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karlos

enfin une bonne nouvelle

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Lindy a écrit:
J'ai assité au conseil de mon arrondisement (hochelaga maisonneuve) et laissé moi vous dires que ca pas été de tout repos du tout !! On beaucoup jasé du berger blanc et nous allons du fait meme avoir une réunion sur cela avec la maire d'ici 1 -2 semaines !!

Ils s'organiseront pour avoir au moin un conseillé présent a la rénion de Bill Bruce Yes !!

J'ai hate de voir ce qui adviendra de tout ca !!


Yes

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Lindy a écrit:
J'ai assité au conseil de mon arrondisement (hochelaga maisonneuve) et laissé moi vous dires que ca pas été de tout repos du tout !! On beaucoup jasé du berger blanc et nous allons du fait meme avoir une réunion sur cela avec la maire d'ici 1 -2 semaines !!

Ils s'organiseront pour avoir au moin un conseillé présent a la rénion de Bill Bruce Yes !!

J'ai hate de voir ce qui adviendra de tout ca !!


bravobravobravoYes

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Gestion animalière: Gilles Vaillancourt résume sa vision

Plutôt réservé jusqu’à ce jour quant aux orientations à venir en matière de gestion animalière à Laval, Gilles Vaillancourt résume sa vision: «Notre objectif, c’est de devenir un modèle au Québec. Ce que je cherche, c’est une solution novatrice, permanente, avec des gens capables de la faire fonctionner.» Voici l’essentiel de l’entrevue qu’il a accordée au Courrier Laval, le 6 octobre.
CL: Le reportage de l’émission Enquête sur Le Berger Blanc, l’émoi qu’il a créé, les lacunes des services de fourrière étalées au grand jour: est-ce que tout cela vous a surpris?
GV: Oui, ça m’a surpris, parce que rien de ça n’était parvenu ni à mes yeux ni à mes oreilles.Ç’a été une grande prise de conscience de comment la gestion animalière pouvait être déficiente.
CL: Et par rapport à Laval, qui faisait affaire avec l’entreprise qui était dans la tourmente?
GV: Qu’on fasse affaire avec Le Berger Blanc ou avec un autre, à l’intérieur du devis actuel et des pratiques actuelles, les meilleurs n’arriveront pas à faire une gestion animalière éthique et responsable. Quant à moi, nous devons changer le modèle de gestion animalière.
CL: La Ville a annoncé qu’elle confiait un mandat d’accompagnement au caacQ (Centres d’adoption d’animaux de compagnie du Québec)...
GV: Oui. On a rencontré ces gens-là, ils nous ont fait un exposé, ils nous ont montré avec qui ils travaillaient, ils ont un réseau à la fois national et international, nord-américain surtout. Ils nous ont fait un portrait extrêmement réaliste.
CL: Est-ce que des grandes lignes commencent à se dégager par rapport à là où vous voulez aller?
GV: On commence à arriver à des conclusions. Pour les besoins en espace, on a identifié que ce serait à peu près le double de ce que Le Berger Blanc utilisait. Ça prend un endroit de stérilisation. Ça prend les équipements pour faire ça. Pour l’adoption, ça prend plus d’espace, plus de cages, plus de personnel.
CL: Ça va coûter beaucoup plus cher. Est-ce que les gens sont prêts à payer?
GV: Je n’ai pas l’intention d’utiliser plus la taxe foncière. Par exemple, nous avons des terrains, qui sont des propriétés municipales, dans des parcs industriels, qu’on pourrait utiliser, construire les installations et ensuite, les faire opérer par des gens qui nous auront démontré qu’ils ont la capacité de le faire, à l’intérieur d’un programme qu’on va mettre en place et qui va viser la stérilisation et l’adoption. On a déjà identifié plusieurs terrains, des endroits accessibles.
Nous avons approché le Service correctionnel du Canada [pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul], qui est intéressé à nous fournir des prisonniers qui feraient une partie du travail. Ce serait un partenariat qui viserait à la fois la réinsertion sociale et un apprentissage des techniques de gestion animalière, pour les prisonniers.
CL: La Ville investirait donc dans la construction d’un bâtiment et dans les équipements?
GV: Si on trouve un bâtiment qui est déjà construit et qui rencontre toutes les normes, on sauverait le temps d’en construire un.
CL: Est-ce que vous pourriez vous inspirer de New York, avec ses unités mobiles de stérilisation?
GV: J’ai contacté la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM). Ce matin, nous avions une réunion téléphonique et j’ai réussi à avoir la mise sur pied d’un comité, piloté par la direction générale de la CMM, qui va regarder la possibilité, pour la CMM, de subventionner une, ou même deux unités mobiles de stérilisation. Ces unités seraient administrées par un organisme sans but lucratif. C’est l’équipement qui coûte cher: de l’ordre de 400 000 $ par unité.
Ces unités-là se déplaceraient partout sur le territoire, iraient dans les stationnements de centres d’achats, s’annonceraient d’avance, diraient: Mardi, nous serons à Rivière-des-Prairies au centre d’achats X, amenez-nous vos animaux, nous allons les stériliser.
CL: C’est le projet novateur dont vous parliez?
GV: Non, c’est plus que ça. Il ne s’agit pas juste de stériliser les animaux. Pour que ça fonctionne comme il faut, il faut être capable d’aller recueillir les animaux et de les accueillir quelque part.
De la même façon, il va falloir qu’on rende obligatoire la puce électronique, qui va permettre à quelqu’un qui retrouve un chien de le reconduire à son domicile, au lieu de l’envoyer à la fourrière. Et il devrait y avoir un frais de retour.
Est-ce qu’on va aller aussi loin que de dire, dans un règlement municipal, que les animaux domestiques vendus sur le territoire, par exemple dans les animaleries, devraient être tous stérilisés? Ce sont des choses qu’on a demandé au contentieux de regarder.
CL: Et les chats errants?
GV: Il y a des gens qui, par compassion, les nourrissent et toutes les statistiques que j’ai consultées me disent que mieux ils sont nourris, plus ils se reproduisent. Partout où on réussit à arriver à un contrôle [de la population], c’est quand on a commencé à stériliser. Je ne veux pas empêcher personne qui aime les animaux de les nourrir. Mais je suis obligé de leur dire qu’à chaque fois qu’ils font ça, ils ne font que grossir le problème.
CL: Le Berger Blanc a très mauvaise presse. Seriez-vous prêt à leur accorder un mandat?
GV: On ne sait pas encore. On est allé en soumission et on a pris la peine d’appeler toutes les compagnies dans la région métropolitaine. Le seul qui a soumissionné, c’est Le Berger Blanc.
Les analyses de soumission ne sont pas faites. Le Berger Blanc est surveillé quotidiennement par le MAPAQ (ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec), il y a de la surveillance exercée par Montréal. Si on devait prendre cette décision, il est clair que ce serait une décision transitoire, jusqu’à temps qu’on soit capable d’avoir une solution permanente.
CL: Le CAPAL (Centre d’aide et de protection animalier de Laval) dit être tenu à l’écart. Comment voyez-vous cela?
GV: Le CAPAL, je ne veux pas le juger. Je me rappelle de la première fois que j’ai réuni ce monde-là. Mme Aboulian [Lydia Aboulian, chef du parti politique Mouvement lavallois] voulait assister à la réunion. J’ai dit: Mme Aboulian, j’ai convoqué les bénévoles, je n’ai pas convoqué les partis politiques, alors vous devez vous retirer. À la deuxième réunion, je suis allé les saluer et je leur ai demandé: Est-ce que vous accepteriez que j’assiste à votre réunion? Ils m’ont dit: Non, on ne veut pas de politiciens. J’ai appris plus tard qu’ils avaient pris M. Bordeleau [Robert Bordeleau, chef du Parti au service du citoyen].
On a refusé quelque chose à Mme Aboulian. Il serait difficile de permettre à M. Bordeleau d’avoir un accès que Mme Aboulian n’avait pas. Ç’est une décision qu’a prise le CAPAL. On ne l’élimine pas pour autant.
CL: Est-ce que la démission de M. Bordeleau du conseil d’administration du CAPAL change quelque chose?
GV: On va considérer leur proposition au même titre que les autres. On ne les élimine pas.

