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Faits divers concernant les chéloniens

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Une tortue de 250 kg libérée d'un filet de pêche par les pompiers


Une tortue marine d'environ 250 kg, prise dans des filets de pêche au bout de la digue de Tarnos (Landes), a été libérée par les pompiers après une intervention de plusieurs heures, a-t-on appris dimanche auprès des secours.

Alertés par un témoin, les pompiers ont débuté leur intervention sur la tortue emprisonnée vers 14H45 et celle-ci n'a pris fin qu'à 18H30, l'animal, bien que blessé aux pattes et à un oeil, ayant finalement repris la mer avant l'arrivée des services vétérinaires, a-t-on expliqué.


"Une fois libérée, elle a été ramenée sur la plage par les collègues. Elle avait des plaies sur les pattes et à un oeil, mais finalement, elle est repartie à l'eau avant que les services vétérinaires n'arrivent", a-t-on précisé au Centre départemental d'incendie et de secours des Pyrénées-Atlantiques.

"C'était une grosse, au moins 250 kg, on ne savait pas trop quoi en faire: le musée de la mer à Biarritz ne pouvait la prendre en charge que pour la nuit, alors, on avait contacté l'aquarium de La Rochelle", ce qui c'est finalement révélé inutile, ont ajouté les pompiers.
Source: http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-32633008@7-52,0.html

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Un petit hippopotame tombé amoureux d’une tortue géante !!!


NAIROBI, Kenya (AFP) - Un bébé hippopotame qui a survécu au tsunami vit sur la côte kenyane et a formé un lien fort avec une vieille tortue géante mâle d’un siècle, dans un service animal de la ville gauche de Mombassa, ont déclaré les fonctionnaires. L’hippopotame, surnommé Owen, pèse environ 300 kg ( 650 livres ), a été emporté du bas du fleuve de Sabaki dans l’Océan Indien ; il a alors nagé jusqu’au rivage quand les vagues de tsunami ont heurté la côte kenyane le 26 décembre 2004, où les gardes forestiers l’ont sauvé. C’est presque incroyable, cela fait quasi un an qu’ils sont inséparables.





Après avoir perdu sa mère, le petit hippopotame, traumatisé, a cherché une mère de remplacement et s’est pris d’amitié pour cette tortue géante. Il nage, mange et dort avec la tortue. L’hippopotame suit la tortue exactement comme s’il suivait sa mère biologique. Si quelqu’un approche la tortue, l’hippo devient agressif pour protéger sa "mère".

L’hippopotame est encore un bébé, il est encore un peu gauche à cause de son jeune âge mais les hippos sont des animaux sociables par nature qui restent normalement avec leur mère pendant quatre ans.

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Une tortue-alligator dans la Seine


Alertée par un promeneur, la brigade fluviale de la Préfecture de Police de Paris a procédé, dimanche, à l’extraction d’une tortue-alligator qui nageait dans la Seine. Une situation qui pourrait bien se répandre.



Scène insolite dimanche matin sur les quais de Seine à Paris près du pont d’Iéna, dans le VIIe arrondissement. Un promeneur aperçoit une carapace qui flotte. Intrigué, il la suit, jusqu’à ce que sorte de l’eau une tortue-alligator de 50 cm de long. L’animal a par la suite été récupéré par la brigade fluviale, puis confié à un établissement spécialisé dans les animaux exotiques. Toutefois, l’espèce repêchée est très dangereuse.

« La tortue-alligator est une tortue aquatique américaine, explique Lionel Schilliger, vétérinaire spécialiste des animaux exotiques. Elle peut mesurer jusqu’à un mètre de long et peser entre 80 et 100 kg. Mais ce qui est surtout dangereux, c’est son bec. Une morsure peut vous couper une main. »



Justine Chevalier, le mercredi 1 juillet 2009 à 04:00
http://www.francesoir.fr/societe/2009/07/01/une-tortue-alligator-dans-la-seine.html

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J'en ai maintenu deux il y a trés longtemps (cf mon age !) et il est vrai que relâcher ce genre de bêtes dans la nature il faut être débile profond ! affraid

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Onze tortues d'Hermann protégées volées au jardin Botanique de Tours


TOURS — Onze jeunes tortues d'Hermann, protégées par la convention de Berne et de Washington, ont été volées dans la nuit de dimanche à lundi au jardin Botanique de Tours, a indiqué vendredi la mairie.

La Ville de Tours a déposé plainte auprès du commissariat de police, toujours de même source. Les tortues ont été volées dans un local fermé à clef qui a été forcé.

La tortue d'Hermann (Testudo hermanni) est l'unique tortue terrestre en France. Elle atteint 20 cm et sa longévité est importante (80 ans). Elle figure en annexe II de la Convention de Berne (protection des espèces) et en annexe II et C1 de la Convention de Washington (commerce des espèces).

Ces tortues, du fait de la protection dont elles font l'objet, pourraient être revendues par des trafiquants. Leur vente permettrait un gain financier conséquent, selon la mairie qui demande à toute personne qui se verrait proposer ces tortues à la vente de bien vouloir contacter la police.
Source: http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jBD4LQ3oT9BIrC6ktVywb7pYJE5w

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Les tortues volées ont regagné le jardin botanique


Tours. Dix des onze tortues dérobées la semaine dernière au jardin botanique
ont été retrouvées. L'enquête de la police se poursuit.


L'affaire du vol des tortues du jardin botanique n'est certes pas une enquête prioritaire pour les policiers du commissariat de Tours, mais les investigations se poursuivent doucement autour de ce fait divers peu banal. Rappelons que, vendredi dernier, la ville de Tours a déposé plainte suite au vol de ces onze tortues dites d'Hermann – une espèce protégée par la convention de Washington – dans l'enceinte du jardin botanique. Le vol a été commis avec effraction, la porte du local qui héberge ces reptiles ayant été forcée.

« Ce n'est pas la première fois qu'un vol de ce type est commis au botanique, explique un employé de l'équipe animalière. Ces tortues sont protégées, donc rares. » Et chères, bien sûr, puisque leur commerce est interdit depuis 1985 (sauf pour celles issues de l'élevage). On estime les spécimens volés à 500 € pièce. Le préjudice n'était donc pas négligeable… Et le gain potentiel en cas de revente des animaux dérobés pouvait être alléchant. L'enquête de la police n'a pas pour l'instant permis de préciser les motivations de ce vol.
En revanche, dix des onze tortues ont été retrouvées. Neuf d'entre elles ont été découvertes au domicile d'une dame, à Tours. Leur présence a été signalée à la police par une voisine qui avait lu dans la presse l'annonce de leur disparition. Interrogée, la dame a expliqué que ces tortues lui avaient été amenées par son fils. Apparemment, elle-même ignorait tout de leur provenance. Lundi après-midi, le fils en question s'est présenté au commissariat de police, en possession d'un dixième animal. Il niait cependant être l'auteur du vol et affirmait que les reptiles lui avaient été remis par un ami à lui. L'enquête se poursuivait donc…
En attendant, les tortues retrouvées ont regagné le jardin botanique. Elles ne semblent pas avoir souffert de leur escapade forcée.
Source:http://www.lanouvellerepublique.fr/dossiers/journal/index.php?dep=37&num=1458674

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Interpellé pour avoir tué une tortue marine


Un homme a été interpellé le 18 décembre dernier à Saint-Leu parce qu’il avait capturé, tué et mangé une tortue imbriquée (Eretmochelys imbricata) avant de mettre sa dépouille à sécher. Il sera jugé prochainement. Ce sont des pêcheurs saint-leusiens qui ont dénoncé l’auteur du délit auprès de la Brigade de la Nature de l’océan Indien. Ils avaient été témoins de la capture illégale et ont d’ailleurs refusé de manger l’animal, une fois cuit. A la Réunion, toutes les tortues marines sont protégées par l’arrêté ministériel du 14 octobre 2005. Il en existe six espèces. La tortue imbriquée est plus rare et plus petite que la tortue verte, et elle est plutôt carnivore, contrairement à la tortue verte qui est herbivore.

Le contrevenant a été interpellé à St-Leu où il avait mis la dépouille à sécher. Un procès-verbal lui a été dressé, et sera transmis au procureur de la République à des fins de poursuites judiciaires. Pour ce genre de délit, l’auteur des faits encourt une peine maximale de six mois de prison et de 9 000 euros d’amende. “Bien que ces faits soient de plus en plus rarement constatés sur notre île, des braconniers tuent encore des tortues marines pour les manger et en conserver la carapace, qui plus est sur le territoire de la réserve naturelle nationale marine de la Réunion”, fait-on remarquer à la Brigade de la Nature de l’océan Indien. La BNOI est un service de police de l’environnement, placée sous la tutelle du ministère de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer. Basée au siège de la direction régionale de l’environnement (DIREN) à St-Denis, elle se compose de huit agents assermentés, mis à disposition par trois établissements : l’office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), l’office national de l’eau et des milieux aquatiques (ONEMA), et le parc national de la Réunion. Ses missions de police concernent notamment la protection de la faune, de la flore, des espaces protégés (parc national, réserves naturelles), la pollution des eaux, la circulation des véhicules dans les espaces naturels, la chasse, la pêche…. Elle intervient sur toute l’île et parfois à Mayotte où elle effectue régulièrement des missions pour la protection des tortues marines. La dépouille saisie chez le Saint-Leusien va finir au muséum d’histoire naturelle. Elle subira une naturalisation pour des actions pédagogiques
Source:http://www.clicanoo.com/index.php?page=article&id_article=232069

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Des tortues rares dérobées puis retrouvées


Un ou plusieurs malfaiteurs se sont introduits dans la résidence d’Emmanuel Lemagnen, dans la nuit de dimanche à lundi à la Ressource (île de la Réunion) pour lui dérober plusieurs spécimens rares. Le conseiller régional et organisateur du salon Fait-Main est également connu pour être un cheloniophile passionné puisqu’il possède une soixantaine de tortues d’espèces différentes. “On m’a dérobé deux espèces remarquables, déplorait hier matin Emmanuel Lemagnen. Il s’agit de tortues d’eau : un trionyx, un mâle de 13 kg à la carapace molle et une phrynops de Saint-Hilaire”. Grâce au bouche-à-oreille et à la mobilisation des membres de la société de cheloniophilie de Bourbon, leur propriétaire a pu les retrouver à la mi-journée. “J’ai reçu un coup fe fil m’indiquant qu’une de mes tortues était mise en vente”. Emmanuel Lemagnen s’est alors rendu au domicile du “vendeur” qui a eu bien du mal à lui fournir des explications. Pendant ce temps, l’autre tortue a été déposée chez lui par des mains anonymes.

Des tortues invendables

Comme l’a prouvé cette affaire, ce type de tortue est en fait invendable en raison de leur rareté. En plus, leur propriétaire les avait équipées d’une puce afin de pouvoir les identifier. Pour le conseiller régional, les cambrioleurs ne sont pas venus chez lui par hasard, et savaient où ils mettaient les pieds. Car le ou les voleurs ont pris soin d’éviter les bassins où se trouvent des bêtes plus agressives. Emmanuel Lemagnen était très inquiet pour leur survie. Car “ces tortues d’eau ont besoin de condition d’élevage très spécifique. Elles peuvent dépérir très vite”. Ce vol devrait connaître des suites judiciaires puisqu’une enquête de gendarmerie a été ouverte, hier matin par la brigade de Sainte-Marie.
Source: http://www.clicanoo.com/index.php?id_article=233979&page=article

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César a été enlevé, Séraphine pleure…


César, l'intrépide qu'il faut constamment surveiller ; César, le vorace qui adore autant le pissenlit que la banane ou le kiwi ; César, l'infatigable qui vadrouille sans cesse, a échappé quelques instants à la surveillance de ses propriétaires pour se retrouver sur le trottoir, au 21, avenue Julien-Bailly à Figeac.

Vendredi 9 avril, aux alentours de 17 h 30, il a été enlevé. Comme le héros de Jean de La Fontaine, César est une tortue terrestre mâle. M. et Mme Bouguerra ont immédiatement donné l'alerte. Les commerçants du foirail ont apposé une affichette et en ont parlé à leurs nombreux contacts. De grands panneaux ont été disposés sur le trottoir, tout le quartier était en alerte. « C'est ainsi que mardi 20 avril, des témoins ont permis d'identifier le ravisseur, puisqu'il a reconnu les faits », explique M. Bouguerra.

« Son ravisseur avait, dans un premier temps, accepté de le restituer en nous demandant de patienter jusqu'à la fin de la semaine, pour le récupérer auprès de la personne à qui il l'aurait confié et qui posséderait un élevage de tortues à Capdenac. Ensuite, il s'est ravisé pour une obscure raison et nous a annoncé qu'il l'avait abandonné sur un terrain, du côté de La Capelette, pour le rendre à la nature », raconte M. Bouguerra.

César laisse une compagne, Séraphine, dans une grande tristesse et des maîtres inconsolables. Cette séparation qui brise 25 ans de vie commune est aussi cruelle qu'inacceptable.



Ses propriétaires demandent de l'aide pour retrouver la personne qui élèverait des tortues à Capdenac. D'avance, ils remercient toutes les personnes qui les aideraient à retrouver César.
Contact : 05 65 34 71 92 ou http :/recherchonscesar.blogspot.com
Source: http://www.ladepeche.fr/article/2010/05/09/831781-Figeac-Cesar-a-ete-enleve-Seraphine-pleure.html

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Retraitée et trafiquante de tortues


JUSTICE - Une sexagénaire a été interpellée dans le Var...

Soupçonnée d’avoir mis sur pied un trafic de tortues venant de La Réunion, une sexagénaire a été interpellée mardi par la gendarmerie de Draguignan dans le Var. Elle a été remise en liberté ce mercredi, en attendant la suite de l’enquête. Au total, elle aurait fait venir clandestinement plus d'une quarantaine d’espèces différentes, dont certaines sont protégées par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (Cites).

Ce business durerait depuis trois ans selon les premiers éléments de l’enquête. La trafiquante présumée aurait caché les animaux dans ses bagages lors de voyages successifs. Les tortues étaient vendues à des prix allant de 500 à 9.000€ selon l’âge ou la race de la bête.

Annonces sur Internet

C’est le service technique de rapprochement judiciaire de Rosny-sous-Bois qui aurait eut les premiers doutes en voyant des annonces sur Internet. L'administration des Douanes, l'Office national de la chasse et de la faune sauvage, la Direction départementale de la protection des populations ainsi que la Brigade centrale de recherches des impôts ont aussitôt été mobilisés sur cette affaire.

La délinquante présumée risque d’être poursuivie pour «travail dissimulé, exercice illégal de la médecine vétérinaire, détention et mise en vente d'animaux non domestiques protégés». Les tortues retrouvées chez elle vont être confiées au Village des Tortues de Gonfaron (Var).

R.B-P.

20minutes.fr

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AVIS DE RECHERCHE: TOTO, TORTUE DE 38 ANS, VOLÉE À MOUTON


La chaîne barrant l'entrée du jardin des Mathieu, à Mouton, a été sectionnée. La tortue, achetée à la foire il y a trente-trois ans, a disparu.



Dans son jardin de Mouton, Evelyne Mathieu montre la photo de sa tortue disparue.
Photo Romain Perrocheau


Pour Evelyne Mathieu, c'est plus qu'un vol: c'est un rapt. Cette Ruelloise, propriétaire d'une maison familiale dans le hameau de «Puygelier» à Mouton, a porté plainte après la disparition de Toto, une tortue terrestre âgée d'environ 38 ans dont elle est sans nouvelles depuis le 14 juillet. Ce jour-là, les Mathieu découvrent qu'en leur absence quelqu'un est entré par effraction dans leur jardin. «On» a sectionné le cadenas et la grosse chaîne qui entourent le lourd portail. Pas de doute, c'est bien le reptile à carapace que les visiteurs ont voulu dérober. Il s'est envolé avec une salade déposée par les propriétaires dans le coin du jardinet pour la nourrir. Rien d'autre n'a disparu. Et la porte d'entrée n'a pas été forcée. L'affaire est très sérieuse et les Mathieu réellement aux quatre cents coups. Toto fait partie de la famille depuis trente-trois ans.

Achetée 40 francs,

elle vaudrait 150 euros

«Mes parents l'ont achetée à l'époque à la foire de Mansle pour 40 francs, se souvient Evelyne Mathieu qui, au fil du temps, s'est attachée à l'animal. Il fallait voir la tortue venir vers nous quand on arrivait pour lui donner à manger. Quand j'étais plus jeune, je me suis retrouvée au chômage pendant quelque temps. Je me suis alors occupé d'elle. Elle m'a beaucoup apporté. Ma mère avait également de l'affection pour cet animal». Lorsque les parents d'Evelyne sont décédés, les Mathieu ont conservé la maison familiale à Mouton. Et laissé Toto dans le jardin. «On n'a pas voulu la changer de cadre. Elle a toujours vécu là. On venait lui donner à manger tous les deux jours.»

