L'OPHIDIEN 0 Posté(e) le 1 février 2014 Bonjour a tous je voulais partager quelques fait intéressant sur les reptiles et amphibiens du QC voir même citadin puisqu'ils se retrouvent en pleine ville parfois juste au milieu de nos activités quotidienne. Afin de démontrer la force de la nature même si l'homme détruit leur habitat ces petit être qui se sont fait de plus en plus rare aux fils des années semble vivre un certain essor, ces animaux très coriace trouve quand même le force de survivre et de se propager. sur le site de mon travail du secteur industriel du cartier Ahuntsic-Cartierville, j'ai retrouver par hasard sous les débris de fer de ma compagnie plusieurs colonies de salamandre cendres, plusieurs couleuvres rayes et de couleuvres brunes se qui laisse croire qu'ils finissent par s'adapter a leur nouveaux environnement imposer par l'homme et ses expansions. maintenant il reste a nous de faire que ces espèces précieuses du QC ne disparaisses pas de protéger ces petits sites inusités et en s'éfforçant de les relocaliser délicatement et soigneusement afin de contribuer a leur survie et leur prospérité. Pour l'été 2014 je vais prendre diverses photos et je vais les publier. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
MathieuP 0 Posté(e) le 1 février 2014 Aumoins une bonne nouvelle Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
diadophis1 0 Posté(e) le 2 février 2014 L'OPHIDIEN a écrit:....et en s'éfforçant de les relocaliser délicatement et soigneusement afin de contribuer a leur survie et leur prospérité...... Non, la relocalisation n'est pas la solution, la conservation est a prioriser ! Les cas de relocalisation sont très peu documentés en herpétologie et encore moins au Québec. Cela fonctionne parfois et d'autres fois c'est un échec total. Il y a différents paramètres qui peuvent mener à l'échec en plus de la transmission de pathogène et d'un paquet d'autres problèmes.Pour ce qui est de l'adaptation, dépendamment de différents facteurs, certaines espèces vont survivre un bout de temps en milieu extrêmement perturbé (en particulier la couleuvre brune), mais leur situation peut se dégrader facilement et rapidement. Notons également les risques de dépression consanguine si le site est très isolé et/ou la diversité génétique est faible. Le mieux à faire est de tenter de conserver cet endroit tel qu'il est et d'envoyer tes observations à l'atlas des amphibiens et reptiles du Québec ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
L'OPHIDIEN 0 Posté(e) le 2 février 2014 je suis absolument catégorique sur le fait de conserver l'habitat naturel tel qu' il est. mais quand l'humain s'établie dans des lieux les dégâts sont souvent irréversibles, Alors créer des habitats de fortunes semble être une solution a se dilemme, alors au lieu de décimer toute les petites populations aux grand complets ils auront une chance de poursuivre un cycle de vie et cela même sil n'est pas tout a fait naturel et que certains ne puisse survive Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
diadophis1 0 Posté(e) le 2 février 2014 Comptais-tu faire de la relocalisation ? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Eniel1 0 Posté(e) le 3 février 2014 Diadophis a parfaitement résumé la situation. Effectivement, la relocalisation n'est pas la solution. Je dirais même que ça encouragerait la destruction d'habitat en la banalisant. " Pas grave si on construit là, on peut relocaliser les animaux ailleurs". Tu viens de leur donner une maudite bonne raison de se foutre des habitat et de construire ou ils le veulent, sans passer pour des méchants. Le tout même si la relocalisation est un échec totale. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
bistrobob85111 0 Posté(e) le 3 février 2014 Effectivement, les bienfaits de la relocalisation sont plus qu'incertains... D'ailleurs, c'est un sujet qui est revenu vraiment souvent ces derniers temps dans les médias (voir autre post sur la couleuvre brune...). Je fais ma maîtrise sur cette espèce et on m'a questionné souvent ces temps-ci sur le sujet à la radio et pour les journaux. On en a parlé un peu pendant une entrevue à radio Ville-Marie, voici le lien : http://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/2014/01/21/limpact-pont-champlain-lenvironnementNon seulement relocaliser des couleuvres les tue probablement autant que de les détruire avec leur habitat, mais ça laisse une fausse impression de faire de la conservation alors que les centaines d'espèces (plantes, insectes, oiseaux, mammifères...) qu'on retrouve dans le même habitat disparaissent. phil. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
ziachm 0 Posté(e) le 17 septembre 2014 bonne nouvelle Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites