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rosiemini

une spca independante ...

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Il y beaucoup de mauvaise chose dite sur la spca, mais pas sur tout Yes

Citation :
La SPCA Laurentides Labelle, un centre d'adoption sans euthanasie


J'ai eu des bon commentaire d'une famille qui a adopter leur animaux la Content

Je reviens justement de chez mondou et des representant de cette SPCA etait la, renseignait les gens sur l'adoption d'un animaux au refuge, ils vendaient des collant en cas d'incendit.... et des bracelet ( Moi et ma soeur en avons acheter un ( chacune )

Citation :
La SPCA Laurentides Labelle est complètement indépendante des autres SPCA sur le plan financier et ne reçoit aucune subvention gouvernementale. Elle survit grâce à la générosité du public, certaines entreprises et à ses levées de fonds.

La "SPCA canadienne" est en réalité: la SPCA de Montréal et de Laval seulement.

La SPCA Laurentides-Labelle NE reçoit AUCUNE aide financière de la "SPCA canadienne".


J'aimerais peu etre maranger pour etre benovole cette ete meme si c'est un peu loin de chez moi et si je ne travail pas Content

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Citation :

Cette femelle mastiff ne pesait que 70 livres au lieu de 150 livres! lorsque l’équipe de la SPCA Laurentides Labelle L’a sauvée

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rosiemini a écrit:
Citation :

Cette femelle mastiff ne pesait que 70 livres au lieu de 150 livres! lorsque l’équipe de la SPCA Laurentides Labelle L’a sauvée


SnifSnifSnifSnifSnifSnifSnifSnifSnifSnifSnifSnifSnifSnifSnifSnif

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Bravo !

A cette personne qui fait des nuances et qui informe, les gens que les SPCA du Québec ne sont pas sous la gouverne de la SPCA de Montréal.

La SPCA de Laurentide Labelle, bien qu'affiliée, pour le logo seulement a un conseil d'administration indépendant, une gestion indépendante et honnête.

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Je me jure a moi meme que des que j'ai un apart, je vais adopter un chat a la SPCALL

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C'est toujours beau d'entendre dire : sans euthanasie...
Mais qu'arrive-t-il lorsque les locaux sont plein à craquer?( ce qui arrive régulièrement).
Plus de place! Et pas d'argent!
Plus capable d'en prendre des chiens et chats.
Est-ce qu'il y a une file d'attente pour les adoptions?
Vous connaissez beaucoup de monde qui adopte dans une SPCA ou refuge?
Moi j'en connais pas beaucoup.
Est-ce que les gens se consultent pour cesser les abandons jusqu'à ce que ces SPCA ou refuges libèrent de la place?
Je ne me sens pas capable de juger ces endroits parce qu'ils doivent euthanasier.
En tout cas,...... bravo pour cette SPCA Rosiemini :43:
Clouso.

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Citation :
Ainsi, même si la SPCA LL devrait être une solution de dernier recours, notre refuge est parfois rempli à capacité. Nous devons limiter le nombre d’animaux que nous recueillons par respect des contraintes d’espace et d’hygiène, mais aussi de budget.

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Quand ils doivent limiter le nombre d'animaux( ce que je comprends parfaitement)......
il arrive quoi aux dizaines et centaines d'animaux qui seront abandonnés pendant que les locaux sont plein à craquer ?
Les gens qui abandonnent prennent une pose?
Clouso.

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Clouso a écrit:
Quand ils doivent limiter le nombre d'animaux( ce que je comprends parfaitement)......
il arrive quoi aux dizaines et centaines d'animaux qui seront abandonnés pendant que les locaux sont plein à craquer ?
Les gens qui abandonnent prennent une pose?
Clouso.


razzrazzrazz

ça s'appelle avoir de bon arguments.

Tu as raison Clouso :43:

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Ta pas lue le contexte

La page bug alors je ne peux pas citer ...

Ce que je me rapelle :

Une compagnie a proposer a la spcall d'euthanasier les 17 premiers animaux gratuitement ! Il on refuser l'offre, mais a d'autre endroit dans les laurentides ils euthanasie des animaux Snif

Et penses-tu vraiment qu'il allait dire que leur spcall euthanasie des animaux quand que c'est marquer en gros que non ? razz

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OUan, mais c'est qui les autres d'abord?Un refuge?



Citation :
» Une municipalité est venue nous voir en nous disant qu’une compagnie leur offrait gratuitement les dix premières euthanasies. On a répliqué que chez nous, il n’y en aurait carrément pas puisque les animaux sont offerts en adoption dès qu’on devient le gardien légal. Le problème, c’est que nous on facture quand les animaux entrent chez nous tandis que nos compétiteurs facturent quand ils sortent, c’est-à-dire quand ils meurent.


Citation :
Difficile de savoir comment s’articule la gestion des animaux sur le territoire des Laurentides. C’est tout comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Seule la SPCA Laurentides-Labelle fournit des réponses claires en faisant preuve de transparence.

Le 18 décembre dernier, dans une lettre ouverte à plusieurs journaux de la province, l’activiste Louise Auger accusait le Service de protection canine des Monts (SPCM) de nombreux maux, se demandant notamment pourquoi cette patrouille canine qui contracte avec bon nombre de municipalités des Laurentides, ne veut en aucun cas divulguer son adresse: «Qui les surveille, demande-t-elle. Nos chiens sont-ils vendus dans des usines à chiots, aux courtiers, ou aux laboratoires de recherche? Est-ce que leurs carcasses sont vendues aux équarrisseurs qui les transforment en nourriture pour animaux, cosmétiques ou autres?»

La propriétaire de l’entreprise, une certaine Mme Bélisle (la dame n’a pas voulu divulguer son prénom), a bien voulu répondre à certaines de nos questions, mais celle-ci a refusé catégoriquement que nous nous rendions visiter ses installations. Dans la procédure habituelle, les propriétaires en quête de leur chien doivent joindre le SPCM par téléphone et laisser un message. Les patrouilleurs fixent ensuite un rendez-vous dans un stationnement vague afin que ceux-ci récupèrent leur animal. L’amende varie en fonction de la durée d’hébergement de la bête.

Un monopole ou presque

«Ce n’est pas un hasard si nous sommes là depuis 22 ans, argue Mme Bélisle. Il y a un drain dans chaque enclos, un échangeur d’air, de la musique. L’été, les chiens ont même l’air climatisé!»

Selon ses dires, chaque animal recueilli fait l’objet d’un rapport. Les euthanasies seraient rares puisque coûteuses. Impossible toutefois d’obtenir quelque donnée que ce soit en ce sens. «Nous n’avons rien à cacher, mais tout à protéger. Et ce que je crains le plus, c’est le vol de chiens.» Mme Bélisle ajoute que sa compagnie propose un service d’adoption, tout comme le fait la SPCA Laurentides-Labelle. La question de savoir comment et où se procurer un animal a toutefois été vite évitée. Tout comme une bonne dizaine de municipalités des Laurentides (Mme Bélisle n’a pas voulu divulguer leur nombre exact), la ville de Saint-Sauveur fait affaire avec le SPCM. Son directeur général, Jean Beaulieu, a admis ignorer si le chenil de cette entreprise a déjà été inspecté avant qu’un contrat ne leur soit accordé. La municipalité de Val-des-Lacs, qui fait également affaire avec eux et qui a ordonné par jugement l’euthanasie de 15 chiens l’été dernier, n’a pas retourné notre appel.

Euthanasies gratuites

La directrice générale de la SPCA de Laurentides-Labelle, Corinne Gonzalez, déplore la compétition qu’il y a dans le milieu. «Une municipalité est venue nous voir en nous disant qu’une compagnie leur offrait gratuitement les dix premières euthanasies. On a répliqué que chez nous, il n’y en aurait carrément pas puisque les animaux sont offerts en adoption dès qu’on devient le gardien légal. Le problème, c’est que nous on facture quand les animaux entrent chez nous tandis que nos compétiteurs facturent quand ils sortent, c’est-à-dire quand ils meurent.» Mme Gonzalez concède que les services offerts à la SPCA sont très différents que ceux offerts par les contrôleurs animaliers. «Dans un sens, on ne peut pas tellement en vouloir aux patrouilleurs. Ce sont les municipalités qui au départ, considèrent que les chiens sont une nuisance. Nous sommes intolérants avec les chiens et indifférents avec les chats. Et plus les citadins s’installent à la campagne, plus les règlements tendent à changer», constate la directrice de la SPCA. Selon elle, tant que les contribuables n’exigeront pas des informations claires au sujet de la gestion des animaux dans leurs municipalités, les histoires d’horreur continueront de se produire. «Dans la région de Rawdon, il arrive qu’il y ait 200 races de chiens en vente. C’est à croire qu’il y en a qui font de la reproduction. Comme payeurs de taxes, nous avons le droit de savoir.»

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Je ne sais pas quelle refuge euthanisie dans les laurentides, mais il ne faut pas oublier que c'est grand les laurentides ...

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Citation :
La SPCA de Laurentide Labelle, bien qu'affiliée, pour le logo seulement a un conseil d'administration indépendant, une gestion indépendante et honnête.


J'ai entendu dire qu'ils essayent de changer de nom Yes

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Clouso a écrit:
Quand ils doivent limiter le nombre d'animaux( ce que je comprends parfaitement)......
il arrive quoi aux dizaines et centaines d'animaux qui seront abandonnés pendant que les locaux sont plein à craquer ?
Les gens qui abandonnent prennent une pose?
Clouso.


Très pertinent comme questionnement... :43:

franchement Et SVP, est-ce qu`on va un jour finir par faire la différence entre les REFUGES et les FOURRIÈRES ???!!!

C`est pourtant pas si compliqué me semble: Les REFUGES sont des organismes à but non-lucratif et les FOURRIÈRES sont des commerces! Siffle

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Clouso a écrit:
C'est toujours beau d'entendre dire : sans euthanasie...
Mais qu'arrive-t-il lorsque les locaux sont plein à craquer?( ce qui arrive régulièrement).
Plus de place! Et pas d'argent!
Plus capable d'en prendre des chiens et chats.
Est-ce qu'il y a une file d'attente pour les adoptions?
Vous connaissez beaucoup de monde qui adopte dans une SPCA ou refuge?
Moi j'en connais pas beaucoup.
Est-ce que les gens se consultent pour cesser les abandons jusqu'à ce que ces SPCA ou refuges libèrent de la place?
Je ne me sens pas capable de juger ces endroits parce qu'ils doivent euthanasier.
En tout cas,...... bravo pour cette SPCA Rosiemini :43:
Clouso.



Il est vrai de dire que l'expression sans euthanasie n'est pas juste. Les SPCA, SPA et autres qui le disent, font des euthanasie, mais elle ne font pas des euthanasies dirigées. Ce qui veux dire qu'elle ne font pas de sélection dite de marketing.

Comme par exemple s'il y a trop de chats moustachus, elles en euthanasieront pas, quelques uns uniquement pour donner la place aux autres et donner un choix plus grand aux consommateurx.

Elle feront par contre de euthanaises quand l'animal souffre, quand une pandémie grave courent dans le chenil et non pour la toux de chenil par exemple.

Malheureusement il y a trop d'abandon, pas assez d'adpotion , manque de place et manque d'argent alors oui l'euthanasie existe, mais il s'agit ici de conscience sociale et de sensibilisation. Ce n'est pas la faute des SPCA qui sont honnêtes et qui font du mieux qu'ils peuvent avec ce qu'ils ont en main.

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Zouzoune a écrit:
Clouso a écrit:
Quand ils doivent limiter le nombre d'animaux( ce que je comprends parfaitement)......
il arrive quoi aux dizaines et centaines d'animaux qui seront abandonnés pendant que les locaux sont plein à craquer ?
Les gens qui abandonnent prennent une pose?
Clouso.


Très pertinent comme questionnement... :43:

franchement Et SVP, est-ce qu`on va un jour finir par faire la différence entre les REFUGES et les FOURRIÈRES ???!!!

C`est pourtant pas si compliqué me semble: Les REFUGES sont des organismes à but non-lucratif et les FOURRIÈRES sont des commerces! Siffle


Il y a parfois des différence entre les refuge et fourrière oui et non.

Certaines SPCA ont des contrats de contôle animalier, donc des contrats de fourrière avec la ville. Comme la SPCA de Motnréal et de Laval ¸. Le contrat fourrière n'est pas le problème, car il rapporte des sous à la SPCA. Là ou est le problème, c'est comment on traitent les animaux qui se retrouvent dans le chenil.

Voilà

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Chienne Bullmastiff en photo

Elle n'a malheureusement pas survécu, malgré tous les efforts faits pour la sauver. Un cas extrême de négligence; les proprios de la chienne - on ne peut parler de gardiens ici - avaient décidé de ne plus la nourrir. Snif Et les proprios disaient que le chienne n'était pas en train de mourrir.

Euthanasies dans les Laurentides

L'article n'est pas très bien écrit mais le SPCM (Service de protection canine des Monts) est le principal fournisseur de services de fourrière dans le secteur. C'est assez 'vendeur' comme argument pour ceux qui ne pensent pas qu'il y a autre chose à faire que gazer ou piquer les animaux abandonnés ou non réclamés.

Le passage suivant est particulièrement édifiant:

Citation :
La propriétaire de l’entreprise, une certaine Mme Bélisle (la dame n’a pas voulu divulguer son prénom), a bien voulu répondre à certaines de nos questions, mais celle-ci a refusé catégoriquement que nous nous rendions visiter ses installations. Dans la procédure habituelle, les propriétaires en quête de leur chien doivent joindre le SPCM par téléphone et laisser un message. Les patrouilleurs fixent ensuite un rendez-vous dans un stationnement vague afin que ceux-ci récupèrent leur animal. L’amende varie en fonction de la durée d’hébergement de la bête.

Un monopole ou presque

«Ce n’est pas un hasard si nous sommes là depuis 22 ans, argue Mme Bélisle. Il y a un drain dans chaque enclos, un échangeur d’air, de la musique. L’été, les chiens ont même l’air climatisé!»

Selon ses dires, chaque animal recueilli fait l’objet d’un rapport. Les euthanasies seraient rares puisque coûteuses. Impossible toutefois d’obtenir quelque donnée que ce soit en ce sens. «Nous n’avons rien à cacher, mais tout à protéger. Et ce que je crains le plus, c’est le vol de chiens.» Mme Bélisle ajoute que sa compagnie propose un service d’adoption, tout comme le fait la SPCA Laurentides-Labelle. La question de savoir comment et où se procurer un animal a toutefois été vite évitée. Tout comme une bonne dizaine de municipalités des Laurentides (Mme Bélisle n’a pas voulu divulguer leur nombre exact), la ville de Saint-Sauveur fait affaire avec le SPCM. Son directeur général, Jean Beaulieu, a admis ignorer si le chenil de cette entreprise a déjà été inspecté avant qu’un contrat ne leur soit accordé.


Il faut savoir que la plupart des municipalités vont en appel d'offres pour ces contrats, alors que la loi permet aux municipalités d'octroyer, sans appel d'offres, ces contrats à des OSBL comme les SPA/SPCA. Mais faut pas trop en demander des municipalités...

Le SPCM n'a pas les mêmes frais que la SPCA Laurentides-Labelle: pas de chiens à soigner, entretien minimaliste, disposition inconnue des animaux excédentaires (gazage? revente à des courtiers? Dieu seul le sait!)

C'est cette différence qui pourrait expliquer en partie certains des déboires de la SPCA à Montréal; il est impossible pour une SPCA au Québec de mener à bien sa mission sans apport suffisant de fonds. On est encore loin des contrats à coups de millions et des licences annuelles à 40-80 $.

Que fait la SPCA quand elle n'a plus de place?

La SPCA Laurentides-Labelle a peut-être un ou deux contrats de fourrière; elle n'a pas l'obligation légale de prendre tous les chiens ou chats qu'on veut leur remettre. Elle le fait quand elle le peut, ce qui est souvent. On ne peut leur reprocher de ne pas avoir les ressources d'aider des animaux dans le besoin alors que les municipalités (et leurs résidants) décident, par choix, de payer le moins cher possible pour avoir un service de fourrière

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Comment as-tu apris pour la bullmastif Snif ???

Pour le reste, je comprend a moitier confus

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Aodhan a écrit:
Chienne Bullmastiff en photo

Elle n'a malheureusement pas survécu, malgré tous les efforts faits pour la sauver. Un cas extrême de négligence; les proprios de la chienne - on ne peut parler de gardiens ici - avaient décidé de ne plus la nourrir. Snif Et les proprios disaient que le chienne n'était pas en train de mourrir.



SnifSnifSnifSnif

voyon dont Evil

et cette chienne a été retrouvé de quelle manière, des voisins ont porté plainte?

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Bonjour La Source!
Je ne critique pas le fait que les SPCA ou refuges doivent pratiquer des euthanasies.
Car ils n'ont pas le choix.
Bien trop d'abandons et très peu de monde qui se précipite pour adopter.
Ce qui m'agace c'est d'entendre les gens qui blâment ces endroits parce qu'ils euthanasient.
Si la capacité d'un endroit est de 300 animaux et qu'il y a 800 abandons dans le coin pendant une période X....ben on les met où les 500 animaux de trop?
Est-ce que 800 personnes se présenteront pour l'adoption?
Je comprends parfaitement que l'on ne peut éviter les euthanasies.
Et les gens qui critiquent...est-ce qu'ils ont déjà adopté dans un refuge ou SPCA?
Moi je l'ai fait et je ne critique pas clin d'oeil
Clouso.

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