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RAF-nacannonce

L'histoire des serpents

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Le premier python reticulatus forme tiger

Le premier python reticulatus forme tiger a étais trouver dans la nature.
malheureusement personne ne connais avec certitude la position géographique précise du lieu de capture.
Mes en 1991 Karl Hermann , vivant alors dans le Minnesota rachète se mâle a un collectionneur privé.
Il a alors les caractéristiques suivante:
un dessin qui parais reproduit tous le long des flancs . Les dessins blanc se trouvant sur les coter sont également plus grand et de forme plus allongés, la ligne médiane foncée se trouvant sur les pythons de la même espèce est absente au niveau des yeux.
Le dessus du serpent est d'un motif presque unis.

La première reproduction vue le jour en 1993, la moitié des serpents éclos portais alors la robe du pere.
Se jour la karl Hermann, donnais le nom de tigre a cette nouvelle phase de python reticulatus.

Tous le monde fus surpris de voir des la première éclosion des juvéniles identique a leur pere.car a cette epoque les mutations connus etait plutôt de type récessif et par conséquent les jeunes issue de première générations aurais du dans la logique des choses, être d'apparence normale et possible hétérozygote.
A condition qu en seconde génération certains jeunes donne le jours a des bb portant la robe du grand pere.
Au fur et a mesure des multiplication les bb sont apparues avec les dessin du tigre, mes avec des motif parfois assez différents.
Deux ans plus tard, l'accouplement avec deux tigre eu lieu et de cet accouplement apparure les premier super tigre .

Le gène initial etait donc co-dominant.

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Le premier Boa constrictor imperator "albinos"

Le boa constricteur Albino a été élevé par Peter Kahl. Pour cette raison, il est appelé Albino original ou Albino Kahl.

La plupart des albinos présents sur le marché sont de ce type. Dans les années 1990, Peter Kahl acheta un Albino d’un zoo, qui n’arrivait pas à l’accoupler. Il l’acheta pour USD 25,000 et cet investissement fut rentabilisé dès que l’Albino eut une descendance. Le prix d’un boa Albino est descendu permettant aux nombreux collectionneurs/éleveurs d’en acheter. Bien que le prix soit enfin raisonnable, le prix d’un Albino présentant une meilleure allure peut être légèrement plus élevé et reste très prisé. De nos jours, le boa constricteur Albino est l’un des plus populaires des boas morphs et reste la base fondatrice pour tout nouveau boa morphs comme le Sunglow, Jungle Albinos, Motley Albino et Snow.
Les bébés albinos sont d’un blanc lumineux avec un rouge intense au niveau des dessins de la queue.

La tête est blanc crémeux avec des accents oranges et jaunes. Le dessin continue à travers les yeux rouges. En prenant de l’âge, le dessin du boa Albino Kahl devient plus intense et se fond de plus en plus dans le corps – donnant à l’animal un aspect plus jaune.

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Le Boa "snow"

Le Boa "snow"En 1996, Peter Kahl a élevé le premier boa Snow. C’est devenu le boa le plus populaire parmi les collectionneurs et les éleveurs dû à la rareté ainsi qu’à la capacité de produire une descendance DH pour tout accouplement. Le boa Snow est plus blanc que le boa Albino car il lui manque une pigmentation rouge. Là où vous attendriez à voir normalement du rouge, vous trouverez des ombres blanc argentées.

A la naissance, cependant, le dessin du boa Snow a une légère couleur lavande qui tourne au fameux blanc argenté qui définit le boa Snow. Il est impressionnant d’observer ces animaux changer et dont la couleur morph s’intensifie au fil des mues.

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Le boa constricteur Jungle


Le boa constricteur Jungle est l’un des nouveaux dessins morphs. Le boa Jungle présente un dessin anormalement riche et intense qui est localisé soit seulement au niveau de la partie caudale ou sur tout le corps.

Suivant le degré de l’anomalie du dessin, ils peuvent être considérés comme l’un des spécimens morphs. S’agissant d’un dessin morph, il est très recherché puisque les personnes veulent l’inclure avec d’autres couleurs morphs. Le boa constricteur Jungle a vu le jour en Suède. Un boa avec un dessin anormal a été accouplé avec l’un de ses premiers descendants qui démontrait également un dessin anormal.


Le résultat a été le boa constricteur Jungle. Il a été démontré plus tartd que ce trait génétique était co-dominant. Donc, si un boa Jungle est accouplé avec un Normal, approx. 50% des serpentaux seront des Jungle et le reste des Normaux.

Un boa Jungle accouplé à un autre boa Jungle aura des chances d’engendrer des boas Super Jungle qui présenteront un dessin d’autant plus anormal et auront le trait génétique totalement dominant.

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Le boa consticteur Motley


Le boa consticteur Motley est un autre spécimen de dessin morph. Le Motley présente un dessin différent des autres dessins morphs et est très prisé puisque les personnes veulent inclure ce type de dessin avec d’autres livrées morphes. Le Motley a des rayures latérales, toute la partie ventrale jusqu’aux yeux est noire. Le premier boa Motley est né en 2000 chez Jeremy Stone. A l’origine ce boa Motley a été importé en 1994 en tant que bébé et a été nommé Motley par un éleveur car il ressemblait à un Motley Corn Snake


Ce boa a été accouplé avec une boa femelle normale qui a donnée une portée de 12 serpenteaux. 6 sur 12 étaient des Motley et ceci prouve que ce trait est co-dominant. Etant donné que le boa Motley est co-dominant avec un dessin morph, il peut être combiné avec des albinos, salmons et autres livrées morphes pour engendrer d’incroyables boas. Ce spécimen demeure assez rare mais est en train de devenir très populaire.

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Les boas Ghost


L’origine du nom du boa constricteur Ghost est due à son apparence: effacée et quasi délavée (presque gris) comme un fantôme luisant. Le boa constricteur Ghost est une combinaison de traits anérythristique et hypomélanistique.

Les boas Ghost ont été reproduits par Bill Kirby pour la première fois en 2000. Les parents étaient 2 boas hypomélanistiques qui apparemment étaient également Het concernant anéry. Le résultat: un magnifique boa ghost.

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Le boa arabesque


Le boa arabesque a plutôt un dessin morph qu’une couleur morphe. Cela veut dire que le dessin du boa arabesque peut être intégré avec les boa morphes de couleurs (albino et salmon par exemple) pour produire un boa albino arabesque ainsi que boa salmon arabesque.



Le premier boa arabesque a été obtenu par Steve Hammond en 1989. Ce trait a été démontré génétiquement en 1993 lorsque une portée a été obtenue avec 16 boas arabesques.

C’est un dessin de boa constricteur morphe et à cause des fins sillons donne l’impression d’avoir des tâches carrées sur le dos.


Les sillons sont connectés tels une fine échelle. De manière générale l’animal arborera des specs d’un noir intense au niveau du corps et une extrémité caudale noir blotches. La couleur de base est une couleur chocolat claire et contraste agréablement avec un noir intense. Le boa arabesque demeure un animal d’élevage rare bien que de plus en plus de gens en prennent conscience et mélange le dessin morphe avec d’autres couleurs morphes.

C’est du type co-dominant c’est-à-dire qu’a peu près 50 % de la portée d’un parent arabesque et un parent normal seront des arabesques.

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Le premier boa morph Albino Brian Sharp

Le premier boa morph Albino original a été élevé par P. Kahl qui ensuite est devenu populaire. Cependant ce n’est pas l’unique boa morph Albino. Un autre est issu de B. Sharp. D’où son existence et son nom. Le boa Albino Sharp est différent de l’original et est génétiquement incompatible. – ne pas élever un Albino Sharp avec un Albino Kahl !

Les albinos Sharp sont différents et plus orangés. Dès la naissance il est aisé de les différencier. Avec l’âge, l’Albino Sharp conserve son dessin et sa coloration. L’Albino Kahl quant à lui, perd légèrement son dessin et prend une coloration jaunâtre. A cause de leur look et de leur rareté, les albinos Sharp sont considérés comme ayant plus de valeur. Récemment, le résultat de la combinaison d’un gêne d’un Albino Sharp avec celui d’un Salmon a été un Sharp Sunglow.

Ce n’est qu’une question de temps jusqu’à ce qu’apparaissent des Sharp Jungle, Sharp Snow et Super Sharp Sunglow.

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Les boas blood

Les boas blood sont des boas nains originaires du Mexique possédant une couleur d’un rouge sang profond. Le premier boa constrictor blood a été découvert par Ron St. Pierre au Salvador. Non seulement la couleur du corps est spéciale mais la tête présente des choses étonnantes. Les yeux sont très foncés et le nez est plutot renfoncé. Serpentaux, la couleur de ces boas est littéralement rouge sang. Avec l’âge les adultes foncissent mais gardent la coloration rouge sang de base.



Comme n’importe quel boa constricotr d’amérique centrale, les boas blood sont de purs nains.
Ils atteignent une longueur maximale de 1, 5 mètres pour les spécimens les plus grands. La majorité reste plus petite.



Ce boa est incroyable à juste titre, cependant très recherché dues aux variations obtenues lorsque combiné avec d’autres morphes. C’est pourquoi la demande pour ces boas est grande mais vallent l’investissement.

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Le premier boa constrictor albino corail


Le premier boa constrictor albino corail a été “developpé” par Peter Kahl. Ce boa a été obtenu par une sélection (sélective) bred trait qui est génétique/héréditaire mais randomly occurring. Cela veut dire que si deux boas albino corail bred ne produiront pas nécessairement à 100% des boa albino corail et il est également incertain de savoir l’influence corail sur les serpentaux.



Par contre, ils produiront à 100% des albinos et quelques uns pourront être des albinos corail. Les boas albino corail présentent une beauté incroyable grâce à leur palette de couleurs. Souvent descrits comme étant marbrés ayant de nombreuses tâches rouges le long du corps, ils semblent garder cette couleur tout au long de leur vie alors que d’autres boa albinos morphes semblent parfois perdre leur coloration avec l’âge.
A noter que les albinos pastel rivalisent les albinos corail à cause de leurs couleurs intenses. Si vous aimez la couleur d’un albino corail, nous vous recommendons de regarder également un boa albino pastel.

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Le boa Hog


Le boa Hog doit son nom à l’île où il a été découvert (Cayo de los cochinos est une île au large de la côte du Honduras plus connue sous le nom d’île de Hog). Le boa constricteur de l’île Hog est un boa extraordinaire présentant un large éventail de couleurs.

Certains sont d’un blanc laiteux (presque la couleur d’un hypo) alors que d’autres sont gris à brun foncé. Il existe même ceux nommés Hog orange à la couleur orange brillant.

Pendant les années 1990 il existait une forte demande pour ces boas. Au vu de la destruction de leur environnement naturel et des indigènes de l’île tuant les boas, il n’en existe plus beaucoup à l’état sauvage et leur chance de survie à long terme est limitée. Grâce à nos efforts d’élevage nous sommes fiers de permettre à cette race de rester en vie. Nous avons une lignée pure de Hog.

Ces boas offrent un autre aspect tout à fait intéressant: leur apparence mue au cours de la journée comme un caméléon se fondant dans le paysage. Au matin ils sont brillants et les contrastes sont rares. Vers le soir ils foncent et montrent un contraste plus important. Comme pour tout boa du Honduras, ce sont des boas nains. Visitez les morphes Sunset et morph Sunset Cross pour voir d’autres exemples de boas Hog.

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Le boa Sunset

Le boa Sunset est un boa qui offre une palette de couleurs dignes d’un coucher de soleil (rose, orange, rouge et blanc). Ce sont des semi nains. Pourquoi semi nain? Les boas Sunset sont en fait issus d’une combinaison de boa Hog Island et partiellement de boa Salmon. Ils seront donc légèrement plus grands qu’un boa constricteur Hog Island.

Ils restent toujours rares mais gagnent en popularité rapidement puisque de plus en plus de personnes découvrent la livrée morphe ainsi que le tempérament agréable.



A l’origine, DM Reptiles a obtenu le boa constricteur Sunset en croisant un boa Hog Island avec un boa Salmon. La descendance a été nommée Sunset Crosses (Hog HET Salmon) – souvenez-vous qu’un Hypo ou Salmon sont co-dominants. Une fois croisé avec un autre boa Salmon, le boa Sunset crosses a produit un dessin net typique du Hog Island avec une absence quasi totale de mélanine typique de l’influence Salmon. Une intense coloration d’un Salmon combiné avec celle d’un Hog en résultent.

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Le boa constricteur Moonglow


Le boa constricteur Moonglow est le dernier né des boas morphs. Il a vu le jour en avril 2006 à la suite d’élevage dans la saison 2005. Le boa Moonglow ou boa Hypo Snow a été élevé par Mark Miller alors qu’il accouplait un boa Double Het Snow avec un boa Orangasm Triple Het qu’il avait acquis de Frank Martin. Il a été très chanceux car la probabilité d’avoir un boa Hypo Snow est de 1 sur 32 (la mère a eu 23 serpenteaux). Le nombre final de bébés a été:

9 boas normal (66% het pour Snow)
5 boas Hypo (66% het pour Snow)
3 boas Anery (66% het pour Snow)
2 boas Albino (66% het pour Snow)
2 boas Sunglow (66% het pour Snow)
1 boa Ghost (66% het pour Snow) et enfin
1 boa Hypo Swor ou Moonglow.

Il y a eu beaucoup de débat à propos de la dénomination de ces serpents. Mais cela est une autre histoire. Mark a décidé d’appeler ce boa Moonglow et il n’est pas en vente. Il a l’intention de l’élever et de l’accoupler avec un boa Motley. Le résultat serait un boa Quad Het.

En principe, toutes les possibilités devraient voir le jour avec les descendants de cette portée. Ceci prouve qu’acheter et accoupler des boas Het peut donner des résultats sous forme de bonnes surprises insoupçonnées. Il a donc eu 7 sortes de variétés différentes de serpents dans cette portée et chacun d’entre elles sont extrêment spéciales.

Avec cet élevage, Mark a maintenant officiellement créer deux nouvelles lignées de boas: Carmel Pastels et Moonglow. Par chance nous nous sommes procurés chez Mark des boas Jungle, Carmel Pastels, Super Salmons et autres, il y a déjà quelques années.

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Python regius, l'histoire du pastel jungle:
Greg Graziani, traduction française Rachel.


En mai 1994 un importateur de Miami me contacte et me dis qu’il a reçu un « lot » de pythons regius et qu’il y avait un mâle regius ayant une apparence différente du reste. Il était incapable de décrire le serpent par téléphone, il a juste dit qu’il était différent et demanda si j’étais intéressé par un échange avec un python birman albinos que j’avais produit. Quand j’ai vu le serpent, j’ai compris qu’il avait raison, il ne ressemblait à aucun autre regius que j’avais vu. Le serpent était très mince et avait l’air d’avoir fait sa première mue. Il était d’un jaune pâle avec un motif jungle noir et gris, sa tête était grise et ses écailles labiales étaient blanches. Le ventre manquait de tâches noires qu’ont habituellement les regius normaux, il était juste blanc. Ainsi il ressemblait à un jungle, mais il manquait les écailles labiales noires, les motifs noirs de jais, les marques sur la tête et la couleur de fond jaune clair. Au début nous l’avons appelé le jungle type 2. Comme le serpent grandissait, les motifs jaunes devenaient plus clairs sur les côtés et le dessin dorsal a commencé à s’assombrir, mais il était toujours aussi jaune. Toutes les marques grises sont devenues de couleur brun jaune. Nous nous sommes demandé si le serpent était xanthic car le jaune s’accentuait.

En 1995, je rencontre Kevin Mc Curley de chez Nerd au National Breeders Expo à Orlando. Un ami mutuel nous présenta et nous commençons à parler python regius quand Kevin dit qu’il a reçu un regius importé qu’il faudrait que je voie. Nous sommes allée jusque dans sa pièce et il retira un serpent identique au mâle que j’avais obtenu en mai 1994. C’était une femelle ! Je lui demandai combien il en voulait et il me dit qu’elle n’était pas à vendre. Il était sur que c’était une mutation génétique.

En 1997 je reproduis le male avec une femelle normale. En mai 1997, la femelle normale pond 7 gros œufs. On était sur que tous les bébés allaient devenir normaux et espérions qu’ils seront hétérozygotes pour les traits du mâle. Le 22 juillet 1997, les bébés naissent. Les 7 bébés ressemblaient tous au père quand il était petit. On était surpris et restions toujours incertains de la génétique sur cette mutation.

Toujours incertains de ce que nous avions, on emmena les 7 animaux au National Reptile Breeders Expo à Orlando et les exposons avec une étiquette de 2500 dollars pour chacun d’entre eux. Quelques personnes étaient intéressé par eux mais étaient sceptiques sur le fait que ce soit génétique ou pas. Après le show, j’apprends que la femelle de Nerd a produis 3 œufs, un seul a éclos et il était identique aux 7 animaux que j’ai obtenus un mois plus tôt. Kevin Mc Curley appela ses animaux python regius pastel jungle. De manière à ce chacun soit à la même page, nous décidons de changer le nom de nos animaux que nous avions nommé « jungle type 2 » en pastel jungle.

