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Ktema

Toronto interdit la vente d'animaux dans les pet-shops

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Toronto bans the sale of cats and dogs in pet stores

Toronto city council voted Wednesday to ban the sales of dogs and cats in pet stores, becoming the second Canadian city to do so.

“You can no longer buy dogs in a pet store,” Coun. Glenn De Baeremaeker told reporters.

De Baeremaeker had proposed the bylaw back in May, arguing that many of the animals come from puppy mills.

“Animal cruelty has to stop,” he added.

Earlier this year, council voted to restrict pet stores to selling dogs and cats that only come from shelters, humane societies and certified breeders.

Now, no dogs or cats will be sold in pet stores – no matter where they come from.

Toronto is the second Canadian city to restrict the sale of animals in pet shops. Richmond, B.C., decided to ban the sale of dogs in pet stores in 2010.

For one Toronto shop, that’s been their policy all along.

“We choose not to sell cats or dogs,” Caleb Gallagher, dog and cat manager at Menagerie Pet Shop on Parliament Street, told CityNews.

“We don’t believe that a pet store is a healthy environment for puppies and kittens. They need to get out and walk. They need exercise.”

“A lot of the dogs that come into pet stores, they come from puppy mills,” Gallagher added.

Council ruled that pet store owners will now be able to take in shelter or rescue dogs and adopt them out, much like local humane societies.

Opponents of the bylaw say that if customers can’t get what they want at a Toronto pet store, they’ll go to Mississauga or other cities in the GTA to find a dog or cat.

http://www.citytv.com/toronto/citynews/news/local/article/155914--toronto-bans-the-sale-of-cats-and-dogs-in-pet-stores

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AMEN! Ca ne règle pas tout mais c'est un maudit bon début. D'autres font finir par allumer et suivre. Yes

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Invité

Pourquoi les Québécois sont aussi retardés...... hein

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À Mascouche, il y avait un seul pet-shop et il vendait aussi les médailles du berger blanc. Il est fermé depuis environ deux ans. En espérant que ça va rester comme ça. Pas le droit d'avoir un chenil non plus.

Mais à Terrebonne, il y en a plusieurs. Je ne me rappelle plus du nom, il y en a un qui vend les animaux déjà stérilisés.

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Pomme a écrit:
Pourquoi les Québécois sont aussi retardés...... hein


Parce que trop paresseux pour se lever debout et mettre ses culottes !

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Ktema a écrit:
Pomme a écrit:
Pourquoi les Québécois sont aussi retardés...... hein


Parce que trop paresseux pour se lever debout et mettre ses culottes !


Parce qu'on est champion du nivelage par le bas laid

Bien faire les choses c'est bien trop d'ouvrage drunken

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Il y a des petites boutiques qui, peu à peu, décident par elles-mêmes de ne plus vendre d'animaux au Québec, avec les contrecoups des saisies et la médiatisation qui les entourent... le problème demeure surtout dans les grandes chaînes.

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À quand l'interdiction de vendre sur les petites annonces classées? Car si les gens ne peuvent plus acheter en animalerie, il y a surement beaucoup qui vont se tourner vers les annonces de particuliers, donc, même problème. C'est l'enfer cette roue sans fin!

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Informer le MONDE !

quand les gens vont savoir a quoi s'en tenir.. y pourrait vendre des animaux dans les dépanneurs que le monde en achèterait pas ..

Fiez vous pas a des lois pis des règlements .. ca gèrera jamais tout ce qui se passe ..

éduquer la population a faire des bons choix et des choix éclairés.

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Au moins, ca va faire le ménage dans certaines animalerie qui faisaient énormément de $ sur le dos des animaux. De plus, ils vont arrêter de mal informer leurs clients sur les chiens!

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Toronto interdit la vente de chiens et de chats
Par Lise Bergeron
Mise en ligne : 29 septembre 2011
Les animaleries ne pourront plus vendre de chiens ni de chats sur le territoire de la ville, sauf s’ils proviennent d’un refuge pour animaux. Un exemple pour les municipalités du Québec?

Photo: Shutterstock
Les événements se bousculent dans l’industrie des animaux de compagnie. Après la chaîne de magasins PJ’s Pets, qui vient d'abandonner la vente de chiens et de chats pour en promouvoir l'adoption, voilà que Toronto veut couper l’herbe sous le pied des «éleveurs de fond de cour» en leur fermant la porte des animaleries.

Les usines à chiots, dénoncées depuis des années par les groupes de défense des animaux, sont tristement célèbres pour l’élevage intensif qu'elles font de plusieurs races de chiens dans des conditions pitoyables et à des fins purement mercantile.

La décision de Toronto arrive au lendemain de la saisie de plus de 500 chiens sur une ferme de l’Outaouais, la plus grosse à survenir au Canada jusqu’à présent. «C’est une nouvelle extraordinaire! On aimerait que la Ville de Montréal adopte un tel règlement», dit Alanna Devine, directrice de la protection des animaux à la SPCA de Montréal.

Les CAACQ (Centres d'adoption d'animaux de compagnie du Québec) sont aussi très enthousiastes: «Les Villes peuvent jouer un rôle important dans le bien-être des animaux de compagnie. Une interdiction aiderait à mettre un terme à la reproduction industrialisée et à la vente au détail des chiens et chats», dit Johanne Tassé, présidente de l'organisme.

À Toronto, les animaleries pourront proposer uniquement des animaux provenant de refuges, d’organismes de secours animal et de dons du public.

«Nous demandons la même chose aux maires et conseils des villes défusionnées dans l'espoir que l'idée se rende jusqu'à la Ville de Montréal et à toutes les autres villes du Québec, dit Johanne Tassé. Le maire de Gatineau, Marc Bureau, a déjà manifesté son intérêt à suivre l'exemple de Toronto.»

Ces initiatives suffiront-elles à mettre fin à l’élevage intensif des animaux de compagnie? «C’est un excellent moyen de couper les vivres aux usines à chiots. Surtout que Toronto est un très gros marché pour elles. Qu'attends donc Montréal?» dit Gabriel Villeneuve, de la SPA Canada, un organisme qui fait de la sensibilisation auprès du public et des élus.

Montréal emboîtera-t-elle le pas?
Les organismes de défense des animaux trouvent que les villes du Québec traînent la patte comparativement à plusieurs autres villes nord-américaines, où les services de gestion animalière sont très bien structurés.

Selon toute vraisemblance, Montréal a les pieds et poings liés: «La Ville n'a pas le pouvoir juridique d'interdire une activité économique comme la vente d'animaux dans les commerces», explique Martine Painchaud, attachée de presse au Cabinet du maire et du Comité exécutif de Montréal. Rien à faire, donc? «Nous travaillons avec un comité d'experts pour uniformiser la gestion animalière sur Montréal. Nous voulons mettre en place les meilleures pratiques», dit Mme Painchaud.

Ainsi donc, pas moyen de serrer la vis davantage aux usines à chiots, comme à Toronto? «C'est Québec qui réglemente le commerce des animaux. À la Ville, nos chartes et lois nous l'interdisent. Nous pouvons par contre faire des recommandations au gouvernement du Québec.»

La Ville de Montréal promet d'ailleurs une annonce importante prochainement au sujet de la gestion animalière sur son territoire. À suivre.

Possible au Québec?
Certaines municipalités ont pris les devants face à la crise qui sévit présentement. L'arrondissement de Verdun, par exemple, fait bonne figure en obligeant ses résidants à faire stériliser leurs animaux. Et il a aussi mis sur pied une Charte du bon comportement du gardien d'un animal.

«Mais on est très loin de Toronto où les services de contrôle animalier sont municipaux. Là-bas, il n’y a aucune fourrière à but lucratif, c’est la Ville qui prend en charge la population animale sur son territoire», dit Alanna Devine, directrice de la protection des animaux à la SPCA de Montréal.

De son côté, la SPA Canada entend intensifier la pression: «On a Verdun d’un côté et Toronto de l’autre, deux extrêmes en termes de taille. Pourtant, les deux ont trouvé des solutions pour endiguer le problème. Verdun n’a peut-être pas interdit la vente d’animaux, mais en obligeant la stérilisation, l’arrondissement a trouvé un bon moyen dissuasif», constate Gabriel Villeneuve.

Les élus en mal de solutions – ainsi que les citoyens qui veulent en savoir plus – sont invités à assister à la conférence du gourou canadien de la gestion des animaux, Bill Bruce, directeur des Services animaliers de la Ville de Calgary, qui sera de passage à Montréal les 28 et 29 octobre prochains. Pour plus d'information, visitez le site Web des CAACQ.

http://www.protegez-vous.ca/affaires-et-societe/toronto-interdit-vente-animaux.html

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Merci Ktema.
C'est vraiment quelque chose , un grand pas en avant.
Et les animaux abandonnés ont peut-être une 2e chance.
Mais ça fait 2 fois que je lis que s'ils cessent de vendre en magasin c'est que la compétition est trop forte par la vente sur le Web.
Ça j'avoue que ça me dérange.

Clouso.

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