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Admin-eleveurcanin

ESPAGNE: On m’appelle « Rally »

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URGENT : On m’appelle « Rally », non parce que je suis véloce mais parce qu’on m’a trouvé abandonné sur l’autoroute, tout seul au beau milieu des voitures qui passaient à toute vitesse… Je pèse deux kilos et j’ai neuf ans. Si vous voulez m’adopter, appelez le 93 417 01 24.

Rally cherche une famille d'accueil

Des appels à l’aide comme celui de ce petit chien dont vous voyez la photo, il y en a plus d’une centaine sur la page Internet de la Protectora de Animales de Barcelone .
Depuis 50 ans, la Ligue Protectrice des Animaux de Barcelone se charge de recueillir et protéger les chiens et chats abandonnés. Fonctionnant entièrement grâce à des bénévoles, aux dons et aux parrainages, le refuge accueille plus de 100 chiens et 250 chats trouvés dans la rue, parfois maltraités ou simplement déposés devant l’entrée de la Protectora par des maîtres qui ne voulaient plus d’eux…
« La première cause d’abandon est la grossesse, nous raconte Laïa, une des responsables du refuge. Pas la grossesse du chien ou du chat, non, celle de la propriétaire de l’animal qui, une fois enceinte d’un enfant ne veut plus de l’animal qu’elle considérait pourtant il y a peu comme son « bébé ». Viennent ensuite les allergies et les séparations de couple.
Ce sont ainsi entre 30 et 40 chiens et chats qui sont accueillis chaque mois au refuge. « Heureusement, nous explique Laïa, il y a à peu près autant d’animaux adoptés dans ce même temps car nous sommes toujours au maximum des capacités d’accueil du refuge. »
Chaque adoption fait donc le bonheur de deux animaux. Celui qui est adopté bien sûr, mais aussi celui qui pourra être accueillit au refuge du fait de la place libérée.
Les animaux sont remis après une visite vétérinaire d’usage qui a lieu à l’infirmerie de la Protectora, ils sont tous déparasités, vaccinés et stérilisés.

Et si vous ne pouvez pas adopter, il y a d’autres manières d’aider
En attendant l’adoption de ses animaux, le refuge a besoin d’aide pour nourrir, soigner, promener et tout simplement redonner un peu d’amour et le goût à la vie à ces chiens et ces chats abandonnés, parfois dans des conditions extrêmes.
Le principal problème du refuge est financier : pas évident d’acheter de la nourriture, des vaccins et tout ce dont ont besoin les animaux en fonctionnant uniquement grâce à la générosité des donateurs. La Protectora de Animales de Barcelone est donc en permanence en recherche de financements, sous la forme de dons (déductibles de la déclaration de Hacienda) ou de parrainage d’entreprises ou de particuliers.
Mais outre les dons financiers, ce sont aussi les dons de temps et d’amour de la soixantaine de personnes bénévoles qui se relaient, venant en moyenne une fois par semaine nettoyer les cages, nourrir les animaux et promener les chiens, qui permet au refuge de fonctionner.
Elodie REGERAT (http://lepetitjournal.com - Barcelone) jeudi 29 mai 2008

Protectora de Animales y Plantas de Barcelona
C/ Guarda Anton n°10 08035 - Barcelona - (bus n°95, Ferrocarril « Avinguda del Tibidabo » ou métro L3 « Penitents »)
Tel: 93.417.01.24 Fax: 93.418.83.99 email : info@protectorabcn.com http://protectorabcn.com

Photo : Rally cherche une famille d'accueil Source : LePetitJournal.com

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on pourrait peut être commencer par les notres, non ?
mais c'est une bonne info, merci

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l'idée de marie33113 est bonne ,mais il a l'air si trognon ce pauvre petit chien !!!!!!

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ils sont trognons aussi, les notres ....... et comme dit l'autre : charité bien ordonnée......

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L'ESPAGNE a très mauvaise réputation en ce qui concerne la protection animale .
Les galgos et autres chiens ( et chiots ) torturés, abandonnés et maltraités par des sadiques ( enfants compris ) ne sont pas une légende .
On peut le vérifier TOUS LES JOURS sur les nombreux sites de " rescue " de galgos espagnols .
MAIS ...
Il ne faut pas généraliser ce qui se passe dans l'Espagne profonde ( plus on va vers le Sud, pire c'est ) et ce qui se passe ( par exemple ) en CATALOGNE ( Barcelone fait partie de cette province ) où l'animal de compagnie est traité à peu près comme en France .

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