askook 0 Posté(e) le 15 mars 2013 Des tortues indigènes de l'île Rodrigues, située à 600 km au nord-est de Port-Louis, ont été massacrées, révèle l'association Comité d'action rodriguais d' étude et de protection des tortues marines (CARET).Onze carapaces de tortues ont été découvertes récemment à Baladirou, dans le nord de l'île, en pleine saison de ponte.Selon Aurèle André, fondateur de CARET, les jeunes tortues avaient été tuées en mer alors que les plus grandes auraient été massacrées sur la plage alors qu'elles venaient y déposer leurs oeufs.Certaines de ces reptiles mesuraient plus d'un mètre de long, ce qui implique qu'elles avaient entre 40 et 50 ans.La pêche de la tortue est interdite à Maurice mais des braconniers continuent de défier les autorités car la chair de ce reptile est savoureuse et très recherchée.Ce massacre survient un mois après la découverte d'une tortue imbriquée venue pondre sur la plage de Jeanmac et qui avait pu être photographiée pour la première fois depuis les années 1950.Les photos de la tortue envoyées à des experts en France devaient confirmer qu'il s'agissait d'une espèce que l'on croyait disparue, la tortue imbriquée (Hawksbillturtle), une espèce indigène qui débarque ses oeufs en solitaire.Pendant la saison de la ponte, elle revient à terre trois fois sur une période de 45 jours, à 15 jours d'intervalle.Aurèle André, qui est également officier à la réserve François Leguat, a approché le ministre mauricien de la Pêche pour mettre en place un plan d'action pour sauver les tortues."Le jeu en vaut la chandelle, autant d'un point touristique que scientifique. En particulier, le potentiel écotouristique d'un programme de protection de tortues est immense", affirme Aurèle André.Source: http://french.cri.cn Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
flaac1 0 Posté(e) le 15 mars 2013 L'abattage à vue est autorisé pour des enflure qui considèrent qu'un repas fin vaut la disparition d'une espèce? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites