askook 0 Posté(e) le 11 juillet 2006 Thamnophis sirtalis Le genre Thamnophis ou serpent-jarretière a une réputation de "serpent pour terrariophiles débutants". Cela est vrai!!! Mais, il est important de bien connaître cette espèce et son maintien en captivité, car souvent faute de documentations, ces serpents en pâtissent, sont détenus dans de mauvaises conditions et meurent. Et pourtant, le genre Thamnophis est facile et agréable à élever, et cela est bien dommage que peu d'éleveurs en France s'y intéressent. Ce serpent de la famille des Colubridae et de la sous-famille des Natricinae (serpents aquatiques et apparentés), compte, le plus souvent 12 sous-espèce et quelques fois 13 ou plus selon les auteurs. La systématique du genre Thamnophis n'est pas encore clairement établie et est sujette à contreverse. Parmi cette douzaine de sous-espèces, on compte des variétés extrêmement comunes (Thamnophis sirtalis sirtalis, Thamnophis sirtalis parietalis), et de véritables beauté ou raetés (Thamnophis sirtalis similis, Thamnophis sirtalis tetrataenia). Thamnophis sirtalis est l'un des serpents le plus commun et le plus répandu d'Amérique du Nord, son aire géographique se répand de la moitié Sud du Canada, dans la plupart des Etats-Unis sauf dans le Sud-Ouest et le Centre-Ouest. De part son grand nombre de sous-espèces et de sa répartition géographique, Thamnophis sirtalis fréquente toute une gamme de biotope humides. Cela comprend les marais, les prairies, les friches, les haies, les forêts tempérées et les abords des cours d'eau. On les rencontre aussi bien en plaines que dans les montagnes jusqu'à une altitude de 2 000 mètres. La couleur et les dessins sont très variables. Suivant les sous-espèces, les individus peuvent être brun foncé, noir, vert ou olive, avec des lignes de couleur bien délimitées sur le dos et les flancs. Des séries de points noirs ou roussâtres sont souvent visibles entre les différentes lignes. Avec l'âge, des taches rouge apparaissent en arrières de la mâchoires. En dehors de la forme type des différentes sous-espèces, il faut signaler chez Thamnophis sirtalis de fréquents cas de mélanisme (spécimens entièrement noir). Ce phénomène s'observe surtout dans la partie la plus septentrionale de l'aire de répartition. En revanche, les cas d'albinisme sont relativement rares. Je vais essayer de différencier les différentes sous-espèces une par une, de part leur coloration et leur aire géographique. - Thamnophis sirtalis sirtalis ou serpent-jarretière commun oriental Elle se caractérise par une couleur de fond marron foncé, olive ou noire, rechaussée de lignes longitudinales jaunes le long de la colonne vertébrale et sur les flancs. Des taches noires sont présentes entre la ligne dorsale et les lignes latérales. On rencontre cette sous-espèce au sud de l'Ontario (Canada), à l'est du Minnesota et de l'Iowa jusqu'au sud du Missouri et de l'Arkansas, de l'est du Texas en traversant jusqu'aux côtes de l'Atlantique et jusqu'au sud de la Floride. Cette sous-espèce est la plus répandue et la plus commercialisée. Thamnophis sirtalis sirtalis Photo pour illustration - Thamnophis sirtalis annectans ou serpent-jarretière commun du Texas Elle possède de larges rayures de couleur orange sur le dos et les flancs. Ces rayures se situent le long de la 3 ème rangée d'écailles mais peuvent s'étendre le long de la 2 ème et de la 4 ème rangée. On la rencontre sur les bords de l'Oklahoma et du Texas jusqu'au sud du Texas. Thamnophis sirtalis annectans Photo pour illustration - Thamnophis sirtlais concinnus ou serpent-jarretière commun à taches rouge De couleur de fond noir avec des rayures d'un gris-jaunâtre très éclatant. Elle possède une unique rangée large, bien marquée, en bas de chaque côtés de son corps, avec des taches rouges. Le dessus de la tête est également marqué de rouge. Son aire géographique se situe du nord-ouest de l'Oregon et dans l'extrême sud-ouest de Washington. Cette sous-espèce est très attrayante. Thamnophis sirtalis concinnus Photo pour illustration - Thamnophis sirtalis dorsalis ou serpent-jarretière commun du Nouveau-Mexique Ressemble à Thamnophis sirtalis parietalis, mais le marquage rouge du bas des flancs est plus réduit (moins net) principalement confiné entre les écailles au lieu d'être sur les écailles. On peut la trouver dans la vallée du Rio Grande et à l'extrême ouest du Texas. Thamnophis sirtalis dorsalis Photo pour illustration - Thamnophis sirtalis fitchi ou serpent-jarretière commun des vallées De couleur gris-foncé allant jusqu'au marron avec une rayure dorsale bien marquée et le dessus de la tête est noir. Cette sous-espèce se trouve dans le nord et sur les côtes de la Californie, cependant elle n'occupe pas les zones abondamment peuplées par Thamnophis sirtalis infernalis. On la trouve aussi dans le nord-ouest du Nevada, dans le sud-ouest et l'est de l'Oregon, dans l'Idaho, l'Utah, l'ouest du Montana et de Washington jusqu'à la Colombie Britannique (Canada) et au sud-est de l'Alaska. Elle est la sous-espèce que l'on rencontre le plus au nord de l'aire de répartition de Thamnophis sirtalis. Thamnophis sirtalis fitchi Photo pour illustration - Thamnophis sirtalis infernalis ou serpent-jarretière commun aux flancs rouges de Californie Ressemblant de près à Thamnophis sirtalis parietalis, elle présente sur le dos une rayure gris foncé bien définie et des rayures sur les flancs un peu moins prononcées. Il y a des taches rouges sur le corps au-dessus des rayures costales et le dessus de la tête est également rouge. Son aire géographique se répartie le long des côtes de la Californie (du bas du Comté de Humboldt jusqu'au Comté de San Diego). Thamnophis sirtalis infernalis Photo pour illustration - Thamnophis sirtalis pallidula ou serpent-jarretière commun maritime Assez sililaire à Thamnophis sirtalis sirtalis, mais la rayure du dos est faiblement marquée ou absente. Les petites taches couvrant le corps sontégalement plus marquées. Cette sous-espèce se trouve dans les provinces maritimes canadiennes, surtout aux alentours du Québec, et dans les zones adjacentes de la Nouvelle-Ecosse. - Thamnophis sirtalis parietalis ou serpent-jarretière commun aux flancs rouges Elle possède une rayure dorsale bien marquée avec des rayures moins bien marquées sur les flancs. Elle est aussi marquée de bandes fortement rouges entre les rayures du dos et des flancs, ce qui lui donne une apparence hautement attractive au niveau des couleurs qui peut faire penser à un damier. Le dessus de la tête est normalement brun-olive. Son aire de répartition géographique se situe au Canada dans le sud-est de la Colombie Britannique, à Alberta et au sud du Manitoba jusqu'aux grandes plaines des bords de L'Oklahoma et du Texas aux Etats-Unis. Thamnophis sirtalis parietalis Photo pour illustration - Thamnophis sirtalis pickeringi Ressemble à Thamnophis sirtalis concinnus mais avec moins de marquage qui est généralement plus foncé en coloration et la rayure est plus étroite. Le dessus de la tête est en général de couleur foncée. On la trouve au Canada sur l'île de Vancouver et dans les côtes adjacentes du sud-ouest de la Colombie-Britannique et dans l'ouest de Washington aux Etats-Unis. - Thamnophis sirtalis semifasciatus ou serpent-jarretière commun de Chicago Similaire aux autre sous-espèces par sa coloration, elle diffère par le fait qu'il y a des barres noires verticales cassants les rayures des flancs dans la zone du cou. On la rencontre dans l'Illinois, dans le sud-est du Wisconsin et dans l'exrême nord-ouest de l'Indiana. - Thamnophis sirtalis similis ou serpent-jarretière de Floride En grande partie de couleur marron foncé avec des rayures dorsales d'un jaune terne. De distinctes lignes bleues brillantes sont présentes sur les flancs, parcourant sur la 2 ème et 3 ème rangées d'écailles. Elle se rencontre