Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
Joe04

Voyage en famille n° 1 : A nous Compostelle.

Messages recommandés

A nous Compostelle




Les petites fleurs, les belles montagnes, les chemins boueux ou rocailleux, le soleil, la pluie, ….. Qui voyage à cheval a pu voir, ressentir, décrire la nature.
Un voyage en famille, deux adolescentes aux caractères différents, une maman au tempérament nerveux, une jument indépendante, un chien fou de kilomètres, deux mois de voyage longs et trop courts à la fois, ……
Une version peu habituelle d'une aventure à cinq, ….


Guêtres de transport et protège queue, Kamel trépigne d'impatience en attendant la venue du van. Nous sommes le 25 juin 2002 et nous rêvons déjà de notre périple. Des connaissances nous transportent jusqu'à saint Vincent de Tyrosse, dans les Landes.
Pat, Gaëlle et Audrey nous suivent avec le camping-car. Douro, qui n'a pas vu la jument, se tient calme sous la table du véhicule.
Pour rien au monde, Audrey ne voudrait faire marche arrière. Gaëlle, plus tracassée de perdre ses copains, ne souhaite pas nous accompagner et nous le fait bien comprendre.
Mais Pat ne peut pas prendre de si longs congés. Il ne marchera pas avec nous et ses horaires ne lui permettent pas de rentrer chaque soir à la maison. Un choix difficile s'imposait alors: laisser notre fille de seize ans seule durant deux mois ou la forcer à suivre et risquer les disputes et la mauvaise ambiance.
Gaëlle est grande mais peut-être pas encore assez pour nous. La vie réserve trop de surprises.

20 heures de route en van et une panne de moteur pour le camping-car, nous arrivons chez Armelle et Roger en convoi divisé.
La jument ne présente aucun symptôme suite à ces longues heures de route.
Après trois jours de repos, nous bâtons Kamel et partons pour 1.200 kilomètres vers la mer espagnole.




à suivre .......

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Qui veut connaître la suite ??

Parce que y en a pour quelques lignes et photos !! olala

Et d'autres aventures aussi !! chante

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Merci d'apprécier.
Alors, encore un p'ti' bout, ....



Trois familles, chez lesquelles j'étais passée en 1999, nous accueillent à tour de rôle. J'apprécie l'étonnement mais surtout le sourire malgré notre arrivée impromptue.
Trois étapes où il ne faudra ni monter la tente, ni chercher de nourriture pour la jument et nous-même.

Le passage des Pyrénées se fait moins dur que lors de mon premier voyage. Mieux expérimentée, nous ne nous perdons pas.
Gaëlle et Audrey marchent pour la première fois en montagne. Elles ne sont pas encore sensibles à ces paysages de cartes postales. Elles repèrent les GR et les flèches jaunes qui marquent nos chemins.
Ces flèches jaunes que nous suivront jusqu'à notre but : Saint Jacques de Compostelle.

Notre première étape sur le Camino Francès se fait à Puente la Reina. Nous sommes à peine partis et la nourriture pour la jument manque déjà. Les champs sont fauchés, l'herbe est brûlée. Kamel s'accommode des modestes mètres carrés que je lui offre au bout de sa corde. Nous montons notre tente sur un sol dur. Les filles apprennent qu'il faut parfois faire des kilomètres pour trouver un commerce. A tour de rôle, elles choisiront de faire les courses ou de se reposer en surveillant nos compagnons à quatre pattes.
Une douche et un repas expédiés, nous préparons un abri pour Douro avec les caisses de bât. La nuit sera venteuse et l'orage menace.

Les premiers pèlerins partent tôt. Avec le démontage et le rangement du matériel, nous sommes à la traîne. Gaëlle râle. Elle aimerait marcher avec d'autres mais ne sait pas se lever le matin. Audrey, moins affectée par la solitude, traîne tout autant dans son duvet. Il me faudra plusieurs jours pour les motiver au réveil de six heures.

Heureusement, nous marchons vite. Habitude familiale ou entraînement de l'an dernier ? Nous rattrapons chaque jour les pèlerins fatigués. Les filles sont fières de dépasser les adultes. Outre la charge de Kamel, nous sommes chacune munie d'un sac à dos. Gaëlle et Audrey portent quatre kilos. Mon sac passe vite de cinq à sept kilos. Il me semble si lourd et je crains pour le dos des enfants. Mais à trois, nous ne pouvons laisser la charge totale sur la jument. Bâtée à 102 kilos, elle porte bien, sans fatigue apparente. Contrairement à certains chiens-voyageurs, Douro ne porte rien. Avec son habitude de sauter dans l'eau dès que celle-ci se présente, le contenu de ses sacs serait bien vite inutilisable !

La suite, ..... bientôt ! snif

Pour info : Année 2002 :
Gaëlle : 16 ans ,
Audrey : 14 ans,
Kamel : Jument Henson, 9 ans,
Douro : Berger Malinois, 6 ans.




Pays Basque

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Ah, j'veux bien .....
Mais faut m'montrer que ça vous motive !! hehe

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Et hop, quelques lignes de plus....


L'accueil, sur le Camino, n'est pas évident. Les auberges sont fermées pour les cavaliers ou les pèlerins accompagnés d'un chien. Notre groupe n'est pas toujours bienvenu.
Kamel a évolué depuis son premier voyage. Je peux maintenant l'attacher au piquet dans un champ. A ce jour, elle y reste ! Rassurées, nous pouvons ainsi nous absenter le temps des courses ou de la douche. Plus calme, elle profite mieux de ses nuits et du maigre fourrage à disposition.

Nous prenons trois jours de repos chez Katherina et Juan Ma. Navarrete, une étape que je ne pouvais éviter ! Quatre bergers basques son nés. Les filles chouchoutent les chiots et rêvent de repartir avec le petit mâle. Juan Ma joue aux cartes avec Gaëlle et Audrey. Elles apprennent le mot "tricheur" en espagnol. Juan s'amuse et nous amuse.

Les jours passent. Les discussions s'ouvrent. Au fil des kilomètres, les conversations font la part aux vérités. Un rapport s'installe.
Les difficultés climatiques, topographiques, linguistiques et autres tiques, font jaillir nos caractères.
A la maison, la radio assourdit le bruit d'une dispute. La télévision prend part dans la soirée et tue les conversations. Ici, seul le vent chahute et nous ne savons meubler le temps qu'en dialoguant.
Mon caractère fort et autoritaire se laisse facilement irriter. Je ne suis pas la dernière à "péter les plombs" en cas de surchauffe !
Une responsabilité de mère, d'animatrice de vacances, de guide, de gardian, ….. beaucoup de charges. Sans repos réparateur, l'irritabilité prend parfois le dessus.
Mes filles savent bouder. Audrey est la plus douée dans ce domaine !
Le Camino offre alors une alternative aux disputes : filant de l'avant, dépassant chaque pèlerin, la boudeuse suit les marques jaunes. Elle prend son indépendance sans se perdre. Parfois elle parle à un étranger, s'obligeant à sourire. Parfois, elle rumine ou pleure en silence, prenant conscience des causes de disputes. Elle laisse à sa sœur, le temps de se confier à moi.

Chacune aura son jour en solitaire. Chacune aura son moment pour réfléchir. Chacune aura le loisir de m'expliquer ses angoisses. Une thérapie s'installe.

Mais chaque jour n'est pas que mésentente. La fraternité, l'amitié, l'amour font aussi partie de nos moments.
Offrir la place la plus confortable dans la tente, échanger de duvet pour que l'autre puisse avoir chaud les nuits glaciales en Meseta, donner le dernier morceau de chocolat, partager sa musique et ses jeux en marchant, …..
Tant de choses fraternelles qui ne se partagent pas à la maison.



Vaches sur les plateaux espagnols


Gaëlle et le petit chardon

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Un chemin rectiligne de 12 kilomètres sans ombre, 39 degrés, 16 heures, …..
J'avais expliqué aux enfants que l'eau peut parfois manquer en voyage. Je leur avais fait comprendre, qu'en cas de besoin, il faut économiser le peu que l'on transporte.
Audrey marche, rouge, abrutie par l'astre qui nous brûle. La bouche sèche, elle aspire à voir enfin un village.
- "Audrey, … bois !"
Alors, elle avale deux petites gorgée de ce liquide précieux.
- "Bois encore !"
Je lui prouve que nous avons assez d'eau : chacune deux petites bouteilles d'un demi-litre et une gourde d'un litre et demi sur Kamel. Douro a sa ration, lui aussi. Connaissant l'étape, j'avais prévu. Mais Audrey est restée attentive à ce que j'avais dit, longtemps avant de partir.
Je me réjouis de voir ce comportement : combien d'enfants de treize ans pourraient ainsi se surpasser ? Tant de gosses réclameraient un cola ou une glace. Audrey mord sur sa chique, accepte les conditions et se rationne. Cela peut sembler dur pour certains mais, pour moi, cette attitude est une force de caractère importante.