L'intérêt de voler une tortue? «Pour la revendre», imaginent les Mathieu. Le reptile entre dans la catégorie des espèces protégées selon la loi française et vaudrait «environ 150 euros» sous le manteau.

Trois semaines après la disparition de sa fidèle compagne, Evelyne Mathieu ne perd pas espoir. Elle a passé une petite annonce dans CL la semaine dernière. Et distribue des photos de Toto dont voici la description: c'est une tortue de type ibéra d'environ 30 centimètres de diamètre et d'à peu près 2 kilos. Si vous l'apercevez, téléphonez au 06.79.98.49.23.


Stéphane URBAJTEL/charentelibre.com

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Des dizaines de tortues d'Hermann victimes d'un incendie dans le Var


Des dizaines de tortues d'Hermann, dernière espèce terrestre de France, ont été victimes d'un incendie en août dans la plaine des Maures (Var), ont annoncé jeudi des organismes de protection de l'environnement.
Cinquante-quatre tortues ont été retrouvées mortes et huit vivantes sur une partie de la zone de 37 hectares ravagée par les flammes dans la commune de Péguier-le-Luc, soit un taux de mortalité de 86%.

"Ce bilan non exhaustif permet de penser que bien plus de tortues ont péri dans l'incendie. De plus, le feu a certainement détruit des oeufs se trouvant en incubation dans le sol à cette période de l'année", ont souligné dans un communiqué plusieurs organismes associés dans le programme de protection européen LIFE "tortue d'Hermann".
A l'état naturel, cette tortue ne vit plus que dans le Var et en Corse, et la plaine des Maures, régulièrement menacée par les flammes, abrite la plus grande population de France continentale, selon la même source.
Source: http://www.leparisien.fr/marseille-13000/des-dizaines-de-tortues-d-hermann-victimes-d-un-incendie-dans-le-var-16-09-2010-1071838.php

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C'est vraiment affreux !

Nous sommes passé, avec Marie-Laure, où ça a bruler, pas sur la même commune du var, mais là les pertes ont dû être tout aussi catastrophiques.

Voici quelques photos prises hier, pour vous donnez une petite idée de l'ampleur des dégâts et ce n'est qu'une toute petite zone touché.



Sur les hauteurs de la Ciotat.


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3 mois avec sursis pour l'éleveur de tortues


DR


Trois mois d'emprisonnement avec sursis, 3 000 d'amende, la confiscation des animaux saisis, plus la confiscation de trois iguanes et d'un wallaby et leur remise à la fondation 'Assistance animaux' : le tribunal correctionnel de Béziers a rendu hier, son délibéré dans une affaire qui a fait grand bruit, jugée le 23 novembre 2010.

Le 30 septembre 2008, les gendarmes et les agents de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage, perquisitionnaient dans des terrains appartenant à un infirmier anesthésiste. À Lignan et à Béziers, l'homme âgé de 43 ans, élevait 630 tortues aquatiques ou terrestres, cinq iguanes, quatre paons, un cygne, une chouette hulotte, des espèces non domestiques, dont certaines protégées ou dangereuses et soumises à des autorisations . Il était
également poursuivi pour l'achat, la capture dans la nature, l'importation et des sévices graves aux animaux.

L'avocat de la défense, Me le Coz plaidait une passion de son client, remontant à l'adolescence, pour les tortues et réfutait les mauvais traitements. Les six associations relatives à la protection des espèces et de l'écosystème constituées en parties civiles, déploraient l'acheminement d'animaux par colis postaux et stigmatisaient le mépris de la loi affiché, selon elles, par le prévenu.
A. K.


midilibre.com

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Une tortue attaquée par des chiens en Nouvelle-Calédonie


Un garde-nature a sauvé de justesse une tortue qui venait d’être attaquée par des chiens, après avoir pondu sur la plage de Poé. La mairie et la province rappellent aux propriétaires d’enfermer leurs bêtes jusqu’à la fin de la période de ponte, en avril.


Une tortue grosse tête a été sauvée par un éco-garde de l’association Bwara tortues marines, sur la plage de Poé, dans la nuit de mardi à mercredi. Il était une heure du matin lorsque ce bénévole a découvert l’animal blessé sur la plage où elle venait pondre. « Sinon, elle serait morte », souligne Dominique Lafage, président de l’association, qui réalise des rondes toutes les nuits et tous les matins durant la période de ponte. La tortue portait d’importances traces de morsures au cou et aux pattes avants qui ont été très abîmées. Elle aurait été mordue par deux chiens aperçus dans les parages cette nuit-là. La fourrière municipale de Bourail est à leur recherche pour savoir s’ils appartiennent à quelqu’un ou non. Un arrêté municipal interdit la présence de chiens sur les plages de Bourail, de la Roche Percée à Poé, jusqu’à fin avril, date de fin de la période de ponte.



Aquarium. Le capitaine de la brigade de la nature, de la Direction de l’environnement de la province Sud, a été immédiatement contacté et a pris en charge la tortue qui a été évacuée vers Nouméa, à l’aquarium des Lagons. Elle a été examinée et il se pourrait qu’elle survive à l’attaque de chiens. « Cette tortue sera vue par un vétérinaire, il faudra la recoudre. Elle en aura au moins pour un mois avant de se remettre. Là, elle est sous perfusion sous antibiotiques et sous corticoïdes pour limiter son stress », explique Romain Laigle.
Tout en saluant la collaboration exemplaire avec la province et l’aquarium, l’association Bwara dénonce clairement un « manque de civisme » du côté des propriétaires de chiens et annonce déjà qu’elle va porter plainte contre X.

Depuis le début de la saison de ponte, les gardes-nature ont déjà constaté des vols d’œufs de tortues dans des nids et ont augmenté la fréquence de leurs rondes. L’équipe de la fourrière municipale est sollicitée pour récupérer les chiens errants afin de limiter des attaques de ce type. « Heureusement, c’est un cas isolé. Toutefois, la province Sud prévoit des contrôles plus réguliers sur la zone et déploiera les moyens nécessaires pour que ce genre d’incident ne se reproduise plus. Déjà en décembre, nous avons lancé une campagne de prévention auprès des riverains de Bourail en distribuant des flyers dans les boîtes aux lettres à destination des propriétaires des chiens, pour qu’ils les tiennent enfermés pendant la période de ponte », rappelle Julika Bourget, responsable de la brigade nature à la Direction de l’environnement.

Amende. Le code de l’environnement prévoit des amendes jusqu’à 1 073 000 francs pour les personnes qui ne respecteraient pas cette espèce protégée. « Sont interdits la destruction ou l’enlèvement des œufs ou des nids, la chasse, la pêche, la destruction, la consommation, la capture ou l’enlèvement, la perturbation intentionnelle », indique ainsi l’article 240-3 du code de l’environnement.
Source:http://www.lnc.nc

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La viande d'une tortue tue quatre personnes


La viande d'une tortue de 60 kilogrammes, appartenant à une espèce menacée, a tué quatre personnes. Par ailleurs, 25 autres victimes ont été hospitalisées.

Lorsque l'infraction à la loi tue. Dans le courant de la semaine, quatre per­sonnes sont mortes, empoisonnées par la viande d'une tortue de mer à Vohé­mar. Ayant eu plus de chance, 25 autres victimes ont échappé au pire. Admises dans un centre hospitalier, elles ont tant bien que mal récupéré, après avoir été placées sous soins intensifs.

Pesant près de 60 kilogrammes, le reptile à l'origine de ce drame, appartient à une espèce menacée. « Les tortues de mer sont protégées. Ne serait-ce que de les toucher, est interdit », met en évidence le chef de district de Vohémar, Eddie Tongatsara. Selon ses explications, des algues hautement toxiques, abondent dans les fonds marins en cette période de l'année. Immunisés, plusieurs variétés de poissons et de tortues survivent, bien que ces végétaux constituent l'essentiel de leur nourriture en cette saison. En consommer provoque néanmoins de graves intoxications, chez l'homme. La toxine virulente, toujours présente dans leur organisme, s'attaque directement au système nerveux humain.

Interdiction

Cette intoxication massive a commencé à sévir dans la ville de Vohémar depuis lundi, lorsqu'un pêcheur a remonté de la mer, la tortue géante. Selon les informations recueillies sur place, il l'a, d'emblée, ramenée chez lui. Après en avoir cuisiné pour le repas, sa femme a vendu le reste au marché.
L'empoisonnement a d'abord frappé le foyer du pêcheur. son chat et son chien étaient les premiers à trépasser après avoir mangé la viande impropre à la consommation. Faute de soins suffisants, il a lui-même été happé par la mort le lendemain.
C'est seulement après, que les personnes ayant acheté de cette viande, en ont fait les frais. Mercredi, une femme et un bébé de cinq mois ont succombé. Et jeudi soir, une deuxième femme a, à son tour, rendu l'âme. Ayant rejoint l'hôpital dès la manifestation des premiers symptômes , les 25 autres victimes sont pour leur part, hors de danger et ont pu regagner leurs foyers respectifs.
«Un arrêté régional, sorti en octobre 2011, interdit le transport, la vente et la conservation de certaines variétés de produits halieutiques, tels que la sardine et la sardinelle, du 1er novembre 2011 au 30 avril 2012, du fait qu'elles se nourrissent de ces algues toxiques. Une campagne de sensibilisation a été effectuée. Après ce drame, une relance a été effectuée », indique le chef de district de Vohémar. Pour prévenir un pareil incident, il incite la population à éviscérer et à couper la tête des poissons susceptibles d'être dangereux.
Source: http://www.lexpressmada.com/vohemar-madagascar/31628-la-viande-d-une-tortue-tue-quatre-personnes.html

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Monaco accueille sept tortues offertes par l'ex-président du Mali en exil


Le Musée océanographique de Monaco a présenté mardi sept nouveaux résidents étrangers, des tortues "sillonnées" offertes par l'ex-président du Mali Amadou Toumani Touré, désormais en exil après un coup d'Etat.

Ces tortues nées dans un centre d'élevage près de Bamako ont quitté la capitale malienne en avion le mardi 17 avril, soit deux jours avant le départ de l'ex-président en exil au Sénégal.

Amadou Toumani Touré a été renversé le 22 mars par des militaires l'accusant d'incurie dans la gestion de la crise en cours depuis mi-janvier dans le nord du Mali. Cette vaste étendue en majorité désertique est tombée sous le contrôle de rebelles touaregs et de divers mouvements armés, dont des islamistes.

Il avait offert les tortues à la mi-février au prince Albert II de Monaco, alors en visite au Mali.

L'arrivée des tortues il y a une semaine à Monaco "n'a pas été un long fleuve tranquille", a indiqué la direction du musée dans un dossier de présentation.

Le voyage s'est fait sous la supervision d'une société de transport monégasque spécialisée dans "les zones soumises à des tensions" et grâce à "des contacts privilégiés noués au Mali".

Les tortues "centrochelys sulcata" sont âgées de 2 à 20 ans et pèsent jusqu'à vingt kilos. Elles sont désormais logées sur le toit-terrasse du musée surplombant la Méditerranée dans un enclos de 80 m2.

La tortue sillonnée est la troisième plus grosse tortue terrestre au monde après celle des Galapagos et la tortue géante des Seychelles.

Cette espèce protégée vit dans quelques zones isolées d'une vaste bande de 500 km de large du Sahel (Mali, Sénégal, Mauritanie, Niger, Nigeria, Centrafrique, Tchad, Soudan et Ethiopie).

Proie des prédateurs et des hommes, victime d'un habitat naturel rétréci, elle risque de disparaître. Caractérisée par des sillons profonds sur ses écailles, cette tortue creuse des terriers en milieu naturel pour se protéger des pics de chaleur et des nuits froides.

Le Musée océanographique de Monaco (670.000 visiteurs en 2011) fait partie du Réseau tortues marines de Méditerranée française, qui s'investit dans la préservation des tortues de terre et de mer.
Source: http://www.lepoint.fr

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Il grave ses initiales sur une tortue et la retrouve 47 ans après


Aux Etats-Unis, un homme a trouvé par hasard une tortue avec laquelle son fils jouait quand il avait 13 ans.



En 1965, Jeff Cokeley est un jeune américain âgé de 13 ans lorsqu'il trouve dans son jardin une tortue. Le jeune homme, qui habite près de Pittsburgh (Pennsylvanie), aux Etats-Unis, conserve l'animal plusieurs jours. Il décide de la relâcher en pleine nature après avoir inscrit sur sa carapace ses initiales, "JC", ainsi que l'année en cours.

L'histoire aurait pu s'arrêter là. Mais 47 ans plus tard, son père, Holland, va faire une drôle de découverte. Alors qu'il promène "Zack", le chien de son voisin, Holland Cokeley remarque que l'animal est particulièrement excité par quelque chose. Ce quelque chose, c'est une tortue. Intrigué, l'homme de 85 ans s'en empare.

"Oh Jésus, c'est la tortue de Jeff !"

"En la soulevant, j'ai pensé 'Oh Jésus, c'est la tortue de Jeff !'", explique l'homme, interrogé par la chaîne locale CBS Pittsburgh. "L'animal est toujours resté dans le même coin depuis 1965 et a toujours les mêmes marques gravées sur son dos".

Jeff Cokeley est maintenant âgé de 60 ans et habite l'Etat mitoyen de New York. Lorsque son père lui envoya des photos de sa tortue, il commença par rire, avant d'être profondément ému.

Après l'avoir conservé plusieurs jours, Holland Cokeley a aussi relâché la tortue, comme son fils, il y a près de 50 ans de cela.
Source:http://tempsreel.nouvelobs.com

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Qui a volé les tortues de l'Albera ?


Connu et très fréquenté par le public, les scolaires, amateurs et autres passionnés de reptiles carapacés, le Centre de Reproduction des Tortues de l'Albera, implanté sur la commune de Garriguella près de Rosas, en Catalogne Sud, a été victime d'un vol sans précédent.

Dans la nuit du 15 avril, peu avant 1 heure du matin, des individus ont pénétré dans le parc, cassant tout sur leur passage, pour dérober quatre tortues : un couple de Centrochelys sulcata adultes, des spécimens qui mesurent 60 cm et pèsent 45 kg et un autre couple cette fois de Stigmochelys pardalis. Dont voici les signalements.

Le mâle Centreochelys sulcata, identifié par la puce 0000E0043, présente deux trous percés dans l'écaille supra caudale. Sa femelle, au numéro de puce 0000020D922, est identifiable, elle, grâce à deux bandes d'usure sur la carapace laissées par les pattes du mâle lors de l'accouplement.

Leurs "enfants", les juveniles sont destinées au projet SOS Sulcata au Sénegal, pour la sauvegarde de cette espèce dans la Réserve Naturelle du Ferlo.

Les Stigmochelys pardalis, ensuite. Ces mâle et femelle de 40 cm chacun ne comportent pas de puces mais sont reconnaissables. Elle a un oeil visiblement proéminent, lui se trouve forcément à proximité.

Dès la découverte du cambriolage, les responsables du Centre catalan ont évidemment déposé plainte et la police a ouvert une enquête. Mais les investigations, pour l'heure, demeurent vaines.

Or, au CTR, on ne se remet pas de ce coup dur. Espèces protégées depuis 1982, et réintroduites sur le site depuis 2005, ces tortues sont devenues des raretés qui survivent près des rivages méditerranéens dans des lieux clos, surveillés, afin qu'une fois reproduits, les progénitures repartent sur leur terre d'origine.

Une centaine d’individus sont ainsi relâchés chaque année pour réjoindre une réserve, et ce dans le cadre d'un programme international dirigé par la société scientifique française SOPTOM, programme destiné à lutter contre l’extinction de cette tortue géante dans son milieu naturel.

Toutes personnes susceptibles de fournir des informations sur les tortues disparues sont donc priées de se mettre en rapport avec le centre de Reproduction de l'Albéra, tél : 972 55 22 45 (0034 depuis la France).
Source: http://www.lindependant.fr

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Incroyable l'histoire de la tortue retrouvé des année apres (si il s'agit pas d'un canular, ou le gars a caché la tortue toute ces année).

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Après 115 ans de vie commune, deux tortues géantes se séparent


Si ces deux-là se séparent, alors que nous reste-t-il ? Bibi et Poldi, deux tortues géantes âgées de 115 ans et vivant ensemble dans le même enclos depuis leur naissance, semblent avoir décidé de prendre des chemins différents. Les deux reptiles, qui sont nés la même année, ont pulvérisé tous les records de «vie à deux» mais depuis quelques semaines Bibi a décidé de vivre sa vie seule, laissant les responsables de leur zoo autrichien pantois.
«Elles ne peuvent plus se voir», a déclaré la directrice du zoo de Klagenfurt, Helga Happ.

C'est la tortue nommée Bibi qui a attaqué sa partenaire la première, exprimant son désir d'être «célibataire» a expliqué Mme Happ. Ces dernières semaines elle a mordu la carapace de Poldi tellement fort qu'elle a fini par en casser un morceau. Les responsables du zoo ont alors décidé de les séparer physiquement, rapporte le média autrichien Austrian Times. Bibi et Poldi, tortues des Galápagos, pèsent toutes les deux environ 100kg et représentent un danger l'une pour l'autre. Si les tortues géantes n'ont pas de dents, elles ont une tête en forme de corne et une mâchoire très puissante qu'elles peuvent utiliser comme une arme.

Bibi, visiblement sortie de son épaisse carapace après plus d'un siècle de vie tranquille, a-t-elle exprimé un souhait d'indépendance ? Les deux reptiles nés en Suisse ont été déplacées ensemble jusqu'au zoo d'Autriche où elles vivent depuis 36 ans. Selon la directrice du zoo, ce phénomène est très rare et des animaux vivant en couple pendant tant d'années ne se séparent jamais. «Nous espérons pouvoir les réconcilier», a confié Mme Happ. Et d'ajouter : « Nous avons du personnel qui leur parle et qui essaie de les faire interagir. On espère qu'elles pourront vivre en harmonie de nouveau ». L'espérance de vie de ces tortues étant de 150 à 200 ans, Bibi a encore un autre siècle devant elle pour changer et revenir vers sa partenaire... ou pas.
Source: http://www.leparisien.fr

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Sidonie, la vénérable tortue de retour au bercail


Poitiers. Le vol d’une tortue dans leur jardin aux Trois-Cités avait profondément choqué ce couple de retraités qui vient de retrouver l’animal. Émotions.

Sidonie, la vénérable tortue de retour au bercail

L'émoi a laissé place à la joie dans le foyer de ce couple de retraités des Trois-Cités. Depuis 12 jours, Paulette et Jacques Texereau se faisait un sens d'encre pour leur tortue Sidonie qui avait été subtilisée, après effraction, dans leur jardin. L'enclos de Sidonie avait été retrouvé désespérément vide un lundi matin et jusqu'à ce jeudi soir, Paulette et Jacques ont remué ciel et terre. Après avoir déposé une plainte au commissariat de Poitiers, lancé un appel dans nos colonnes le 13 juin dernier, apposé des tracts faits « maison » avec photo de l'animal apposés à l'intérieur des abris de bus du quartier, fait jouer le bouche à oreille, la détermination de Paulette et Jacques Texereau a payé.


" C'est la mascotte de notre quartier "

« Hier soir, jour de la Fête de la musique, vers 20 h, j'ai entendu sonner. Lorsque j'ai ouvert la porte, j'ai tout de suite vu Sidonie dans les mains d'un des trois jeunes garçons. Ils m'ont dit qu'ils l'avaient trouvée sur une pelouse du quartier avant de la ramener chez eux dans un appartement. » Paulette, du haut de ses 80 printemps cette année, ne cesse de repasser les images dans sa tête. Les mots se bousculent même. Ivre de bonheur, elle avoue avoir eu la présence d'esprit de donner une « toute petite pièce et un paquet de Carambars » aux jeunes garçons. Depuis, elle examine l'animal, le caresse, lui parle avec une infinie douceur. Au regard de ses quarante centimètres de tour de taille – enfin de carapace –, et de son attitude débonnaire à retrouver ses marques, l'animal n'a pas trop souffert. Et si elle a boudé toute pitance juste après son retour, hier elle a dévoré les jolies fraises du jardin avec une certaine frénésie.

Plus que cinquantenaire

D'un regard attendri, Paulette évoque les habitudes de l'animal. « Tous les hivers, nous la rentrons dans une caisse contenant de la paille. Dès qu'elle donne des petits coups au printemps, nous la sortons. Et l'été, on l'arrose quand il fait trop chaud. Elle a même un abri en ciment à l'ombre qu'on arrose aussi pour maintenir la fraîcheur. » Il est difficile de donner un âge à la vénérable demoiselle. « Je l'ai toujours connue. Ma mère la possédait depuis plusieurs années avant de me la donner, il y a 40 ans ! » Et en dehors de cette escapade forcée, elle coule des jours paisibles, gentiment chahutée par les trois petits-enfants et quatre arrière-petits-enfants du couple. Le carillon de l'horloge de la salle à manger égrène les douze coups de midi. Paulette et Jacques Texereau sont heureux. Et c'est bien tout ce qui compte.


A savoir

Une mésaventure sans incidence

Thierry Bordat est à la fois directeur de « La Planète des crocodiles » à Civaux, et spécialiste des animaux protégés dont le commerce est sérieusement réglementé. Après lui avoir exposé le cas de Sidonie, Thierry Bordat assure que « dans une vie de tortue, l'incident est anecdotique et n'aura aucune conséquence. Il faut peut-être juste la tremper dans l'eau tiède pour la réhydrater ». Il rappelle que la carte d'identité de l'animal se trouve sur se carapace. D'ailleurs, seul son œil d'expert pourra donner un âge à Sidonie et définir s'il s'agit d'une tortue terrestre Hermann ou mauresque ; les deux espèces européennes. Selon lui, les propriétaires de Sidonie devraient « régulariser la situation auprès des services vétérinaires de la Direction départementale de la protection des populations pour qu'elle soit identifiée et tatouée. » Et peut-être lui donner du pissenlit frais, un aliment de base.
Source: http://www.lanouvellerepublique.fr/

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Une tortue, vétéran de la Première Guerre mondiale, cherche un maître


La tortue méditerranéenne qui s’appelle Blake, est à la recherche d'un nouveau propriétaire, rapporte The Sun.

Blake a été pris d’un champ de bataille sur la péninsule de Gallipoli en Turquie par un soldat britannique qui s’appelle Marris au cours de la Première Guerre mondiale de 1915. En 1916, le soldat a rapporté la tortue en Grande-Bretagne, écrit le Daily Mail.

Le premier propriétaire de Blake est mort il y a 30 ans. En 1983, Blake a été repris par une militante pour la protection des animaux Marion Skinner, actuellement âgée de 67 ans, et qui n’a plus la santé de s’occuper de la tortue.

Skinner a dit qu'avec l'âge, la vue de Blake s’est détériorée, mais il continue à s’accoupler activement avec des femelles. En attendant son nouveau maître, Blake vit dans un service d’accueil pour les animaux Norfolk Tortoise Club.
Source: http://french.ruvr.ru

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Dimanche, le service du parc national des Galapagos a annoncé que "George le solitaire" était mort. Cette tortue géante que l'on supposait avoir plus de 100 ans était la dernière représentante de son espèce Geochelone Abigdoni.

"George le solitaire" est mort. C'est la triste nouvelle qu'a annoncée ce week-end le service du parc national des Galapagos situé en Equateur. Cette tortue géante dont l'âge était estimée à plus de 100 ans avait été observée en 1972 sur l'île de Pinta et avait constitué une véritable découverte, alors que les scientifiques pensaient que la sous-espèce à laquelle elle appartenait avait disparu depuis longtemps. La nouvelle est donc d'autant plus triste puisque "George le solitaire" semblait être le dernier représentant de cette sous-espèce baptisée Chelonoidis nigra abingdoni.



En effet, après l'arrivée de la tortue au parc national, de nombreuses tentatives de reproduction ont été menées mais toutes ont échoué. George a ainsi notamment vécu pendant 15 ans avec une femelle tortue provenant de la région du volcan Wolf en Equateur. Mais si les deux se sont bien accouplés, les oeufs pondus se sont avérés infertiles. Après cela, il a également partagé son enclos avec d'autres femelles venant cette fois-ci d'îles espagnoles et étant plus proches de lui génétiquement que sa précédente compagne. Toutefois, George le solitaire a échoué à s'accoupler avec elles.



Toutes ces années, la tortue est néanmoins devenue un symbole pour le parc national amenant quelque 180.000 visiteurs par an. Alors que les adultes de ces espèces de tortue géante peuvent vivre jusqu'à 200 ans, les causes de la mort de George reste floues pour l'instant. Elle a été découverte morte dans son enclos par l'homme qui la gardait depuis 40 ans, Fausto Llerena. Pour en savoir plus, les services du parc ont annoncé qu'une autopsie serait pratiquée sur le corps de la tortue avant qu'elle ne soit très certainement naturalisée.

Des tortues géantes décimées par l'homme

Jusqu'au XIXe siècle, les tortues vivaient en très grand nombre sur les îles Galapagos. Puis elles ont commencé à décliner lorsque les marins et les pêcheurs se sont mis à les chasser pour leur viande jusqu'à les pousser au bord de l'extinction. C'est ensuite leur habitat qui a été menacé par l'introduction de chèvres, donnant un nouveau coup aux populations. Aujourd'hui, quelque 20.000 tortues géantes d'autres sous-espèces vivraient encore sur les îles Galapagos dans l'océan Pacifique.

source: Maxisciences

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Une tortue des steppes siamoise à deux têtes et six pattes est exposée au musée des sciences naturelles à Kiev où les visiteurs pourront observer pendant deux mois le reptile dont la survie s'apparente à un miracle.

Cette tortue âgée de cinq ans a une carapace en forme de coeur, large d'une douzaine de centimètres, a constaté vendredi un journaliste de l'AFP.

"Ce n'est pas vraiment une tortue à deux têtes au sens strict du terme, mais plutôt deux tortues siamoises", a expliqué à l'AFP Iouri Jouravliov, un zoologue de la société Ekzoland, qui a organisé l'exposition.

"Cette femelle a deux têtes, deux coeurs, quatre pattes avant, mais deux arrière et un seul intestin", a-t-il raconté.

Les deux têtes ont des caractères différents même dans leurs préférences alimentaires. Celle à gauche, dominante et plus active, "préfère la nourriture verte, l'autre, des produits aux couleurs plus chaudes: carottes, fleurs de pissenlit", a décrit le zoologue.

Cette tortue des steppes, espèce répandue en Asie centrale et qui peut vivre jusqu'à 50, voire 60 ans, a été acquise à un Ukrainien qui l'avait gardée chez lui depuis sa naissance, selon M. Jouravliov.

"Les animaux avec ce genre de pathologie naissent rarement, ils ne survivent pas dans les conditions naturelles", a-t-il ajouté.

L'été dernier, un zoo privé a exposé un serpent roi de Californie à deux têtes à Yalta, dans le sud de l'Ukraine. (belga)




* Source 7sur7.be

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Une tortue luth s'échoue à Equihen-Plage


Une tortue luth s'échoue à Equihen-Plage


Ce mardi, vers 17 heures, les sapeurs-pompiers, la police municipale et le service animalier Opale Capture sont intervenus sur la plage d'Equihen-Plage (Pas-de-Calais), juste devant le poste de secours.

Une tortue luth, morte, s'est échouée après être restée plusieurs jours dans l'eau. Elle avait notamment été signalée à hauteur de la baie de Canche, la semaine dernière. Identifiée par le centre des mammifères marins de La Rochelle, l'animal provient des Caraïbes. On ignore encore comment elle a pu arriver jusqu'à nos côtes. Les scientifiques du centre de La Rochelle devraient expertiser très prochainement le cadavre de l'animal, pour espérer avoir davantage d'informations.



Source : lasemainedansleboulonnais.fr

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2 tortues luth sans vie en baie de Somme


Les corps de deux tortues luth ont été retrouvés en l'espace de cinq jours en baie de Somme et sur une plage du Pas-de-Calais, ce qui est rarissime dans cette zone ,selon le Centre national de la mer Nausicaa de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais).

La dernière tortue -mesurant 1,20 mètre et pesant 100 kilos- a été trouvée mardi sur la plage d'Equihen, à Ecault (Pas-de-Calais), et remise à Nausicaa pour autopsie.
Vendredi, c'était une tortue de la même espèce -classée en danger critique d'extinction- de 200 kg et 1,80 mètre qui avait été découverte sur une plage près d'Ault (Somme), en baie de Somme. Elle était porteuse d'un transpondeur (puce d'identification) qui devrait permettre de connaître son périple.
Dans les deux cas, la dégradation des corps ferait remonter la mort à plusieurs semaines.


Source : lefigaro.fr

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Épinglé pour possession illégale de tortue marine



Une escouade de la National Coast Guard de l’Eastern Division, sous la responsabilité du Chef Inspecteur Lutchmoodoo Reddy, a monté une opération dans la journée d’hier relative à un cas de possession illégale de tortues marines à Quatre-Sœurs, Deux-Frères. Un habitant a été épinglé pour possession d’une tortue marine d’environ 50 kg qui était attachée à un poteau en béton à son domicile. Conformément à l’article 17 de la Fisheries Act de 2007, il a été verbalisé et sommé par les membres de la NCG de relâcher la tortue en mer. « La tortue marine est une espèce rare, protégée par la loi à Maurice. Le braconnage comme le commerce sont interdits. Au niveau de la NCG nous restons engagés dans la protection de la richesse marine dans les eaux mauriciennes et continuons à veiller à toute violation des lois », fait-on comprendre dans les milieux autorisés.

Source : lemauricien.com

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Une tortue luth échappe à la mort à Port-Gentil





Entrainée par les vagues de l’océan sur une plage de Port-Gentil, une tortue luth a failli finir dans l'estomac d’un pécheur trop gourmand se trouvant sur les lieux.

La bête a été aperçue par un pêcheur en activité à la plage située au quartier Côte d’Azur, dans une banlieue de la ville de Port-Gentil. L'homme croyant avoir trouvé sa pitance du jour a commencé à donner des coups de manchette à l'infortuné animal. Heureusement pour cette tortue luth, l'attention de quelques travailleurs d’une société pétrolière présents dans les parages a été attirée par l'étrange combat. Ces derniers ont accouru pour porter secours à l'animal et l'arracher aux mains assassines de son bourreau. L'animal blessé a été remis à l’eau.

Rappelons que la tortue luth fait partie des espèces animales intégralement protégées par la loi gabonaise. L’administration en charge de l’environnement et les associations ou organisations de la société civile de ce secteur doivent multiplier les campagnes de sensibilisation dans le but d’une prise de conscience élargie.



Source : gabonews.ga

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Une tortue géante retrouvée sur une plage du Verdon-sur-Mer (33)


Le cadavre d'une tortue luth, la plus grosse tortue marine au monde, a été retrouvé lundi sur les rivages girondins




Au Verdon (33). La tortue luth est la plus grosse tortue marine au monde. (DR)



Étrange rencontre sur la plage médocaine du Verdon-sur-Mer : lundi 12 novembre, vers 16 heures, Maryse et Christian Sinsout, qui se promenaient sur la plage des Cantines, sont tombés sur une tortue luth d’environ 2 mètres de longueur en état de décomposition avancée.

La mairie et les services vétérinaires ont été alertés pour enlever et autopsier la carcasse de cet animal qui fréquente tous les océans de la planète.

Classée espèce en voie de disparition (du fait de braconnage, des filets de pêche, de la pollution et de l'urbanisation du littoral), la tortue luth est la plus grosse tortue marine au monde.


sudouest.fr

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Paris : une tortue chinoise découverte dans le lac du parc Montsouris


Parc Montsouris (XIVe). Cette tortue à carapace molle mesure entre 30 et 40 cm.
Elle a sans doute été abandonnée par un propriétaire indélicat. | (DR.)

Drôle de trouvaille! Les jardiniers de la Ville ont découvert au fond du lac du parc Montsouris (XIVe) une tortue à carapace molle d’origine asiatique. « Elle a vraiment un look préhistorique », s’étonnait Celia Blauel, conseillère municipale écologiste du XIVe arrondissement.

La bête, jaunâtre, presque albinos, a été identifiée comme un Pelodiscus sinensis. Elle viendrait de Chine.
Et mesure entre 30 et 40 cm.

Que faisait l’intruse en plein Paris? « Malheureusement, c’est un cas de figure classique, regrette Fabienne Giboudeaux, adjointe au maire de Paris chargée des espaces verts. Cette tortue qui vient sans doute d’une animalerie a été laissée par un propriétaire indélicat. Nous avons beaucoup d’abandon de tortues, mais rarement cette espèce-ci qui est rare et chère, et grossit vite… » Le Pelodiscus sinensis se négocie une cinquantaine d’euros.

Les jardiniers de la Ville doivent souvent faire face aux abandons. Le hit-parade du bestiaire parisien a une géographie : « Nous avons l’écureuil de Corée retrouvé au square du Temple (IIIe) et dans les bois, détaille Fabienne Giboudeaux, les poissons rouges dans les mares des jardins du XXe, les piranhas dans la Seine, les chats au jardin des Halles, à Bagatelle et au Père Lachaise, les perruches au parc Montsouris et au bois de Vincennes. »

Reste que la tortue à carapace molle qui barbotte toute seule dans son lac du XIVe arrondissement et ne va pas se reproduire a été jugée non dangereuse. Il a donc été décidé de la laisser couler des jours paisibles au parc Montsouris.

Fabienne Giboudeaux, elle, est plus pessimiste : « C’est une espèce exotique. Ici, elle aura du mal à s’adapter. Elle ne va pas faire long feu. »


Le Parisien

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Brésil: Une tortue survit trente ans dans le débarras d'une maison


Leur tortue Manuela avait disparu en 1982. Du moins, c’est ce qu’ils croyaient. La famille Almeida, qui réside à Rio de Janeiro, a eu la surprise de retrouver sa tortue domestique dans le débarras que le père utilisait pour son matériel électrique. A la mort de celui-ci, le rangement de la pièce a donc réservé une bonne surprise à Leandro, son fils: «J’ai posé une boîte contenant un vieux tourne-disque sur le trottoir pour que les éboueurs la ramassent, et les voisins m’ont dit: "Vous n’allez pas jeter la tortue avec"?», a-t-il raconté à TV Globo. «Je l’ai vue à ce moment-là, je n’en revenais pas!»