Alors que les serpents grandissaient leur couleur jaune s’accentuai énormément. Tous les 7 bébés étaient plus « lumineux » que leur père. J’envois à Dan et Colette Sutherland une photo des bébés à l’âge d’une semaine et à l’âge de 8 mois. La différence était comme le jour et la nuit. Dan et Colette étaient très intéressés par les serpents.
A ce moment, j’avais 2 pontes issues du mâle pastel jungle dans l’incubateur. Il a de nouveau été accouplé à la femelle originale qui avait produit les 7 premiers pastels et à une autre femelle. J’expliqua à Dan et Colette que je n’étais pas sur de la génétique de cette mutation et ne saurais rien jusqu’à que les deux pontes aient éclos. Dan et Colette étaient sur que cela était génétique et achetèrent 5 des 7 premiers bébés. Le 7 juillet 1998, les œufs de la femelle originale qui a été accouplée avec le mâle pour la seconde fois éclosent. Sur les 7 œufs éclos, 3 étaient pastels jungle et 4 étaient normaux. La deuxième ponte éclos le 21 juillet 1998, sur les 5 œufs, 3 pastels jungle et 2 normaux. Cela prouva que la mutation était dominante.

En 1999, Nerd accoupla 2 pastels jungle ensemble et produit le premier super pastel jungle. Le 13 août 2000, nous obtenons notre premier python regius super pastel jungle. Sur les 7 œufs éclos, il y a 3 normaux, 3 pastels jungle et un super pastel jungle. Le super pastel est impressionnant. Il possède toutes les caractéristiques du pastel jungle mais sont exprimées à un degré supérieur. Les frères/sœurs du super pastel était encore plus « vibrants » que tous les autres pastels jungle que j’avais produis. Beaucoup d’éleveurs pensèrent que le super pastel est la forme homozygote du pastel jungle. Si tel était le cas, le super pastel jungle devrait produire 100% de pastel peut importe avec qui il sera accouplé et cela prouvera que le pastel jungle est une mutation co-dominante. Ce sera également la première mutation « design » de python regius. Une mutation co-dominante, c’est quand la forme homozygote d’une mutation dominante est visiblement différente de la forme hétérozygote.

Le pastel jungle fut prouvé comme étant co-dominant en 2001 par Kevin Mc Curley de Nerd quand une femelle super pastel accouplée à un spider mâle donna un résultat de 100% de pastel jungle et d’un pastel spider.

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L'histoire du piebald


Un premier spécimen piebald a été trouvé au Ghana en 1966, et tué par des villageois. D’autres ont été trouvé dans les années 80 et vendus à des collectionneurs privés entre 5000 et 10000 dollars. Au début des années 90, suite au phénomène de mode des NAC, la demande vis-à-vis des pythons regius s’est accrue, ce qui a conduit à des prélèvements en masse de regius sauvages ainsi que leurs œufs. Parmis les naissances dans les fermes d'élevage, quelques piebald. Ceux-ci ont été vendus à des éleveurs aux Etats-Unis. C’est en 1997 que Peter Kahl a produit les premiers piebald, et prouva le caractère récessif du gène responsable de la mutation.

Source : Rachel

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L'histoire de l'albinos


C'est en 1989, que Bob Clark entend parler d’un regius amélanistique. C’est un hollandais qui l’informe que ce serpent a été capturé au Ghana. Après avoir reçu une photo de l’animal, il entame des négociations pour l’obtenir. Il s'agissait d'un mâle de 65 cm qui présentait de grandes difficultés d’élevage, lié au fait qu’il soit sauvage (refus de se nourrir…)
Courant l’année 1990, il produit sa première génération d’hétérozygotes.
Deux ans plus tard, il accoupla les hétérozygotes entre eux. En mai 1992, il obtient les premières éclosions d’albinos, par incubation maternelle. Les premiers spécimens albinos furent vendus 7500 dollars.

En 1994, il se fait cambrioler et la majorité de ses reproducteurs furent volés, dans le lot, le mâle albinos et les hétérozygotes femelles. Les cambrioleurs laissèrent les œufs qui produisirent quelques albinos.

Source : Rachel

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L'histoire du lesser platinium


Le lesser platinium est une des phases les plus excitante actuellement. Le premier (Platy Daddy) fut trouvé au Ghana pendant l'année 2000 et acheté par Ralph Davis. Après le platinium, vint le temps des lesser platinium qui furent vendus pour des dizaine de milliers de dollars.
Lesser avec lesser donne du leucisic. Lesser avec spider, mojave et cinnamon donne de nouvelles phases spectaculaires. De super animaux, qui dans une certaine mesure, deviennent abordables au niveau des prix.

Source : Rachel

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