Je me régale à observer mes filles et leur sensiblerie tellement différente. Audrey s'émerveille devant un paysage inconnu, Gaëlle paraît n'avoir aucun sentiment.
Alors que l'une prend des photos, l'autre marche sans vraiment regarder.
Audrey me demandera de trouver un puzzle qui ressemble au paysage du Cebreiro. Lorsque je lui ferai remarquer la beauté du panorama, Gaëlle me répondra sur un ton nonchalant :
-" Ah ouais ! c'est beau"
Elle n'avait pas envie de venir, …
Pourtant, elle se régale des rencontres que nous faisons. Quatre Espagnols bien rigolos se retrouveront souvent à l'étape. Nous ne connaîtrons jamais leurs noms. Largo-Pelo (Long-Cheveux), Corto-pelo, Scroll-Pelo et Punk-Pelo draguent gentiment ma fille. Taquins, ils plaisantent de mon rôle protecteur.

Nous avons marché trop vite. Les étapes de 20 km que j'avais prévues se sont bien vite allongée. Gaëlle et Audrey apprécient de marcher au rythme de bien des pèlerins. Sans efforts et parfois même avec bien plus de facilités que certains, elles avalent des journées de trente-cinq kilomètres. Les quarante degrés ne freinent pas leurs ardeurs.
Nous arrivons à Santiago. Sur la place, un monde fou nous regarde. Les policiers ne disent rien mais je sais qu'un cheval est indésirable ici. Alors, nous faisons vite : une photo souvenir et demi-tour. Le lendemain, nous venons chercher nos Compostela, diplôme du pèlerin. Si ce papier n'a pour moi aucune importance, il est pour Audrey, un souvenir et une réelle récompense à ses efforts.



Kamel, un cheval de voyage qui donne sa confiance et qui passe partout



Traversée Leon, en Castille, Espagne

à suivre, .....

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Citation :
je sais qu'un cheval est indésirable ici


pourquoi les chevaux ne sont pas accepter la bas ???

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Parce que la place de la cathédrale de Compostelle est chaque jour noyée de monde. Il y a des policiers partout.
Les cavaliers doivent demander une autorisation pour descendre sur cette place. Probablement pour éviter des accidents (il y a des enfants, des personnes âgées, des handicapés, ... c'est un lieu de pèlerinage).
Mais aussi pour les crottins !!
La première fois que je suis descendue sur la place (en 1999), je m'étais jointe à un groupe qui avait reçu l'autorisation. Nous avons parcourrus 5 km au trot derrière les bagnoles de flics , passé les feux rouges, toutes sirènes allumées. Chargée comme je le suis en voyage, ça fait bien !!! quoi?
Le groupe de cavaliers est resté 5 minutes avant d'être prié de partir. Moi, j'ai pu rester 5 autres minutes, le temps de poser pour la photo et puis : Oust ! Dehors!

En 2002, avec Gaëlle et Audrey, j'ai fait semblant de ne rien savoir du "règlement" et nous sommes descendues sans rien demander.
Mais un seul cheval est apparament toléré un peu plus (peut-être que les flics de garde étaient des sympas, ce jour là !). Nous n'avons pas abusé du temps d'autant que nous ne servions que de fond d'image pour les touristes en mal de photos sensationnelles !

Cathédrale de saint Jacques de Compostelle. Un jour où il n'y avait pas trop de monde (véridique).

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Bon .... suite et fin.

Il nous reste vingt jours avant l'arrivée de Pat. Pas question de glander ! Après quatre jours de repos chez Ariane et Javier, nous nous dirigeons vers Finisterre.
En sept étapes, nous ferons l'aller retour à notre aise. 180 kilomètres de plus, en solitaire, le Chemin est peu fréquenté.
Kamel et Douro reçoivent aussi leur diplôme au bout de la terre. Quel honneur !

Pat vient rechercher les filles à Compostelle. Je remonte seule le Nord de l'Espagne. J'ai troqué le bât contre ma selle et mes sacoches.
Je profite pleinement de ma jument et de mon chien, de cette solitude que j'apprécie. Nous mettons 22 jours pour rejoindre notre point de départ.
Je double les dernières étapes. L'urgence est de mise. J'ai rendez vous pour le transport du retour chez Armelle et Roger le 23 septembre. Nous effectuons nos six derniers jours avec une moyenne de 60 à 70 kilomètres. Sans changement de nourriture -les moutons ont rasé le peu qu'il restait dans les champs- seule cette dernière semaine fera perdre quelques kilos à ma jument. Ses rondeurs ont disparu mais pas pour longtemps !
Tout le périple de Kamel s'est effectué avec comme seule alimentation de l'herbe rase et brûlée. Quelques rares ballots de foin et plus rares encore, quelques kilos de grains. En comparant notre premier voyage avec celui-ci, j'admire sa capacité physique, son comportement amélioré, ses attitudes de baroudeuse.