essentiellement dans la Péninsule de la Floride. Cette sous-espèce est l'une des plus attrayante. Thamnophis sirtalis similis Photo pour illustration - Thamnophis sirtalis tetrataenia ou serpent-jarretière de San Francisco Le marquage rouge entre les lignes du dos et des flancs forme une ligne continue cassée par une ligne vertébrale d'un jaune très lumineux ou d'un vert-bleu vif. Le dessus de la tête estégalement rouge clair et le dessous est bleu-vert. Son aire de répartition est limitée au Comté de San Mateo en Californie et près de l'aéroport de San Francisco. Cette dernière sous-espèce est l'une des plus belles variétés de serpent-jarretière. D'autre part, c'est l'un des serpents les plus rares et les plus menacés d'Amérique du Nord, avec une aire de répartition excessivement réduite. A ce titre, et de manière fort logique, elle est strictement protégée. Il n'en demeure pas moins qu'elle fait rêver plus d'un terrariophile. Thamnophis sirtalis tetrataenia Photo pour illustration Description. L'aspect général de ce serpent est svelte, avec un corps long et fin, et des écailles carénées. La tête est légèrement élargie à l'arrière, bien distincte du cou et possède un museau assez court et des yeux de taille moyenne, avec une pupille ronde. D'une taille allant de 50 à 80 cm, et pouvant atteindre 130 cm pour une femelle adulte, qui est toujours plus grande et plus grosse qu'un mâle. Ces dimensions varient d'une sous-espèce à l'autre. Moeurs. Thamnophis sirtalis est un serpent terrestre et semi-aquatique, qui grimpe et nage très bien. Actif de jour comme de nuit par temps chaud, le serpent-jaretière passe les premières heures de la matinée à se chauffer au soleil, sur une pierre ou une souche par temps frais. Rapide et nerveuse, Thamnophis sirtalis ne se laisse pas facilement attraper et quand on arrive à la saisir, elle éjecte ue odeur nauséabonde par le cloaque et s'agite dans tout les sens. Parfois elle mord, mais vue sa petite taille de sa mâchoire, ses morsures restent sans conséquences. Bien qu'un cas d'envenimation léger a été observeé chez un herpétologue américain suite à une morsure de Thamnophis sirtalis(Herpetological Review, N°17, mars 1986, New-Jersey, USA et David, P & Ineich, I. 1999) De ses moeurs semi-aquatiques, Thamnophis sirtalis a un régime alimentaire qui se compose de poissons, d'amphibiens (anoures, urodèles) et de vers de terre (lombrics). Certaines sous-espèces (Thamnophis sirtalis parietalis, Thamnophis sirtalis pallidula) ont des moeurs plus terrestres que d'autres, fréquentant des biotopes plus secs et de ce fait, ont un régime alimentaire à base de rongeurs. Outre la spécificité liée au régime alimentaire, les Thamnophis sirtalis présentent une double originalité. La première concerne leur comportement au moment de l'hivernation. La plupart des serpents, au moment des premiers froids, se cherchent un abri calme et plutôt solitaire.Thamnophis sirtalis, au contraire, se regroupe pour la circonstance, parfois par centaines ou plus d'individus. Cela donne au printemps des phénomènes d'émergence en masse, lorsque tous les sujets se réveillent en même temps et sortent de l'abri. La seconde originalité, par rapport à beaucoup d'autres colubridés, est le mode de reproduction ovovivipare. Autrement dit, ils donnent naissance à des jeunes serpenteaux, le développement des oeufs s'opérant dans l'organisme de la femelle. Ces mises bas donnent un nombre très variable de jeunes, pouvant aller de 6 à 50 jenes jusqu'à un maximum de 85, avec une moyenne qui se situe entre 18 et 30 jeunes. Les accouplements ont lieu à la sortie de l'hivernation en avril et la mise pas en juin. Il peut aussi y avoir une portée en automne. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