http://www.courrierlaval.com/Actualités/2011-10-07/article-2770262/Nous-voulons-devenir-un-modele/1

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Laval lance un autre appel d'offre :

Délai pour la réception des offres : 22 jours et 17 heures
Date de publication : 2011-10-21
Titre de l'avis : Services de gestion de la protection des animaux et de la fourrière pour animaux
Type de l'avis : Avis d'appel d'offres
Nature du contrat : Services de nature technique
Date limite de réception des offres : 2011-11-15 Au plus tard 11h, Heure du Québec
Région(s) de livraison : Laval
Accord(s) applicable(s) : Accord sur le commerce intérieur, Accord de commerce et de coopération entre le Québec et l'Ontario, Accord de libéralisation des marchés publics du Québec et du Nouveau-Brunswick (2008)
Valeur estimée: 604 500 à 4 999 999 $

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Un nouvel OBNL pour la gestion animalière à Laval


Un nouvel organisme à but non lucratif (OBNL), Les services animaliers de Laval (Le Campus), prendra les rênes de la gestion animalière sur le territoire de l’île Jésus.

La Ville de Laval en a fait l’annonce aujourd’hui, lundi 27 février. L’automne dernier, le Centre d’adoption d’animaux de compagnie du Québec (CAACQ) avait reçu le mandat d’accompagner la municipalité dans sa démarche de recherche afin de trouver une solution de remplacement au Berger Blanc.

Une nouvelle mission a été confiée à la CAACQ, soit celle de gestionnaire de projet qui veillera, entre autres, à la création du nouvel OBNL, à l’organisation d’une journée officielle d’adoption d’animaux de compagnies (samedi 26 mai) et la tenue d’une première campagne de micropuçage.

Les services animaliers de Laval (Le Campus) sera présidé par Liza Frulla. Les services seront établis dans un bâtiment situé dans le secteur industriel près de l’autoroute 25.

Le maire Gilles Vaillancourt a déclaré à quelques reprises, au cours des dernières semaines, «être à l’élaboration d’une solution novatrice pour la grande région métropolitaine». Selon le communiqué émis, le projet lavallois comprendrait des partenariats avec la Ville de Terrebonne et la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM).

Entretemps, le Berger Blanc continuera d’offrir des services de base pour la prochaine année.


http://lechodelaval.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=228005&id=2486&classif=Derni%E8re+heure

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Une nouvelle fourrière à Laval suscite la grogne

L'annonce d'un nouveau service animalier à Laval faite lundi, près d'un an après la controverse du Berger Blanc, aurait dû réjouir les amis des animaux. Elle a plutôt suscité la grogne d'un groupe de citoyens, militants de la première heure pour ce service, qui estime s'être fait doubler par l'administration du maire Gilles Vaillancourt.

«C'était un piège à con à la Vaillancourt, de la mauvaise foi dès le départ, dénonce Robert Bordeleau, figure bien connue de l'opposition lavalloise. Il a demandé à des citoyens de s'impliquer, mais il n'en voulait pas.»

Le service de gestion animalière devrait voir le jour en 2013, dans un immeuble qui sera construit par Laval en bordure de l'autoroute 25. Il offrira l'éventail habituel de services d'adoption, de sensibilisation, de soins vétérinaires et, en dernier recours, d'euthanasie. Il sera géré par un tout nouvel organisme à but non lucratif, Le Campus, créé pour l'occasion et dont la présidence a été offerte à l'ex-ministre libérale Liza Frulla.

Le hic, c'est qu'un tout autre organisme devait à l'origine hériter du contrat. Le printemps dernier, un groupe de citoyens, secoué par les reportages de Radio-Canada sur les traitements cruels infligés aux animaux abandonnés dans les refuges du Berger Blanc, avait pris contact avec l'administration du maire Gilles Vaillancourt. En juin, celui-ci avait accepté de rencontrer ces citoyens et leur avait offert l'aide de la Ville pour qu'ils forment un organisme à but non lucratif auquel serait confiée la gestion animalière.

«Ils ont été accompagnés par la Ville dans tout ce processus, il y avait une grande ouverture, explique Nadine Lussier, porte-parole de la Ville. On leur a prêté des salles pour leurs rencontres, on les a aidés à s'enregistrer en payant pour les frais de création de l'OBNL.»

En «froid» avec la Ville

Le Centre d'aide et de protection animalier de Laval (CAPAL) a été créé et a déposé son plan d'affaires à la Ville à la fin de l'été. Entre-temps, Robert Bordeleau, chef du Parti au service du citoyen et candidat battu à la mairie, a été nommé au conseil d'administration (C.A.) du nouvel organisme. L'administration Vaillancourt n'a pas apprécié cette décision. Au début du mois de septembre, une sortie dans les médias, critique envers le maire, a achevé de torpiller les relations entre les deux parties. La chef du parti de l'opposition Mouvement lavallois, Lydia Aboulian, y a participé.

«Cette dénonciation sur la place publique est venue jeter un froid, reconnaît Nadine Lussier. Il y a eu un questionnement pour nous: est-ce que ces gens ont encore envie de travailler avec la Ville? L'aventure est complexe, on a besoin de partager une vision commune, d'avoir des bases solides, une discussion ouverte.»

Laval a reconduit en septembre son contrat avec le Berger Blanc, pour 546 180$. Il s'agit d'une entente d'un an avec une année supplémentaire en option. La Ville a ensuite confié à une organisation spécialisée, le Centre d'adoption d'animaux de compagnie du Québec, le mandat de l'aider à mettre en place son propre service animalier. L'annonce en a été faite au début de la semaine, avec la création d'un OSBL présidé par Liza Frulla, présentée comme «connue de tous pour son implication active et son amour des animaux».

La présidente du CAPAL, Marie-Josée Tessier, s'est dite déçue de la tournure des événements. «Ç'a été fait en catimini, de façon cavalière. On croyait être dans la course jusqu'à la fin. Mais si le Berger Blanc ne revient pas, c'est une victoire pour les animaux.» Plus virulent, Robert Bordeleau qualifie la situation d'«écoeurante». «Qu'on niaise des citoyens comme ça, eux qui ont travaillé tout l'été à monter un plan d'affaires qui se tient, c'est inacceptable.» Il précise qu'il a démissionné le 18 septembre du C.A. «pour ne pas nuire au CAPAL».

Le service devra s'occuper des 7710 animaux abandonnés, selon les statistiques de 2010, dont 5500 sont en fin de compte euthanasiés. D'ici à la mise sur pied du service, la Ville lancera des campagnes de sensibilisation pour responsabiliser les propriétaires d'animaux et encourager le micropuçage, un marquage qui permet d'identifier les animaux.


http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/201203/01/01-4501245-une-nouvelle-fourriere-a-laval-suscite-la-grogne.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS3

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Invité
Encore là, je trouve ça platte que le monde chialle sur ce nouveau service animalier. Calique le Berger Blanc reviens pas, le monde devraient être content .... C'est jamais parfait pour personne !

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