.fr

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Info du 05/01/2008
les mœurs canines et félines 2008
Les 12 et 13 avril 2008 en Avignon,

GECC
et le comité organisateur du colloque « les mœurs canines et félines 2008 » (Karine Molinié, Gérard Mus, Vincent Porcu, Dr Thierry Bédossa) rassemblent tous les acteurs du monde canin et félin autour du thème :

Attitudes gênantes ou indésirables de nos chiens et chats : mauvais comportements ou pathologies du comportement ?

Par ailleurs ce colloque propose en exclusivité une présentation de

L’EVALUATION COMPORTEMENTALE des chiens rendue obligatoire par la loi.


Colloque ouvert aux particuliers et aux professionnels, inscriptions sur le site de l’association GECC : http://assoGECC.free.fr

tarifs : 90 €/1 journée et 120 €/2 journées (pauses café, salées et déjeuners compris)


Tarifs préférentiels pour les membres du SNPCC, les étudiants vétérinaires, les étudiants BEPA éducateur canin, les étudiants en Bac Pro, BEP et BEPA élevage canin et félin, les étudiants auxiliaires vétérinaires et les étudiants en brevet toiletteur (voir site).

assoGECC@free.fr
http://assoGECC.free.fr
Tél : 06.07.82.50.19

Source : http://assoGECC.free.fr

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Info du 05/01/2008
États-Unis - Aliments pour animaux : Des millions en dédommagement

Aux États-Unis, une entreprise de fabrication d'aliments pour chiens a accepté de verser 3,1 millions de dollars américains pour dédommager les propriétaires d'animaux morts ou malades après avoir été contaminés par la nourriture.

Le produit en question, fabriqué par l'usine de Diamond Pet Foods en Caroline du Sud, contenait une moisissure toxique, appelée l'aflatoxine, qui peut causer d'importants dommages au foie. En 2005, la nourriture avait été distribuée dans 23 États. Des dizaines de chiens sont morts après avoir consommé le produit, jusqu'à ce qu'un vétérinaire fasse le lien entre le produit et le décès d'un chien. La compagnie avait alors procédé à un rappel de son produit.

Diamond Pet Foods a fait face à des centaines de poursuites pour cette affaire. Elle mettra en place un fonds d'indemnisation pour les propriétaires de chiens décédés ou malades, notamment pour compenser pour les frais de vétérinaire.

L'entreprise, qui a son siège social à Meta, au Missouri, a admis que des employés de son usine de Gaston, en Caroline du Sud, n'avaient pas fait les examens habituels pour assurer la sécurité des produits.

L'agence fédérale américaine de l'alimentation et du médicament (FDA) avait affirmé dans un rapport que l'entreprise n'avait pas les traces de tests effectués sur 12 cargaisons de maïs en 2005, au moment où les céréales contaminées auraient été introduites dans la chaîne de production.

Photo : Ce chien a subit des dommages permaments au foie après avoir été contaminé à l'aflatoxine.

Source : http://cbc.radio-canada.ca/

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Irak - À Bagdad, un homme défie les dangers pour l’amour des bêtes
Un vétérinaire continue envers et contre tout à soigner les animaux

Dans la capitale irakienne livrée aux violences, où les soins de santé restent souvent un luxe pour les humains, il existe au moins un vétérinaire qui continue envers et contre tout à soigner les bêtes.
Lors de ses tournées dans Bagdad pour sauver des caniches, des perroquets et même des tigres, Namir Abdel Fatah, 46 ans, a échappé à bien des fusillades et garde sur une jambe les cicatrices d’un éclat d’obus.
Malgré les guerres successives qu’a connues l’Irak depuis 1980, ce Bagdadi assure n’avoir jamais failli à sa mission entamée il y a 26 ans.
« Les gens cherchent à prendre soin de leurs animaux malgré tout ce qui se passe », explique à l’AFP le vétérinaire. « Il y a beaucoup plus de gens qu’on le croie qui gardent des chiens comme animaux domestiques. Il y a dans la ville des chiens très coûteux comme des pékinois, mais leurs propriétaires ne les sortent jamais de crainte qu’il ne leur arrive quelque chose », ajoute-t-il.
C’est donc M. Fatah qui doit sortir pour aller à la rencontre des bêtes dans les rues d’une ville encore trop souvent soumise à la loi de groupes armés et où les attentats sont quasi quotidiens.
« Les vitres de ma voiture ont été une fois soufflées par une explosion au moment où j’allais soigner le chien d’un client. Une autre fois, ma voiture a été touchée par des éclats d’obus », raconte M. Fatah.
« Mais je n’ai jamais été pris pour cible. De toute façon, je n’ai pas l’intention d’arrêter mon travail à cause des dangers que je cours », assure ce vétérinaire formé à Bagdad et dans l’ancienne Allemagne de l’Est.
Quelques jours après l’entrée des troupes américaines à Bagdad en avril 2003, il se rendait chez un client dans le quartier de Dora lorsqu’une fusillade a éclaté.
« Les Américains ont bloqué la rue et m’ont dit que je ne pouvais pas aller plus loin. Mais j’ai pris le risque de continuer ma route parce que je devais absolument me rendre chez un client », assure M. Fatah.
Sous le régime brutal de Saddam Hussein, soumis à un embargo international après l’invasion du Koweït en 1990, la vie n’était pas plus facile pour ce vétérinaire.
« Il était alors très difficile d’obtenir les bons médicaments en raison notamment des taxes très élevées imposées par le régime sur les importations. Aujourd’hui, je peux me procurer à l’étranger tous les médicaments que je veux », dit-il.
Sous la dictature, il a aussi travaillé avec des chiens formés pour les forces de sécurité, une période de sa vie qu’il préfère ne pas aborder.
Aujourd’hui, même si la plupart de ses clients sont des gens fortunés, des hommes politiques ou des diplomates, M. Fatah assure qu’il ne se soucie que de leurs animaux.
« C’est comme ça que j’ai survécu. En ne posant pas de questions quand j’allais dans leurs villas. Je ne veux pas me mêler de politique. »
Avec de tels clients, M. Farah a fait parfois la rencontre d’animaux un peu particuliers : des ours, des singes, des tigres et des lions, même si les forces américaines ont confisqué la plupart de ces félins à leurs propriétaires.
Mais la préférence de M. Fatah va aux simples chats et chiens qui sont souvent négligés dans une ville où les hommes sont occupés à leur propre survie.
M. Fatah, qui dit avoir refusé par patriotisme des emplois bien rémunérés à l’étranger, espère que son fils de sept ans pourra un jour prendre sa relève et sauver des bêtes dans un Irak pacifié.
Source : L'Orient Le Jour

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Info du 05/01/2008
les mœurs canines et félines 2008
Les 12 et 13 avril 2008 en Avignon,

GECC
et le comité organisateur du colloque « les mœurs canines et félines 2008 » (Karine Molinié, Gérard Mus, Vincent Porcu, Dr Thierry Bédossa) rassemblent tous les acteurs du monde canin et félin autour du thème :

Attitudes gênantes ou indésirables de nos chiens et chats : mauvais comportements ou pathologies du comportement ?

Par ailleurs ce colloque propose en exclusivité une présentation de

L’EVALUATION COMPORTEMENTALE des chiens rendue obligatoire par la loi.


Colloque ouvert aux particuliers et aux professionnels, inscriptions sur le site de l’association GECC : http://assoGECC.free.fr

tarifs : 90 €/1 journée et 120 €/2 journées (pauses café, salées et déjeuners compris)


Tarifs préférentiels pour les membres du SNPCC, les étudiants vétérinaires, les étudiants BEPA éducateur canin, les étudiants en Bac Pro, BEP et BEPA élevage canin et félin, les étudiants auxiliaires vétérinaires et les étudiants en brevet toiletteur (voir site).

assoGECC@free.fr
http://assoGECC.free.fr
Tél : 06.07.82.50.19

Source : http://assoGECC.free.fr

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Info du 08/01/2008
LES CHIENS A L'HONNEUR A ANGERS !!!

Cette année, l’Association Canine Maine Anjou (affiliée à la Société Centrale Canine) et le Parc Exposition d’Angers s’associent pour l’organisation du Village Canin, qui se tiendra les 25, 26 et 27 avril 2008.

Pour sa 3ème édition, le village canin basé sur le respect de l’animal, ouvre de nouveau ses portes exclusivement aux éleveurs naisseurs (LOF).

Par ailleurs, tous les acteurs du Monde Canin seront présents afin de répondre à toutes les demandes des visiteurs (accessoiristes, alimentation pour animaux, produits d’hygiène, toiletteur, sans oublier la présence de Thierry DUPUIS, Etho-Psycho Comportementaliste).