askook 0 Posté(e) le 11 juillet 2006 Vie en captivité En matière de maintenance et d'élevage, Thamnophis sirtalis a beaucoup d'atouts: Elle est de taille raisonnable, réellement facile à élever, se reproduit très bien en captivité et possède un caractère docile. Installation en captivité. Le terrarium est de taille modeste 60/80 x 40 x 30 cm pour un couple, allant jusqu'à 80 x 50 x40cm pour un groupe de 5 à 6 individus. On utilise un terrarium spécifique et classique pour serpent, avec une bonne aération et une ouverture horizontale coulissante qui n'offre pas de possibilité d'évasion. Il faut éviter absolument les bacs munis de couvercle que l'on pose car Thamnophis sirtalis peut prétende au titre de "reine de l'évasion". En effet, il faut avoir à l'esprit que ces serpents sont des artistes en la matière, de part leur rapidité et en raison de leur taille modeste. Le chauffage est assuré par un câble chauffant ou tapis chauffant que l'on placera sous une moitié du terrarium, afin d'atteindre un point chaud à 29-30° C, dans la plus grande partie du terrarium la température sera comprise entre 23-26° C. La nuit, on coupera ou l'on réduira le chauffage pour que la température descende à 20-22° C. L'éclairage est également important, surtout sil'on considère que dans la nature Thamnophis sirtalis s'expose au soleil. On installera dans le terrarium, un tube de couleur blanc industriel qui fonctionnera 12 heures par jour. Pour le fond du terrarium, on peut employer un substrat constitué de fragments de bois ou d'écorces, facilement remplaçable et relativement esthétique. Par contre, on évitera tout substrat meuble comme le sable ou le terreau qui sont vecteurs de parasites ou de stomatites lorsqu'ils sont ingérés involontairement. Pour les terrariophiles peu désireux de mettre ce genre de substrat, ce qui est mon cas, le papier essuie-tout, le papier journal, ou les revêtements de sol plastique font l'affaire et ont un avantage pour l'entretien et l'hygiène. En revanche, et ceci est fondamental, le substrat garnissant le fond du terrarium devra rester rigoureusement sec, un sol humide aboutissant immanquablement à des maladies cutanées sévères. Ne négligez pas ce risque,car Thamnophis sirtalis est particulièrement prédisposée à ce type de maladie. Un récipient d'eau (à maintenir toujours propre) permettra à Thamnophis sirtalis de boire et de s'immerger, voire de chasser si l'on y place des poissons vivants. Au-dessus de ce récipient, on installera une branche ou une souche garnie de feuillage artificiel, qui auront l'effet d'augmenter l'espace vital du terrarium et de répondre aux envies de grimper des serpents-jarretière. Vous y verrez un ou deux individus s'y lover et profiter de la lumière. Et l'on terminera l'installation par une cachette, toujours indispensable. Alimentation. Sur le plan alimentaire, Thamnophis sirtalis est assez facile à satisfaire, mais il faut prendre certaines précautions. En effet, le régime piscivore du serpent-jarretière, si pratique à certains égards l'expose à souffrir de carences en calcium et d'hypovitaminose B1. Ces risques sont maximisés si on les nourrit de filets de poissons et non de poissons entiers. Alors pour éviter tout cela, le menu recommandé se composera de petits poissons frais entiers (goujons, vairons, guppys), de morceaux de saumon frais, de souriceaux, vers de terre, en alternant le tout. Les repas seront composés de deux à trois proies distribués une fois par semaine. L'hypovitaminose... L'hypovitaminose... L'hypovitaminose... l'hypovitaminose... L'hypovitaminose B1, se traduit par une dégénérescence cérébrale mortelle, dont les symptômes sont principalement des troubles de la locomotion avec des convulsions du premier tiers du corps. Cette maladie dûe à la présence de substances appelées thiaminases qui détruisent la vitamine B1, contenue dans le chair de poisson. Or, il faut savoir que la congélation a pour effet d'augmenter la teneur en thiaminases, c'est la raison pour laquelle, on utilisera plutôt du poissons frais, et que certaines de variétés de poissons sont particulièrement riches en