Selon les vétérinaires, la tortue a survécu trente ans uniquement en se nourrissant de termites vivant dans le parquet en bois. De plus, Manuela est une tortue charbonnière à pattes rouges, une espèce particulièrement résistante qui peut survivre pendant deux ou trois ans sans manger, ont expliqué les vétérinaires.
Source: http://www.20minutes.fr

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Une tortue de 50 ans volée à Cambuston


Une tortue de 50 ans volée à Cambuston
La tortue a disparu depuis mardi.


SAINT-ANDRÉ

Ses mensurations sont aussi vénérables que son âge. La tortue dépasse les 40 cm de longueur pour quasi autant de hauteur. Selon son propriétaire, elle doit désormais être âgée d’environ 50 ans. Une particularité : sa carapace jaune tachetée de marron, soit le contraire des codes liés à la race des radiata. Éric ne pensait pas qu’un jour on lui volerait sa tortue, achetée en bonne et due forme il y a environ trois ans à une dame de Salazie. "C’est devenu comme un marmaille, elle répond quand on l’appelle, on s’attache", déplore-t-il. Le Saint-Andréen a constaté l’absence de l’animal mardi matin.
Le jeune homme est en train de déménager et ne dort plus dans son ancien logement, situé à Cambuston, depuis plusieurs semaines. Ce qui a pu mettre la puce à l’oreille des voleurs... Ces derniers sont repartis avec le mâle, plus volumineux, laissant derrière eux la femelle et ses œufs sur le point d’éclore. Éric laisse une dernière chance aux voleurs de lui ramener sa tortue. Il met la pression évoquant des "suspicions" concernant leur identité. Il offre une récompense pour tout renseignement utile. Si la tortue ne devait pas lui être rendue rapidement, ce sera la police... Pour toute information : 06 92 64 70 49

clicanoo.re

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Brignogan-Plages. Une tortue marine vient s’échouer au phare


Océanopolis a été contacté pour venir identifier et étudier cette tortue marine
que les courants ont portée à la côte, à Brignogan.
Ouest-France.



La tempête a poussé bien des épaves à la côte, près de Brignogan-Plages (Finistère) dont la liste complète ferait un inventaire à la Prévert : une bouée cardinale (Aman Ar Ross), un dauphin, un mergule nain (un pingouin originaire de l’Arctique) et tout dernièrement, une tortue marine. L’animal qui pèse 2,8 kg, est venu agoniser non loin du phare. Un des permanents du club nautique, Jean-Luc Brébion, a ramassé la tortue alors qu’elle expirait : « C’est la deuxième tortue tropicale qui vient s’échouer ici en 15 ans. »

ouest-france

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Les douanes du Havre interceptent des tortues dans un colis postal



Les cinq tortues ont été découvertes lors d'un contrôle inopiné. Elles étaient en très mauvais état, et complètement déshydratées.


© France 3 Haute-Normandie
Les douaniers du Havre ont intercepté cinq tortues via un colis postal.


Jeudi 11 avril, les douaniers du Havre ont fait une découverte étonnante dans un colis postal. Ils se sont retrouvés nez à nez avec cinq tortues déshydratés et parasitées. Le colis était en provenance de Marseille. Dans ce piteux état, les tortues ont été conduites au centre d'hébergement et d'études sur la nature et l'environnement (CHENE) d'Allouville-Bellefosse.
Ces tortues dites "grecques" sont originaires du bassin méditerranéen et sont une espèce menacée interdite à la vente. Et pourtant un Normand les a commandées par Internet pour 200 euros. L'acheteur risque une amende voire des poursuites judiciaires. Les tortues une fois remises seront amenées dans un refuge adapté.

Voir le reportage ci-dessous de Bénédicte Drouet et Nagib Ben Ghezala
Avec l'interview
Alain Beaufils: Responsable du Centre de sauvegarde de la Faune Sauvage (CHENE)

Par Carole Belingard




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Tuffy, une tortue verte blessée par un harpon


Une tortue verte, pesant 8 kilos pour 45 cm, a été trouvée dans le lagon de Tikehau, blessée par un harpon au niveau du cou. L'animal a été transporté à la clinique des tortues de Moorea pour des soins vétérinaires. L'association Te mana o te moana indique que l'animal, surnommé Tuffy, présente de multiples plaies sur la tête, la carapace et les nageoires. Elle sera relâchée une fois sa guérison terminée. Tuffy est la seconde tortue blessée par flèche qui est soignée à la clinique des tortues depuis le début de l'année. Te mana o te moana rappelle la législation en vigueur : "Toutes les espèces de tortues marines sont protégées. À ce titre, leur destruction, mutilation, perturbation intentionnelle, capture ou enlèvement, la naturalisation de spécimens vivants ou morts et de leurs œufs, leur transport, colportage, utilisation, détention, mise en vente, vente ou achat sont strictement interdits par le code de l’environnement qui réprime sévèrement de tels agissements."

Source : lesnouvelles.pf

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Une nouvelle tortue blessée par fusil harpon



Trouvée dans un sale état, la tortue est parvenue à échapper aux chasseurs,
non sans quelques traces visibles.


Trouvée dans le lagon de Tikehau, aux Tuamotu


Une nouvelle pensionnaire est arrivée, samedi, à la clinique des tortues marines de Moorea. Tuffy est une jeune tortue verte de 8 kg pour 45 cm qui a été trouvée dans le lagon de Tikehau. Blessée par une flèche de fusil harpon au niveau du cou et présentant de multiples plaies sur la tête, la carapace et les nageoires, elle fait maintenant l’objet de soins vétérinaires en attendant sa guérison, puis sa relâche. Tuffy est la deuxième tortue blessée par flèche qui arrive depuis début 2013 à la clinique des tortues. Sammy, une jeune tortue imbriquée d’à peine 1,5 kg - dont la chair est toxique - avait été trouvée quelques mois plus tôt par des collégiens de Moorea. Depuis sa création en septembre 2004, la clinique des tortues de Moorea a accueilli plus de 300 tortues provenant de tous les archipels dont une part importante a été blessée par l’homme. Autorisée par arrêté ministériel et située au sein de l’Intercontinental Moorea Resort and spa, elle est gérée par l’association Te mana o te moana et composée d’une équipe de vétérinaires, biologistes, techniciens et bénévoles.

L’équipe de Te mana o te moana tient d’ailleurs à remercier l’ensemble des personnes qui ont permis le rapatriement de Tuffy à Moorea, notamment le Ninamu Resort et Chris O Callaghan qui ont découvert et placé la tortue dans un endroit sûr, la direction de l’Environnement qui a coordonné le transport et fourni les autorisations nécessaires, Air Tahiti qui permit le transport de la tortue dans le cadre de la convention de partenariat avec Te mana o te moana et le centre écologique du Méridien de Bora Bora.


Source : ladepeche.pf

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Valko a écrit:

Dimanche, le service du parc national des Galapagos a annoncé que "George le solitaire" était mort. Cette tortue géante que l'on supposait avoir plus de 100 ans était la dernière représentante de son espèce Geochelone Abigdoni.

"George le solitaire" est mort. C'est la triste nouvelle qu'a annoncée ce week-end le service du parc national des Galapagos situé en Equateur. Cette tortue géante dont l'âge était estimée à plus de 100 ans avait été observée en 1972 sur l'île de Pinta et avait constitué une véritable découverte, alors que les scientifiques pensaient que la sous-espèce à laquelle elle appartenait avait disparu depuis longtemps. La nouvelle est donc d'autant plus triste puisque "George le solitaire" semblait être le dernier représentant de cette sous-espèce baptisée Chelonoidis nigra abingdoni.



En effet, après l'arrivée de la tortue au parc national, de nombreuses tentatives de reproduction ont été menées mais toutes ont échoué. George a ainsi notamment vécu pendant 15 ans avec une femelle tortue provenant de la région du volcan Wolf en Equateur. Mais si les deux se sont bien accouplés, les oeufs pondus se sont avérés infertiles. Après cela, il a également partagé son enclos avec d'autres femelles venant cette fois-ci d'îles espagnoles et étant plus proches de lui génétiquement que sa précédente compagne. Toutefois, George le solitaire a échoué à s'accoupler avec elles.