De nombreuses associations et clubs canins sous le patronage de l’ACMA présenteront leurs différentes activités (agility, chien sur troupeau, flyball, obérythmé...).

Pour tout renseignement pour le Village Canin -

Parc Expo : Yves DEREDEC : 02 41 93 40 40 - y.deredec@angers-expo-congres.com

ACMA : Maryvonne LANDRAU : 06 75 04 97 35 – mary.landrau@free.fr

Source : CHIEN.COM http://www.chien.com

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Info du 10/01/2008
Emission télé sur les chiens dangereux
Télé : W9

Emission télévisé du Mercredi 16.01.2008 à 20h45 .
Rediffusion dimanche 20 janvier à 15h45.

Enquête d'action

L'année 2007 a vu la multiplication d'accidents impliquant des chiens au gabarit hors normes. Ces molosses s'en sont pris à des adultes mais aussi à des enfants en bas âge. Un projet de loi sur les chiens dangereux vient d'être voté. Mais ce texte pourra-t-il changer la situation déplorable que l'on observe à travers le pays ? Chiens de combats dressés pour tuer, animaux maltraités et sous-alimentés par des vigiles aux compétences douteuses sont légion. Le manque de formation des propriétaires et le non respect de règles élémentaires inquiètent les autorités. La question préoccupe vivement les familles car le mal fait par ces chiens féroces est souvent irrémédiable.

http://www.w9.fr/cms/display.j(...)

Avec la participation à cette émission de Hervé Pupier du Clan des Seeonee sur les trois sujets de l'émission .
http://www.clandesseeonee.com/(...)

Source : CHIEN.COM http://www.chien.com

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Info du 11/01/2008
Les chiots et chats tiennent salon à Brest


Durant ce week-end, le parc des expositions de Penfeld, à Brest, accueille le Salon du chiot et du chat. Le marché du quatre pattes se porte bien.
Hier après-midi, malgré la pluie, on faisait la queue dehors pour entrer au Salon du chiot. Bienvenue à Youkiland ! Pour sa première édition à Brest - après Quimper en septembre -, Bernard Moreau, l'organisateur, était plutôt satisfait. « Dès le matin, il y avait foule. C'est plutôt bien pour un samedi. »

L'organisateur l'affirme : tous les élevages présents ne vendent que des chiens inscrits au LOF, le Livre des origines français. « Et pas françaises, souligne Bernard Moreau. C'est le livre qui est français, mais on peut y inscrire des chiens d'autres origines. » C'est pourquoi le salon s'intitule « Salon du chiot de race ».

Le LOF offre une garantie sur la provenance de l'animal. « Dans le milieu de l'élevage de chiens, il faut être très prudent. Après la drogue et les armes, les animaux suscitent un trafic très important », rappelle l'organisateur.

Sous la halle de Penfeld, ils sont quarante-quatre exposants, principalement du grand Ouest. Mais certains éleveurs sont venus des Landes ou de la Marne. Dans des enclos, sur une litière composée de papier déchiré en lanières, le visiteur a le choix entre près de races de chiens. Les petites tailles, bichons, coton de Tuléar, shi-tzu et cavalier king Charles attirent tout de suite les caresses des enfants.

On trouve aussi les traditionnels bergers, qu'ils soient allemands, belges ou malinois. On peut acheter des chiens à la provenance beaucoup plus exotiques, des bergers d'Australie, à la tête sympa, ou bien un énorme filo brasileiro, dogue brésilien qui, un temps, fut dressé à garder les esclaves... Garanti gentil, évidemment.

Quelques éleveurs proposent des « staff ». L'un d'entre eux précise que cette race n'est « pas concernée par la loi sur les chiens dangereux ».

Il faut compter au minimum 600 € pour un chiot. « C'est une somme, reconnaît Bernard Moreau. Ce montant évite aussi les achats impulsifs que l'on regrette plus tard. On aime bien les ventes du dimanche. Souvent les gens viennent le samedi, regardent, comparent. Ils réfléchissent et reviennent le dimanche pour acheter. »

Rozenn et Pascal, les parents de Clervie, Robin, Jean et Gautier, eux, ont acheté dès hier un bouvier bernois. Une grosse boule de poils noirs avec un peu de blanc qui pèsera quand même au moins 50 kg une fois adulte. Le chiot répond au nom de Cooper. C'est l'année des C. « Nous avions déjà un Eurasier, un gros chien aussi, raconte Rozenn. Mais nous en voulions un deuxième. » Le couple a déboursé 1 100 € pour Cooper blotti dans les bras de Clervie.

David et Laetitia, eux, ont dépensé 800 € pour un chiot Golden. « Nous venons de perdre notre bichon qui avait treize ans. On voulait un autre chien. » Calisson, c'est le nom du petit dernier, va faire la joie des deux enfants du couple. Ils ont choisi un plus gros chien parce qu'ils viennent d'emménager dans une maison.

Quelques éleveurs de chats sont également présents. On peut ainsi voir le plus petit chat du monde, le Singapura, le Shynx, chat sans poil, et un très, très gros matou, le plus gros d'ailleurs au monde, un Maine Coon.


Yannick GUÉRIN.


Salon du chiot, parc des expositions de Penfeld, à Brest, de 10 h à 18 h 30 ; 5 € et 1 € pour les moins de 12 ans.

Ouest-France

Photo : Clervie, Robin, Jean et Gautier ont un nouveau compagnon, Cooper, un chiot bouvier bernois.
Source : http://www.brest.maville.com

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Info du 14/01/2008
Chiens catégorisés : Attention, préjugés dangereux !


Suite au nouveau drame survenu à Charnay dans le Rhône, les réactions se succèdent sur le net et dans la presse. De nombreuses personnes appellent à « l'éradication de ces monstres ».

De leur côté, les professionnels du chien hochent de nouveau la tête de dépit de voir que leurs paroles restent vaines

Marie B., Educatrice et Comportementaliste canine en Haute-Savoie en fait partie.
http://rexattitude.fr.nf/
Elle a accepté de répondre à quelques questions.


>> Bonjour Marie, qu'avez-vous à dire à ceux demandant l'éradication des « chiens dangereux » ?

" Bonjour,

Je leur dirais que si on voulait éradiquer les chiens dangereux, il faudrait alors tuer tous les chiens. Peut-être pourrions nous garder les chiots (et encore, pas tous !) jusqu'à l'age de quelques mois, mais cela reviendrait au même puisque qu'ils ne peuvent pas se reproduire.

Aujourd'hui, beaucoup font l'amalgame entre « chiens catégorisés », et « chiens dangereux ». Or il est prouvé scientifiquement –et cela est corroboré par les statistiques– qu'il n'existe pas de race déterminée à être plus agressive que d'autres.
Nous savons que l'agressivité du chien peut venir de sa petite enfance, son sevrage, de ses expériences de vie (= son éducation), et de la relation qu'il entretient avec les êtres vivants qui l'entourent (= la hiérarchie). Il y a très peu de chien qui ont une tare réelle, et qui peuvent « Peter un plomb » sans raison.

En revanche, il y a beaucoup de gens qui ne sont pas capables de comprendre le comportement d'un chien ( et cela quelqu'il soit). Bien souvent, suite à un drame, le chien est qualifié de « taré », et euthanasié, la famille pleure, et on tourne la page, sans chercher à comprendre pourquoi, pour ne plus que cela se reproduise..."

>> Or dans ces conditions je suppose que ça peut se reproduire ? De même s'il s'agissait d'une simple morsure, que la famille euthanasie le chien, en prend un autre mais ne remet rien en question et recommence la même chose....
"Il se peut que la situation se reproduise, mais pas forcément, puisque chaque chien a un caractère différent, et a des expériences de vie différentes, même si la famille s'y prend en générale de la même manière avec le chien"

>> Qu'avez-vous à dire à ces gens qui s'évertuent à ne pas écouter l'avis des spécialistes du monde canin et préfèrent se fier aux médias ou aux politiques ?

Tout d'abord je leur demanderai de me dire quels intérêts les professionnels auraient à défendre ces chiens, s'ils étaient réellement plus dangereux que les autres ?

Je rajouterai, et je suis bien placée pour le savoir, que chaque « type » de professionnel du chien se contredisent dans leur méthode de travail (coercitive, positive avec nourriture, positive avec le jeu, hiérarchie entre le chien et l'homme reconnue ou pas, donner des médicaments ou non etc...) mais qu'on se rejoins TOUS sur le sujet des chiens catégorisés... A leur place, ça me ferait réfléchir !

Je pourrai aussi leur proposer de faire une journée bénévole au sein de la Spa la plus proche de chez eux (donc avec un échantillon de chiens non choisi), pour qu'ils puissent voir de leurs propres yeux quel chien est agressif et quel chien ne l'est pas.


Petit aparté : Je leur demanderais aussi de réfléchir sur ce point : lorsqu'ils ont mal aux dents vont-ils voir le kinésithérapeute ou le dentiste ?"


>> Selon vous, comment faire pour que de tels drames ne se reproduisent plus ?

"Tout d'abord, ne pas oublier que le chien descend du loup. Il ne faut pas partir du principe que les chiens nous doivent soumission et obéissance sous prétexte que nous sommes hommes et eux chiens. Nous devons les apprivoiser, les mettre en position de demandeur dans le quotidien et pour cela, beaucoup de maîtres devraient prendre contact avec un professionnel du chien. La communication avec un chien n'est pas innée, cela s'apprend !

D'autre part, nous devons absolument socialiser les chiots à toutes sortes de situations, afin de rendre chaque chose de notre monde d'humain comme « naturelle » (voitures, camions, aspirateurs, poubelles etc...)

Pour cela il faudrait :

· Interdire les ventes de chiots en animalerie, car ils manquent cruellement d'adultes pour les éduquer, qu'ils se trouvent dans un endroit trop pauvre en stimuli et qu'ils quittent leur mère trop tôt (ce qui engendre des troubles du comportement tel que peur, mauvaise communication avec les canidés, hyper activité et hyper sensibilité...)

· Réglementer les personnes qui ont le droit de s'occuper d'une portée de chiot.

· Augmenter la partie comportement dans les études des éleveurs canin, particulièrement la partie socialisation.

· Ne plus faire de différence entre les races de chiens pour que chaque maître ai la possibilité (qui devrait devenir un devoir) de continuer la socialisation que l'éleveur a commencé avec son chiot, quelques soit sa race.

· Obliger les maîtres à suivre des cours d'éducation canine.



>> Les catégories vous semblent-elles sensées ? Cette idée de chiens d'attaques et de chiens de gardes et de défenses ?
La catégorisation des chiens ne fait que rendre la socialisation de ces chiens plus difficile et donc entraîne de nombreux problèmes, dont l'agressivité sur un être humain. Elle sépare la population en deux. D'un côté les bons maîtres, qui adoptent un labrador, un golden, un braque etc, de l'autre les mauvais maîtres qui adoptent un rott, staff etc.

Ceux qui croient qu'un chien catégorisé mord plus fort qu'un chien qui ne l'est pas ont oublié un détail majeur : La morsure d'un berger allemand peut faire autant de dégât que celle d'un rott. Seul l'être humain sait qu'il y a 15 kg d'écart entre les deux, eux n'en ont pas conscience ! Et le chien ne mord pas suivant sa force, mais suivant le message qu'il veut faire passer, c'est ce qu'on appelle le contrôle de la morsure, les chiens l'apprennent avant leur adoption dans leur foyer humain (sauf abscence, écourtage, ou mauvaise qualitée de la période de sevrage).

Et que dire de la morsure d'un terre neuve ? D'un saint-bernard, d'un labrador, d'un braque allemand? Mais bien sûr, on peut toujours comparer la morsure d'un caniche avec celle d'un rott, et là, leur théorie parait valable...


En ce qui concerne l'appellation chien « d'attaque » ou de « défense » pour parler des chiens catégorisés, cela revient au même que de qualifier de chiens « de chasse » les caniches ou les yorkshire (et oui, ils ont été crées pour être des chiens de terrier !). Les chiens catégorisés ne sont plus chiens de combats de garde ou de défense depuis aussi longtemps que les caniches, jack russel, york ou autre ne sont plus chiens de chasse.

D'ailleurs, il reste une activité, le « ring » (considérée comme un « sport canin » et qui consiste entre autres à la protection rapprochée du maître, ainsi que l'attaque à distance sur demande sur un homme en costume de circonstance) que pratiquent certains maîtres qui pourrait rapprocher les chiens à cette appellation de "chien d'attaque ou de défense", mais légalement il n'en est rien.


>> Avez-vous déjà été mordue dans le cadre de votre profession ? et si oui, par quel type de chien ?

Oui, une seule fois, et je dois bien reconnaître que c'était de ma faute.

Une amie a adopté une chienne au passé bien difficile, mais mon amie a fait un énorme travail. Ceci dit, un problème demeure : lorsque la chienne est attachée, elle ne supporte absolument pas qu'on s'approche, seule sa maîtresse peut revenir pour la détacher, lui donner à boire ou autre.

Lors d'un concours auquel j'ai assisté, mon amie est allée repérer la piste sans la chienne, elle l'a donc laissé attachée. Je ne me suis plus souvenue de ce « problème »... et je me suis trop approchée. J'ai eu le droit à un beau trou dans la cuisse ! Cette chienne est une labri (berger des Pyrénées).


>> Avez-vous eu connaissance de morsures? Si oui, par quels types de chiens ?

Par les médias, seulement des chiens catégorisés ou de grand gabarit (berger, dogue allemand etc..).

Mais par mon métier: berger allemand, labri (autre que celle de mon amie qui m'a fait un trou dans la cuisse !), cocker, labrador, boxer, beauceron... (chiens de race ou assimilés) ce sont les cas qui me reviennent en mémoire.


Source : http://www.lepost.fr

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Info du 15/01/2008
Suisse - parcs genevois interdits aux chiens

Voici enfin la liste des parcs genevois interdits aux chiens
Soixante-cinq espaces sont dorénavant fermés aux canidés dans le canton. Les contrevenants risquent 100 francs d'amende.

Il aura fallu attendre sept mois, après le verdict populaire, pour connaître enfin les lieux où le «meilleur ami de l'homme» sera interdit d'accès!

Plébiscitée le 17 juin dernier par 82% des citoyens, la nouvelle Loi sur les chiens prévoit non seulement de museler les plus dangereux, d'obliger les nouveaux propriétaires à suivre des cours de sensibilisation, mais aussi... d'interdire certains parcs aux canidés.

Surtout des petits espaces
La liste vient de paraître dans la Feuille d'Avis Officielle. Au total: 65 parcs, dont 13 en Ville de Genève (voir notre infographie) et 52 dans 16 autres communes (lire ci-dessous) sont dorénavant fermés aux chiens.

Mais que les propriétaires se rassurent. Ils ne devraient pas trop grimacer car, à l'exception du Jardin botanique, ce sont essentiellement des espaces de petite taille qui ont été choisis. On ne retrouve ainsi pas le parc Bertrand, pas davantage La Perle du Lac et les parcs des Eaux-Vives ou des Cropettes.

Un élément qui ne calme toutefois pas Frédérique Flournoy, la présidente de la Société genevoise pour la protection des animaux (lire ci-dessous).

«Le principe de réalité doit s'appliquer. Et puis les grands parcs comportent déjà des zones réservées aux chiens», explique, de son côté, le conseiller administratif de la Ville de Genève Pierre Maudet, en charge des agents municipaux, appelés à verbaliser les contrevenants.

Ville, mauvais élève
Une Ville qui a longtemps mis les pieds au mur dans le cadre de la consultation avec les communes, lancée par le Département cantonal du territoire, pour déterminer la liste des parcs interdits aux chiens. Manuel Tornare n'a personnellement jamais été convaincu par la fermeture des parcs. Il l'a répété à plusieurs reprises dans ce journal. Faisant allusion au fiasco du port de la muselière pour tous les chiens, le magistrat socialiste déclarait notamment: «Ce n'est pas à nous de sortir l'Etat de la cacade dans laquelle il s'est mis.»

Bientôt une brigade canine?
Quoi qu'il en soit, et contrairement à d'autres communes qui n'ont fait aucune proposition, la Ville a finalement participé à l'exercice initié par l'Etat. «Le critère principal qui a -déterminé nos choix a été celui de la proximité des enfants», relève Pierre Maudet.

Et maintenant, les agents municipaux ont-ils vraiment les moyens de faire appliquer la loi? Leur patron ne cache pas que les 80 agents environ présents quotidiennement sur le terrain n'ont de loin pas pour seule mission de se préoccuper des chiens. «Si on voulait vraiment être efficace, il faudrait créer une brigade canine», estime Pierre Maudet. D'ailleurs, l'élu radical y songe. En attendant, il va demander à ses collaborateurs de faire de la sensibilisation, avant de verbaliser les maîtres de chiens «hors-la-loi.»

Ces derniers risquent toutefois 100 francs d'amende s'ils promènent leur canidé dans des parcs interdits. La contravention peut augmenter par paliers de 100 francs si l'animal n'a pas de médaille, s'il n'est pas tenu en laisse ou si son maître est un récidiviste.

Pour en savoir plus
Les espaces interdits aux chiens et ceux qui sont épargnés

http://static.tdg.ch/pdf/08011(...)
Source : http://www.tdg.ch

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Info du 15/01/2008
Suisse - Des animaux dans les centres commerciaux?
Les commerciaux ne tarissent pas d'idées pour attirer les chalands à grand renfort de publicités dans les centres commerciaux à Noël ou à l'occasion des fêtes de Pâques.

Ainsi, il n'est pas rare de voir des lamas, des alpagas, des ânes, des moutons, des chèvres et autres lapins ou poussins exposés sous les éclairages, par des températures élevées au milieu du brouhaha, dans les halls des grands magasins.

La législation fédérale sur la protection des animaux permet d'exposer ces animaux dans un centre commercial. L'autorité vétérinaire cantonale délivre à cet égard les autorisations nécessaires. Cas échéant, les installations sont contrôlées et l'état sanitaire des animaux fait l'objet de toute l'attention nécessaire.

Toutefois, la Société vaudoise de protection des animaux (SVPA) désapprouve le principe de ce genre de présentation parce que l'instrumentalisation des animaux dans un but purement publicitaire fausse notablement la vision du public.

Les animaleries proposent déjà des petits rongeurs et des poissons. En exhibant d'autres animaux dans un commerce, comme on présente des marchandises à la vente, on laisse la porte grande ouverte à des dérapages évités jusque-là.

On pourrait imaginer dans un proche avenir des demandes pour l'ouverture de magasins qui proposeraient des chats, des chiens, des chèvres du Tibet, des agneaux, des minipigs ou encore des alpagas car la législation en la matière est fragile. Ce n'est pas acceptable.

Laissons les centres commerciaux remplir leur rôle de temples de la consommation, avec tous les excès et les effets parfois pervers qu'ils génèrent, et rendons aux animaux la liberté dans les espaces qui leur sont réservés à la campagne et dans les fermes.

Alain Zwygart, administrateur de la SVPA

Source : Bonnenouvelle.ch

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Le zoo de Nüremberg reçoit 14.000 propositions de prénoms pour un ourson
[b]




[b]Le zoo de Nüremberg a annoncé dimanche avoir reçu plus de 14.000 propositions de noms pour son ourson de cinq semaines élevé au biberon, à l'image du célèbre Knut, l'ours polaire du zoo de Berlin élevé par un père nourricier l'an dernier.

Le zoo, qui a mis en place vendredi un site internet dédié à la jeune ourse (www.eisbaer.nuernberg.de) table sur 20.000 suggestions de prénoms d'ici la fin de la journée.

La veille, ce site avait été paralysé pendant plusieurs heures par l'afflux d'internautes fans de la petite ourse de plus de 2kg, selon le zoo.

Depuis, la capacité du site a été augmentée pour faire face à la cadence d'environ 500.000 connexions par jour.

Selon les medias allemands, ses quatre soigneurs la surnomment déjà "Flocke" (flocon).

Une fois passé le cap critique des trois mois, l'ourson devrait être transféré dans un enclos proche de ceux de ses congénères dont Vera, sa mère, qui s'était vu retirer sa garde parce qu'elle montrait des signes de nervosité.

Les responsables du zoo avaient estimé la séparation préférable redoutant que le bébé ne soit dévoré par sa mère.


http://translate.google.com/translate?hl=fr&sl=de&u=http://www.eisbaer.nuernberg.de/&sa=X&oi=translate&resnum=1&ct=result&prev=/search%3Fq%3Dwww.eisbaer.nuernberg.de%26hl%3Dfr%26sa%3DG


[/b]

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Info du 21/01/2008
Chiens, Chiots : UNE ALIMENTATION STABLE


Contrairement à une idée largement répandue, le chien n'a pas besoin de varier son alimentation.
Et même, des changements trop nombreux sont susceptibles de provoquer chez lui des problèmes de santé ou de comportement.

En effet, sa flore intestinale s'est adaptée à sa nourriture quotidienne et risquerait de se trouver modifiée par un nouveau type nutritif, provoquant désordres digestifs, diarrhées ou gastro-entérites.
Les différentes sources d'apports en minéraux, graisses, vitamines, etc... non réguliers pourraient aussi provoquer à la longue des carences nuisibles à sa santé.

Par ailleurs, les nouveaux choix offerts déclencheraient des préférences alimentaires et donc d'éventuels caprices, allant jusqu'à bouder sa gamelle. (Ne pas craquer dans ces cas-là !)

Si vous donnez à votre compagnon une alimentation de qualité, du type croquettes Premium, vous pouvez éventuellement en varier les parfums, en respectant toutefois le principe de la transition alimentaire, de même pour tout changement de marque

Voir : la transition alimentaire http://www.chien.com/general/a(...)

Les croquettes :
http://www.chien.com/Boutique/(...)


Source : http://www.chien.com/index15.h(...)

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Info du 22/01/2008
Suisse - Chiens maltraités: la cruauté augmente


L'histoire, révélée ce week-end, d'un amstaff ébouillanté et martyrisé durant trois mois à Onex (GE) par son maître de 19 ans n'est pas un cas isolé

«Nous constatons une recrudescence des cas de maltraitance dus à une cruauté particulière», déplore Frédérique Flournoy, présidente de la Société genevoise pour la protection des animaux.

A Genève, il s'agit du 5e drame en six mois, où la maltraitance débouche sur la mort de l'animal. En effet, grièvement blessée, la jeune chienne de 18 mois a dû être euthanasiée. En décembre, un croisé beauceron avait été égorgé et éventré par son maître. Récemment encore, et toujours à Genève, une femme de 53 ans a écopé de 20 jours de prison avec sursis pour avoir maltraité le petit yorkshire dont elle avait la garde pendant les vacances.

Dans le canton de Vaud, la SPA est également confrontée à de la maltraitance canine. «Heureusement, ces cas extrêmes sont plutôt rares, mais nos enquêteurs sont souvent appelés à vérifier des allégations de chiens battus ou victimes de négligence», note Stéphane Crausaz, chargé de communication.

La SPA genevoise a recensé près de 500 dénonciations de maltraitance l'an passé. «La moitié se sont avérées exactes», indique Frédérique Flournoy.

Dans de tels cas, le Service du vétérinaire cantonal, averti, peut procéder au séquestre temporaire de l'animal ou interdire au maître de posséder un chien. «Sont considérés comme de la maltraitance: les coups de pied ou de bâton, et aussi l'utilisation du collier aboie-stop qui envoie du citron dans les yeux, ou le fait d'enfermer longtemps un chien dans un petit espace», souligne Grégoire Seitert, le nouveau vétérinaire cantonal genevois.

D'autres animaux, tels les chats, seraient aussi victimes de leur maître. «Mais c'est beaucoup moins visible que pour les chiens, qui sortent souvent et dont on peut observer les éventuelles lésions», note Frédérique Flournoy. Selon ces spécialistes, la maltraitance cruelle est surtout le fait «de gens dérangés».
Nicolas Merckling

Photo : Keystone
Enfermer longtemps un chien dans une cage est assimilé à de la maltraitance.
Source : leMatinOnline

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Info du 22/01/2008
ILE MAURICE - Macaques, chiens et chats vecteurs du chikungunya ?
Macaques, chiens et chats vecteurs du chikungunya ?

Piqués par des moustiques porteurs du chikungunya, des macaques, des chiens et des chats pourraient constituer des réservoirs de la maladie. C’est l’hypothèse de deux chercheurs de l’UoM.

Des scientifiques ont identifié des «réservoirs» de chikungunya dans les forêts d’Afrique. Des macaques sont considérés suspects.
L’«aedes albopictus» ne serait pas le seul vecteur du chikungunya dont il faudrait se méfier. Une étude entreprise par deux chargés de cours de l’université de Maurice (UoM) démontrerait en effet que les macaques et les animaux domes- tiques pourraient avoir un rôle à jouer dans la transmission du virus. D’où la mise en garde qu’ils adressent aux autorités, les appelant à renforcer les mesures de sécurité pour éviter que le virus ne refasse son apparition sur le sol mauricien.

Le Dr Smita Sulakshana Devi Ghoorah et le Dr Satish Kumar Ramchurn, respectivement chargé de cours et «Associate Professor» au département de physique à la faculté de Science de l’UoM, notent dans l’étude que les 30 000 macaques (Macaca fascicularis) présents dans les forêts du pays et les animaux domestiques sont potentiellement des «réservoirs du virus» et pourraient même rendre la maladie du Chikungunya endémique, comme c’est le cas en Afrique.

Ainsi, si le virus – qui n’a pas réapparu à Maurice depuis août 2006 – était réintroduit sur le territoire, et qu’il était introduit dans l’organisme des animaux domestiques, principalement des chiens et des chats, ou à des singes vivant en forêt, cela pourrait constituer un danger pour la population, disent les chercheurs.

Car le virus, dans ce dernier cas, pourrait alors être passé aux humains qui s’aventureraient dans leur territoire, lors de randonnées par exemple. Mais les deux chercheurs prennent le soin de préciser que ce n’est là qu’une hypothèse, d’où la nécessité de mener des études vétérinaires et médicales poussées sur la question.


Explorer toutes les possibilités

Leurs travaux s’inspireraient de recherches entreprises en Afrique, où des scientifiques ont identifié des «réservoirs» de chikungunya dans les forêts. Dans ces cas-là, des macaques sont considérés comme suspects. Mais là encore, rien n’aurait été prouvé formellement. Pour ce qui est des animaux domestiques, il n’y aurait jusqu’ici pas de cas rapporté non plus. Toutefois, précisent les deux chargés de cours, un scientifique se doit d’explorer toutes les possibilités. Ils font état, par la même occasion, de la nécessité de mettre en place un réseau d’alerte entre les différentes îles de l’océan Indien.

L’étude indique qu’à Maurice l’épidémie a été favorisée par une forte pluviosité. Les deux chargés de cours concluent par ailleurs que les localités qui n’ont pas été atteintes peuvent être touchées par une épidémie à l’avenir. «Localities of Mauritius where herd immunity have not been reached may experience an epidemic recurrence in the future», disent-ils.

D’où l’importance, rappellent-ils, de contrôler la population des moustiques adultes dans la lutte contre la résurgence du virus. Ils proposent cinq mesures dont la création d’un réseau de surveillance pour alerter les autorités aussitôt qu’un cas suspect de la maladie du Chikungunya est détecté.

En deuxième lieu, ils proposent d’isoler les cas suspects, puis de retracer au plus vite les déplacements du patient. Quatrièmement, ils suggèrent d’appliquer des mesures pour éliminer les moustiques porteurs de la maladie dans un rayon d’un kilomètre dans un délai de 36 heures et en dernier lieu, souhaitent l’élimination immédiate des moustiques à l’endroit où la personne a pu être piquée.

Faisant un tour d’horizon de la situation en 2006, les deux lecturers écrivent qu’un million de personnes avaient été atteintes de la maladie du Chikungunya en 2005-2006 dans l’océan Indien et en Inde. C’est en février-mars que l’épidémie avait fait son apparition. L’objectif de cette étude, écrivent les deux lecturers, est de comprendre le développement du virus et d’enquêter sur des possibilités de résurgence de la maladie. Ils ont ainsi analysé les chiffres liés à la pluviosité, à la température et à l’humidité.

En sus de cela, ils ont fait du porte-à-porte pour étudier les mesures prises à domicile. Ils ont aussi observé qu’une pluviométrie anormale a eu lieu durant la troisième semaine de janvier 2006, soit à la veille de l’éclatement de l’épidémie. 51 % de personnes interrogées durant l’étude ont l’impression d’avoir déjà été atteintes par la maladie du Chikungunya. Ils pensent que ce sont les ressortissants originaires des Comores qui auraient introduit le virus à Maurice. En 2005, le nombre de Mauriciens infectés par la maladie se chiffrait à 3 600.

Les deux lecturers pensent que durant la période de faible pluviosité et lorsque la température est en régression, notamment entre mai et octobre, le virus a commencé à se propager lentement vers le Nord du pays. Cette situation avait été interprétée comme la fin de l’épidémie. Le pays devait connaître toutefois une «explosion» de l’épidémie vers février-mars 2006. Le Nord et le Sud-Est furent frappés sévèrement. Ils indiquent que les moustiques porteurs du virus (aedes albopictus) pondent leurs œufs dans des endroits secs en prélude d’une forte pluie. L’étude avait été entreprise auprès d’un échantillon 3 378 habitants. Quelques 691 maisons furent visitées.
Jean-denis PERMAL

Source : lexpress.mu

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Info du 21/01/2008
Suisse - Dans le bain de toutou, le canard c'est vous!
Comment procéder pour que la douche ne tourne pas au cauchemar.

Le tuba et les palmes ne sont en principe pas nécessaires pour... baigner un chien! Mais, selon l'amour que l'animal porte à la baignoire ou à la douche, un maillot de bain, ou en tout cas un vieux short, est fortement conseillé. Corvée shampoing, mode d'emploi:

- Matériel. Il vaut mieux tout préparer avant la corrida aquatique:

- Une grosse tonne - c'est Gabrielle Tenud, éducatrice canine qui le dit - de serviettes éponge «pas dommages» car, sous le coup de l'excitation, quelques dents pourraient y dessiner des trou-trous.
- Une peau de chamois idéale pour éponger toutou.
- Un tapis antiglisse, pour éviter tout dérapage.
- Un shampoing spécialement conçu pour les chiens. Question de pH, le savon pour humains, même pour bébés, est à proscrire absolument. Le risque? Devoir tondre Médor pour cause de peau endommagée, purulente et saignante! Attention, chaque chien a son shampoing: blanchissant et antioxydant pour les animaux blancs, rehaussant la couleur pour les noirs. Il existe aussi des shampoings démêlants.
-Très important: s'armer de patience et de beaucoup d'humour!
- Avant le bain. Peigner l'animal. S'il a des noeuds, de ces affreux noeuds plats indémêlables, couper simplement deux ou trois fois à travers le noeud, dans le sens du poil (résultat: un peu comme des cheveux effilés). Le peigne, ensuite, n'enlèvera que le noeud.

- Stratégie. Attirer l'animal dans la salle de bains; refermer vivement la porte sur ses talons. Pour habituer un chiot au bain, procéder tout en douceur. Lui suggérer de bondir dans le sens carrelage-baignoire plutôt que dans le sens inverse. Lui offrir une récompense quand il est dans le bac (jamais quand il est dehors, il ressortirait pour un biscuit). La première fois, ne pas le mouiller à grande eau; commencer par les pattes et remonter lentement sur le reste du corps. De manière générale, un chien restera plus calme s'il a les pattes dans un peu d'eau.
«Il accepte mieux que l'on asperge le reste quand ses coussinets sont mouillés», précise Gabrielle Tenud.

- Le bain proprement dit. Commencer par doucher (pas trop fort) l'animal, à l'eau tiède (jamais chaude). Répartir le shampoing et masser, frotter, en évitant les yeux, les oreilles, tous les orifices.

C'est là que, souvent, les choses se corsent et que toutou décide de s'ébrouer....Ne jamais s'énerver c'est contagieux ne pas éclater de rire sous l'averse mousseuse. Un «non» bien sonnant devrait lui faire comprendre que ce n'est pas le moment. Pas le moment non plus de bondir hors de la baignoire....

Après la phase savon, le rinçage. Il faut rincer, rincer....énormément, jusqu'à ce que l'eau soit parfaitement claire. Bien vérifier qu'il ne reste pas même un soupçon de mousse, en particulier sur le poitrail et sous le ventre.

«Ensuite, énonce Gabrielle Tenud, je passe le chien à la peau de chamois; c'est fou ce que ça absorbe, ce matériau-là!» Enfin, laisser la bête s'ébrouer, éclabousser son
«tortionnaire» avec bonheur....

Penser éventuellement à une récompense, mais toujours «dans» la baignoire!

Et si Médor est vraiment allergique à la baignoire, choisir la cabine de douche. Là, pas besoin de le porter! Et c'est plus doux pour le dos du maître.

- Séchage. C'est presque la fin du pensum. En été, on peut essuyer le chien avec soin, puis le laisser sortir au soleil. En hiver, quand il fait froid, il est possible d'utiliser un sèche-cheveux. Mais attention: l'air doit être à peine tiède, presque froid. Ne pas stagner au même endroit: la peau du chien brûle vite. Et comme tout le poil mort s'envole, nettoyer régulièrement l'appareil. Penser à peigner l'animal quand il est presque sec.
- A quelle fréquence? Tout dépend du chien, de son mode de vie. Mais ne pas oublier que sa peau sécrète une graisse qui, en gainant le poil, le protège de la pluie et du froid. Si certains apprécient un bain mensuel, d'autres n'en prendront que deux ou trois l'an.
BERNADETTE DELUZ

Source : http://www.tdg.ch/

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Info du 21/01/2008
Canada - Chiens errants : un danger pour le cerf

Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune rappelle à la population qu'il est interdit de laisser errer un chien dans un endroit où l'on retrouve du gros gibier.

En effet, précisons que la Loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune permet à un agent de protection de la faune d'abattre sur-le-champ tout chien errant dans un tel endroit en plus d'imposer à son propriétaire une amende d'au moins 250 $ et d'au plus 750 $.

Le ministère rapporte qu'un chien au tempérament doux, laissé sans surveillance, peut devenir un prédateur dangereux durant ses moments de vagabondage et constituer une menace sérieuse pour les animaux sauvages, en particulier pour les cerfs de Virginie.

Dans la région, « les sites concernés sont tous les endroits où l'on retrouve du cerf de virginie l'hiver à proximité de zones habitées (présence de chien en liberté). Donc actuellement avec le peu de neige c'est à beaucoup d'endroit. »

Vulnérable en hiver
Le cerf de Virginie est particulièrement vulnérable l'hiver en raison du froid, de l'épaisseur de la neige, du manque de nourriture et de l'épuisement de ses réserves de graisse. Se sentant traqué lorsqu'il est poursuivi par un chien errant, le cerf de Virginie prendra des risques souvent fatals, tels que plonger dans l'eau glacée, chuter dans des précipices, s'enfoncer dans la neige hors des sentiers, etc. Indépendamment de la durée des poursuites, celles-ci mènent souvent le cerf de Virginie, blessé et épuisé, à mourir.

Que pouvez-vous faire ?
Le ministère précise que les propriétaires de chiens doivent respecter certaines règles primaires : exercez une vigilance sur les allées et venues de votre chien ; limitez son territoire en le gardant attaché ou en enclos, plus particulièrement pendant l'hiver et le printemps ; lors de vos excursions en forêt, gardez-le en laisse ; donnez-lui les soins et la nourriture appropriés et n'abandonnez pas votre animal à son sort en pleine nature. Si vous prévoyez quitter la maison pour quelques jours, trouvez-lui un foyer d'adoption responsable ou confiez-le à la Société protectrice des animaux de Québec.

Si un ou des chiens errants se trouvent dans des secteurs où il y présence de gros gibiers, veuillez communiquer avec le service S. O. S. Braconnage au numéro sans frais 1 800 463-2191 ou avec le bureau de la protection de la faune le plus près de chez vous (http://mrnf.gouv.qc.ca/fr/faune-adres(...)). Les renseignements fournis seront traités avec la plus stricte confidentialité.
Par Alain Lavoie


Photo : Un cerf tué par des chiens ou des coyotes samedi dernier à Sainte-Anne-des-Monts. Photos courtoisie

Source : Le Riverain, Ste Anne des Monts

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Info du 21/01/2008
Algérie : 16 000 chats euthanasiés en 2007

Leur nombre serait en diminution

Alfred Hitchkok s’en inspirerait à coups sûr : des chats prolifèrent sans cesse et font planer des menaces sur la santé des citoyens. A la cité Nassim de Gué de Constantine, déjà très sale, ces félins dégradent encore plus le cadre de vie des résidants.

« C’était plus que je ne pouvais supporter. Mon fils a attrapé la chatte qui s’est installée dans notre palier puis la mise dans la malle de sa voiture pour s’en débarrasser. Mais elle a regagné ses pénates », raconte Zohra ahurie, résidante de ladite cité, qui assure vivre dans la hantise d’être agressée par cet animal qui s’est installé dans son bâtiment depuis plus de cinq ans. « Cette situation n’indispose pas outre mesure les autorités qui ont visiblement d’autres chats à fouetter », s’indigne-t-elle, affirmant que les habitants participent à cette situation « décalée » en donnant à manger aux chats ou plus grave, en laissant leurs enfants jouer avec eux. « La dernière fois, j’ai failli glisser sur un os », relève-t-elle. A en croire Mme Saïdi Bendjaballah, vétérinaire et chef de service de la fourrière d’El Harrach de l’établissement d’hygiène public (Hurbal), le nombre de chats capturés est en diminution par rapport à celui enregistré ces dernières années. « La raison est, selon elle, due au travail intense des 13 équipes mises sur pied. 16 000 chats ont été ramassés en 2007, alors que plus de 18 000 l’ont été en 2006. » Elle mettra, néanmoins, un bémol sur ces chiffres qui touchent essentiellement les chats ramassés sur la voie publique, mais qui « restent importants dans un milieu supposé urbain ». « Des sociétés nationales ou privées font appel à nos services pour ramasser les chats qui rôdent surtout dans les cantines. Les chats capturés ne sont pas alors décomptés », insiste la responsable de la seule fourrière opérationnelle d’Algérie. Aussi le travail des agents de l’Epic de la wilaya n’est guère une sinécure : « Des opérations sont menées régulièrement pour la capture des animaux errants. Les citoyens s’y opposent souvent. La preuve est qu’un de nos agents a été agressé par un citoyen à Diar El Kef, qui l’a empêché de mettre en cage deux chiens, prétendant qu’ils étaient les siens », insiste Mme Bendjaballah. Des plaintes sont déposées en ce sens, « mais qui sont sans aucune conséquence, puisque les mêmes scènes violentes se répètent. On est souvent dans l’obligation de se faire accompagner par des policiers ». Les méthodes utilisées comme les filets pour la capture de ces animaux ne sont pas concluantes. La responsable de la fourrière assure qu’il n’est pas possible de garder longtemps en captivité les chats, au contraire des chiens. « Les félins enfermés boudent la nourriture et sont euthanasiés dans les 72 heures », indique-t-elle, en expliquant que les chats ne souffrent pas de ce traitement. « J’y tiens beaucoup, car je suis moi-même vétérinaire de formation et j’aime beaucoup les animaux », tient-elle à assurer. Un seul cas de rage dû à un chat a été enregistré en 2007. « Ce cas a été enregistré à Réghaïa. Il s’agissait, précise-t-elle, d’un chat d’appartement. » Chez nous, les adoptions sont inexistantes. « Rares sont les gens qui viennent dans notre fourrière d’El Harrach pour récupérer ou adopter un chat. Seule une dizaine d’adoptions de chiens ont été signalées. » atteste la vétérinaire. En cas de plainte de citoyens, les équipes sont, par ailleurs, alertées, et c’est l’Apc qui approuve le déplacement. « Pour la commune de Gué de Constantine, nos équipes se déplacent le mercredi », déclare la directrice, en assurant que les plaintes peuvent être enregistrées au niveau des bureaux d’hygiène communaux (BCH), ou alors « les plaignants peuvent s’adresser directement à l’établissement au numéro 021 51 49 37 », affirme-t-elle.

Nadir Iddir

Source : El Watan

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Info du 20/01/2008
Suisse- Chablais- Bex : Le Copain remet six nouveaux chiensChablais

Appolo, Bunny, Betsi, Bambi, Brasil et Baika. Depuis samedi, ces six chiens accompagnent leur nouveau maître sur le chemin de l'indépendance. Le Copain (Association suisse d'éducation de chiens d'assistance pour personnes handicapées au plan moteur) a procédé à Bex à sa 26e remise de chiens. «Un samedi des pleurs, comme d'habitude, pour les familles d'accueil qui doivent remettre un chien qui leur a été confié durant douze mois alors que ce n'était qu'un chiot», souligne le président de l’association basée à Granges (VS) Daniel Défago.

Active depuis 15 ans, l'association Le Copain a déjà remis plus de 190 chiens à des personnes handicapées. Ils les aident dans des tâches diverses comme ramasser les objets sur le sol, apporter des objets (téléphone sans fil par exemple), ouvrir et fermer les portes, allumer et éteindre la lumière…
Samedi, l'association a par ailleurs reçu un chèque de 20000 francs. Une somme réunie par les 2500 collaborateurs de la Suva qui, depuis huit ans, renoncent à leur traditionnel cadeau de fin d’année au profit d’un don à une œuvre caritative. JF
Source : http://www.lenouvelliste.ch

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Info du 26/01/2008
Etats-Unis - Les animaux domestiques victimes des subprimes
Après les banques, les établissements de crédits et surtout les milliers de familles contraintes de quitter des maisons qu’elles ne sont plus en mesure de payer, la crise des subprimes révèle de nouvelles victimes : les chiens et les chats.

Aux Etats-Unis, des milliers de maisons sont désertées alors que les refuges pour animaux se remplissent. Il y a bien là un lien de cause à effet : la crise des subprimes a contraint de nombreux propriétaires à laisser derrières eux leurs animaux de compagnie.

Victimes collatérales de la crise des subprimes, les animaux domestiques sont de plus en plus nombreux dans les refuges des Etats-Unis, leurs propriétaires devant s’en séparer après avoir été expulsés de leur logement. Pire encore, ce phénomène entraine l’abandon de nombreux chiens et chats dans les maisons désertées. «Nous retrouvons beaucoup trop d’animaux affamés», déplore Stephanie Shain, de l’organisation Human society of the United States, expliquant que certains restent des semaines dans les maisons abandonnées avant de mourir affamés. «Ils mangent n’importe quoi – des meubles, un tapis, un tableau – pour tenter d’ingérer quelque chose».

Au cours des 11 premiers mois de l’année 2007, près de deux millions de familles ont été contraintes de quitter leurs logements à cause de la crise des subprimes.
Source : http://batiactu.com


...............................;
Human society of the United States
http://www.hsus.org/

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Info du 26/01/2008
Canada -Québec - Des chiens saisis par ANIMA-Québec ont besoin d'un nouveau foyer!
ANIMA-Québec annonce aujourd'hui la mise en adoption de chiens saisis en novembre 2007 à St-Paul-de-la-Croix.
Dès leur prise en charge, par ANIMA-Québec, les chiens ont été hébergés au Centre Le Berger Blanc de Montréal et examinés par un médecin vétérinaire.
Les animaux ont reçu les soins et les traitements nécessaires selon les diagnostics prononcés.
ANIMA-Québec recherche des propriétaires aimants et responsables, prêts à s'engager à assurer leur bien-être et leur sécurité. Toute personne intéressée
à adopter un chien doit se présenter à la succursale du Centre Le Berger Blanc
située au 914 Cunard à Laval aux heures et jours suivants :
le vendredi25 janvier de 15h00 à 20h00
et les samedi et dimanche 26 et 27 janvier de midi
à 18h00.
Des frais d'adoption de 50 $ par chien seront demandés (argent comptant seulement).
ANIMA-Québec tient à remercier le personnel du Centre le Berger Blanc et de la Clinique vétérinaire de l'Ile Jésus, pour la qualité de l'hébergement et
des soins apportés à ces animaux.

L'Association nationale d'intervention pour le mieux-être des animaux, ANIMA-Québec, est un organisme à but non lucratif dont la mission est de
veiller à la sécurité et au bien-être des chiens et des chats du Québec par des activités d'inspection, d'éducation et de formation.

Renseignements: Véronique Langlois, Directrice générale, (418) 688-1771,
1-866-321-1771, Cel: (418) 931-0379


Source : ANIMA-QUEBEC

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Info du 26/01/2008
Canada - Toronto : La rage aux puces

Les autorités de la santé publique de Toronto lancent une vaste campagne pour contrer la propagation de la rage.

Deux chiots sont récemment morts de la maladie dans le marché aux puces Dr Flea's au nord de Toronto où ils étaient en vente. Les autorités demandent à tous ceux qui ont été en contact avec des canins à cet endroit depuis le 5 janvier de les contacter.

Les autorités de la santé tentent maintenant de retrouver les autres chiens qui étaient dans la même cage du marché aux puces. Les bêtes proviennent d'un chenil du comté de Grey-Bruce.

La rage est mortelle et son virus est transmissible par la salive, mais sa période d'incubation est très longue. Jusqu'à maintenant, plus de 200 personnes ont contacté les autorités parce qu'elles auraient été en contact avec des chiots possiblement atteints de la rage.

L'hygiéniste adjointe en chef de Toronto, Rosana Pellizzari, précise que les animaux devraient toujours être achetés dans des chenils homologués. Cette précaution permet de connaître leur passé médical et la fiabilité de l'éleveur. Un vaccin permet d'ailleurs d'immuniser les chiens contre la rage.

Source : La Tribune

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Info du 25/01/2008
Canada - Thérapeutes à poils cherchent familles d’accueil

Ils arrivent à 7h30 ou 8h pour le déposer. Ils repassent en fin de journée pour le reprendre. Des parents qui amènent Junior à la garderie ? Pas du tout. Des bénévoles qui ont décidé se s'engager auprès de Zoothérapie Québec en devenant famille d'accueil pour un thérapeute poilu qui se déplace à quatre pattes !

C'est le psychologue américain Boris Levinson qui, à la fin des années 1950, s'est intéressé au rôle bénéfique de l'animal auprès de personnes vulnérables, des personnes malades, en perte d'autonomie. Fondé en 1988, l'organisme Zoothérapie Québec offre des programmes d’intervention et de prévention où l’animal de compagnie est utilisé comme agent de stimulation, de motivation et de renforcement auprès de gens de tous âges et de toutes conditions : des aînés, des enfants handicapés, etc. En 2007, l'organisme situé dans Villeray a desservi 74 établissements, explique la directrice des activités clinique chez Zoothérapie Québec, Annie Bernatchez.

«Le chien est notre instrument de travail», indique Mme Bernatchez. L'équipe de thérapeutes est constituée de plus d'une trentaine de bêtes de race et de gabarit divers. Il y a du roulement. Des chiens «prennent leur retraite». Des familles d'accueil déménagent. On fait l'acquisition de nouvelles bêtes pour répondre aux besoins croissants. Or, l'organisme n'est pas un chenil. Il a donc un constant besoin de familles d'accueil.

Rien de parfait en ce bas monde ? Pas sûr. Quand on est famille d’accueil, on bénéficie de la présence du chien mis en adoption le soir et le week-end. On s'engage à le mettre à la disposition de l’organisme pour ses heures de travail du lundi au vendredi, généralement de 9h à 17h. En échange, Zoothérapie Québec s’engage à assumer les dépenses reliées à son entretien : nourriture, entraînement, toilettage, soins vétérinaires. L'organisme offre aussi du support 24 heures sur 24, des cours d'éducation canine, etc.

Des familles sont engagées depuis plusieurs années. «On a des gens très stables qui nous entourent», souligne Mme Bernatchez. C'est le cas de Régis Laforest et François Ross, famille d'accueil depuis sept ans.

En 2001, la sœur de M. Laforest est devenue famille d'accueil pour Lancelot, un sympathique terrier blanc aujourd'hui âgé de 7 ans. Au bout d'un moment, ne pouvant plus s'en occuper, Régis et François ont décidé de prendre le relais. «C'était l'occasion d'avoir un westie pure race sans frais !», disent-ils. Le bonheur. «Lancelot s'est inséré facilement dans notre quotidien», signale François Ross. Une expérience heureuse au point où la famille s'est agrandie peu de temps après avec Kelly, une jeune chienne – un cairn terrier, ancêtre du terrier blanc – âgée de 5 ans.

Pour Régis Laforest, le rôle de famille d'accueil n'a que des avantages. Il souligne particulièrement le fait que l'animal est pris en charge durant la journée alors que tout le monde est au boulot. «Sinon, le chien serait enfermé toute la journée», dit-il.

«Ç'a pris énormément de place dans notre vie. On y trouve notre compte», lance François Ross avec un large sourire.

Le plaisir que procure la présence de ces compagnons, c'est déjà quelque chose en soi, s'entendent pour dire Régis et François. Et quand on ajoute à cela le fait qu'il s'agit de chiens qui servent d'outils thérapeutiques afin d’augmenter le bien-être de personnes handicapées physiquement ou intellectuellement, de personnes âgées en perte d’autonomie ou esseulées, de personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale… «C'est un plus. On a énormément de fierté», signale François Ross.
par André Desroches

Pour toute information, on appelle au 514 279-4747, on écrit à zooq@zootherapiequebec.ca ou on visite le http://zootherapiequebec.ca.

Photo :
Lancelot et Kelly, deux thérapeutes à quatre pattes de Zoothérapie Québec qui ont trouvé une famille d'accueil chez François Ross et Régis Laforest. (Photo: Jacques Pharand)
Source : http://www.leprogresvilleray.c(...)

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Info du 24/01/2008
ÉTATS-UNIS - petit chien réanimé deux fois aux urgences

Le petit chien a été réanimé deux fois aux urgences vétérinaires en quelques semaines.

Le caniche de moins de 1 kilo avait reçu sur la tête une casserole pleine de nourriture, alors que son maître Joe Stapleton, anesthésiste à Lake Oswego, préparait la fête de Thangksgiving. Le coeur et la respiration de la petite femelle s'étaient alors arrêtés. Alors que sa femme Roxanne conduisait leur voiture jusqu'aux urgences, Joe Stapleton avait alors prodigué un massage cardiaque à son chien de 1 an, lui sauvant la vie.

Le jour où son histoire sortait dans les journaux américains, début janvier, lorsque le médecin est arrivé chez lui, la petite «Mango» s'est précipitée sur lui pour l'accueillir, a relaté hier le «Seattle Times». Mais en sautant par-dessus un obstacle, elle a fait une mauvaise réception et s'est évanouie.

Ni une ni deux, les Stapleton sont repartis pour les urgences, tout pratiquant un massage cardio-respiratoire à l'animal. Le caniche a ensuite passé la nuit à l'hôpital, avec une intraveineuse et un masque à oxygène.

Depuis, «Mango» est retournée chez ses maîtres. Mais pour protéger son crâne fragile de tout nouveau choc, elle porte un casque, rose naturellement...

Photo : Avec son nouveau casque rose, «Mango» est prête à recevoir n'importe quoi sur la tête en 2008!
Source : LeMatin.online

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Info du 29/01/2008
Suisse - Les Suisses contre le déterrage des renards et blaireaux

Les Suisses désapprouvent la traque de renards et de blaireaux dans leur terrier à l'aide de chiens. Selon un sondage mandaté par la Protection suisse des animaux, 70,6% des personnes interrogées sont pour l'interdiction, 22,4% sont pour le maintien.

Il est temps d'abolir ce type de chasse "dépassé, inutile et cruel", indique la PSA. La traque dans les terriers, appelée déterrage, entraîne de sanglants combats lors desquels les animaux, chiens comme bête traquée, se blessent grièvement.

Il n'y a aucune raison de lâcher des chiens contre les proies de telle manière, poursuit la PSA. Si les effectifs doivent être réduits, il faut que cela se fasse dans le respect des animaux. Le Conseil d'Etat bernois montre le bon exemple en voulant abolir le déterrage dans la révision de la loi sur la chasse, souligne le communiqué.

Le sondage a été réalisé par l'institut d'études de marché IHA-GfK auprès de 1000 personnes de toute la Suisse.
Source : Romandie News

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Info du 29/01/2008
Suisse - Baby-sitters pour chiens en plein boom


Tiercare propose des dogy-sitters qui prennent en charge «Médor» quand son maître doit s'absenter. De plus en plus de citadins font appel à ce genre de services
«Nous avons de la peine à suivre la demande. Avant, nous devions trouver du personnel qui prenait en charge les animaux domestiques uniquement pendant les vacances. Aujourd'hui, de plus en plus de citadins font appel à nos services pour s'occuper de leur bête chaque jour de la semaine.» Pour José Gsell, 55 ans, le patron de Tiercare, une société de services zougoise présente dans toute la Suisse alémanique et consacrée aux meilleurs amis de l'homme, les temps changent. «Nous avons une dizaine de nouvelles demandes chaque jour.»

Si Tiercare se vante de s'occuper avec amour de votre python ou de votre hamster, mais pas les deux à la fois, la clientèle majoritaire se recrute parmi les propriétaires de chiens et de chats. «Pour les toutous, nous organisons plusieurs types de services: nous confions par exemple l'animal à l'une de nos personnes de confiance qui va le prendre en charge chez lui et le promener une ou deux fois par jour selon l'arrangement conclu avec le propriétaire.» Mais Tiercare va encore plus loin: des «dogy-sitters» de confiance s'installent volontiers à votre domicile pendant vos absences prolongées. «L'avantage: des maisons ne sont pas abandonnées pendant les vacances et laissées à la merci des cambrioleurs.»

José Gsell estime aussi que son service rend les chiens plus aimables. «Une bête dont on s'occupe pendant la journée et qui a déjà fait une promenade développera nettement moins d'agressivité qu'une autre enfermée dans un appartement pendant que son maître travaille à l'extérieur.»

L'engouement pour Tiercare permet à José Gsell d'envisager de franchir la barrière de rösti dans un proche avenir. «Je cherche actuellement un associé bilingue.» Reste que les services de Tiercare ne sont pas destinés aux fauchés. Un «dogy-sitter» à domicile pendant les vacances vous revient à plus de 2200 francs pour un mois. Mais l'ami des bêtes qui va vivre chez vous va aussi arroser vos plantes vertes.

Photo : Heidi Huber, une des personnes de confiance de Tiercare, promène deux chiens confiés à la société de services par leurs propriétaires
Source : LeMatinonline

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Info du 27/01/2008
Euthanasie de chiens à Châteauroux : Mise au point de la SPA !
Euthanasie de chiens à Châteauroux : Mise au point de la SPA !

La Société Protectrice des Animaux, dont le siège social est à Paris tient à préciser que le refuge situé à Châteauroux et ce qui s'y passe, ne dépend en aucun cas de ses structures.

En effet, la SPA a été créée en 1845 et gère 58 refuges et 12 dispensaires répartis sur l'ensemble du territoire national. Elle prend en charge l'intégralité des frais qui incombent à ses refuges : nourriture, soins vétérinaires, constructions, rénovations, salaires, communication. Le refuge de Châteauroux n'en fait pas partie.

Une autre association, la Confédération Nationale des SPA, née en 1926 et présidée par Anne-Marie HASSON se contente d'affilier 250 refuges. Son action consiste à gérer les legs et dons reçus et à les reverser aux refuges désignés par les donateurs, diminués d'un pourcentage qu'elle s'octroie.

Chaque refuge de la CNSPA est totalement indépendant dans son organisation, gestion et mode de financement.

La SPA ne souhaite pas qu'un amalgame soit fait entre elle et cette Confédération Nationale des SPA.

Il est à noter que la SPA a eu, par le passé, à reprendre des refuges affiliés à la Confédération Nationale des SPA, qui ne pouvait plus financièrement faire face.

Nous tenons également à indiquer que la SPA, née en 1845, ne vit que de la générosité du public et ne perçoit aucune subvention.

Source : SPA


Source : protection-des-animaux.org

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Info du 30/01/2008
Il assigne la SPA en justice
L’ami des animaux les aimait-il vraiment ?

Lors de son entrée à l’hôpital, Jacques d’Hoze, résidant dans l’Indre, propriétaire de 62 chiens, confie ses bêtes à la SPA de Montierchaume le 11 décembre 2007. C’est le début du cauchemar pour la Société protectrice des animaux.

Jacques d’Hoze, habitant de La Vernelle, dans l’Indre, élevait 62 chiens jusqu’au mois de décembre 2007. L’homme se dit « passionné par les chiens », comme il le confie au quotidien La Nouvelle République. Hospitalisé le 7 décembre dernier, il se tourne vers la SPA de Montierchaume pour « confier » ses chiens. A sa sortie d’hôpital, M. d’Hoze décide de les récupérer. Surprise : 44 de ses bêtes ont été euthanasiées par la SPA.

Une lettre accablante
Contre toute attente, cette histoire, qui a mobilisé les amis des animaux, se révèle entièrement erronée. Preuve à l’appui, M. Berlet, président de la SPA de Montierchaume, infirme cette accusation. « M. d’Hoze, hospitalisé, a fait écrire par son ex-femme, le 11 décembre 2007, une lettre dont une copie est en notre possession, déclarant : “Je soussigné, d’Hoze Jacques, actuellement hospitalisé (…) pour l’amputation d’une partie de la main gauche, autorise la SPA de Montierchaume à venir chercher mes chiens (…) pour les mettre en adoption. Ainsi qu’à euthanasier les chiens qui se trouvent en fin de vie.” »

Poursuivi en Belgique
Jacques d’Hoze habitait il y a quelques années à Tournai, en Belgique, où il avait 70 chiens. Les huissiers de justice avaient demandé la saisie des animaux et sur place ce fut la consternation. Une attestation de la SPA de Tournai stipule : « Nous avons pu constater que seuls une quinzaine de chiens étaient dans la maison, au moins cinq d’entre eux étaient confinés dans des cages sans eau ni nourriture. (…) Dans le hangar se tenaient des chiens (…) tous dans la pénombre, confinés par groupes dans des cages de transport sans eau ni nourriture. » Sabine Tomme, vétérinaire à la SPA de Tournai, déclare dans un certificat : « Tous les chiens sont atteints de la gale auriculaire. » Drôle de comportement pour un ami des animaux. La justice tranchera bientôt.
Magali Vogel
Source : FranceSoir.fr

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