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missreptiles1

Où trouver à manger pour une jeune couleuvre de montpellier?

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Bonjour , j'ai trouver une couleuvre de montpellier (elle est encore très jeune )

et je ne c'est pas quoi lui donner à manger ?!!

au début on lui avez acheter des crickers mort elle en voulait pas alors

on lui a attrapé des vivant elle les a pas mangé puit on lui a donné une araignai vivante et elle non plus elle la pas

manger je ne sais plus quoi faire !

on ma dit qu'elle mangerai peut etre des lézards vivant mais où je trouve sa !!??????

s'il vous plait aidez moi !!!!!

sa fait une semain quel a pas manger je m'inquiéte :'( !

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Malheureusement la plupart des membre du forum ne pourrons pas t'aider, car le forum est un forum Québecois. Je te souhaite bonne chance ceci-dit.

Mathieu

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tu pourrais essayer des bébé souris on ne sait jamais. Ou du moins des rongeur de taille adapté. Sinon je te dirais de la remettre ou tu l'a trouver. De plus ce sont des serpent venimeux au cas ou tu ne le saurais pas.

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Étant un animal de ton pays, tu ne peux pas la maintenir en captivité, c'est illégale de la garder.(surtout si en plus elle est venimeuse)



Et pour le bien de l'animal, elle serait mieux dehors dans son propre habitat ...



mais je mis connais pas foul ne serpent, mais sa dois manger des petit rongeur aussi ...

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La Couleuvre de
Montpellier
(Malpolon monspessulanus)


Couleuvre
de Montpellier, mâle.
Environs de
Montpellier, Hérault , France

Couleuvre
de Montpellier, femelle.
Environs de Fort Bou-Jérif, Maroc




Couleuvre
de Montpellier, juvénile.
Hérault, France
Couleuvre
de Montpellier, mâle. Sous espèce Malpolon m. saharatlanticus. Bou-Jérif
, environs de Guelmin,


Noms usuels : Français
: Couleuvre de
Montpellier
- Anglais :
Montpellier
Snake
- Allemand : Europaïsche
Eidechsennatter
- Arabe
: Hanech aswad, Egypte.



Description
: Ce
très beau serpent présente un dimorphisme sexuel
important : les femelles toujours plus petites sont de couleur marron
clair, avec des taches noirâtres et blanchâtres, alors que
les mâles sont d'un vert olive clair ou foncé avec une
rangée latérale d'écailles noires et
bleutées. Dans les régions sahariennes, la selle noire
caractéristique des mâles, présente en
arrière de leur cou, s'étend sur la presque
totalité du corps. Les mâles de ce grand serpent à
fière allure dépassent
parfois, bien que très rarement, les 2 m (au Maroc elle
atteint
exceptionnellement 2,17m).



Biologie : Très
rapide, elle chasse généralement à vue et se
nourrit d'autres serpents, de lézards, d'oiseaux, de petits
mammifères qui peuvent être de la taille de lapereaux chez
les grands individus. Opistoglyphe,
c'est à dire possédant des crochets à venin
situés à l'arrière de la mâchoire
supérieure, elle peut tuer ses proies en les
maintenant fermement dans sa gueule pendant quelques minutes. Cependant, du
fait
même de la position de ses crochets qu'il ne peut par ailleurs
redresser,
ce serpent est inoffensif pour l'homme comme en témoignent
les innombrables
morsures qui auraient pu être évitées et que je comptabilise à l'occasion
de nombreuses
manipulations1). Une
seule avait provoqué une envenimation qui n’avait produit qu’un
léger gonflement de la partie mordue, phénomène
qui disparut
au bout d’une ou deux
heures. Cette envenimation avait été rendue possible
parce que la morsure avait été particulièrement
prolongée (le serpent avait maintenu et avalé le doigt
pendant plusieurs minutes et je l'avais laissé faire...), chose
impossible lors de morsures normales qui sont de l'ordre d'une seconde
ou d'une fraction de seconde...









L'accouplement a lieu vers avril et mai
et la ponte de quatre
à dix-huit oeufs ovales fin juin, juillet ou
août. L'éclosion se produit vers août,
septembre et octobre. Les couleuvreaux mesureront alors environ 22
à 33 cm. L'espérance de vie des mâles comme des
femelles varie entre 5 et 20 ans. Le mâle jeûne
pendant les mois de mai et de juin et défend, escorte et assiste
la femelle pendant la chasse.
Le couple formé est fidèle, mais peut accueillir un ou
plusieurs mâles vassaux ou encore dominer d'autres couples.



Répartition : Contrairement
à son derivatio nominis,
la Couleuvre de Montpellier (Malpolon
monspessulanus
) est
répandue bien au-delà de la
ville qui lui a donné son nom. Originaire d'Afrique, on la
retrouve sur presque tout le pourtour de la méditerranée,
de l'Afrique du Nord
à la péninsule
Ibérique
en passant par le sud de la France et ce jusqu'en Iran, exceptée
dans la péninsule italienne. Elle parvient même sous la forme de
la sous-espèce Malpolon
monspessulanus saharatlanticus
à
pénétrer l'étage saharien en profondeur ( au
Maroc, elle descend jusqu'à Dakhla).



Conservation : En France, cette espèce
court la malchance de subir les
préjugés moyenâgeux qui sévissent à
l'égard des
serpents et notamment à son encontre. Sur Internet, par ex., on
peut trouver des affirmations qui ridiculisent leurs auteurs : la
"vipère" de Montpellier, comme la qualifie certains, serait
"dangereuse" pour les chiens et même les chevaux (sic!), alors
qu'en réalité il lui arrive d'être la victime des
chiens et des chats. Elle est
en outre fortement exposée à une circulation automobile
abusive qui
provoque de nombreuses victimes. De surcroît, la fermeture des
milieux par la disparition progressive des milieux ouverts menace son
habitat.
Au Maroc, elle est un des objets de convoitise
préférés des montreurs
de serpents, lesquels s’approvisionnent auprès des chasseurs
spécialisés
que sont les Aïssaoua et autres trafiquants qui vont
jusqu’à entasser
une soixantaine d’exemplaires dans une pièce
où les plus grands spécimens n’ont plus comme recours
pour survivre temporairement que
le cannibalisme au détriment de leurs congénères
plus petits. Une fois
sur ce haut lieu du tourisme qu’est la place Jemaa-El-Fna de
Marrakech, je remarquais qu’une Couleuvre de Montpellier,
laquelle avait été
passée sans ménagement autour du cou d’une touriste
italienne, vivait
ses dernières heures. Surmontant mon indignation face à
tant
d'inconscience de la part de cette femme et de cruauté de la
part du montreur de serpents et motivé par mon désir de
lui expliquer
que l’animal
avec lequel elle s’était faite grandiosement
photographiée était
moribond, j'allais voir la touriste. Dans l'espoir de l’aider
à
comprendre
qu’il ne fallait pas encourager ce genre de pratiques aussi
antiécologiques qu'insensibles. A mon grand dépit, elle
me
rétorqua avec ce
qui ne peut être qualifié autrement que d'incommensurable
stupidité : « Mais c’est la vie ! »
Heureusement, bien des personnes informées réagissent
plus intelligemment...








Cette
espèce, ainsi que les autres espèces de
serpents du Maroc, devrait
bénéficier d'aussi urgentes
que
rigoureuses mesures de protection, interdisant leur capture et leur
commercialisation
Dans le sud de la France, il faudrait
édifier des barrières à des points cruciaux entre
passage de la Couleuvre de Montpellier et trafic routier et
créer des "serpenducs" à l'exemple des crapauducs,
de
notoriété méritée. Ces canaux
creusés sous la route permettraient le passage des serpents et
autres espèces...

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