Toutes ces années, la tortue est néanmoins devenue un symbole pour le parc national amenant quelque 180.000 visiteurs par an. Alors que les adultes de ces espèces de tortue géante peuvent vivre jusqu'à 200 ans, les causes de la mort de George reste floues pour l'instant. Elle a été découverte morte dans son enclos par l'homme qui la gardait depuis 40 ans, Fausto Llerena. Pour en savoir plus, les services du parc ont annoncé qu'une autopsie serait pratiquée sur le corps de la tortue avant qu'elle ne soit très certainement naturalisée.

Des tortues géantes décimées par l'homme

Jusqu'au XIXe siècle, les tortues vivaient en très grand nombre sur les îles Galapagos. Puis elles ont commencé à décliner lorsque les marins et les pêcheurs se sont mis à les chasser pour leur viande jusqu'à les pousser au bord de l'extinction. C'est ensuite leur habitat qui a été menacé par l'introduction de chèvres, donnant un nouveau coup aux populations. Aujourd'hui, quelque 20.000 tortues géantes d'autres sous-espèces vivraient encore sur les îles Galapagos dans l'océan Pacifique.

source: Maxisciences




"Georges la tortue" reviendra embaumé aux Galapagos


© afp.


"Georges le Solitaire", une tortue centenaire originaire des Galapagos un temps considérée comme le dernier représentant de son espèce, morte il y a un an, reviendra en mars 2014 sur l'archipel équatorien après son embaumement aux États-Unis.

"Georges" avait été découvert en 1971 à Pinta, une des principales îles de l'archipel, situé à un millier de kilomètres des côtes. Il était mort le 24 juin 2012, de causes naturelles, après des dizaines d'années d'effort infructueux pour tenter de le faire se reproduire.

Le Parc naturel des Galapagos (PNG), où il sera exposé dans un musée consacré aux tortues, lancera en 2014 un projet pour ressusciter la lignée, après avoir découvert des gènes identiques aux siens dans l'ADN d'une tortue hybride d'une autre île de l'archipel, Isabela.

"Début mars 2014, le corps préservé et prêt à être exposé reviendra" des États-Unis a expliqué Washington Tapia, chercheur un PNG. Le corps congelé de la tortue géante avait été envoyé mi-mars à New York pour être embaumé au Musée américain d'histoire naturelle, "par le meilleur taxidermiste de tortues au monde", selon M. Tapia.

Entre 30.000 et 40.000 tortues d'une dizaine d'espèces différentes, dont certaines peuvent atteindre 1,80m et vivre jusqu'à 180 ans, peuplent les îles Galapagos. Cet archipel, classé au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco depuis trois décennies, est célèbre pour avoir inspiré la théorie de l'évolution des espèces au naturaliste britannique Charles Darwin.

Source : 7sur7.be

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L’Île-Rousse: une tortue de Floride découverte dans un jardin


Une grande tortue de Floride a été découverte dans un jardin de L’Île-Rousse, quartier du Sémaphore. Habituée aux marécages, le reptile carnivore était bien loin de son habitat naturel.

La tortue d’eau douce a été récupérée avec soin, avant d’être placée dans un carton, direction A Cupulatta, en express, par la micheline…

Pour contacter le centre d’élevage et de production de la tortue, situé à Vero : Tél. : 04.95.52.82.34.

Source : corsematin.com

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Un braconnier de tortue qui pêchait en kayak arrêté


Les gendarmes ont saisi la viande et la carapace de l’animal,
qu’ils ont détruits, ainsi que le kayak du pêcheur.


TAIARAPU OUEST - Les acheteurs sont également inquiétés

Dimanche dernier, plusieurs individus ont été appréhendés à la presqu’île pour le braconnage d’une tortue. La veille, un homme parti sur le lagon de Vairao à bord de son kayak, avait volontaire pêché l’un de ces reptiles, puis avait revendu l’animal, le lendemain, à un autre individu, moyennant 15 000 Fcfp.

Un témoin avait, dans la foulée, assisté au dépeçage de la tortue et prévenu les autorités. En arrivant sur place, les gendarmes ont surpris l’acheteur et son beau-frère, qui conditionnaient la viande pour un total de 9 kilos. Chez le pêcheur, les militaires ont saisi 13 000 Fcfp en liquide, mais aussi le kayak utilisé pour commettre les faits. Les trois hommes seront convoqués au tribunal pour s’expliquer.

Le Code de l’environnement prévoit une peine allant jusqu’à un an d’emprisonnement et près d’un million Fcfp d’amende à l’encontre des braconniers. Le matériel ayant servi à la pêche illicite peut en outre être saisi par la justice.

Source : ladepeche.pf

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Pessac : une famille se fait dérober onze tortues !





La famille Villechalane, installée à Pessac, s’est fait volé onze tortues d’Hermann et tortues grecques dans la nuit du 31 mai au 1er juin à son domicile. Sur les douze tortues terrestres qu’elle possédait, seule une est encore présente. «Les onze autres n’ont pas pu partir d’elles-mêmes, car elles étaient installées dans un enclos protégé par un muret et un grillage. De plus, nous avons retrouvé une jardinière cassée», explique Chloé Villechalane, qui pense que «les voleurs ont escaladé le grillage pour les prendre». Ces tortues sont des espèces protégées «en voie de disparition» qui intéressent les voleurs car «elles peuvent coûter chères ; on peut compter environ100€ par tortue».

Si la vente de ces animaux était interdite dans les années 80, depuis quelques années leur commercialisation est autorisée sous certaines conditions : chaque spécimen vendu nécessite un certificat intracommunautaire garantissant qu’il est issu de parents vivant en captivité et n’a donc pas été prélevé dans la nature. Par ailleurs, pour élever ces tortues, il faut aussi détenir une autorisation d’élevage d’agrément et leur mettre une puce électronique.

20 ans à Pessac

Ce vol n’est pas sans attrister la famille Villechalane, d’autant plus que celle-ci détenait ces tortues« depuis près de quinze ou vingt ans pour certaines d’entre elles», raconte Chloé. Dans un premier temps, un collègue de Gérard Villechalane, le père de famille, avait d’abord donné deux tortues à la famille, puis quelques années plus tard, une voisine partant en maison de retraite lui avait aussi fait don des siennes. «Trois tortues sont ensuite nées ici, dans notre jardin», raconte Chloé. Parmi les tortues disparues, une possède un signe distinctif : « C’est une tortue adulte qui s’est fait mordre par un chien et qui a donc la carapace un peu grignotée», explique- t-elle.
Pour tenter de retrouver ses animaux, la famille Villechalane a fait le maximum: elle a porté plainte au commissariat de Bordeaux, alerté plusieurs organismes et associations (dont les fondations Brigitte Bardot et 30 millions d’amis, etc.). Des initiatives malheureusement restées vaines jusqu’à présent.• EM

Pour plus d’infos ou si vous avez aperçu ces onze tortues, vous pouvez contacter Chloé Villechalane au 06 65 67 05 25

Photo : quelques-unes des tortues de la famille Villechalane ayant disparu il y a quelques jours

bordeaux7.com

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Une tortue tuée à coups de clubs de golf




Une forte récompense est offerte à toute personne permettant d’identifier le ou les auteurs du massacre d’une tortue. L’animal a succombé à ses blessures malgré une opération chirurgicale.

L’attaque s’est produite lundi entre 7h30 et 9h30 du matin sur le parcours de golf de Delavan (Wisconsin). La tortue, une femelle, cherchait à déposer ses œufs dans le sable d’un bunker lorsqu’elle a été frappée à plusieurs reprises avec un club de golf.

L’association PETA a offert 5.000 dollars de récompense à toute personne permettra l’arrestation de l’auteur. Une autre organisation a promis de son côté 1.000 dollars. La page Facebook du Département des ressources naturelles du Wisconsin.

blogs.sudinfo.be

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Taizé. Pipette la tortue de 44 ans dérobée dans un jardin


Dans la nuit de dimanche à lundi, une habitante du village de Taizé s’est fait voler sa tortue, baptisée Pipette et âgée de 44 ans. La disparition du reptile a rendu sa propriétaire bien malheureuse. Plainte a été déposée à la gendarmerie, qui mène l’enquête. Le fils de la victime en appelle au civisme du voleur : « Si ce personnage a encore un peu de bon sens et des regrets, il peut encore ramener Pipette où il l'a trouvée ». Il laisse aussi son numéro de téléphone (06 08 54 10 32) pour quiconque aurait des informations sur la tortue quadragénaire, récompense à l’appui.

Plus d'information dans le Courrier de l'Ouest

courrierdelouest.fr

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