De retour à la maison, nous visionnons nos dias. Quelles belles vacances, quelle expérience, que de souvenirs. Gaëlle est fière de son bronzage en dégradé. Audrey est heureuse d'avoir ramené son bourdon. Plus halées, plus belles, plus joyeuses qu'au départ, elles savent qu'elles ont vécu des jours merveilleux.

J'ai compris des choses. J'ai ouvert les yeux sur le futur et me promets d'essayer de mieux voir, de mieux écouter, de mieux chérir, d'être plus tolérante.

Basko a fait le voyage du retour. A deux mois, Katherina l'a sevré et nous l'a offert. Peut-être espère-t-elle le revoir un jour sur le Chemin, en bon chien voyageur ?

Credencial, Compostela, Finisterra, … Audrey a choisi les cadres.
Elle est prête à repartir.
Gaëlle est contente d'être rentrée. Elle m'annonce qu'elle a passé de bonnes vacances et que jamais elle ne regrettera.
Et ces derniers mots sont pour moi les plus importants.



Audrey et Gaëlle devant la borne provinciale de la Galice



Douro qui emmène Kamel vers l'aventure .....



Retour en solitaire sur les chemins de Saint Jacques.



FIN snifsnifsnifsnif

Mais bon, y en a d'autres ....

Alors, à vous la grosse pétition pour que ça continue ....

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Elle me fait rêver ton aventure!

On doit en ressortir ressourcé...

Et quelle organisation tu as dû prévoir: châpeau! youpi

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Oh là là! Je viens de tt lire! C'est merveilleux! Quel périple! Quel courage!
Ca doit être des moments inoubliables!
Merci pour avoir eu le courage de tt écrire!
Et c'est clair que je signe la pétition pour d'autres récits!!!!!

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

les autres maintenant
tu en as trop dis lool maintenant il faut vider ton sac a souvenir et nous faire rever dodo

chapeau pour ce periple coupe et a ton dadou et ton chien rose
en plus photo magnifique complètement assomé

un mot : ENCORE

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Ha ha ha .......

Peut-être demain ......
J'sais pas, y faudra être bien sage ......

J'vous fais rêver un peu :

1° Voyage de 5 semaines en solitaire à la recherche de spermatozoïdes pour ma jument....
2° Voyage de 5 semaines avec les filles, la jument et deux ânes....
3° Histoire d'une attaque de guêpes !!
4° Histoire d'une rencontre un peu spéciale avec des chasseurs
5° Voyage d'un an en solitaire avec la jument et un chien ...

Y-a-t-il assez de place sur ce site pour tout ça ??

Ah oui : Y en a une qui serait bien trop longue à raconter ici ...snif

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

bon on commence par le debut avec le spermatozoide lool

pas les guepes je suis allergique au piqures snifolala direct hosto si je me fais piquer olala

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
non nonnon non Pas ce soir !!! non nonnon non
J'vais me coucher, et rêver à mon prochain départ ...... hehe
(un à Pâques, mais une petite semaine seulement, et un en juin-juillet ....)

ouaiiis youpi

C'est l' heure de et

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

y'a rien a dire sauf bravo youpi

j'avoue que parfois je me dis "pourquoi pas moi" mais je trouve chaque fois des excuses : le bebe (qui est devenu grand 6,5 ans!) mickey , les bebetes que je ne peux pas laisser (ben si je peux, je connais des personnes qui voudront bien s'en occuper!) tchin tchin , le compagnon (suffit juste de le brosser dans le sens du poils et cela devrait s'arranger!) pas d'accord ,etc......bref je suis casaniere snif

mais suis comme les autres j'attend la suite de tes aventures sauteur

encore encore encore

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Joe a écrit:
Au fil des kilomètres, les conversations font la part aux vérités. Un rapport s'installe.
Les difficultés climatiques, topographiques, linguistiques et autres tiques, font jaillir nos caractères.
A la maison, la radio assourdit le bruit d'une dispute. La télévision prend part dans la soirée et tue les conversations. Ici, seul le vent chahute et nous ne savons meubler le temps qu'en dialoguant.
(...)
Chacune aura son jour en solitaire. Chacune aura son moment pour réfléchir. Chacune aura le loisir de m'expliquer ses angoisses. Une thérapie s'installe.
(...)
Tant de choses fraternelles qui ne se partagent pas à la maison.

C'est pour moi l'aspect le plus important dans ce genre de voyage : la rencontre avec ceux que l'on n'a pas le temps d'apprendre à connaître dans notre vie trépidante. Et la rencontre la plus surprenante est probablement celle avec soi-même, ce grand inconnu.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Ben, j'ai bien fait de les remonter, mes aventures numérotées !!

Elles font plaisir aux nouveaux venus .....

Merci, pcq ce plaisir est partagé avec moi...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...