thiaminases. Ces espèces à risques, sont notamment les poissons rouges, les sardines, les éperlans, les carpes, les poissons-chats. Reproduction. La reproduction de Thamnophis sirtalis peut être facilement obtenue, moyennant certaines conditions préalables. Premièrement, les géniteurs doivent être en parfaite santé et sexuellement mature, c'est généralement le cas dès l'âge de 18 mois, bien que certains spécimens précoses soient disposés à se reproduire dès la fin de leur première année. Une vraie période d'hivernation, pour une bonne reproduction, est indispensable. Pour des spécimens détenus en captivité depuis plusieus années, une simple période de repos peut parfois suffire Pour les terrariophiles qui vont faire hiverner les reproducteurs (ils donneront une plus grande longévité à leurs animaux, environ 7 ans avec un record de 11 ans), ils abaisseront graduellement la température jusqu'à 10/15° C et réduiront la durée d'éclairage à 8 heures d'éclairage par jour et ceci pendant trois à quatre mois (d'octobre/novembre à février/mars). Ensuite, ils reviendront progressivemen aux conditions normales de maintenance. Les serpents-jarretière sortent de leur léthargie et s'accouplent. L'accouplement a lieu vers mars-avril et la mise bas en jun. Il peut y avoir une portée en automne. La durée de gestation est extrêment variable, de 2 mois (T.s similis, T.s tetrataenia) à 5 mois (T.s fitchi, T.s pickeringi) selon les sous-espèces et leur aire géographique. Plus l'aire géographique se trouve au nord, plus la durée de gestation est longue. Les portées sont comprises entre 18 et 25 jeunes, mesurant une vingtaine de centimètres, selon la taille de la femelle. Ces jeunes naîtront enveloppés dans une poche transparente qu'ils perceront immédiatement après leur naissance. N'hésitez-pas à les aider si vous voyez qu'ils éprouvent une certaine difficulté à se défaire de cette poche. Dés la naissance, il faut séparer les jeunes de la mère, car l'ophiophagie entre parents et nouveaux-nés est courant chez le genre Thamnophis. Les jeunes sont à élever séparément ou du moins lors de la distribution des repas, car gâre au canibalisme accidentel. Ces repas se composeront au début de morceau de vers de terre, de petits poissons (danio, guppy) ou de morceaux de saumon frais, le tout adapté à leur taille. La prise ne nourriture ne pose généralement aucun problème, et l'on nourrira tout ce petit monde à la fréquence d'un repas tous les 3 jours. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
CoolSnake1 0 Posté(e) le 31 juillet 2006 Vraiment excellent fiche !! Est-ce qu'on peut prévoir un aquaterra pour ce genre ?? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
askook 0 Posté(e) le 31 juillet 2006 Oui, mais il faut faire très attention à son aménagement et à l'espèce de Thamnophis que tu vas élevés. Les Thamnophis ne vont dans l'eau que pour se nourrir. Une fois qu'elles sont chassées et attrapées leurs proies, elles reviennent systématiquement sur la terre. La partie terrestre doit occupé au minimum les 2/3 de l'aquaterrarium, la partie aquatique doit être un permanence propre. En aquaterrarium, le taux d'humidité sera à surveiller en permanence. Un taux d'humidité trop élevé et un sol toujours humide, peut entraîner des infections cutanées sur la face ventrale "maladie des ampoules". Maladie dont les Thamnophis sont très sensibles. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
reptilman76 0 Posté(e) le 31 juillet 2006 superbe fiche Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
CoolSnake1 0 Posté(e) le 31 juillet 2006 Pour le Tamnophis sirtalis similis, ou une espèce dans les ton bleutée. Donc toujours veiller à la propreté et à l'hygrométrie ! J'ai toujours voulu faire un aquaterra ! je trouve trop trop beau ! Et il y'as possibilité de faire par exemple une sorte d'élevage de guppy dans le coin eau ? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites